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    Whiplash
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    1 157 critiques spectateurs

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    the_fan_of_inception
    the_fan_of_inception

    20 abonnés 582 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 24 janvier 2015
    Sorti en pleine vacances scolaires, effaçant presque toute visibilité, "Whiplash" aurait mérité un joli succès. Bien qu'il s'inscrive dans des mécaniques ultra codées du cinéma hollywoodiens, le nouveau long-métrage signé Damien Chazelle est une réelle réussite. S'il met en place un schéma manichéen à base de gentil élève naïf et de prof vétéran et diabolique, ce ''Full Metal Jacket musical'' nous entraîne dans une mélodie de plus en plus rapide au rythme du métronome contrôlant la composition du film. J.K. Simmons est parti pour recevoir l'oscar du meilleur second rôle masculin tant son jeu trouble inquiète et énerve. Miles Telles s'en sort également plutôt bien et joue l'élève américain moyen qui va essayer de devenir le meilleur. Des marques faisandées pour un film classique mais excellent.
    Noémie Laurent
    Noémie Laurent

    42 abonnés 141 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 4 mars 2015
    Un univers complet dans lequel des personnages complexes évoluent : leur trajectoire est à tout moment inconnu et cette hésitation constante entre l'erreur et la réussite est parfaitement rendue à l'image et au son. La bande originale est merveilleuse et totalement accessible à ceux qui n'y connaissent rien en musique. Sublime !
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 18 février 2015
    Une dinguerie magistrale. Je partais sur une appréhension de voir un film trop académique et intello, notamment en temps que fils de msuciens de jazz. Finalement, c'est un thriller psychologique complètement allumé. JK Simmons y est pour beaucoup. Attachez vos ceintures, ça déménage. Une façon de filmer assez travaillée, par moments proche de mon chouchou David Fincher je trouve. Le duel est comme le dit l'afficje, inoubliable. Le masochisme de l'étudiant et le fanatisme éducatif du prof se rencontrent dans un rapport de domination terrible. La musique ? De haut niveau. (Je précise que je ne suis pas un fan de jazz...) Une réflexion sur la persévérance, la recherche de l'excellence, la volonté dese dépasser, d'être le meilleur, le sérieux dans le travail. C'est un film qui peut, suivant votre mentalité, vous donner envie de vous secouer pour atteindre vos objectifs. L'humanité brute du prof est manifeste, dans son ambivalence radicale entre sa férocité dans sa salle d'entraînement et son charme en tant que musicien de piano bar. Dans whiplash, il y a "whip". Le fouet. Un film qui frappe.
    stallonefan62
    stallonefan62

    237 abonnés 2 470 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 21 janvier 2016
    prenant, touchant !! beaucoup d'émotion se dégage du film ... une histoire simpliste mais avec une bonne mise en scène et des acteurs irreprochables !! Miles Teller très bon mais c'est surtout la prestation de JK Simmons crève l'écran
    Charles G
    Charles G

    31 abonnés 627 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 2 février 2015
    "Engagement. Persévérance. Ténacité". Ces trois mots d'ordre qui me sont répétés en boucle par mon chef, au brief du mardi matin, est ici à la base du film, qui va encore plus loin. Ici, le personnage principal, Andrew Neyman, est poussé à bout, et même au-delà, au dépassement de soi, par son professeur de jazz et mentor Terence Fletcher. Très rapidement, le professeur se révèle tyrannique en instaurant un climat de souffrance nécessaire, selon lui, à l'accès à une étape supérieure. On est ici dans la recherche permanente de la perfection, du génie. Les puristes de l'univers de la musique qui ont critiqué le film en remettant en cause son authenticité n'ont rien compris et sont certainement un peu simples d'esprit. Il ne s'agit pas là d'un film sur la musique, mais d'un affrontement, d'un film initiatique, d'une sorte de western moderne. Damien Chazelle, le jeune réalisateur, a lui-même dit avoir fait dans Whiplash un film de guerre. La réussite est totale dans ce film, merveilleusement interprété, avec un J.K. Simmons excellent en professeur malsain et à la limite de la légalité, qui renvoie à son mythique rôle de nazi de la superbe série Oz. La réalisation aussi est magistrale, nous offrant un face à face entre un mentor et son apprenti, un prof et son élève. Et puis, lorsque l'un pense jouer un tour à l'autre, c'est l'attrapeur attrapé, et finalement un happy-ending réjouissif pour les trois parties : les deux personnages principaux et le spectateur. Voilà un film marquant et qui ne nous laisse pas souffler tout du long, nous mettant dans une atmosphère studieuse et rigoureuse totalement dépaysante et enveloppante, filmée avec beaucoup de talent. A voir absolument !
    Toto INF
    Toto INF

    35 abonnés 555 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 31 janvier 2016
    Un film qui traite plus d'un sujet que d'une histoire. Et partant de là, il faut un minimum s'intéresser au sujet pour apprécier ce film, à savoir le jazz.
    Au delà de ça, techniquement parlant, tout est excellent (jeu d'acteur, bande-son, plans, lumières...). A noter l'omniprésence du duel professeur-élève, l'assiduité et la rigueur que réclame le jazz, et des sacrifices que chacun est amené à possiblement faire dans sa vie professionnel, pour obtenir les éléments essentiels de ce film.
    Un bon moment du cinéma, mais qui me marquera pas très longtemps.
    kal-el 02
    kal-el 02

    97 abonnés 843 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 7 mars 2015
    Whiplash est sans doute le film qui mettra vos oreilles à la place de vos yeux, et vos yeux à la place des tripes. Whiplash dépoussière, transfigure le genre musical en s'adonnant à des moments de tension, de rire, d'effroi, de scène et de dépassement rarement atteints. Pourtant filmé en à peine quelques jours, la réalisation, à la fois précise et coup de poing, permet d'élancer les deux acteurs, Miles Tanner et JK Simmons, dans une relation aussi sadique que passionnée. Le tourbillon qu'ils nous envoie nous saisit, nous emporte dans les notes saignantes et les tempos les plus machiavéliques. Le jazz et le cinéma ne font qu'un, au plus grand plaisir du cœur et des oreilles.avec un j.k simons qui a recu un oscar pour le meilleur second role,et nominé pour le meilleur film . Sensations fortes garanties.deja Culte.
    Marty McFlan
    Marty McFlan

    4 abonnés 56 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 15 février 2015
    Un jeune batteur ambitieux se rend prêt à tout pour jouer dans le meilleur jazz band du pays, quitte à subir les humiliations appuyées et répétées d'un prof sadique, tyrannique et arbitraire. De la sueur, des larmes, des cris et du sang pour ce duo sado-masochiste jazzy poussé à l'extrême. A moins d'être un stakhanoviste absolu du jazz, préférez-y un Amadeus, ou encore Tous les Matins du Monde.
    7eme critique
    7eme critique

    460 abonnés 2 778 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 13 février 2015
    Le concept novateur est là, la prestation de J.K. Simmons, sous ses airs de sergent instructeur, y est magistrale, le cours de jazz nous prend aux tripes, "Whiplash" vient créer la surprise ! Le talent n'est-il rien sans le travail ? Est-ce de bonnes méthodes d'apprentissage ? Faut-il pousser à bout au point de décourager ?... Le film joue avec ces grandes questions en donnant des points de vues différents, celui de l'élève et du professeur, dans un acharnement vers l'harmonisation. En plus de ses qualités cinématographiques, "Whiplash" vient s'offrir un message intéressant.
    PowerKing - Les Chroniques du Cinéphile
    PowerKing - Les Chroniques du Cinéphile

    314 abonnés 1 372 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 27 février 2016
    Selon Damien Chazelle, qu’est ce qu’un chef d’œuvre dans sa pleine définition ? L’extase, l’intensité, les lèvres qui se serrent, les membres qui se crispent. La fiction transcendant une réalité parallèle, uniquement séparée par un écran. Si Whiplash le définit grandement, il ne s’en contente pas. Ce que l’on ressent est la rage, la détermination, le dépassement personnel irrationnel, presque inhumain, pour l’amour de ce que l’on aime par-dessus tout. Ne jamais se contenter d’une simple réussite, mais plutôt chercher à gagner l’excellence, l’apogée. La musique est un exemple frappant, mais cela est valable dans tous les domaines. Cette leçon de persévérance maitre/élève est une véritable leçon de vie, une expérience magistrale où la force morale surpasse de très loin la force physique, et où l’abandon est inenvisageable. La confrontation entre Miles Teller et J.K. Simmons sur la scène finale fait partie de ces moments qui nous rappellent que le cinéma n’est pas qu’une simple source de divertissement. Ces regards, cette rage au ventre, mutuellement rivés sur un seul et unique objectif, et ce solo démentiel… tout cela impose le respect, tout simplement. Que ce soit à travers une réalisation parfaite, ou encore le message transmit, humainement touchant et profond. Les adeptes de jazz et de hautes performances s’accorderont sur la perfection de l’ouvrage. Les non-initiés n’ont qu’à se laisser envouter. Voyez cela comme une version music-hall de Full Metal Jaket avec un brin d’imagination. On a rarement fait plus intense en tous genres confondus, si l’on omet entre autre Requiem for a Dream ; mes mains tremblantes en témoignent. Un pure chef d’œuvre unique en son genre, avec une place bien au chaud dans mon top 10. Bluffant. 5/5
    Cinememories
    Cinememories

    439 abonnés 1 432 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 14 juin 2017
    A l’image de la passion de Damien Chazelle, son premier succès dégage une intense conviction dans la réussite. Il est ici question de se dépasser, outre l’amour pour le Jazz. On ne peut apprécier une bonne symphonie que dans le bon tempo.
    La rigueur est source de conflit avec le fort intérieur du jeune batteur Andrew Neyman (Miles Teller) et il le découvre à ses dépens. Dès lors qu’il rencontre son purificateur, l’illustre Terence Fletcher, pour qui il convoite une place de privilège dans le groupe, il sera jugé sur toutes les nuances. Et au-delà du duel qui régit entre l’adolescent, trop confiant et le professeur, trop sévère, nous avons une rivalité qui domine largement le jeune Neyman contre lui-même. Son évolution passe par la passion, le désir et l’avarice. Le talent n’est jamais un don pour Fletcher et il faut le mériter. Neyman laisse alors son état d’âme de côté, car oui, il présente déjà des complexes d’infériorité qui le pousse à avancer.
    Le caractère challenger est un risque dont il est difficile d’assumer à la première heure. Supporter son poids, c’est comme supporter de porter les baguettes pour le compte de son professeur. Ce dernier n’est pas le plus tendre, mais le plus rationnel des deux. On passe ainsi par l’angoisse du studio, où chaque artiste joue sous la pression. Jouer chaque note comme si c’était le dernier concert à partager. La salle de répétition devient ainsi le temple où Fletcher démasque chaque fausse note, jusqu’à obtenir satisfaction.
    Et bien que les propos puissent sembler surréalistes, il n’y a rien de plus crédible que cette démarche guerrière pour se remettre en question. On brûle des étapes on en néglige au fur et à mesure. Les sentiments sont mis de côté pour l’honneur et le défi. La distraction n’est pas permise et Chazelle nous le fait comprendre par le biais de son montage rythmé et intense. On en garde le souvenir de la sueur et du sang versés où les batteurs ont dû s’employer à la tâche. Alors que l’un de protagoniste promet d’être désagréable à soutenir, les rôles s’inversent subtilement pour laisse la morale prendre le dessus.
    Ces deux entités se livrent ainsi dans un duel, éprouvant leur motivation au bout de la baguette. Chaque mots père autant que les notes jouées. Entre professionnalisme et maturité, l’écart est trop étroit pour trouver le bon accord entre le dominant et le dominé. Le cas de l’école classique peut en choquer plus d’un, mais la maîtrise et le succès reste entier, jusqu’à la dernière note, lourde et puissante !
    UnitedArtists
    UnitedArtists

    63 abonnés 119 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 3 février 2015
    Whiplash est une révélation. Damien Chazelle signe un film d'une grande ampleur, tout est une affaire de perfection. Nous suivons les traces d'un jeune batteur au talent prometteur qui se viens à atterrir dans le Studio Band, groupe dirigé par un enseignant ayant une grande réputation. C'est alors qu'un duel entre les deux hommes prendra vie.

    J'ai pris une grosse claque dans la gueule, il n'y a rien d'autre à dire, Whiplash est une tuerie, une perle cinématographique. L'ambiance créée par Chazelle est géniale, la photographie est sublime et colle ainsi parfaitement au thème du jazz, ces mouvements de caméra sont très inspirés notamment et surtout lors du final, incroyable de maîtrise. La musique est ici omniprésente et est un personnage à elle toute seule, elle a un rôle, une présence extrêmement forte mais magnifique à tout point de vue. Au fur et à mesure que l'on avance dans le film, l'histoire prend rapidement des tendances de thriller à la Black Swan le chef d'oeuvre de Darren Aronofsky: la quête de la perfection absolue. Même si le malaise de Black Swan n'est pas présent dans Whiplash, même si l'aspect glauque n'y est pas présenté, on est bluffé par la maîtrise du jeune cinéaste, la tension monte crescendo lors des séquences de répétitions, on en a le souffle coupé. Les affrontements entre le professeur tyrannique et son élève sont un supplice pour les nerfs, on est sous pression constamment. Ce duel entre nos deux protagonistes nous est présenté comme un véritable combat sur un champ de bataille, les instruments sont alors remplacés par de véritables armes de guerres et cela ne cesse d'exploser. Toutes les séquences musicales nous sont représentées comme des No Man's Land, ici règne que le sang, les larmes, ainsi que le sueur. Chazelle à souhaité montrer la musique comme quelque chose de physique, intense. Mais la force de ce groove haletant n'aurait pas été aussi réussi sans les superbes performances de Miles Teller et de J.K Simmons (l'oscar est pour lui !): ils sont impressionnants. Certains comparent Whiplash au Full Metal Jacket de la musique dans le sens ou il y a ici un duel "entre l'élève et le mentor", comme la première partie du film de Kubrick. Moi je comparerait plus Whiplash à Black Swan pour une seule et unique chose: la quête de la perfection, de l'excellence, surpasser nos limites jusqu'à en souffrir (la sueur, les larmes et le sang). Le montage de Chazelle est superbe, le rythme est parfait, aucun temps mort, le tempo est fluide et ne cesse de monter jusqu'à un final d'anthologie (même si je dois l'admettre le morceau final est légèrement long pour moi): le solo de batterie est juste incroyable, je me suis pris une claque en pleine gueule c'est dire. Ce duel entre les deux hommes se conclut d'une manière assez inattendue mais avec brio.

    Damien Chazelle, pour son premier film (sorti en salle) nous signe un chef d’œuvre qui marque littéralement les esprits que ce soit par sa mise en scène inspirée, son montage superbe, une photo propre au monde du jazz et des interprétations au cordeau notamment pour J.K Simmons. Après avoir vu ce grand film je ne peux que vous obliger à aller voir Whiplash qui pour moi est une révélation et un véritable coup de cœur, la batterie nous est ici représentée comme une arme servant de combat face à "l'ennemi" (le professeur). Vous aimez la musique ? Allez voir Whiplash. Vous n'aimez pas la musique ? FONCEZ voir Whiplash et vous aurait une perception totalement différente de cet art qui prend aux tripes. 9/10
    GéDéon
    GéDéon

    54 abonnés 444 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 28 juin 2022
    En 2014, Damien Chazelle réalise son second long-métrage dans lequel il explore le milieu des artistes de jazz. Délaissant la comédie musicale, il s’aventure surtout vers la description des relations entre un professeur autoritaire (J.K. Simmons) et son élève surdoué (Miles Teller) dans un rapport dominant/dominé. Même si le scénario reste très minimaliste et s’intéresse principalement au thème du harcèlement moral, la fluidité et la tonicité de la mise en scène permettent de vivre un grand moment de cinéma. En tant que spectateur, on se retrouve au cœur d’un combat destructeur rythmé par les roulements de batterie. Bref, un film dramatique haletant et captivant.
    Shephard69
    Shephard69

    281 abonnés 2 259 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 15 décembre 2015
    Une plongée saisissante dans le monde du jazz et de la batterie en particulier. Même si le thème de la relation enseignant-élève est assez classique, la réalisation impeccable de Damien Chazelle en fait un film marquant et absolument remarquable pour sa violence psychologique faite de manipulations, de brimades et de d'humiliation. J.K. Simmons, en professeur acariâtre, est excellent et Miles Teller, pris dans la spirale de l'exigence et de la réussite artistique, livre une prestation profonde. A mi-chemin entre "Full metal jacket" et "Black swan".
    Max Rss
    Max Rss

    168 abonnés 1 713 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 15 mai 2015
    Andrew, âgé de 19 ans n'a qu'un seul objectif en tête : devenir le meilleur batteur de jazz de tous les temps. Pour cela, il devra « affronter » le professeur Fletcher, sadique à souhait et poussant ses élèves au bout du bout. Au vu du sujet, de l'univers dans lequel il évolue, des critiques élogieuses formulées par la presse et les spectateurs et les notes attribuées, « Whiplash » était apparemment le film coup de poing de la fin d'année 2014. Peine perdue. En fin de compte, on débouche encore une fois sur une vraie déception. J'avoue avoir beaucoup de mal à comprendre comment ce film a pu être élevé au rang de chef d'oeuvre. Je ne vois vraiment rien qui puisse justifier ce statut. Il s'agit là d'un film quelconque, creux. Il y a beaucoup de longueurs. On s'ennuie très très souvent. Il n'y a aucune scène marquante. Et la scène finale, étant l'objet de l'admiration des 3/4 de ceux qui ont vu le film est à mon goût plutôt grotesque. Les personnages sont inintéressants, surtout le principal, aussi expressif qu'une planche à pain et aussi charismatique qu'une feuille de salade et qu'une dégage aucune sympathie. Reste J.K Simmons pour élever un tant soi peu un niveau relativement faible. « Whiplash » une œuvre phare ? Non, absolument pas. Juste un film qui se regarde qu'une fois et qui s'oublie aussitôt.
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