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    La Machine à explorer le temps
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    Roub E.
    Roub E.

    738 abonnés 4 825 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 4 juin 2021
    Alors forcément aujourd’hui cela paraît un peu désuet mais cette adaptation d’H G Wells reste tout de même pas désagréable à regarder. Très ancré dans le cinéma de science fiction des années 50 60 et la peur du nucléaire on suit un scientifique de l’époque victorienne qui va voyager dans le futur découvrir des conflits de plus en plus meurtriers jusqu’à la fin de la civilisation telle qu’il l’entend. Aujourd’hui ce film est assez enfantin mais il reste bien tenu.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 11 décembre 2008
    Un très bon film , dommage que la fin n'est pas assez développé.
    Sawyer17
    Sawyer17

    58 abonnés 509 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 1 novembre 2010
    Outre la première partie explicative, toutefois intéressante, on ne trouve aucuns intérêts au film...Oubliable.
    dougray
    dougray

    209 abonnés 1 904 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 8 janvier 2014
    Adaptation du classique de H.G. Wells, "La machine à explorer le temps" a, également, su marquer son époque sur grand écran avec des effets spéciaux spectaculaires qui avaient, d’ailleurs, décroché l’Oscar en leur temps. C’est sans doute le point le plus incompréhensible pour le spectateur puisque le principal défaut du film aujourd’hui est incontestablement la qualité de ses effets spéciaux, franchement risibles. C’est tout le problème des films fantastiques des années 60 qui, contrairement aux productions Universal des années 30 (plus sobres et élégantes), se sont montrées très (trop ?) ambitieuses dans leur volonté de grand spectacle, quitte à montrer des choses pas encore très au point. A ce titre, l’attaque atomique dévastant Londres est un grand moment de modélisme en carton-pâte avec, en prime, une lave invraisemblable. Idem pour les décors du futur (les paysages peints, la destruction des puits ou plutôt de la maquette des puits...) et le design des Morlocks, particulièrement artificiel (pour ne pas dire grotesque), avec leur gueule impossible et leurs poils bleus. Quant au "truc" de mise en scène, à savoir l’effet accéléré (cristallisé, notamment, par le mannequin en vitrine dont les tenues évoluent avec les années), il s’avère plus amusant que révolutionnaire (surtout lorsqu’il s’agit de faire pourrir un corps de Morlock). Le film de George Pal suppose donc un effort de tolérance plus important que ses prédécesseurs mais peut compter sur la force du récit de H.G. Wells, qui reste à une merveilleuse idée, surtout dans sa première moitié. Outre les amorces scénaristiques pleines de promesses (le retour du héros en haillons suivi d’un flash-back explicatif, les doutes du trio de mécènes sur le voyage dans le temps, le fonctionnement de la machine, les peurs du meilleur ami raisonnable…), on assiste surtout aux premières étapes du voyage du héros Georges (le méconnu Road Taylor, pourtant impeccable avec son charme à l'ancienne) qui va quitter la fin du 19e siècle pour s’arrêter en pleine guerre (en 1917 et en 1940) et, plus amusant, en 1966 (c’est-à-dire quelques années après la sortie du film). L’image donnée de ce proche futur en dit long sur les craintes de l’époque et sur sa vision de l’avenir (les tenues en aluminium, la peur de la guerre atomique…) et donne une image définitivement kitch au film, aujourd’hui. Cette première moitié permet de mettre en avant les arcs les plus dramatiques du scénario, notamment grâce à la relation entre le héros et son ami Filby (Alan Young, très bien), avec les interrogations autour de la disparition du héros, le délabrement de sa maison en son absence, la mort des proches et la rencontre avec leur descendance, son impuissance à modifier les événements… L’arrivée de ce brave George dans un futur bien plus éloigné fait forcément perdre beaucoup de tension dramatique (tous ces thèmes étant forcément balayés) au profit, néanmoins, de la découverte d’un nouveau monde. Cette découverte est, également, chargée de promesses et commence plutôt bien avec la rencontre des Elois qui paraissent vivre dans un monde parfait mais qui, pourtant, ne réagissent pas lorsqu’une des leurs manque de se noyer. Le mystère de ce paradoxe s’épaissit avec la visite du repaire des Elois, où l’opulence alimentaire semble avoir remplacé la culture (voir l’état de leurs livres). On espère, alors, que le récit va s'aventurer sur le terrain de la critique sociétale. Malheureusement, le film commence alors à se perdre dans des méandres romantico-mièvre avec une succession de scènes d’intimité entre le héros et la belle Eloi, Weena (Yvette Mimieux, terriblement nunuche), et les Elois s’avèrent rapidement insupportables d’apathie. Mais surtout, "La machine à explorer le temps" rate le coche de l’horreur lorsqu’apparaissent les fameux Morlocks. Plus que leur design, c’est leur attitude qui les dessert puisqu’il est difficile de comprendre comment des telles monstres à la limite de la débilité mentale aient pu s’organiser et imposer leur loi aux Elois (à ce titre, le remake de 2002 apportait une réponse intéressante). Cette représentation vient confirmer que l’autre problème du film est clairement le manque de subtilité de son propos… ce qui est vraiment dommage puisque le récit de Wells était propice à une vraie réflexion sur notre société. Ce manque de subtilité est d'autant plus surprenant que le réalisateur n'en a pas manqué pour conclure son film (le choix final du héros étant montré avec beaucoup de finesse). Pour autant, "La machine à explorer le temps" se regarde avec le plaisir de la nostalgie, qui permet de pardonner pas mal de défauts du film et bénéficie du design incroyable de sa fameuse machine "manufactured by H.G. Wells", si on en croit son écran de contrôle. Cette ambiance fin 19e apporte, en outre, une véritable élégance à l’histoire et achève de faire de ce film un agréable divertissement d’un autre temps, qui a cependant, très mal vieilli.
    dai72
    dai72

    122 abonnés 2 131 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 30 septembre 2014
    Pour un film de 1960, c'est vraiment bon et cette machine célèbre, vue dans #TBBT, est une bonne idée, une création originale. Tout comme les époques montrées qui conservent un rendu intéressant. L'histoire, qui passe vite pourtant, est faite de creux, des vides dans le rythme, des longueurs qui agacent parfois alors qu'un peu plus de mouvements n'aurait pas fait de mal à l'ensemble!!
    stanley
    stanley

    57 abonnés 751 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 15 février 2013
    Cinéaste peu connu, de seconde zone, George Pal réalise ici son meilleur film, un grand classique très réussi de la science fiction des années 60. Un pari très périlleux d'adapter un des meilleurs romans de S F de tous les temps d'H. G. Wells, mais un essai réussi, un film qui ne s'oublie pas, absolument pas démodé. La réussite provient d'abord d'un scénario très riche, bien écrit et grouillant d'idées géniales (la plus belle : celle des changements d'habits du mannequin) ou l'environnement de la maison qui change, lors de l'avancée des barrières du temps. Les effets spéciaux restent bons (superbe couleurs) et les scènes sont très spectaculaires et très réalistes. Rod Taylor est parfait dans le rôle d'un personnage qui se pose beaucoup de questions et ses collègues plus ou moins crédules jouent très justes, de même que Yvette Mimieux, superbe en naïve blonde et touchante. George Pal ne sous estime pas l'émotion dans ce film brillant (l'ami du héros qui le comprend et meurt à la guerre) et surtout parvient à garder l'esprit du livre à travers les deux races du futur, Eloi et Morlock. Les Morlocks, en apparence esclaves car aveugles et vivant sous terre sont en fait les dominants qui bouffent les beaux et Elois jeunes blonds insouciants. Aveugles à leur manière, notre héros leur "ouvrira les yeux". Cette atroce vision de l'avenir donne froid dans le dos ..., les classes laborieuses se tueront elles à la tâche pour manger les classes dirigeantes ? un prequel aux films sur les morts vivants ? Ce film donne le tournis avec une émotion palpitante et fait réfléchir.
    konika0
    konika0

    22 abonnés 778 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 19 mars 2018
    Fast forward. C’est la première adaptation du célèbre roman de Wells. Dans une ambiance très retro, un scientifique parvient à concevoir une machine capable de traverser les époques. Le gars est fasciné par le futur pour voir comment l’humanité va évoluer. Ni une ni deux, il va rendre visite à l’Angleterre du futur. C’est bien sûr une forme de récit d’anticipation même si le temps du héros est l’époque victorienne. Au départ, notre héros visite son futur proche ou autrement dit notre passé proche voire même notre présent. C’est toujours fascinant de constater les divergences et les ressemblances entre le futur fantasmé (ou craint) d’une époque et les faits réels. Cette première partie est très très chouette dans ce qu’elle dit de la crainte du nucléaire par exemple. C’est en effet un film de la guerre froide (1961) et il est plutôt amusant de constater que le futur du personnage est le présent du contexte de création du film et que donc se greffe à un récit du XIXe les préoccupations des années 1960. Plus loin, le personnage avance encore vers le futur lointain. Il y rencontre une humanité oisive, et une société de castes, les uns servant à nourrir les autres. Pas d’attachement au sort d’autrui, pas de connaissance du passé. Pas de conscience collective. Belle parabole d’une humanité qui va vers indifférence et la résignation. Coté esthétique, la première partie et notamment la machine a un vrai côté steampunk très sympa. La suite est plus en carton pâte. On y appréciera la réflexion mais on regrettera le manque de rythme et une amourette pas super crédible. Reste que ce film est très agréable pour qui aime l’anticipation. A voir donc.
    Fabien S.
    Fabien S.

    458 abonnés 4 150 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 25 décembre 2020
    Un chef-d'œuvre. Une très bonne adaptation du roman de science-fiction de Herbert Georges Wells. Un très bon film fantastique.
    Jérôme H
    Jérôme H

    139 abonnés 2 295 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 30 janvier 2009
    On reconnait bien l'univers du livres autour de ce conflit dans un monde apparement idyllique.
    Le personnage principale est vraiment motiver et moteur pour ce très bon film de sf dont les effets ont certes mal vieillit mais que l'ambiance intact permet de conserver comme une vraie oeuvre de sf tel la guerre des mondes. A voir pour sa culture générale.
    halou
    halou

    101 abonnés 1 532 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 29 septembre 2014
    Film évidemment aux effets spéciaux dépassés mais à l'ambiance toujours bien retransmise. Aucun ennui tout au long du film avec des acteurs convaincants. Les messages philosophiques passés sont toujours d'actualité et assez bien introduits. On prend plaisir de découvrir les voyages dans le temps et le film pousse à une certaine réflexion.
    pfloyd1
    pfloyd1

    101 abonnés 2 026 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 15 février 2016
    J'avais vu ce film tout gamin et il m'avait profondément marqué car qui n'a jamais rêvé, enfant, de voyager dans le temps ? Il faut avouer qu'à notre époque, les effets spéciaux du film sont un peu kitch, il n'y avait pas de caméra motion, mais avouons ils sont de trés bonne facture pour 1960 ! L’expérience est dés plus sérieuse, les acteurs et les costumes le prouvent. A part, au début du film, la petite demie heure de mise en place à l'idée de voyager dans le temps, on ne s'ennuie pas, les choses s'enchainent et l'on garde les yeux bien ouverts à ces aventures, on rêve! Un film à voir, de bonne facture, un peur dans la veine de "Voyage au centre de la Terre" de la même époque.
    Jipis
    Jipis

    33 abonnés 360 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 6 juin 2012
    Il est nécessaire de comprimer quelques sourires destinés à certains trucages de ce film considérés comme obsolètes.

    Pour l’époque c’est du top, le travail est soigné. L’équipe met tout son cœur à l’élaboration d’une œuvre honnête considérée comme un divertissement pur transportant incognito quelques intuitions de décrépitudes morales futures.

    L’accélération du temps par l’intermédiaire d’un processus d’éclosion floral en boucle, de bougies rapetissantes, de pendules affolées et de mannequins vêtus et dévêtus en permanence suite aux modes évolutives est un vrai régal.

    Prévoir la guerre atomique en 1966 apaise nos consciences rivées déjà sur le constat de la première décennie du troisième millénaire. L’an 80 000 filmé par Georges Pal en 1960 ressemble étrangement à notre époque. Le plus grand des secrets ne cache que lui-même.

    Quelqu’un se noie dans l’indifférence presque générale, les ressources uniformisées ne s’exprimant pratiquement plus subissent un monopole uniquement basé sur la disparition de ressources naturelles de défenses.

    L'emprise audio visuelle que nous subissons de nos jours est remplacée par la dominance d’horribles créatures bleues cannibales craintives au feu curieusement peu endurantes aux pugilats.

    « La Machine à explorer le temps » est un magnifique ordonnancement visuel d’une terre retournant lentement mais sûrement vers la pierre brute.

    Les couleurs sont chatoyantes, le processus image par image comble de bonheur une génération montante dont l’un de ses maillons homonyme d’un des maris de la sublime Cléopâtre restera scotché devant ces photos légèrement kitchs surprenantes et oxygénées semblant être élaborées par le cerveau d’un enfant utopique et protecteur.

    « Beetlejuice » par certains trucages équivalents rendra hommage à un processus de base merveilleux, une incohérence naturelle délivrée par le temps à des esprits adolescents encore protégés du pragmatisme.

    Qui n’a pas rêvé de faire tourner la roue et d’aller courtiser l’infini.
    heathledgerdu62
    heathledgerdu62

    138 abonnés 1 613 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 11 octobre 2014
    Un chef d'oeuvre. Un excellent film fantastique pour l'époque. Une excellente adaptation du roman de science-fiction de H.G.Wells. Une théorie sur la quatrième dimension qui s'inspire surement de la plus vieille série fantastique et américaine datant de 1959, un an avant le film.
    jamesluctor
    jamesluctor

    113 abonnés 1 704 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 6 février 2013
    Sympathique sans être marquant (il y a de nets problèmes de cohérence, et les cultissimes morlocks promis sont des yétis assez mas embouchés dans leurs costumes...), La machine à explorer le temps divertit avec le charme kitch des vieilles productions. Pas toujours très adroit, naïf, c'est un gentil film d'aventure, sans l'ampleur qu'avaient Voyage au centre de la terre ou 20 000 lieues sous les mers...
    Peter Franckson
    Peter Franckson

    35 abonnés 1 077 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 8 mars 2020
    Le film débute le 31 décembre 1899 à Londres : Georges (Rod TAYLOR dont c’est le 1er grand rôle) a invité à dîner 4 amis pour leur parler de sa machine à remonter le temps et les invite à revenir 5 jours après. Il en profite pour explorer le futur et se rendre d’abord le 13 septembre 1917 puis le 19 juin 1940 puis le 18 août 1966. Il repart ensuite dans un futur très lointain, le 12 octobre 802 701. Malgré un début un peu long à démarrer, le film a le charme désuet des films des années 1960’ avec des effets spéciaux à l’ancienne. Malgré un peu trop de dialogues entre Georges et Weena qui affadissent le film et quelques modernisations du scénario spoiler: (H.G. Wells, dans son roman dont est tiré le film, ne pouvait prévoir la 2nde guerre mondiale et un conflit nucléaire
    ), le thème de l’exploration du futur reste fort avec une société humaine ne connaissant que les guerres et l’asservissement.
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