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    My Sweet Pepper Land
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    3,9
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    165 critiques spectateurs

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    Hotinhere
    Hotinhere

    416 abonnés 4 736 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 1 janvier 2023
    Une fable kurde teintée d’humour noir, sur deux personnages confrontés aux traditions ancestrales et à un monde intolérant et violent. Malgré un scénario sans surprises, un film attachant avec de beaux plans et la présence de la lumineuse Golshifteh Farahani.
    Jessy Estrade
    Jessy Estrade

    1 critique Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 28 février 2022
    c'est nul trop long je l'ai vue en turc pas ouf
    il y a aucune émotion a fuir
    il faut courir avant de rentré dans la salle
    stans007
    stans007

    17 abonnés 1 232 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 29 mars 2021
    Aux confins de l’Irak, de la Turquie et de l’Iran, un “Eastern” kurde sympathique et dépaysant au scénario simpliste, avec une belle photo de jolis paysages et d’une (très) jolie actrice qui joue du ...hang!
    AdriBrody
    AdriBrody

    7 abonnés 557 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 7 mars 2021
    Voyage à la fois féérique et dramatique au fin fond du Kurdistan. Hiner Saleem met en scène un système corrompu, des personnages bien écrits, mais surtout parfaitement interprétés par Korkmaz Arslan et Golshifteh Farahani qui rend l'image encore plus belle qu'elle ne l'est déjà. Car la photographie est bien travaillée, accompagnée d'une bande originale qui nous plonge dans une ambiance à la fois merveilleuse et tendue.
    Même si certains personnages sont assez clichés, il est toujours bon de se laisser emporter par une histoire forte dans un pays qu'on pourrait considérer, en temps qu'occidentaux, comme reculé.
    Ykarpathakis157
    Ykarpathakis157

    3 382 abonnés 18 103 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 7 novembre 2020
    My Sweet Pepper Land est un western spaghetti classique situé dans un coin reculé du Kurdistan irakien. Des héros fidèle, une demoiselle en détresse, un groupe de voyous sans foi ni loi à envoyer et comme tournure intéressante un groupe de combattants de la liberté féministes bien armés qui n'aiment personne. C'est une histoire culturellement intéressante, entachée de plusieurs épisodes gratuits de cruauté envers les animaux qui sont passés pour un divertissement qui ont en quelque sorte détruit le film pour moi. Le point culminant était le rôle principal féminin de Golshifteh Farhani jouant un tambour pan mélodieux kurde. Avec les autres musiques cela a fait une bande-son bien meilleure que la moyenne. Bien que classée comme une comédie (elle a ses moments) au Festival international du film de Palm Springs 2014 elle ne l'est pas du tous...
    joevebulle
    joevebulle

    2 abonnés 506 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 2 mai 2020
    C'est un western ? peut-être … mais ici c'est un autre monde. Pas de désert de sable de l'ouest américain, non mais les montagnes du Kurdistan. L'histoire est classique avec le caïd local qui dirige la région à la place des autorités, un peu de violence, un peu de romance, … En fond, la condition féminine dans ces pays. Tout cela est bien fait, les paysages sont magnifiques et c'est bien joué et filmé. Un seul reproche, les personnages sont assez caricaturaux et manquent un peu d'épaisseur.
    lara cr28
    lara cr28

    65 abonnés 123 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 20 janvier 2019
    L'histoire de deux destinées qui finissent par se croiser dans un univers masculin, ancestral hostile à toute avancée, ou comment les codes d'un milieu patriarcal viennent saboter les représentants d'un état de droit. Hiner Salem interroge aussi sur la question kurde, un peuple apatride qui peine à s'imposer. Les jeux de caméra permettent à nos deux héros de poursuivre leur marche vers une destinée dans laquelle tout un peuple se reconnaîtra.La thématique des frontières-politiques, sociétales, familiales, psychologiques est le fil directeur du film. Baran et Govend ne lâchent rien, s'obstinent dans leur marche à vouloir casser des traditions archaïques et y parviennent en s'imposant et en nous régalant d'une belle romance.
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 4 janvier 2019
    Esthétiquement, politiquement, on adhère à "My Sweet Pepper Land" tout en regrettant un manque de surprises, un déroulement légèrement prévisible.
    Un double portrait émouvant où l'on peut voir un officier de police, Baran qui lutte contre la corruption et tente de faire respecter la loi et une institutrice,Govend qui elle, lutte pour pouvoir esseigner dans le village de Qamarian au carrefour de l'Iran, de l'Irak et de la Turquie.
    Ce film emploie tous les codes du western : Un village fontalier, une loi difficile à appliquer, un groupe de hors la loi, des armes à feu, un shérif incorruptible, des cheveaux, des chapeaux de cow boys, un bar, des maquisardes, etc... Toutefois on peut voir des éléments modernes et nouveaux comme les kalashnikovs ou le pick-up.
    Ce film à un côté dramatique avec notament l'utilisation des gros plans pour présenter les personnages et mettre en valeur les différentes émotions, en particulier celle de l'actrice Golshifteh Farahani (Govend).
    On peut y retrouver un message politique avec la situation de Govend. Elle cherche a vivre sa vie, et à effectuer ses propres choix toute en subissant le regard de sa famille qui veulent à tout prix préserver l'honneur de la famille.
    Le changement de l'époque d'une loi coutumière à l'époque moderne est montré par exemple au travers de la scène où Govend doit faire approuver son choix de partir travailler et d'être une femme autonome par son père et ses frères (Elle est l'aînée de la famille ! ). Elle revendique une égalité des sexes à travers une égalité de traitement entre elle et ses frères.
    Le fils conducteur de la musique est crée à partir de l'instrument dont joue Govend : le hang. Si, à première vue, il ressemble à un instrument traditionnel, il a seulement était crée en 2000. Son utilisation fait le lien entre modernité et tradition. On peut voir l'actrice en jouer pendant la réunion de famille, quand elle téléphone à son père ou en bande son. Dès que l'instrument apparaît, il annonce une scène de renouveau vers une égalité des sexes.

    C'est un beau film avec des valeurs politiques nobles, qu'on pourrait croire acquises dans la socièté moderne alors que pourtant il nous reste un long chemin à faire pour l'égalité des sexes en Orient comme en Occident. Mais on est déçu par la fin prévisible etle manque de surprises !
    chrischambers86
    chrischambers86

    11 950 abonnés 12 157 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 9 septembre 2018
    Après trois films dans la vieille Europe, Hiner Saleem retourne dans le Kurdistan pour signer ce neuvième long-mètrage qui fut en sèlection officielle, « Un certain regard » , au Festival de Cannes 2013! Tournè au fin fond des montagnes près de la frontière turque dans un pays chaotique, "My Sweet Pepper Land" pourrait être le titre d'une chanson du King! Une sorte de western contemporain kurde avec la très belle Golshifteh Farahani en institutrice courage et rebelle qui vit au pèril de sa vie dans un pays frappè par l'obscurantisme et la misogynie! Nous sommes dans un pays où la guerre n'est pas tout à fait finie! L'Irak est à feu et à sang mais pas le Kurdistan, pays qui - matèriellement et moralement - se reconstruit tout doucement mais sûrement! Saddam Hussein est tombè et les kurdes ont maintenant un territoire! C'est vrai qu'il y a la dimension d'un western là dedans avec une actrice pas comme les autres, un vèritable symbole d'indèpendance et de libertè! Quand on connait son histoire et son parcours, d'une certaine manière, Golshifteh Farahani (qui parle parfaitement le français) ne pouvait pas refuser un rôle comme celui-ci...
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 17 mars 2018
    Le cinéma venu d’ailleurs est fort intéressant, en immersion de connaissance culturelle dans les trois pays du moyen orient, Iran, Irak, Turquie, des terrains idéaux pour débuter l’intrigue, sympathique et courageux unique représentant de l’ordre, à l’assaut du Far East. Une belle histoire romantique sur ces contrées lointaines, mystérieuses, parsemées d’embûche touchante.
    Tristan T.
    Tristan T.

    3 abonnés 17 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 13 décembre 2017
    Un film réussi mais....Il manquait pas grand chose pour nous sortir LE film.

    Quelques scènes magnifiques. Des paysages et une ambiance de Western.
    Des acteurs incroyablement dans leur rôle.
    Golshifteh Farahany envoûtante et obstinée.
    alors que manquait-il.....

    peut-être un peu de compléxité dans le scenario (même si le parti pris de l'intrigue basique western fonctionne...)
    peut-être un peu plus de diversité dans les scènes de vie (seul le sujet principal y est traité, pas échappatoire ce qui rend le film un peu oppressant)
    où sont les femmes de ce village? Golshifteh aurait pu créer du lien avec elles?
    Le bloc de réfractaires à la venue de nos héros n'est-il pas trop monolithique?
    Et les combattantes, pourquoi ne pas avoir un peu ouvert le film sur elles? Elle jouent un rôle important.
    Bref, un peu décu car il y avait tout pour faire LE Film.
    A voir.
    Fabien S.
    Fabien S.

    454 abonnés 4 150 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 3 décembre 2017
    Un très beau portrait de femme au sein d'un petit village d'Irak. Un très beau film d'auteur intimiste.
    Cyril J.
    Cyril J.

    23 abonnés 625 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 11 octobre 2017
    Après la chute Saddam Hussein en 2003 et la fin de la tenaille Irakienne sur le virtuel Kurdistan s’étalant sur 4 pays, celui-ci s’encourage à organiser un Etat discipliné et sécurisé, même si l’hégémonie Turque, soutenue par les chefs montagnards autochtones, prédomine sur la majorité du territoire.
    La romance pénètre le journalisme avec l’arrivée dans un village rural, moyenâgeux, isolé, en bordure de la frontière irako-turque, du nouveau « shérif », avec son pouvoir légal, et de la nouvelle institutrice, représentant le lettrisme et l’ouverture au monde. Ancien résistant contre le régime irakien, il préfère ce sort à l’étouffement traditionaliste de sa famille, tandis qu’elle fuit le sexisme marital et le tribalisme carcéral de la sienne. Convertir corruption et obscurantisme ancestraux en une amorce d’évolution vers un monde de droit les amènent à soutenir la résistance, et contrer le puissant seigneur local. Diffamations, découragements face à un univers subordonné aux règles claniques, intimidations, puis violences et guerre ouverte mènent ce western franco-germano-kurde en un mélange d’aventures humaines clairement engagées et à une prise de conscience politico-sociale.
    La finesse maitrisée de la culture par Hiner Saleem, le poids des dangers, enjeux et conséquences indigènes, se marient étonnamment avec la jubilation d’un traditionnel bon spectacle modèle far-West. L’analogie se confirme par ses drames et bouleversements constituant la construction embryonnaire, maladroite et brutale d’un pays qui n’existe pas encore, d’un village qui cherche son identité et même des psychologies des protagonistes.
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 18 mai 2017
    Il etait une fois dans l Est....ou le western magnifiquement ré visité au kurdistan. Tous les ingrédients sont là : le bon, les brutes et les truands, les paysages,....avec un supplément d âme apporté par la presence feminine et l humour discret
    Jean-luc G
    Jean-luc G

    46 abonnés 733 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 11 avril 2017
    Film engagé, pro kurde, sans concession, mais sans rien à jeter ! Ce film au titre trompeur nous entraine dans une ambiance western dans une contrée éloignée de nos standards occidentaux, comme le faisait en Afghanistan le troublant Syngué sabour, avec Golshifteh Farahani, déjà elle!
    Dans ce village coupé du monde (plus de pont) peuvent se dérouler trafics en tout genre, lutte d’influence, avec la puissance turque en arrière-plan, face à des rebelles kurdes…femmes ! Les hommes, portant leur kalach avec fierté, sont bafoués dans leur honneur si on leur retire ! Les familles traditionnelles sont déchirées sur le sort à réserver à leur fille de 28 ans toujours pas mariée!
    Il faut le regarder comme une fable caustique sur le long chemin qui mène à la modernité, via la scolarisation. Bien sûr, les ficelles sont visibles, le scénario convenu et les caractères manichéens, mais la découverte vaut vraiment le détour. Et la photographie est superbe, reflétant l’amour du metteur en scène pour son pays d’origine.
    L’intro tragico-comique extrêmement forte, autour d’une pendaison improvisée, donne d’entrée de jeu, la tonalité de ce film décalé mais fondé sur la réalité d’un pays en construction.
    Avril 2017 - TV vo
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