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moket
434 abonnés
4 201 critiques
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1,5
Publiée le 31 juillet 2015
Vendu comme la comédie de l'année ou presque, ce film n'a déjà rien d'une comédie puisque l'objectif premier du genre est de faire rire. Ici c'est la particularité du personnage qui fait parfois sourire, mais le pessimisme ambiant est plutôt plombant. Les Combattants est tout à fait le genre de film qu'on aime pour se la raconter, mais si l'objet est esthétiquement intéressant, il est plutôt creux.
Tout auréolé d’un bon accueil cannois, d’une critique dithyrambique et d’une bande annonce percutante, le film « Les Combattants » est précédé d’une belle réputation… L’impatience était haute, nettement moins que la déception ! Insipide est le mot qui vient à l’esprit de suite, tant le scénario est mince, bancal, démonstratif et un poil misogyne (au moins en apparence). L’héroïne, sur laquelle repose l’histoire est une asociale caractérisée, et Cailley avec ses grosses rangers, en dresse un portrait d’une incroyable lourdeur, sentiment renforcé par le jeu bien gras d’Adéle Haenel. Le reste n’est qu’une série de potacheries, de fanfaronnades et autres vision étriquée de la vie, notamment militaire. S’ajoute à cela une romance à deux balles qui n’est jamais crédible. Heureusement, le rôle d’Arnaud (joué par un Kevin Azaïs en état de grâce) est beaucoup plus fouillé et apporte quelques émotions à un film qui en est totalement dénué. Ce parcours du combattant initiatique, par sa platitude, a tout du tragique troupier !
Comment se fait-il que j'aie trouvé ce film en promo dans un bac de DVD moins d'un an après sa sortie ? Peut-être parce que c'est sa vraie destinée : celle d'un film mineur vite oublié, même s'il a été encensé de façon quasi unanime par la presse à sa sortie. Je dois avoir un problème, ce film ne m'a même pas fait sourire. Autant j'ai kiffé Adèle en grande soeur de "Suzanne", autant ici je suis resté à distance de ses coups de tête, même si elle fait le job. Quant à son benêt d'amoureux, il assure, mais sans y croire beaucoup plus, m'a-t-il semblé. Tout m'a paru étriqué dans ce nanar qui nous a été vendu comme LA nouvelle comédie du nouveau cinoche à la française. Je suis déçu, mais satisfait de n'avoir pas payé le prix fort pour aller voir ça dans une salle obscure à sa sortie. Mmouais seulement maintenant, je vais devoir faire des braderies pour essayer de revendre mon DVD, parce que ce n'est pas le genre de film que j'ai envie de revoir de temps en temps...
d'une grande lenteur pour l'histoire de 2 ados pas bien intelligents.quelques scènes sont naïfs. la dernière partie du film en devient même absurde. une histoire qui ressemble à rien. les combattants c'est nous ! difficile de rester devant !
Comme quoi, il est apparemment possible de délivrer une magnifique histoire d'amour sur fond d'armée et d'apocalypse.... "Les combattants", une vraie claque et une réelle démonstration d'une adolescence inquiète et mal dans sa peau, portée par 2 charmants acteurs non dénués de talent. Cerise sur le gâteau, c'est également drôle !
À moins qu'il y a un second degré de lecture très très sybillin alors sous cet humour absurde et le ton décalé de ce film, j'avoue ne pas comprendre l'enthousiasme général. Certes, un film vantant les mérites de l'engagement dans l'armée, 2 nd employeur après McDonald's mérite toutes les critiques laudatives de la presse surtout si il y a l'étoile montante du moment, Adèle Haenel. Mais franchement, une fois tout ce carcan digéré, on se retrouve avec une oeuvre partant dans tout les sens pour arriver nulle part comme nos deux infortunés fugueurs. La fin est incompréhensible et bâclée à l'image de leur scène de baise dans les bois....
Une romance qui débute par un combat sur la plage et se poursuit lors d’un stage commando. Je ne comprends pas du tout l'intérêt d'un tel film, sa raison d'être et sa fascination masochiste pour l'armée. La mise en scène est assez plate, monotone, et le couple Kévin Azaïs et Adèle Haenel a bien du mérite pour nous faire croire à son idylle. Pour en savoir plus
Encore un film dont le scénario tient sur un post-it et dont les meilleures répliques figurent dans la bande annonce. Des personnages prometteurs mais finalement sans grande épaisseur. Même Adèle Hanael, après "l'homme qu'on aimait trop", devra penser à varier son jeu pour être vraiment convaincante. Une raison d'aller tout de même voir ce film? Sans doute les 30 premières minutes...
J'ai trouvé ce petit film très amateur et baclé. Le sujet n'était pas inintéressant à la base mais l'impéritie du réalisateur gache le propos. Les dialogues sont fades et le jeu des acteurs approximatif. La pauvre Haenel a une constante moue horripilante, une voix désagréable et déjà les seins qui tombent comme une quinquagénaire...
Alors que la bande-annonce m'avait laissé espérer un bon film, je suis déçu! Littéralement toutes les répliques drôles sont déjà dans la BA, la fille n'est pas juste bougonne, elle est à la limite de la sociopathie (je pense que dans la vraie vie, on l'aurait enfermée), le garçon est un débile profond, les militaires sont des caricatures de bidasses bas du front, d'une façon générale les réactions des personnages sont complètement improbables... Je n'arrive pas à comprendre pourquoi ce film a de si bonnes critiques par ailleurs.
Depuis son passage à Cannes cette année (où il reçut trois prix à la Quinzaine des réalisateurs), je n’arrêtais pas d'en entendre du bien. J'avais donc hâte, surtout que j'aime beaucoup et suis avec intérêt le parcours d'Adèle Haenel depuis Naissance des pieuvres (2007). Elle est encore une fois ici formidable. Si j'ai trouvé cela assez bien fait, bien écrit, bien filmé et donc très bien joué (Kevin Azaïs est vraiment très bien, une belle révélation), je reste malgré tout un peu sur ma faim. Pour moi cela ne décolle pas vraiment, il manque un petit quelque chose. Je n'ai pas réussi à m'attacher aux personnages et pour être franc, je me suis un peu ennuyé. Thomas Cailley, dont c'est le premier film, n'a pas l'air maladroit derrière une caméra, on attendra donc la suite pour ce prononcer définitivement. Petite déception donc.