Avis : Spider-Man: Far From Home - Page 10

Spiderman a toujours eu un rôle à part dans la franchise de héros Marvel. Toujours adolescent et peu sur de lui, il est parfois à l'antipode des autres Super Héros.
Ce nouvel épisode, le deuxième avec toujours l'excellent Tom Holland, débute là où Les Avengers EndGame se termine.

C'est un teen-movie sympathique, alternant entre scène d'action, d'humour et d'adolescent mal dans leur peau.
Bien que le scénario ne soit pas exceptionnel, c'est divertissant.
Les seconds rôles, à l'exception du méchant Mystério (Jake Gyllenhaal), de Nick Fury (Samuel Lee Jackson) et de Jon Favreau, fournissent une interprétation très moyenne avec peu de crédibilité.

Peter Parker essaie de grandir petit à petit en prenant des trempes à chaque fois.

L'été est souvent le moment choisi par Spider-Man pour venir tisser sa toile au cinéma. Il s'agit déjà du septième film mettant en scène l'homme araignée. Et pourtant, aucune lassitude, aucune redite. Après un Homecoming au ton léger qui fleurait bon le teen movie, il était temps de retrouver l'ami Spidey, revenu d'entre les morts dans Endgame pour une nouvelle aventure intitulée Far From Home (loin de de la maison). L'intrigue de ce film se déroule en Europe lors d'un voyage scolaire de Peter Parker avec toute sa classe. Et comme un grand pouvoir implique de grandes responsabilités, l'alter égo de Peter, à savoir Spider-Man, sera aussi du voyage.

Les thématiques habituelles sont présentes. Tout d'abord comment concilier sa vie d'adolescent avec son statut de super héros. Mais dans ce film, il est très drôle de voir pour quelles trivialités notre cher Peter (excellent Tom Holand) veut abandonner son costume. Il veut juste essayer de pêcho celle qu'il aime, c'est sa priorité. Mais tant de légèreté correspond bien à l'adolescence et au fur et à mesure que le film avance, on se rend compte qu'il est impossible pour Peter de fuir ses responsabilités.

L'humour est également omniprésent, et les différents gags font toujours mouche. Notamment dans la relation entre Peter et Nick Fury (Magnétique Samuel L Jackon). Mais il y a une litanie de blagues totalement loufoques et idiotes mais qui ne manquent jamais de faire rire. On ne se gêne pas pour parodier les tourments des adolescents !

Et pourtant, malgré ce ton léger, ce film est très sérieux. Car Mysterio (excellent Jake Gyllenhaal) est un personnage qui fait écho à l'actualité. Ce maître de l'illusion démontre à quel point la crédulité des gens est profonde et à quel point il est facile de l'exploiter. Oui, les gens sont prêts à croire n'importe quoi et cela fait peur tant il devient facile de manipuler la foule. En effet, il suffit de bien présenter son bobard afin qu'il ne devienne très tentant de le croire. Même les adultes sont vulnérables à ce genre de manipulation, alors, cela est encore pire pour les jeunes. Il est alors étonnant de voir ce sujet traité avec autant de profondeur, en sous texte, sous couvert d'action et de BD. Car tout cela est très actuel et maintenant à l’œuvre quotidiennement, notamment sur les réseaux sociaux.

En outre, il y a tout ce que l'on peut attendre d'un film de Comics. Des séquences d'action réalisées avec grand soin où la perception du réel devient de plus en plus périlleuse. Des rebondissements, des twists et puis tout simplement du spectacle.

Mais pour ne rien manquer, assurez-vous de regarder jusqu'à la toute fin du générique. Le scénario y révèle ses derniers secrets. Car oui, même si on peut reprocher des choses à ce film, son écriture a tout sauf été négligée. Spider-Man Far From Home, c'est un blockbuster de l'été comme on les aime !

Qu’est ce que l’époque avant Marvel me manque, le Spider-Man de Sam Raimi était une œuvre d’art, ici tout est grotesque, la mise en scène, le scénario, le mélange des super-héros pour exciter les adolescents décérébrés. Alors oui c’est beau, ça pétarde de partout mais que c’est bas de plafond et sans intérêt.

Le dernier film de la phase 3 de marvel. On reste dans la continuité du studio. Si en soit le film n'est pas senssas il reste plaisant grâce aux scènes d'actions bien réalisées et a son clin d'oeil à dautres spidermans.
Jake Gyllenhaal est excellent dans ce film.

Si j'ai à une époque attendu chaque nouveau Marvel avec impatience, cette période est résolue depuis plusieurs années, au point de ne pas du tout être certain d'aller voir « Spider-Man: Far From Home » à sa sortie, déjà moyennement convaincu par son prédécesseur, « Homecoming ». À ce titre, la surprise a été plutôt agréable. Elle a beau être limite éculée à force d'être utilisée par les studios, la formule action - humour enrobée d'une bonne dose de « teen movie » est rodée et fonctionne avec une certaine efficacité, si bien que ces 130 minutes se regardent vraiment sans déplaisir. Malgré une dimension trop souvent futile, le scénario, en plus d'offrir un salutaire voyage européen nous changeant du cadre new-yorkais, a l'étonnant mérite d'opérer une réflexion intéressante sur le pouvoir des images et la frontière entre fiction et réel, pouvant même laisser entrevoir un parallèle avec notre monde si souvent gangrené par les infox... J'aurais du mal à vous écrire beaucoup plus : c'est un blockbuster qui fait le job (ce qui est déjà pas mal!), un peu moins vain que son prédécesseur et doté d'un méchant convenable, à défaut d'être suffisamment différent ou ambitieux pour réellement se démarquer du tout-venant superhéroïque. Divertissant.

Ça fait un moment que je n’attend plus rien du Mcu. J’avais trouvé le premier SpiderMan solo avec Tom Holland très anecdotique preuve en est trois ans après sa sortie le seul souvenir que j’en ai c’est qu’il y avait Michael Keaton Du coup je me suis lancé sans grande conviction dans ce Far From Home surtout après le dernier Avengers qui était le sommet de ce qui m’énerve dans le Mcu. L’avantage quand on attend rien c’est qu’on peut être surpris ce qui fut le cas avec cette aventure de Spidey en Europe, qui si elle n’évite pas certains écueils est plutôt réussie. Si la surabondance de scènes très vilaines sur fond vert gâche toujours le spectacle et la suspension d’incrédulité, la scène de la première apparition de Mysterio en est d’ailleurs un parfait exemple ça pique carrément les yeux et ça donne l’impression d’une cinématique moyenne de jeux vidéo. Ce qui fait qu’il est réussi c’est qu’il développe plus son méchant, il bénéficie en plus de la présence de Jake Gyllenhall qui s’amuse avec son personnage en ne le jouant pas trop premier degrés. Le personnage de Peter Parker lui aussi est bien développé, maladroit dans tous le sens du terme dans sa vie de tous les jours, Tom Holland tient vraiment bien le rôle rend les scènes de vie courantes finalement plus intéressantes que les scènes d’action de l’homme araignée qui n’ont pour le coup rien d’extraordinaires. C’est toujours très loin de la qualité des films de Sam Raimi ou de la petite bombe d’animation Spiderverse mais c’est une réussite dans un Mcu qui tourne en rond depuis déjà un bon moment.

Après le mastodonte Endgame, c’est Spider-Man : Far From Home qui vient clôturer la phase 3 du Marvel Cinematic Universe. Et cette suite à Homecoming est une belle réussite. Le film est vraiment très sympathique. Tom Holland est toujours aussi parfait dans le rôle de Peter Parker/Spider-Man, l’histoire est plaisante à suivre, l’humour est bien dosé et les scènes d’action sont dynamiques et rythmées. Jake Gyllenhaal campe un très convaincant Mystério et j’ai adoré l’aspect visuel des « mondes » de Mystério. Un film fort réussi donc qui devrait ravir les fans de Marvel et de l’Homme araignée.

Spider-Man : Far From Home démarre juste après les événements du dernier film consacré aux Avengers. Tony Stark a beau ne plus être là, son ombre plane tout le long des nouvelles aventures de l'homme-araignée. Il reste son héritage. Ses gadgets. Sa personnalité. C'est dommage que Parker et lui n'aient pas pu se connaître un peu plus. Stark jouait le rôle du mentor. Désormais, je ne vois pas qui d'autre peut l'endosser à sa place. Nick Fury peut-être. Ou Happy à la rigueur. Parce que Parker n'est qu'un adolescent. On le voit. Il fait des erreurs. Il n'a pas conscience de son potentiel. A l'inverse, il fait confiance à n'importe qui. Il est plus accaparé par son idylle naissante avec MJ que par une ville à sauver. Ce n'est donc pas un pur film d'action auquel on a droit mais un teen-movie. Où Parker et son pote Ned n'ont de cesse de trouver des combines à travers l'Europe pour pouvoir se rapprocher de MJ. Non pas que les scènes de destruction massive soient absentes. Se déroulant le plus souvent dans un univers virtuel, pilotées par un maître de l'illusion, elles ne m'ont pas plus intéressé que ça. Dingue, non ? J'attends toujours de voir quelle sera la nouvelle grosse menace après Thanos. Pour l'instant, je ne suis pas plus éclairé. Parker reste attachant avec ses amis, MJ qui a un sacré caractère, son côté ado attardé. Donc, je lui dis : à dans trois ans. Le rythme de croisière pour un Spider-Man au cinéma.

Un nouveau film de super héro destiné aux jeunes adolescents : une non rencontre. Il n'y a aucun enjeu dramatique et Spider Man devient un héro à l'image de son temps. Il n'a plus besoin de se remettre en cause ou de faire des efforts pour réussir. Ainsi lorsqu'il se prend une volée par son adversaire, au lieu de travailler dur et/ou faire un travail sur lui même pour se transcender, devenir meilleur et ainsi vaincre celui qui l'a d'abord battu, il se contente de... se souvenir qu'il possède le Spidey sens qu'il a toujours eu mais qu'il a oublié pendant ce film ! le scenario est truffé d'incohérence, les gags sont puérils, les dialogues miteux, l'action pourtant spectaculaire (on en dézingue du building) n'a aucun impact, l'attirance entre Peter et MJ ne fonctionne pas, celle entre le petit gros asiat et la tête à claque blonde est improbable et les profs sont des caricatures insupportables. Dommage, le thème fake news et manipulation via média de masse était prometteuse. Les meilleurs moments de Far from home sont ses deux scènes post génériques

Le deuxième opus des Spider-Man avec le sympathique Tom Holland reprend peu ou prou toutes les qualités et les défauts des œuvres du MCU Marvel auquel il est clairement affilié: il s'agit davantage d'un "Spiderman chez les Avengers" que d'autre chose, puisqu'il est longuement question de la succession de Tony Stark. A noter que si l'avalanche d'action inutile est toujours au rendez-vous, notamment dans la dernière partie, le début du récit nous présente Peter Parker en voyage scolaire, une parenthèse agréable et souvent drôle, qui aurait méritée d'être étendue. Au lieu de cela vous aurez des effets spéciaux, alors n'oubliez pas vos gouttes pour les yeux.

Toujours aussi divertissant et décalé, décidément les opus Spider-Man se suivent mais ne se ressemblent pas et arrivent même à se renouveler de façon originale.
Très plaisant et une belle réussite.

Marvel et Jon Watts reviennent pour un deuxième opus de leur version de l'homme-araignée avec "Spider-Man : Far from Home". Ce film aurait pu être le dernier du héros sous l'emblème de Marvel à la suite d’un désaccord entre Disney, la société qui détient les droits de la plupart des héros Marvel, et Sony qui détient ceux de Spider-Man. Mais il devrait bien y avoir une suite, ce qui est rassurant puisque ce film se pose comme une pierre fondatrice pour la suite des aventures de l'ensemble des héros de la saga pour donner suite à Avengers : Endgame" qui avait mis fin à une bonne partie des différents arcs narratifs. Mais, pour revenir plus particulièrement sur ce film, nous avons été globalement assez convaincus et probablement plus que par le premier opus qui malheureusement faisait raviver la nostalgie des films de Sam Raimi. Ici, nous avons fait définitivement deuil de cette trilogie, et le héros incarné par le brillant et pétillant Tom Holland s'est bien installé comme le nouvel homme-araignée. Toujours sous la forme d'un teen-movie complètement assumé, le film propose quelques gags amusants. Mais ce sont surtout les scènes d'action et les différentes cascades du héros qui retiennent notre attention. Après Michael Keaton, c'est au tour de Jake Gyllenhaal d'interpréter un des redoutables ennemis du super-héros. On passe globalement un bon moment avec "Spider-Man : Far from Home" et nous n'en attendions pas forcément plus.

Peter Parker essaie de faire sa place après sa participation, au sauvetage du monde avec les Avengers. On le retrouve partant faire un voyage de classe mais celui-ci va vite s'arrêter suite à sa rencontre avec Mystério qui aide le Shield suite à de nombreuses attaques aux quatre coins du monde.

Tom Holland est tirailler entre sa vie d'adolescent et la responsabilité donnée par Iron Man à la fin d'Avengers Endgame.
Dans cet épisode, le personnage le plus travaillé est joué par Jake Gyllenhaal.
A travers l'Europe, Spider-Man prend du galon et démontre une nouvelle toutes les qualités qu'il possède pour sauver le monde.
Actions, humour et amour sont présents dans ce premier film de la phase 4.

N'étant pas forcément fan des Marvel, j'avoue que cet épisode m'a plutôt plus même s'il souffre de certaines longueurs par moment.

Après l'écrasant passage de " Avengers Endgame " dans les salles obscures, c'est au tour de Spider man d'entrée en scène, incarné pour la seconde fois par Tom Holland. Que vaut le dernier film de la phase 3 du MCU ? " Spider-Man : Far From Home " ne brille pas par son originalité. Le ton est léger, le film gagne un petit peu en maturité, mais pas au point de perdre le charme d’un Peter Parker en fin de lycée. Un peu au dessus de son prédécesseur, cet épisode bénéficie d'une imagerie visuelle renversante de splendeur, où les séquences d'actions nous offre un spectacle de haut niveau avec lesquelles, Spiderman montre tout son potentiel héroïque. Mais le plus gros tournant du film reste l'étourdissante prestation de Mystério, incarnée par l'excellent Jake Gyllenhall, pour un résultat tout à fait grandiose. Jake Gyllenhall est solide dans le rôle et son charisme, le grain de sel de ce divertissement. L'ensemble est plutôt correct car l'intrigue utilise les même ingrédients que le premier film. Ce second volet abuse un peu trop de son humour : gags répétitifs à la longue qui entache parfois des scènes vraiment très drôles, mettant un peu mal à l'aise mais ça peu encore passer. D'autres scènes comme le développement de la relation entre MJ et Peter fonctionnent très bien. Fun et décontractant, un agréable moment malgré quelques défauts d'écritures qui parvient à être bien meilleur (sur certains points) que son prédécesseur avec trois scènes post-génériques qui valent vraiment le détour.