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    Les Aventures de Robin des Bois
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    mistermyster
    mistermyster

    34 abonnés 1 165 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 4 mai 2010
    Pour les grands et les petits, le fim d'aventure par excellence. Celui qui nous fait passer un moment de pur cinéma, un chef d'oeuvre. Un robin des bois bondissant, des héros attachants, des couleurs flamboyantes, ce film a su passer les décénies avec brio, et continuera encore quelques décénies.
    Cannaghan
    Cannaghan

    14 abonnés 451 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 29 décembre 2008
    Surement le meilleur Robin des bois du cinema, toujours inégalé à ce jour.
    Jack G
    Jack G

    2 abonnés 175 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 3 mai 2020
    30 après sa première apparition au cinéma, le plus célèbre hors-la-loi justicier fait son retour dans l’une des productions les plus ambitieuses des années 1930, signée par la Warner Bros.
    Depuis le début de la décennie, le studio a fait sa réputation grâce aux comédies musicales et aux films de gangsters. Mais depuis la mise en application du restrictif Code Hays en 1934, les scènes obscènes et violentes sont bannies du grand écran, et en conséquence, les studios non pas d’autre choix que de se réinventer, en particulier la Warner, qui a fait son succès sur le registre censuré par le Code Hays. Le premier projet du studio en ce sens est le Songe d’une nuit d’été, adapté de la pièce de théâtre éponyme de Shakespeare, dès 1935, avec des acteurs plus habitués aux rôles de gangsters, comme c’est le cas pour James Cagney. C’est un consultant du film qui propose à la Warner l’idée de la prochaine adaptation, celle de Robin des Bois, afin de concurrence la Metro-Goldwyn-Mayer et ses films de cape et d’épée. Mais à la même période, la MGM envisage de poursuivre sur le genre musical de l’opérette, qui fait son succès récent depuis La Fugue de Mariette (1935), en mettant également en scène l’histoire de Robin des Bois. L’ennui, c’est que la Warner possède les droits pour l’opéra-comique et que la MGM possède des scénarios originaux de l’histoire. Un marché est donc conclu entre les deux studios pour que chacun obtienne ce qui l’arrange, à savoir, ce que l’autre possède.
    Un premier scénario est rédigé mais finalement abandonné, faute de convaincre la production, notamment en raison de l’absence du personnage de Lady Marian. Après l’engagement de deux nouveaux scénaristes, le script finit par être bouclé. Pour donner à sa nouvelle production toutes ses chances de séduire le public, la Warner adopte le procédé du Technicolor trichrome, une amélioration du procédé original mise au point en 1928 et qui permet pour la première fois de reproduire toutes les couleurs. Malgré quelques réticences de la part du public pendant la première moitié des années 1930, qui trouve que les couleurs sont trop saturées, Disney parvient à exploiter le potentiel de cette nouvelle technologie dans Blanche-Neige et les Sept Nains, son premier gros succès au box-office, en 1937. Dès lors, le Technicolor trichrome devient la norme pour les productions au gros budget, y compris pour Les Aventures de Robin des Bois, permettant de mettre en valeur la multitude de couleurs des costumes et d’apporter une touche de fraîcheur à cette comédie d’aventures.
    Initialement, c’est James Cagney, déjà sous contrat avec la Warner, qui est choisi pour interpréter le célèbre Robin des Bois, consacré par la critique grâce à sa prestation dans l’Ennemi public (1931), où il joue le rôle d’un charismatique gangster. Cependant, Cagney entre en conflit avec le studio et abandonne son rôle, laissant la place vacante. La production se tourne donc vers Errol Flynn, fort de son succès dans Capitaine Blood (1935). A ses côtés, la ravissante Olivia de Havilland incarne Lady Marian. L’actrice britannique est déjà connue du grand public puisqu’elle a joué avec Flynn dans Capitaine Blood, mais également dans Le Songe d’une nuit d’été de la Warner.
    Adaptée de multiples fois depuis la production de la Warner de 1938, l’histoire de Robin des Bois est très connue mais il n’est jamais vain d’en rappeler la teneur. Au XIIème siècle, le roi d’Angleterre Richard Cœur de Lion, parti en croisades, est capturé par le roi Léopold V d’Autriche et exige une rançon. Mais son frère, le prince Jean, refuser de payer et usurpe le trône, aidé dans sa traîtrise par Sir Charles de Gisbourne et le shérif de Nottingham. Face à eux, Robin de Locksley, seigneur saxon et archer redoutable, organise la révolte avec ses acolytes pour sauver les opprimés et rétablir le roi légitime sur son trône.
    Doté d’un budget considérable pour l’époque (2 millions de dollars de l’époque, soit plus de 30 millions en dollars d’aujourd’hui) et d’un procédé de film en couleurs particulièrement novateur qui mobilise les 11 caméras de l’époque capables de filmer en Technicolor trichrome, Les Aventures de Robin des Bois ne lésine pas sur les moyens mais n’évite pas les retards dès le début du tournage. Après deux mois, le co-réalisateur William Keighley, conseillé au studio par Errol Flynn, est limogé pour ses mauvais choix et le manque de vigueur qu’il insuffle aux scènes d’action, et remplacé par Michael Curtiz, qui a déjà dirigé Flynn dans Capitaine Blood. Le cinéaste n’hésite pas à reprendre certaines séquences tournées par son prédécesseur et se rapproche même du lieu de tournage de l’adaptation faite par Douglas Fairbanks, en Californie, probablement pour donner un nouveau souffle au tournage.
    Considérée aujourd’hui comme un classique du cinéma d’aventures, ce joyeux et naïf long-métrage profite d’une gaieté qui contraste avec la répression sanglante du prince Jean. Errol Flynn, digne successeur de Douglas Fairbanks, éblouit le public avec ses yeux bleus et son sourire « Colgate », au point qu’on puisse avoir l’impression d’être face à un cliché de beauté masculine. Néanmoins, autant enfant joueur et habile que jeune homme charmeur, charismatique et plein de panache, sa prestation crève l’écran et la star montante n’hésite pas à réaliser la majorité des cascades, pour le moins nombreuses et impressionnantes. Quant à Olivia de Havilland, son innocence est assez représentative de l’ensemble du film mais son charme est toujours aussi intact. Les codes de la romance médiévale ne sont pas épargnés, à tel point que cette aventure pourrait très bien surgir d’un conte pour enfants. Quel contraste quand on compare les précédentes productions de la Warner à celle-ci. Le virage est total.
    Après la dernière grande adaptation de l’histoire de Robin des Bois au cinéma, avec la version muette de 1922 où Douglas Fairbanks incarne le prince des voleurs dans des cascades de haute voltige, cette nouvelle production est l’œuvre d’un studio en quête de nouveaux thèmes, à tel point que les noms de ses deux réalisateurs ont totalement été oubliés par la postérité. Malgré le retard de tournage et l’explosion du budget de production, la Warner est satisfaite et consciente d’avoir donné naissance à une « super-production » de cape et d’épée capable de rivaliser avec les films du genre de la MGM.
    A sa sortie, le film le plus coûteux du studio est un grand succès et impressionne par sa mise en scène et sa photographie, et contribue à l’essor du swashbuckler (genre de littérature d'aventure qui se concentre sur un personnage héroïque qui est habile dans le jeu d'épée, l'acrobatie, la ruse et les idéaux chevaleresques) durant cette période. Ce triomphe dans les salles s’accompagne également d’une reconnaissance lors de la onzième cérémonie des Oscars, où le film est nommé dans quatre catégories : meilleur film, meilleurs décors, meilleure direction artistique et meilleur montage. Malgré la victoire de Franck Capra et de Vous ne l’emporterez pas avec vous pour l’Oscar du meilleur film, les trois autres catégories récompensent Les Aventures de Robin des Bois et font du film le grand succès de la soirée. Depuis, la postérité a confirmé la qualité technique et le succès de ce long-métrage, en le sélectionnant pour intégrer le fonds culturel du National Film Registry et en l’honorant d’une place dans le classement du British Film Institute des films à avoir avant l’âge de 14 ans. Grâce à des décors médiévaux, des costumes chatoyants, des couleurs vives, ainsi que de nombreux figurants et cascadeurs, Les Aventures de Robin des Bois dispose de moyens considérables ayant fortement contribué à son succès. Toutefois, cette comédie d’aventure au ton guilleret et ingénu, bien que considérée comme un chef d’œuvre, ne doit pas être vue avec l’intension de trouver une trame dramatique ou réaliste. Ici, l’important, pour le spectateur comme pour Robin des Bois, c’est de s’amuser.
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 18 mai 2016
    On ne peut le nier, "Robin des bois" version Curtiz apparaît très (très) kitch à notre époque, notamment par ses costumes très colorés et une certaine niaiserie dans ses dialogues. Malgré ça, il faut avouer qu'un certain charme ce dégage de cette œuvre, par sa musique, sa photographie très jolie et par l'interprétation d'Errol Flynn qui s'approprie parfaitement le rôle. A découvrir tout de même.
    Mafoipourquoipas
    Mafoipourquoipas

    9 abonnés 704 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 20 octobre 2018
    3 étoiles - Les aventures de Robin des bois

    Film qui a un peu vieilli ... mais qui ne manque pas de charmes. Il séduit par la vitalité de ses couleurs, par sa mise en scène dynamique et par son insolence plaisante qui se joue de la mort et de la vie. Ce n'est pas un chef d’œuvre, mais c'est un film agréable et son côté "surréaliste" ravira le Peter Pan qui survit profondément dans notre inconscient enfantin.
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 10 janvier 2013
    Nous sommes en 1938 en compagnie de l'excellent Errol Flynn dans le rôle de Robin des Bois !
    Ce film est une antiquité mais pourtant il est bien meilleur que certains films des années 2000 !
    On ne s'ennuie pas une seconde, des fléches, des épées... bref du robin des bois avec toute la classe d'Errol Flynn.
    Du très bon cinéma d'époque pour la découvrir. A voir !
    S.i.n
    S.i.n

    7 abonnés 66 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 25 octobre 2017
    The Adventures of Robin Hood est un peu comparable à un de ces vieux objets souvenirs ramenés de vacances. Ils ont beau être vieux et prendre la poussière, chaque fois que nous les contemplons nous retombons dans une nostalgie et une allégresse infinies. Car oui, ce long-métrage ne se regarde pas il se contemple. L’acteur principal s’appelle Errol Flynn, l’actrice principale se fait appeler Olivia de Havilland, quant au réalisateur il se nomme Michael Curtiz. Je pourrai arrêter ma critique là car vous avez déjà trois bonnes raisons de le regarder (de le contempler pardon). Mais soyons fous.

    Bien qu’il y ait eu une trentaine d’adaptations cinématographiques de Robin des Bois, The Adventures of Robin Hood reste encore aujourd’hui l’interprétation la plus culte et la plus mythique du célèbre archer. C’était même un blockbuster avant l’heure. A sa sortie en 1938, le film était le plus cher jamais produit par la Warner Bros. Il avait coûté plus de 1,900,000$. Une somme astronomique pour l'époque. Un projet qui faillit mal finir tant les dépassements de budget étaient conséquents et les délais difficiles à respecter. Retour sur ce monument qui fait encore parler de lui huit décennies après sa sortie.

    Evoquons d’abord le contexte historique. Nous sommes au cœur de l’Angleterre, fin XIIème siècle. Le royaume est gouverné par Richard 1er dit Cœur-de-Lion. Parti pour les croisades, le roi est fait prisonnier par Leopold d'Autriche qui demande une rançon. Plutôt que de payer, le Prince Jean, frère du roi, s'installe sur le trône d'Angleterre. Robin de Locksley, archer de grande valeur, refuse de reconnaître l'usurpateur et organise dans la forêt la résistance pour sauver son roi.

    Nous retrouvons donc un Robin des Bois flamboyant accompagné de ses fidèles les Joyeux Compagnons avec des personnages cultes que l’on retrouve tels que Frère Tuck, un moine, Petit Jean, son plus célèbre compagnon, ainsi que Will Ecarlate, nommé ainsi parce qu’il est toujours vêtu de soie rouge. Une joyeuse bande de copains bienveillante que nous prendrons plaisir à voir évoluer tout au long du film, caractérisé par son humour bien particulier et des aventures emplies de joie.

    Sur le plan des comédiens, difficile de choisir entre Errol Flynn qui incarne Robin et Olivia de Havilland qui joue le rôle de Lady Marianne.
    Bien qu’Errol Flynn avouera ne pas s’être autant amuser que ça sur le tournage (notamment parce que son épouse était aussi l’ex-femme du réalisateur), c’est tout simplement l’acteur parfait pour ce rôle. L’acteur nous livre une prestation de Robin des Bois grandiose. Avec une prodigieuse énergie, il joue le justicier en collant vert avec son charisme habituel si caractéristique et une fougue dont il peut se vanter.
    Olivia de Havilland n’a pas à se plaindre de son côté. L’actrice perfore l’écran avec son regard de braise et sa douceur au goût lait-fraise.

    Concernant l’image, quelle incroyable qualité nous avons à l’écran ! Nous sommes face à un technicolor époustouflant, où les costumes verts et rouges claquent à l’écran, où l’eau scintille, où les couchers de soleil sont flamboyants. Cet aspect chatoyant contribue grandement à donner un ton jovial et inoubliable à l’œuvre de Michael Curtiz.

    Ajoutez à ça une mise en scène particulière, assez proche du genre théâtral. Tout ce qui se passe à l’écran, tout ce que peut voir ou apercevoir le spectateur est exploité. C’est notamment le cas avec le sens du détail. Le moindre accessoire au service de l’action pure est exploité. Tables retournées, chaises renversées, lames luisantes, escaliers circulaires, la liste est longue. Toujours avoisinant le genre théâtral nous retrouvons ici la règle de la bienséance pour ne pas choquer le spectateur, qui sera utilisé dans le théâtre classique français cinq siècles plus tard. Conséquemment, nous n’avons pas de sang et des combats non-violents qui nous font plus sourire qu’autre chose.
    Tout cela dans un rythme très soutenu avec de nombreuses péripéties qui ne nous donnent pas le temps de souffler et rendent le film très dynamique.

    Je finis en évoquant une bande-son joyeuse, à l’image de Robin des Bois et de son insouciance. Très importante dans un long-métrage qui ne laisse pas beaucoup de place aux échanges avec de nombreuses scènes d’action et de combats, des discussions concises et un jeu sans paroles de la part des acteurs, et qui ajoute encore à la gaieté du film.

    Ainsi, Les Aventures de Robin des Bois constitue LE classique par excellence, dans le sens noble du terme. Une œuvre qui ne vieillit pas, ou bien le fait avec charme et classe. Un film qui, à l’instar de Cupidon et de son héros principal, marque l'esprit des spectateurs avec une flèche en plein cœur. Ça aura également été le cas pour Wolfgang Reitherman qui s’inspirera librement de ce film pour produire le classique d’animation Robin des Bois près de quarante ans plus tard.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 10 juillet 2012
    De nombreux films ont été fais sur Robin des Bois au cours de l'histoire. Celui-ci reste le meilleur, il faut bien le dire. L'histoire est parfaitement respectée. On y retrouve le charme des années 1930. Les acteurs jouent plutôt bien. On ne s'ennuie pas. Voilà, il n'a rien à envier aux différents remake de ces dernières années.
    White Fingers
    White Fingers

    6 abonnés 922 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 10 janvier 2024
    ROBIN DES BOIS 4,5/5
    « Les Aventures de Robin des Bois », réalisé en 1938, est un film toujours étonnamment rafraîchissant et divertissant. Les décors, les séquences d'action et les costumes, qui ont dû faire sensation à l'époque, donnent au film un aspect épique et une couleur luxuriante digne des années 1950. Bien que l'utilisation abondante de collants « moule-burnes » par les personnages puisse sembler étrange aujourd’hui (quoique), cela contribue à l'atmosphère enjouée du film. La représentation des femmes, notamment celle de Marianne, la sublime Olivia de Havilland, est admirable ; elle est à la fois lumineuse et courageuse (actrice que l’on retrouve la même année dans le chef d’œuvre « Autant en emporte le vent »). Le film, avec son excellent jeu d'acteur et sa musique entraînante, offre une aventure magique et pleine de panache. Les scènes de combat à l'épée sont maîtrisées, et le film véhicule de beaux messages sur le soin des autres, le rejet de la cupidité, la justice, l'équité et le partage. « Les Aventures de Robin des Bois » est un divertissement familial à l'ancienne, exaltant et charmant, qui reste mon Robin Hood préféré. WHITE FINGERS : LA PISTE SYSKIYOU (TOME 1) et LE CIMETIERE DES SQUAWS (TOME 2) (Amazon Kindle).
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 31 mai 2011
    Toute ma jeunesse! Mais bon, maintenant cela me rire fait de voir Errol Flynn en collants verts.
    Romain Gayon
    Romain Gayon

    5 abonnés 5 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 20 novembre 2022
    Peut être le plus magnifique film de tous les temps. On peut ne pas apprécier le côté communiste de la morale mais cela a si peu d'importance...tant ce film est parfait de bout en bout.
    noizet
    noizet

    3 abonnés 185 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 8 novembre 2022
    Pas grand-chose à se mettre sous la dent dans celle comédie à l'eau de rose qui dégouline de bons sentimentsn et qui a mal vieilli.
    Les effets spéciaux frisent le ridicule, tout comme les combats. Même le charme de Olivia de Havilland n'a pas suffi pour m'inciter à aller jusqu'au bout ...
    Zakouski
    Zakouski

    5 abonnés 29 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 29 septembre 2006
    Voici un film d'aventure que les adultes regardent avec plaisir et que les enfants regardent en boucles.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 6 juillet 2011
    ah ces vieux films en carton pâte, ces fausses cascades, ce sang rouge fluo et ces acteurs que rien n'arrête; j'adore, j'adore, j'adore!
    Karussell
    Karussell

    5 abonnés 250 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 29 janvier 2009
    Une oeuvre qui a contribué à la légende d’Hollywood et propulsé Errol Flynn au rang de star internationale. Un film d’aventures sans aucun temps mort qui multiplie les scènes d’action, les duels à l’épée, tout en évoquant l’Angleterre médiévale tombée aux mains d’un roi tyrannique. Par le flamboiement de la réalisation et la justesse de l’interprétation (notamment la belle Olivia de Havilland), c’est la meilleure adaptation de l’histoire de ce héros légendaire.
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