Avis : Le Vieux qui ne voulait pas fêter son anniversaire - Page 6

Une perle qu'est cet opus, avec la vie de cet homme au 4 coins du monde. Celui qui double en Français, "La Raclette", pourrait-être, Philippe Lucas, l'entraîneur de natation......lol..... 4 étoiles et demie. Je conseille, d'urgence.

L'histoire et le scenario sont pas mal mais cela ne fonctionne presque jamais. On ne sourit que tres rarement. C'est vrai que la traduction et les subtilités sont certainement tres mal retranscrites. Peut etre pas mal pour les suedois mais pas pour les Français.

Décalé, drôle et parfois touchant. Film très réussi.

Excellent film, la même atmosphère que le livre. J'ai vraiment adoré. Seul bémol, la version française. Le doublage est épouvantable. Je pensais que le film serait en vo.

L'idée de départ est plutôt bonne, le film démarre bien avec un humour bien pincé, nous suivons avec attendrissement l'échappée belle de ce centenaire. Malheureusement, nous nous perdons vite dans les flash-back à répétition qui nous emmènent au coeur de l'histoire du XXème siècle pour y rencontrer entre autre Franco et Staline. Trop d'histoires, de personnages nuisent au rythme de cet aventure, on se perd parfois dans cette succession d'anecdotes pour finir essoufflé!

N'ayant pas lu le roman, je partais avec un avantage, celui-ci étant visiblement une adaptation très fidèle et sans grande valeur ajoutée. Une fois cela écrit, malgré une mise en scène trop illustrative et un intérêt inégal pour le récit (pas toujours très léger voire un peu répétitif), j'ai pris un certain plaisir à suivre ces aventures souvent farfelues et même assez délirantes, changeant clairement du quotidien par son ton, son rythme, son humour. Il y a un décalage étonnant entre la gravité des faisant voyager à travers l'Histoire de façon aussi invraisemblable qu'inattendue spoiler: (on y croise notamment Franco, Staline et Reagan : rien que ça!)
tout en posant un regard absurde souvent pertinent sur les événements. Dommage que la maquillage du « vieux » soit surchargé, mais la sympathie pour les personnages, bien qu'un peu sacrifiés au profit de l'action, nous permet de suivre ce drôle de film avec un certain plaisir, preuve vivante qu'on peut s'amuser de tout, même des événements historiques les plus graves de leur temps. Un bon moment à passer.

Reprenant sans innovation le livre dont il s'inspire (mais avec quelques coupes), cette adaptation en reste au stade de téléfilm certes jubilatoire mais anecdotique.

Ce n'est pas souvent qu'un film suédois fasse réellement parler de lui lors de sa sortie en France. Ce sont généralement des adaptations de romans tels que Millenium de Stieg Larrson ou Morse qui arrivent à franchir la frontière. C'est encore le cas cette année avec Le Vieux Qui Ne Voulait Pas Fêter Son Anniversaire, adaptation d'un best seller de Jonas Jonasson.

Alors qu'il fête son centième anniversaire, Allan Karlssonn qui a toujours eu une vie bien remplie ne supporte pas de se retrouver en maison de retraite. Il s'enfuit par la fenêtre pour suivre à nouveau l'appel de l'aventure. En chemin il se retrouve avec une valise sans savoir qu'elle contient une véritable fortune ni même se douter qu'il est poursuivi par une bande de bikers a qui appartient le magot.

Vendu a plus de six millions d'exemplaires à travers le monde le roman Le Vieux Qui Ne Voulait Pas Fêter Son Anniversaire est un best seller bien connu. Beaucoup plus en tout cas que le réalisateur de son adaptation cinématographique Felix Herngren qui signe ici son troisième long métrage mais le premier à sortir en France. C'est l'auteur lui même qui a choisi ce jeune réalisateur parmi plus d'une vingtaine de propositions.

Le Vieux Qui Ne Voulait Pas Fêter Son Anniversaire est une histoire totalement déjantée sur la vie d'Allan Karlssonn, un homme qui a toujours eu pour grande passion de faire sauter des choses à l'explosif. Au fil des années ses talents d'artificier lui ont fait faire pratiquement le tour du monde et rencontrer de nombreux dirigeants de Franco à Ronald Reagan en passant par Staline et Truman. Ce serait lui qui a permit la réussite de la création de la première bombe atomique. Mais à maintenant 100 ans, Allan Karlssonn est un petit papi qui vivait tranquillement dans son coin avant d'être envoyé de force en maison de retraite.

L'histoire de Le Vieux Qui Ne Voulait Pas Fêter Son Anniversaire rappelle beaucoup de longs métrages tout d'abord le Bad Grandpa de Johnny Knoxville même si le personnage d'Allan Karlssonn est beaucoup plus soft. Ils partagent le même grain de folie et une transformation totale de son acteur très bien faite. En cela il fait aussi penser à L’Étrange Histoire De Benjamin Button pour les nombreuses aventures vécues. Il y a aussi un peu de Forrest Gump dans ce personnage simplet qui au grès de ses pérégrinations à travers le monde a pu rencontrer quelques hommes très important de notre Histoire.

Le film commence alors qu'Allan Karlssonn s'apprête à fêter ses cent ans et met la main sur une valise pleine de billets. Cela est la trame principal du récit, un road movie à travers la suède à un rythme de petit vieux mais plein de fantaisie. Le vieillard arrive sans même s'en rendre compte à déjouer les tentatives de gangsters de récupérer leur magot en s'en débarrassant de manière incroyable. On dérive par moment de ce fil conducteur en remontant dans la vie du centenaire pour découvrir les incroyables rencontres qu'il a pu faire.

Pour interpréter Allan Karlssonn, le réalisateur Felix Herngren a choisi le comédien Robert Gustafsson. Un acteur absulement inconnu en France qui ressemble un peu à Stellan Skarsgard et qui a souvent été décrit comme l'homme le plus drôle de Suède. Il joue le personnage d'Allan de jeune adulte jusqu'au vieillard avec beaucoup de talent. Il est accompagné dans ce road trip par personnages très amusants tous joués par des acteurs inconnus en France et d'un éléphant qui ajoute à l'absurdité du récit.

Le Vieux Qui Ne Voulait Pas Fêter Son Anniversaire est une comédie déjantée et originale qui nous fait découvrir un talent comique inédit en la personne de Robert Gustafsson. En tant qu'adaptation d'un bestseller mondial, il y a de fortes chances que le film fasse le tour de la planète et qu'on entendent très vite reparler de ce comédienet du réalisateur Felix Herngren.

La mise en scène qui nous prend pour des benêts nous explique donc tout par le menu détail, avec des images démonstratives au possible et des acteurs qui se font un devoir d’illustrer à leur tour ce que racontent ces mêmes images, et le texte qu’ils ânonnent. Il y a bien longtemps qu’une adaptation littéraire ne s’était pas plantée à ce point. Il est vrai qu’elle a pris ses aises, mais même d’une inspiration on n’arrive pas à ce point de non-retour.
Pour en savoir plus

Adapté d'un best-seller suédois, un road-trip pittoresque attachant, complètement loufoque, porté par une interprétation remarquable.

Ce road movie suédois m'a souvent fait rire avec son humour burlesque et ses personnages décalés (mention spéciale aux scènes avec le frère d'Einstein, absolument énorme). Même si c'est parfois un peu inégal et qu'il y a quelques baisses de rythme, il est quand même rare d'avoir des comédies qui tiennent la route tout du long comme celle-ci. Donc à recommander si vous souhaitez vivre un vrai moment de détente.

J'ai aimé l'humour noir de ces deux papys pas politiquement correct du tout qui partent en roue libre, prouvant qu'on peut s'éclater à tout âge. Une bouffée d'optimiste. Les paysages sont souvent merveilleux. Bref cette cavale farfelue et allègrement mortifère m'a beaucoup divertie. Par contre les flash backs incessants du centenaire sont d'une longueur et parfois d'une nébulosité plombante d'autant plus qu'il s'agit souvent de conflits armés. Les rencontres avec les grands de ce monde c'est du déjà vu avec Forest Gump et il ne fallait pas le resservir car ça ne fonctionne plus du tout. Dommage .

Mort de rire ! C'est le cas de le dire. Voilà une comédie noire et macabre absolument réjouissante. Je n'avais jamais entendu parlé du best-seller dont c'est tiré mais la bande-annonce était alléchante. Et pour une fois tient toutes ses promesses. Certes, la mise en scène n'est pas exceptionnelle mais pas mauvaise non plus. C'est surtout le scénario qui est

Une sorte de Forrest Gump suédois. Un petit vieux quitte en douce sa maison de retraite, le jour de ses 100 ans. Il va rencontrer plusieurs personnages insolites au cours de sa fugue et raconter beaucoup d'anecdotes sur son passé. Sa rencontre avec de grandes figures bonnes et mauvaises du siècle passé, son amour pour les explosifs... Le tout avec un humour incroyable. J'ai bien rigolé, le film offre de nombreuses surprises tournées comme des "accidents" de la vie. Le tout avec un regard scientifique simplifié, très complet, un divertissement carrément appréciable !

Au (grand) soir de sa vie, Allan se fait la belle du mouroir où on allait fêter avec lui ses 100 ans. Commence alors une équipée drolatique, illustrant les caprices du hasard. Parallèlement à ce récit en direct (des malfrats sur la trace d'une valise échue fortuitement au vieillard, lequel rencontre de nouveaux amis, tout ce petit monde pisté par un policier débonnaire), un autre récit évolue tout au long du film, le récit picaresque (par l'intéressé) de la vie, très étonnante, du centenaire (totalement orphelin à l'âge de 10 ans, sa passion juvénile pour les explosions, et son expertise en la matière, vont le conduire de l'asile psychiatrique à l'espionnage, le menant de Suède, son pays natal, en Espagne, aux E-U, en URSS, en France.... le faisant participer, en toute innocence, à l'Histoire, et rencontrer, sorte de Forrest Gump nordique, Franco, Staline et Truman). Le tout est cocasse et tendre à la fois, dans ces histoires (où le rose n'est pas toujours la couleur dominante - en dépit de l'affiche). Allan est une sorte de Candide contemporain, revu à l'absurde, ne se départissant jamais du même optimisme que le héros du conte philosophique - pour notre édification, autant que notre agrément. Robert Gustafsson (qui incarne le rôle-titre en totalité, dès l'âge adulte) est épatant. Ses partenaires aussi - l'éléphante comprise !