Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
22 critiques presse
Cahiers du Cinéma
par Cyril Béghin
Nadav Lapid prolonge avec "L’Institutrice" l’impressionnant alliage de calme et de tension extrême qui parcourait "Le Policier" il y a deux ans. Sa mise en scène est à l’image du mystère qui traverse le film : moins en quête de virtuosité que d’une sorte de tremblement du sens dans la limpidité des cadres.
La Voix du Nord
par Philippe Lagouche
Il est des signes qui ne trompent pas, sur le style, sur l’identité d’un cinéaste. Ceux que Nadav Lapid (...) envoie tout au long de son deuxième long-métrage attestent de qualités rares.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Le Monde
par Franck Nouchi
Belle, profonde, intelligente, (Sarit Larry) sait user de son talent pour, parfois, emmener son personnage aux confins d'une personnalité borderline.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Fiches du Cinéma
par Nicolas Marcadé
En associant la lucidité du roman (rendre justice à l'ambiguïté de toute chose) et le lyrisme de la poésie (rendre toute chose intense), Nadav Lapid signe un grand film.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
TF1 News
par Romain Le Vern
Sublime film sur la transmission, d'une intelligence, d'une densité et d'une sensibilité inouïes (...).
La critique complète est disponible sur le site TF1 News
Transfuge
par Frédéric Mercier
C'est le miracle du film : donner à voir la puissance et la détresse d'un simple regard.
20 Minutes
par Caroline Vié
"L’institutrice" est une fable israélienne bouleversante en même temps qu'un beau portrait de femme...
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Critikat.com
par Arnaud Hée
(...) c’est ainsi que le regard a une importance centrale, car c’est de lui que naissent les mots permettant de raconter le monde.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
La Croix
par Marie Soyeux
Ce film de Nadav Lapid offre une belle leçon de mise en scène. La poésie des mots fait écho à celle des mouvements de caméra. Le jeune Avi Shna Idnam incarne cette innocence ambiguë face à une Nira (Sarit Larry) non moins trouble et magnifique.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Dauphiné Libéré
par La Rédaction
Sur un sujet original, un film étonnant, tout de finesse et de tension.
Les Inrockuptibles
par Serge Kaganski
Nira et Yoav sauront-ils résister durablement au libéralisme dominant ? Leur étrange alliage tiendra-t-il longtemps ? (...) Nadav Lapid ne répond pas à toutes ces questions mais son film les traite avec acuité et profondeur (...).
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par olivier Séguret
Parce qu’il joue avec l’infilmable, Nadav Lapid en appelle aux meilleures ressources de la mise en scène pour mettre en valeur ce vide, ce vertige sensible autour duquel il tourne.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Première
par Thomas Agnelli
On manque de place pour dire ce qui bouleverse tant dans ce film (...) "L'Institutrice" éblouit de bout en bout, y compris lorsqu'il déraille.
La critique complète est disponible sur le site Première
Studio Ciné Live
par Thomas Baurez
Voir la critique sur le site de Studio Ciné Live.
La critique complète est disponible sur le site Studio Ciné Live
TéléCinéObs
par Xavier Leherpeur
A travers un scénario orchestrant avec une forte tension dramatique les divers thèmes afférents au sujet (...) et une mise en scène poétique et inquisitrice, le cinéaste se focalise sur le rôle ambigu du mentor et livre une métaphore à peine voilée de son pays.
Télérama
par Samuel Douhaire
La puissance du film tient beaucoup au regard du réalisateur sur l'enfant prodige. (...) Savoir que Nadav Lapid a écrit lui-même une centaine de poésies à l'âge de jouer dans les bacs à sable rend son film encore plus troublant.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Alexandre Jourdain
De brillantes trouvailles qui font de la réalisation de Lapid un ensemble doux amer où la délicatesse n’est jamais très loin de l’âpreté.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
L'Express
par Eric Libiot
Voir le site de L'Express.
La critique complète est disponible sur le site L'Express
L'Humanité
par Vincent Ostria
La fable, superbement filmée (au steadycam), se cantonne dans un registre socio-esthétique, minimisant le sensible et l’affectif.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Positif
par Matthieu Darras
Cri de révolte autant que réflexion sur la violence crasse, la laideur et l'état d'abêtissement du monde d'aujourd'hui (...) "L'institutrice" interroge fatalement le mystère de la création.
Chronic'art.com
par Louis Blanchot
Le gros défaut de "L’Institutrice" n’est pas tant de n’être jamais à la hauteur des attentes qu'il suscite après [Le Policier], mais plutôt d’en creuser rétroactivement toutes les failles.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Le Journal du Dimanche
par Alexis Campion
Le propos captive mais, dépassé par son audace, se heurte à une mise en scène rigide sinon doctorale.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Cahiers du Cinéma
Nadav Lapid prolonge avec "L’Institutrice" l’impressionnant alliage de calme et de tension extrême qui parcourait "Le Policier" il y a deux ans. Sa mise en scène est à l’image du mystère qui traverse le film : moins en quête de virtuosité que d’une sorte de tremblement du sens dans la limpidité des cadres.
La Voix du Nord
Il est des signes qui ne trompent pas, sur le style, sur l’identité d’un cinéaste. Ceux que Nadav Lapid (...) envoie tout au long de son deuxième long-métrage attestent de qualités rares.
Le Monde
Belle, profonde, intelligente, (Sarit Larry) sait user de son talent pour, parfois, emmener son personnage aux confins d'une personnalité borderline.
Les Fiches du Cinéma
En associant la lucidité du roman (rendre justice à l'ambiguïté de toute chose) et le lyrisme de la poésie (rendre toute chose intense), Nadav Lapid signe un grand film.
TF1 News
Sublime film sur la transmission, d'une intelligence, d'une densité et d'une sensibilité inouïes (...).
Transfuge
C'est le miracle du film : donner à voir la puissance et la détresse d'un simple regard.
20 Minutes
"L’institutrice" est une fable israélienne bouleversante en même temps qu'un beau portrait de femme...
Critikat.com
(...) c’est ainsi que le regard a une importance centrale, car c’est de lui que naissent les mots permettant de raconter le monde.
La Croix
Ce film de Nadav Lapid offre une belle leçon de mise en scène. La poésie des mots fait écho à celle des mouvements de caméra. Le jeune Avi Shna Idnam incarne cette innocence ambiguë face à une Nira (Sarit Larry) non moins trouble et magnifique.
Le Dauphiné Libéré
Sur un sujet original, un film étonnant, tout de finesse et de tension.
Les Inrockuptibles
Nira et Yoav sauront-ils résister durablement au libéralisme dominant ? Leur étrange alliage tiendra-t-il longtemps ? (...) Nadav Lapid ne répond pas à toutes ces questions mais son film les traite avec acuité et profondeur (...).
Libération
Parce qu’il joue avec l’infilmable, Nadav Lapid en appelle aux meilleures ressources de la mise en scène pour mettre en valeur ce vide, ce vertige sensible autour duquel il tourne.
Première
On manque de place pour dire ce qui bouleverse tant dans ce film (...) "L'Institutrice" éblouit de bout en bout, y compris lorsqu'il déraille.
Studio Ciné Live
Voir la critique sur le site de Studio Ciné Live.
TéléCinéObs
A travers un scénario orchestrant avec une forte tension dramatique les divers thèmes afférents au sujet (...) et une mise en scène poétique et inquisitrice, le cinéaste se focalise sur le rôle ambigu du mentor et livre une métaphore à peine voilée de son pays.
Télérama
La puissance du film tient beaucoup au regard du réalisateur sur l'enfant prodige. (...) Savoir que Nadav Lapid a écrit lui-même une centaine de poésies à l'âge de jouer dans les bacs à sable rend son film encore plus troublant.
aVoir-aLire.com
De brillantes trouvailles qui font de la réalisation de Lapid un ensemble doux amer où la délicatesse n’est jamais très loin de l’âpreté.
L'Express
Voir le site de L'Express.
L'Humanité
La fable, superbement filmée (au steadycam), se cantonne dans un registre socio-esthétique, minimisant le sensible et l’affectif.
Positif
Cri de révolte autant que réflexion sur la violence crasse, la laideur et l'état d'abêtissement du monde d'aujourd'hui (...) "L'institutrice" interroge fatalement le mystère de la création.
Chronic'art.com
Le gros défaut de "L’Institutrice" n’est pas tant de n’être jamais à la hauteur des attentes qu'il suscite après [Le Policier], mais plutôt d’en creuser rétroactivement toutes les failles.
Le Journal du Dimanche
Le propos captive mais, dépassé par son audace, se heurte à une mise en scène rigide sinon doctorale.