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    Les Lumières de la ville
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    Autrui
    Autrui

    13 abonnés 206 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 18 janvier 2009
    Magnifique ; et je ne suis pas aveugle en écrivant cela !
    LES LUMIERES DE LA VILLE est très visuel, d'où sa force. Et c'est d'autant plus fort qu'un de ses personnages central ne peut profiter de cette intelligence de la mise en scène de Chaplin... on peut d'ailleurs se réjouir d'être au même niveau que la jolie fleuriste en étant privés d'un sens, par l'utilisation du muet, bien qu'une musique intelligemment orchestrée rythme le film.
    Les gags de Chaplin sont bien trouvés, et alternent subtilement avec une histoire sensible et sociale.
    On ressort émerveillé, accompagné d'un regard nouveau sur le cinéma, le beau, comme Chaplin nous en laisse la trace.
    Kymani Alger
    Kymani Alger

    11 abonnés 496 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 15 avril 2024
    Chaplin signe comme à son habitude une œuvre humaine poignante et touchante, la scène finale reste un génie de mise en scène et le fait d'alterner aussi entre le personnage de la femme aveugle et le milliardaire bipolaire , schizophrène était une bonne idée . La scène du combat de boxe reste assez fun . Un très bon Chaplin !
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 16 septembre 2011
    quelle tendresse dans ce film entre ce vagabond et la petite marchande de fleurs. Comme c est un film muet tout se passe dans le regard mais comme elle est aveugle elle ne s en rend pas compte. Et la fin est superbe et représente bien comment nos préjugés peuvent nous faire du mal. Une fois qu elle retrouve la vue quand elle voit ce vagabond devantsa fenêtre elle a un mouvement de recul et en le regardant mieux elle comprend qu elle a devant elle l ami si gentil de ses anciens mauvais jours et bien sûr con coeur fond...
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 13 février 2008
    L’un des meilleurs films de Chaplin que j’ai pu voir.
    Death_Metallus
    Death_Metallus

    11 abonnés 417 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 5 octobre 2011
    Les Lumières De La Ville, au même titre que Le Mécano De La General de Buster Keaton, constitue l'un des films les plus importants du cinéma muet. Il est considéré par beaucoup comme le meilleur film de Chaplin. C'est une comédie simple (sur le plan narratif) et bon enfant qui met en avant les talents de mime de l'acteur. Une pièce importante de l'histoire du cinéma.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 20 septembre 2009
    Etant fan de charlie Chaplin je m'attendais a mieux.
    ici on rit un peu mais sans plus.
    Chaplin a fait rire des générations d'enfants.
    les gags sont un peu débiles et répétitifs et le personnage ne fait pas beaucoup le charlot.
    Alors que franchement on a des grosses rigolades dans "la ruée vers l'or, le dictateur, les temps modernes" ou encore le "Kid".
    Un bon divertissement mais pas de quoi dire que c'est le meilleur de Chaplin.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 17 octobre 2007
    Chaplin, maître incontestable du cinéma, nous fait passer par tous les sentiments. C'est génial et tout le monde le sait. Rien que la dernière scène vaut à elle seule le détour !
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 5 mars 2009
    Charlie Chaplin aurait-il construit LA filmographie parfaite? Chacun de ses films est une immense découverte pour un cinéphile et "Les lumières de la ville" en témoigne une fois de plus... Scénariste, Producteur, Réalisateur, Acteur, Musicien et Monteur, Chaplin allie toujours avec une incroyable inventivité l'humour et l'émotion qui atteint là, le sommet de sa filmographie prestigieuse. Passionnant de bout en bout, "Les lumières de la ville" est à l'image de ses autres chef-d'oeuvres, c'est-à-dire, un des plus beaux films de tous les temps... A admirer.
    Jack G
    Jack G

    2 abonnés 175 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 9 avril 2020
    Les années 1930 voient la production des longs-métrages les plus aboutis de la filmographie de Charlie Chaplin, avec en premier lieu : Les Lumières de la ville (1931).
    A la sortie de sa dernière réalisation, le Cirque, en janvier 1928, le cinéma muet est déjà sur le déclin et le public se désintéresse de plus en plus du silence des bobines. Toutefois, Chaplin reste sceptique à l’égard du cinéma parlant en émergence, craignant d’y perdre le charme poétique des films muets. Décidé à rejeter cette nouvelle technologie, il commence, dès la même année, à travailler sur son nouveau projet. Et en décembre 1928, le tournage des Lumières de la ville démarre.
    Néanmoins, perfectionniste depuis ses premiers longs-métrages, Charlie Chaplin fait preuve d’un zèle incroyable et multiplie les prises afin d’obtenir le meilleur rendu possible. Ainsi, la scène où la belle fleuriste aveugle confond le vagabond avec un homme riche a nécessité plus de 300 essais, car il fallait trouver un ressort pour que la jeune femme parvienne à déterminer le critère de la richesse sans posséder la vue. Bien que cette implication professionnelle et ce souci du détail ne peuvent que conforter la crédibilité du film, la conséquence la plus manifeste se retrouve dans la durée de tournage, considérablement rallongée, pour s’achever au bout de 21 mois de travail, en octobre 1930. Entre temps, le krach boursier de 1929 a profondément touché la société américaine et marque le début d’une longue période de récession, plus connue sous le nom de « Grande Dépression », dont les effets néfastes commencent à être dénoncés dans les productions de Chaplin, alors que le cinéaste est déjà engagé depuis plusieurs années dans la critique de la misère sociale. De plus, en mars 1930, le « code Hays » a été voté mais son application n’est effective qu’à partir de 1934, ce qui préserve le film de cette censure.
    Malgré le fait que Chaplin ait décidé de tourner le dos au cinéma parlant, il n’ignore pas pour autant cette nouvelle technologie et réalise son premier film sonore de manière dérisoire et sarcastique. Grâce une scène d’introduction légendaire où il n’hésite pas à se moquer habilement des institutions et de la société, Chaplin rend les discours des protagonistes inaudibles, exprimant ainsi son avis sur l’utilité des paroles au cinéma et confirmant ainsi sa position de défenseur du cinéma muet. Encore une fois, Chaplin sait nous surprendre et nous démontre, au passage, sa polyvalence et sa large palette de talents, allant même jusqu’à composer lui-même la musique du film.
    Le scénario, lui aussi, voit le jour grâce à la créativité du cinéaste. Au départ, Chaplin avait pour projet de jouer un clown qui perd la vue et qui s’efforce de le cacher à sa fille. Ce n’est que plus tard que lui vient l’idée de la jeune femme aveugle. Malgré ce changement, la cécité est restée au centre du sujet depuis le début. Séduire une femme qui ne voit pas, émouvoir un public qui n’entend pas, voilà le double défi que se lance le perfectionniste et ambitieux Chaplin. Toujours au sujet du scénario, il est d’ailleurs pertinent de souligner que la scène hilarante du combat de boxe est directement empruntée au court-métrage Charlot boxeur (1915), réalisé par le même auteur lors de la période Essanay.
    Au début de l’année 1931, Les Lumières de la ville sort au cinéma, un pari du cinéaste sur l’avenir, à un moment où le muet n’a plus la côte et où l’accueil qui lui sera réservé peut décider de l’issue de sa carrière. Et sans surprise, ce cinquième long-métrage reçoit un accueil triomphal, l’un des plus grands de sa carrière, avec des recettes estimées à plus de trois millions de dollars (pour un budget deux fois moindre). Plus grande réussite de Chaplin selon le British Film Institute et sélectionné par le National Film Registry en 1991 pour intégrer la prestigieuse et intemporelle Bibliothèque du Congrès américain, Les Lumières de la ville est incontestablement un triomphe dans un contexte qui ne lui est pourtant pas favorable.
    Désormais à l’aise dans le mélange des genres, Chaplin profite une nouvelle fois d’allier l’utile à l’agréable, en offrant une comédie qui recèle également une grande part d’émotions et de critiques sociales. Que ce soit avec un milliardaire qui n’est généreux que quand il est ivre ; avec une foule indifférente, voire moqueuse, à l’égard du mendiant Charlot ; l’injustice de la police qui enferme un innocent ; ou encore, la vie misérable d’une pauvre aveugle et de sa grand-mère, qu’un propriétaire n’hésite pas à déloger faute de ressources financières, Chaplin s’attaque une nouvelle fois aux travers d’une société qui exclue les miséreux. Et comme si cela ne suffisait pas, l’émotion est au rendez-vous grâce à une romance magnifique, dont l’épilogue se déroule dans l’une des scènes les plus bouleversantes de l’histoire du cinéma, « la plus grande performance d’acteurs » selon James Agee. Sans tomber dans le pathos ou les sentiments mielleux, cette histoire d’amour entre deux individus de basse condition évite les pièges du romantisme et arriverait même presque à nous faire oublier la relation difficile qu’entretenait Charlie Chaplin et Virginia Cherrill lors du tournage. Cette dernière, issue d’une famille rurale et modeste, obtient ici son premier rôle, le meilleur d’une très brève carrière, dont le personnage de la fleuriste aveugle et fragile marque l’apogée. Charlie Chaplin n'éprouvait aucune sympathie pour cette jeune femme qu'il trouvait mondaine et peu consciencieuse dans son travail, allant même jusqu’à envisager de la remplacer par Georgia Hale, qui avait fait sensation dans La ruée vers l’or (1925). Mais avec ses incroyables yeux bleus et son apparence fragile, la jeune actrice, presque plus connue pour être l’épouse de Cary Grant trois ans plus tard que pour sa carrière au cinéma, était la seule à savoir mettre le doigt sur l’émotion voulue par Chaplin.
    Avec ce succès triomphal, Chaplin confirme son rang de mythe du cinéma muet et parvient à passer le cap redoutable du passage au sonore, qui a brisé la carrière de nombreux comédiens. Comme l’a dit Michel Chion, « Les Lumières de la ville est un véritable manifeste pour le muet ».
    Ce long-métrage drôle, bouleversant et satirique occupe l’une des places les plus prestigieuses dans la filmographie de Chaplin, un triomphe confirmé par le grand Orson Welles pour qui ce film était le plus beau de tous les temps. Alors lorsque deux monstres du cinéma se rejoignent, l’objet de leur création ou de leur fascination ne peut qu’être incontournable.
    gerald_w-a
    gerald_w-a

    8 abonnés 252 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 4 janvier 2020
    Un très bon Chaplin, même si je le trouve moins drôle que The Kid ou que Gold Rush. La scène finale est merveilleuse.
    SociN
    SociN

    8 abonnés 532 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 16 janvier 2020
    Chaplin réussit un film drôle et attendrissant. Comme souvent les scènes drôles sont millimétrées (le combat de boxe), et l'histoire romantique spoiler: (qui pour une fois à l'air de finir bien)
    nous tirerait presque des larmes. À voir et à revoir !
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 29 septembre 2006
    Un film magique, encore un chef d'oeuvre de Chaplin. Une très belle histoire variée, on pleure de rire lors du combat de boxe et on pleure tout cours pour la scène final, si émouvante. Ce film rend heureux, il fait rêver. Il faut le voir à tout prix !
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 7 mars 2014
    Merveilleusement lumineuse et intelligente, cette oeuvre d'art à la grâce infinie est à pleurer d'émotion, tout simplement. La scène finale est l'une des plus émouvantes de l'histoire du cinéma.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 30 novembre 2013
    Pourquoi j'adore: Drôle, touchant, envoûtant, passionnant, bouleversant, magnifique, indémodable, parfait: lequel choisir, tout à la fois je suppose quelle question idiote. Le voici, ''City Lights'' et sans contexte l'ultime chef d'oeuvre de Monsieur. Charles Spencer Chaplin, ou du moins l'un de ses meilleurs films. Inutile de vous présenter ce masterpiece cinématographique, quasiment parfait sur tous les points et magnifique comme on le souhaiterait. Un acteur (quelle performance), un réalisateur (quelle maîtrise) et un compositeur hors du commun, pour moi le meilleur au septième art, impossible pour un mortel de ne pas tomber sous son charme, sous cette pluie de musiques envoûtantes et sublimes. Que c'était beau le cinéma d'autrefois, tellement simple pourtant et on se retrouve au final avec l'un des meilleurs films de tous les temps (bon d'accord, peut-être à mes yeux ... mais bon beaucoup seront d'accord avec mon point de vue). Rien d'autre à ajouter, si vous n'avez toujours pas vu une seule oeuvre de ce dieu du cinoche, vous savez ce qu'il vous reste à faire si vous en êtes fan, dans le cas contraire ... honte à vous sérieusement (même s'il s'agit des années 30).
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 15 mai 2010
    Dans le genre classique, on ne fait pas mieux. Les lumières de la ville font partis de ces films à voir dans la vie pour tout connaitre du cinéma et de l'univers de Chaplin.

    Rempli d'espoir et d'improbabilité, les scènettes et sketchs s'enchainent à assez grande vitesse sur fonds de solidarité, d'espoir et d'amuuuur.

    C'est donc une vrai réussite pour Chaplin qui nous montrent tout ce qui pouvait se faire de mieux à cette époque. Moi ça me plait, et je mets 3 grosses étoiles.
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