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    La Garçonnière
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    135 critiques spectateurs

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    Criticman17
    Criticman17

    4 abonnés 199 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 29 avril 2019
    Un classique du cinéma Hollywoodien avec un bon casting: Jack Lemmon qui incarne Baxter, élégant et drôle, Shirley MacLaine qui joue Fran, naïve et belle et enfin Fred MacMurray qui interprète Jeff, cupide et égoïste.
    Un bon scénario et une grand réalisation de Billy Wilder. Film plaisant et distrayant.
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 25 avril 2011
    Un petit bijou d'écriture, entre humour et critique sociale féroce. C'est bien le style "Billy Wilder" qui frappe une nouvelle fois. Shirley Mc Lane est émouvante et Jack Lemmon tout simplement génial.
    posbern343
    posbern343

    6 abonnés 123 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 29 mars 2008
    Un des meilleurs de "Billy" the great, un des plus grands cinéastes hollywwodiens qui ne fit rien en conformité de la "ville" en bon "scout" de Lubitsh.

    Une oeuvre d'"amour possible" en un monde qui n'offre qu'apparats et promotions virtuelles et fugaces... A mettre au niveau de "Brève rencontre", (plus pessimiste)de David Lean.

    BB POSSO
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 24 septembre 2010
    Simple, drôle, efficace : Il faut définitivement que je me fasse toute la filmographie de Bill Wilders, je n'y vois que des chefs d'oeuvres
    No Quarter
    No Quarter

    3 abonnés 320 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 15 octobre 2023
    A l'époque, 1960, la pudeur et la censure de la société américaine, à travers ses studios de cinéma, ne permettaient pas de parler de bagatelle en laissant entrevoir des images suggestives. Cela donne un film aseptisé comme du thé anglais. L'humour est là et les acteurs font leur job. Jack Lemmon grimace parfois un peu trop à la Jerry Lewis. Shirley Mclaine est ravissante et apporte de la fraîcheur à cette comédie légère mais un peu surannée.
    dirty_harry
    dirty_harry

    2 abonnés 132 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 12 mars 2010
    Un Chef d'œuvre de Billy Wilder. La comédie Romantique par excellence, le film qui nous fait passer du rire au larme, de l'émotion à la joie pendent deux heures. Jack Lemmon, incarne à la perfection le personnage sympathique, romantique, trop gentil. On a de la peine pour ce personnage qui n'arrive pas à s'imposer dans la vie mais qui est pourtant ambitieux. Malgré son orientation comique La garçonnière comporte de nombreuses critiques de la société américaine, des patrons, des grandes sociétés, de l'exploitation. Shirley MacLaine est tout aussi merveilleuse que Lemmon. A eux deux, ce couple participe à la réussite de ce très beau film.
    MARYSE P.
    MARYSE P.

    2 abonnés 42 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 21 février 2020
    j'ai encore revu ce chef d'oeuvre absolu hier soir, et j'ai voulu voir ce que certains spectateurs pouvaient dire de négatif à son propos .. je suis soulagée de voir que ces gens qui n'ont pas aimé disent que ce film est "suranné", oui, bien sûr, les choses ne se passent plus ainsi de nos jours, que ce soit en Amérique ou ailleurs, c'est clair qu'il faut se remettre dans le contexte des années 50, mais à part ça , que peut on reprocher à ce chef d'oeuvre drôle, émouvant, percutant, éblouissant, un film qu'on ne peut oublier et qui fait tellement de bien !
    JCADAM
    JCADAM

    3 abonnés 366 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 10 novembre 2020
    Agréablement surpris par cette comédie, alors certes il n y a rien de marrant hormis quelques scènes (la raquette pour les spaghettis par exemple) , mais les situations s'enchaînent bien, on ne s'ennuie jamais et les dialogues sont bon. Concernant l'histoire elle est simple mais efficace, porté par un très bon trio d'acteurs, avec en tête Jack Lemmon qui interprète magnifiquement le célibataire qui se laisse faire avant de changer et de devenir un "être humain". Une bonne comédie dramatique qui traite avec brio du monde cruel du travail ou du suicide notamment. Le film se "goupille" bien du début à la fin.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 4 février 2012
    CC Baxter est un employé de bureau solitaire pour une compagnie d'assurance à New York. Afin de gravir les échelons de l'entreprise, Baxter permet à quatre chefs d'entreprise à utiliser son appartement de leurs diverses liaisons extraconjugales. Insatisfaits de la situation, mais ne voulant pas remettre en cause les gestionnaires, Baxter jongle leurs exigences contradictoires, tout en espérant attirer l'attention opératrice ascenceur Fran Kubelik. Pendant ce temps les voisins de Baxter suppose qu'il est un coureur de jupons et qui ramène à la maison une autre femme tous les soirs. Baxter accepte leur critique plutôt que de révéler la vérité.

    Les quatre gestionnaires rédigent des rapports élogieux sur Baxter que le directeur du personnel, M. Sheldrake soupçonne quelque chose d'illicite et fait venir Baxter à son bureau afin de lui faire face. Sheldrake permet la promotion de Baxter et en échange à louer son appartement ainsi, à partir de cette nuit-là. Sheldrake donne à Baxter deux billets pour la comédie musicale de Broadway "The Music Man" pour assurer son absence. Ravie de sa promotion, Baxter demande Mlle Kubelik de le rencontrer au théâtre. Elle accepte, mais (à l'insu de Baxter), car elle est la maîtresse de Sheldrake. Même si elle a l'intention de rompre ce soir-là, elle est plutôt charmé par Sheldrake en allant dans l'appartement de Baxter. Baxter est déçu qu'elle ne soit pas venue mais il est prêt à pardonner Mlle Kubelik.

    Lors d'une fête de Noël de bureau, Baxter découvre par inadvertance la relation entre Sheldrake et Miss Kubelik. Pour sa part, Mlle Kubelik apprend de la secrétaire de Sheldrake qu'elle n'est que la dernière femme salariée d'être sa maîtresse, la secrétaire-même avoir été sa maitresse pendant plusieurs années. A l'appartement, Mlle Kubelik confronte Sheldrake avec cette information, et, tandis qu'il maintient qu'il l'aime sincèrement, il l'a quitte pour retourner avec sa famille pour fêter Noeël. Pendant ce temps, Baxter prend une femme dans un bar local et, de retour à l'appartement, est étonné de trouver Mlle Kubelik dans son lit, tout habillé et une overdose de somnifères.

    Baxter envoie la fille du bar et fait appel à l'aide de son voisin, le docteur Dreyfus. Baxter téléphones à Sheldrake à son domicile le matin de Noël et l'informe de la situation, tandis que Sheldrake professe sa gratitude. Il demande que sa maitresse reste deux jours, au cours de laquelle il essaie de la divertir et distraire de toute pensée suicidaires.

    Là, Baxter ne loue plus son appartement aux anciens "clients".
    Sheldrake, en colère envers sa secrétaire d'avoir dit la vérité à Miss Kubelik, la renvoie. Elle se venge en disant à sa femme au sujet de ses infidélités, conduisant à la rupture du mariage. Sheldrake et profite de sa vie de célibataire. Baxter monte en grade et lorsque Sheldrake exige l'appartement pour sa avec Mlle Kubelik pour la Saint-Sylvestre , qui se traduit par Baxter risque de quitter l'entreprise. Quand Miss Kubelik entend cela de Sheldrake, elle se rend compte que Baxter est l'homme qui l'aime vraiment.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 29 septembre 2006
    Une belle comedie, douce amère comme la sauce que dégustent deux des protagonistes dans le restaurant chinois. Jack Lemmon joue à merveille ce vieux garcon
    par la force des choses, tellement gentil et angoissé qu'il en devient irritant, au si bon fond que les femmes lui préfèrent des "salauds". "C'est comme ca que se goupillent les choses" comme il le constate désabusé. Des quiproquos, une mise en scène précise, du rire, des larmes et d'excellentes répliques, dont celle ci est ma préféré, Shirley Mc Lane : "J'avais oublié qu'il ne falait pas mettre de mascara quand on fréquente des hommes marriés"
    Abvwyl
    Abvwyl

    1 abonné 51 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 25 février 2024
    Comédie sombre, sans illusions et pourtant irrésistible, ou le charme va se nicher jusque dans les noms propres. Film de chevet éternel.
    LucienLaurent
    LucienLaurent

    2 abonnés 392 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 1 juin 2012
    Voici une comédie pas si innocente qu'elle en a l'air. En racontant l'histoire d'un employé de bureau qui prête son appartement à ses supérieurs hiérarchiques afin que ceux-ci puissent y emmener leurs maitresses, Billy Wilder nous dresse un portrait acerbe, décalé et drôle de la société américaine de son époque. Rafraichissant !
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 29 septembre 2006
    The Apartment es une comédie dramatique éblouissante où Wilder alterne avec une aisance tout à fait remarquable, passages purement drôles et moments d'une tristesse insondable. D'une intelligence rare, le film ouvre de nombreuses portes et exploite habilement les décors, où se réunissent des personnages bien croqués. Dès lors, Billy Wilder sort le grand jeu avec sa mise en scène millimétrée où le spectateur vibre à l'unisson devant les situations cocasses et émouvantes de ces deux toutereaux, si justes, si fragiles qu'il est impossible de ne pas s'identifier. Un Jack Lemmon comme toujours parfait, et nous voilà embarqués dans une oeuvre puissante, touchante où on aura vécu des sentiments qui nous hanteront longtemps après le visionnage.
    Oblomov
    Oblomov

    2 abonnés 141 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 23 novembre 2019
    Un très bon Billy wilder mais pas son meilleurs tout de meme. Oscar du meilleurs film ? oui mais cela n'et pas vraiment mérité car cela reste une très bonne comédie ou on passe un très bon moment.
    L'histoire est tout de meme osez pour l'époque, c'est pour dire : L'histoire d'un simple employer de bureau obligé de preter son appartement pour satisfaire les besoin amoureux et sexuelle de ses supérieur. Il tombera alors amoureux de la fille de l'ascenseur, s'ensuit un quipropos hilarant.
    Beaucoup de trouvaille de gag, mais bon billy Wilder est un habituer dans ces merveilleuse idée scénaristique.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 7 février 2011
    Merveilleux témoignage du génie de Wilder, "The apartment" est à la fois tendre et féroce, désopilant et bouleversant, désespérant et enchanteur. Tout est en effet souvent apparente contradiction dans l'oeuvre de Billy, et ici il touche l'excellence dans l'art délicat du paradoxe. Le modèle d'entreprise version côte Est fait froid dans le dos : une tour déshumanisée, ruche contenant 31259 employés, où le rêve est de grimper d'un étage, puis d'un autre. C.C. Baxter ne peut pas nous la jouer Cyrano proférant "ne pas monter bien haut peut-être, mais tout seul". La combine y pourvoira, sous les traits de quatre erreurs du genre humain et d'un chef du personnel qui ignore le mot scrupule. Morale sauve, il deviendra un "mensch"...Vision plus que déprimante d'un monde où toute dignité semble s'être effondrée, sauf pour Baxter, Fran et ses merveilleux voisins, très "claniques". Et Wilder nous conte cette déchéance dans un apparent sourire...
    A tout ce qui a été écrit ici, concernant la mise en scène géniale, la finesse du dialogue, je n'ajouterai rien. La mélodie de Deutsch peut paraître envahissante, elle est en fait un leitmotive volontairement répété à l'envi, modulé, déformé en fonction des situations. On n'a pas assez loué le fabuleux travail du géant Trauner, auteur de ces bureaux jouant sur une perspective infinie, tout en angles droits, donnant une idée visuelle exacte de la rigidité hiérarchique. Mais aussi d'une exceptionnelle 67ème rue de nuit, rappelant ce qu'il offrait à Carné.
    Quant à la distribution sans faille (Mc Murray !), elle permet de voir McLaine proposer une Fran qui, par ses échecs sentimentaux successifs, ses rêves et sa candeur, serait la petite soeur "raisonnable" de la Sugar de "Some like it hot". Et de consacrer à jamais, une fois encore, le génie de Jack Lemmon. Tour à tour Auguste et clown blanc (la scène de séduction avec le chapeau melon), toujours danseur de corps et de visage, il se dégage de lui un parfum de Chaplin plus qu'évident. D'ailleurs, la scène d'ouverture avec les ascenseurs, la cohue des employés vomis dans les étages, la sonnerie à heure fixe commandant le troupeau est la version 1960 du Chaplin de "Modern Times", une forme d'hommage. Toujours sur la retenue, Lemmon, par son jeu et ses expressions, nous en raconte 1000 fois plus que tout un rayonnage de bibliothèque de sociologie. Lemmon, un Stradivarius pour Mr Wilder.
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