Avis sur Bad Ass 2: Bad Asses

Danny Glover, surtout connu pour son rôle dans la saga de L'arme fatale, sort de l'anonymat (voire d'une quasi retraite, au moins pour moi, comme je ne l'avais pas revu depuis, ce qui est dire de sa carrière après L'arme fatale) pour rejoindre son homonyme, au moins de prénom, Danny Trejo.
L'ensemble est plaisant à voir, étonnamment un peu mieux noté que le premier Bad ass alors que j'ai trouvé que le scénario était un peu moins bon.
Peut-être les gens ont-il apprécié de revoir Danny Glover ? Moi aussi, mais pas au point de considérer ce film comme meilleur que son prédécesseur spoiler: et d'ailleurs, même si c'est une suite, on ne reprend pas exactement sur la fin de l'autre, où Danny Trejo finissait avec une nana
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Les anciens du cinéma d'action ont la côte. Red, Expendables en sont la preuve. Bad Ass 2 (ah bon, il y en avait un autre avant) reprend le concept de vieux qui mettent des droites malgré le poids de leurs années. Cette fois-ci, c'est Danny Trejo et Danny Glover qui s'y collent avec beaucoup moins de réussite. Le film a 20 ans de retard et n'apporte rien. Scénario téléguidé. Répliques qui tombent à plat (doublage de vieille VHS). Il n'y a rien à apprécier dans le film et l'on a envie d'expédier la fin. Un film à regarder pour se donner envie de faire autre chose.

Bon, une suite clairement moins bonne que le premier Bad Ass. On sent toujours la tonalité parodique et la complicité entre les acteurs, mais franchement, le résultat s’avère tout de même bien décevant.
L’histoire ne tient vraiment pas. Scénario ultra-basique et datée, éléments totalement téléphonés frôlant l’improbable (la porte secrète), scènes qui frôlent le ridicule (notamment certains moments qui se veulent humoristiques), il n’y a pas d’épaisseur, tout va à fond à l’heure sans rien approfondir, et tout ce qui faisait l’intérêt du premier est passé ici à la moulinette de la petite série B d’action qui cherche à accumuler les devises plus que les idées de génie. Quelques gags fonctionnent (la référence à Expendables par exemple), le rythme reste correct, et l’abattage des acteurs parvient parfois à sauver des passages, mais finalement Bad Ass 2 ne tient pas, le film sonnant trop faux, préfabriqué et superficiel.
On pourrait pardonner si le reste était très convaincant, mais sur la forme, bof ! Effets numériques du souffle de froid à l’explosion pyrotechnique qui se voient de façon trop évidente, décors qui restent restreints, photographie sans intérêt notable, le film parvient parfois à s’en sortir grâce à une mise en scène qui reste punchie dans les scènes d’action, mais on sent vraiment trop l’ambiance téléfilmique ici. La différence avec le 1 est d’ailleurs vraiment marquante, là on se croirait dans un DTV Seagal en fait ! La mise en scène s’en sort donc, heureusement, cela nous assure quelques bagarres assez sympas, mais le recours abusif aux CGI et certains faux-raccords très évidents (le pic à glace) laissent assez froid !
Coté acteur un beau quatuor : Danny Trejo et Danny Glover qui reprennent leurs rôles respectifs, semblant toujours bien s’amuser. La complicité est là, et leur duo fonctionne bien, avec une complémentarité intéressante des personnages. Néanmoins il ne faudra pas oublier Andrew Divoff, toujours excellent en méchant et malheureusement un peu discret ici, tout comme la beauté de Jacqueline Obradors qui aurait mérité d’être mieux mise en valeur. Quelques lacunes dans les seconds rôles, une gamine pas aidée par des dialogues foireux, mais le quatuor principal reste attrayant, le principal attrait peut-être du film.
En conclusion si vous avez aimé le premier Bad Ass vous risquez d’être déçu assez sérieusement par cette suite. Humour moyen, action présente mais sans plus, c’est surtout l’inanité de l’histoire, les CGI foireux et de manière générale l’ambiance téléfilm du dimanche qui va rebuter. Je ne conseille donc pas cette suite, qui sauve l’honneur avec une mise en scène correcte et des acteurs investis. 1.5

Le premier était sympathique mais il aurait vraiment fallu s'arrêter là. Tout est téléphoné, la mise en scène sans relief, l'histoire sans intérêt. Seul le duo Glover/Trejo est sympathique mais ne parvient nullement à sauver le film des méandres du nanar.

Un film d'action sans prise de tête, ou je nepux comparer le 1 ne l'ayant pas vu ou oublié (ohhh^^). LE casting et la présence de Danny G. s'avèrent correct et l'histoire ne nous permets pas de nous ennuyer. On fait l'impasse sur les quelques maladresses, incohérences et une "vulgarité" parfois un peu trop présente mais ou elle arrive à en tirer parfois un certains humour. On passe un moment sympa qui ne restera pas graver mais qui permet de ne pas se prendre la tête et ou le scénario sans être approfondie ne cherche pas à se prendre au sérieux et c'est d'emblé annoncer. Donc on sait plus ou moins ou on mets les pieds. Un peu d'humour, de l'action, des situations sympas.. Bref, le film pas prise de tête qui donne envie à l'occaz de voir le 1 (comme bien souvent les premiers sont de meilleures qualités^^). Pourquoi pas! On comprend dans tout les cas, le titre! Sympa

2 ans après et toujours réalisé par Craig Moss revoilà Bad Ass toujours avec Danny Trejo décidément très actif ces derniers temps avec Danny Glover qui rejoint le casting. L'histoire se déroule 3 ans après le 1 Franck Vega est entraîneur de boxe dans un centre et va devoir "reprendre du service" suite au meurtre d'un de ses boxeur qu'il considérait comme son fils. Comme pour le 1 il y a pas mal d'action on ne s'ennuie pas Franck Vega botte des culs à gogo cette fois ci accompagné de Bernie, cette association est une vraie bonne idée ça apporte beaucoup au film ça le différencie du premier surtout du point de vue de l'humour j'ai beaucoup rigolé il y a beaucoup de second degrés ce qui rend le film très agréable à regarder.

"Frank Vega" ("Danny Trejo") est de retour et cette fois il forme un tandem avec "Bernie Pope" (Alias "Danny Glover"), retraité acariâtre et agoraphobe. Leur mission: Nettoyer les rues de Los Angeles et retrouver le meurtrier du jeune ami de "Frank", un puissant trafiquant de drogue au-dessus des lois, "Leandro Herrera" (Campé par l'étonnant "Andrew Divoff"). D'entrée le ton est donné et on retrouve avec plaisir les méandres de "Frank Vega", sexagénaire casse bras sympathique loin des rôles habituels de l'imposant "Danny Trejo". Action modeste et comédie douce sont toujours les atouts principaux de cette suite accentué par moment grâce à l'apparition de l'impayable "Danny Glover". "Bad Ass 2: Bad Asses" s'avère même un poil meilleurs que le 1er opus et reste un divertissement à petit budget bénéficiant d'un capital sympathie indéniable !

Un film moyen avec des acteurs moyens... 2,5/5 pour moi

Mouais le 1 était meilleur dans mes souvenirs, c'est fun mais ça vole pas haut, les pauvres Trejo et Glover, finir dans ce genre de film.

Critique Bad Ass 2
Le premier épisode était bien meilleur. Celui là est aussi drôle. Mais l'histoire et les personnages ne sont plus crédibles. La mise en souffre d'un manque cruel de relief. Bien qu'il soit divertissant, il contient trop longueur.
2/5

Un buddy lourding à la sympathie irritante tant il en use pour nous consoler de cette flemmarde aventure de retraités alcooliques.

Voila un film qui (avec son prédécesseur bad ass premier du nom) ne se prend pas au sérieux et nous fait passer un excellent moment de détente.
Le tandem de vieux fonctionne très bien les combats sont violents le tout est jubilatoire ^_^.
Et dire que Dany Trejo a plus de 70 ans !!!
Pour ce qui est du scénario cela reste assez simpliste mais l'humour et la vivacité du film font que ça nous suffit

Le 1er volet m'a tellement fait plaisir que je me devais de regarder celui-ci : bonne suite, et Danny Glover est pas mal en vielle acolyte. Par contre il fait plus kitch que le 2eme, dommage

Dans la lignée du premier! Il a de la comédie, de l'action, des acteurs excellents! Bref un film qui, sans être transcendant, nous fera passer un bon moment.

On y retrouve le style du premier film avec deux papis maladroits et anti-sexe qui arrivent par leur maladresse (et leurs coups de poings) à démonter toute une organisation criminelle.

Très loin de machette, ce type de rôle colle finalement plutot bien à Danny Trejo qui a, il ne faut pas l'oublier, quasiment 70 ans!!!