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Un visiteur
5,0
Publiée le 12 janvier 2009
Des prospecteurs d'or partent chercher fortune dans le klondike (canada). Beaucoup partent, peu font fortune... La Ruée vers l'Or est considéré comme l'un des plus grands films de Chaplin, un chef d'oeuvre du cinéma muet et du cinéma tout court. Chaplin tout jeune est déjà au sommet de son art. Les scènes burlesques restent encore aujourd'hui des modèles de drôlerie et d'efficacité. Millimétrées, maîtrisées de bout en bout, simples mais universelles. Certaines sont passées à la postérité : notamment la scène où Charlot fait danser des petits pains, et celle où, mourants de faim, son compagnon et lui-même mangent la semelle d'une chaussure. Comme dans Le Kid, ces scènes burlesques s'alternent avec des passages plus dramatiques, pleins d'émotion, qui dénoncent - déjà - le mythe du capitalisme à l'américaine (ce que Chaplin ne cessera de faire par la suite, et qui l'obligera finalement à quitter les Etats-Unis).
La Ruée Vers L'Or est l'un des films les plus connus de Charlie Chaplin qui c'est faire rire par des choses simples mais faut y penser et même des décennies plus tard ça fonctionne encore (il a presque 100 ans mais j'ai vu la version retravaillée par Chaplin aussi quelques qbnes plus tard avec une voix off donc ce n'est pas un véritable film muet à partir des années 1940) et qui est émouvant aussi . Le scénario est très bon . La fin est très bonne aussi . Des scènes emblématiques . Des situations burlesque/drôle . Chaplin ,... sont excellents . Un énième chef d'oeuvre du maître du cinéma muet .
Ecrit, interprété et réalisé par Charlie Chaplin qui se chargera aussi de composé la superbe BO, cette comédie s’avère toujours aussi réjouissante à visionner après de multiples visionnages. La mise en scène est exceptionnelle, car elle ne manque pas de rythmes et les séquences hilarantes se succèdent les unes après les autres – celle où charlot mange sa chaussure est un modèle du genre ! -, et l’histoire qui mélange la comédie, l’aventure et le mélodrame se suit avec une grande délectation. Côté casting, Charlie Chaplin est évidemment impérial dans le rôle principal et il est ici parfaitement seconder par Mack Swaim dans le rôle de Big Jim et par la très belle Georgia Hale. En résumé, nous pouvons dire que nous sommes en présence d’un incontestable chef-d’œuvre du 7ème art et qu’il n’est pas prêt de perdre de sa force.
Sans doute Chaplin a-t-il mis la barre tellement haute dans l'ensemble de sa filmographie que l'on est forcément déçu par "La Ruée vers l'or", moins drôle, moins abouti que d'autres de ses films. Mais le savoir-faire de Chaplin en matière de réalisation, et dans sa manière de captiver le spectateur en l'entraînant dans son récit, emportent la décision.
Charlot sauve le film, parce qu'il est extraordinairement habité par son rôle. Sinon, la narration est faiblarde, la musique sans intérêt, et les décors, un peu trop cartonnés. Mais alors, les acteurs s'en donnent à cœur joie dans tous les registres à la mode du temps. Les scènes "d'action" sont époustouflantes.
Charlie Chaplin alterne avec une incroyable dextérité les moments dramatiques, comiques et poétiques dans l’un de ses plus mémorables et populaires chef d’oeuvres, L’intemporelle «Ruée Vers l’Or» regorge de scènes mythiques comme la dégustation de la chaussure en guise de repas, les hallucinations de Mark Swain tenaillé par la faim qui voit Charlot se transformé en poulet, la cabane en équilibre au bord de la falaise et bien entendu la fameuse danse des petits pains. La version muette originale de 1925 est inoubliable, la version de 1942 avec la voix-off un peu moins.
C'est le film le plus drôle de toute la filmographie en long métrage du grand Charlie Chaplin. Ici tout est matière à "gag" visuel hilarant. A retenir la danse des petits pains, ainsi que le dîner à base de chaussures où les lacets deviennent des pâtes !
1925. Quatre ans après "The Kid", Charles Chaplin se transforme à nouveau en Charlot, et nous offre un enchainement de scènes dont lui seul à le secret, et où la force de rire l'emporte sur tout autre état d'âme. Parfois volontairement grotesque, Chaplin met un point d'honneur à hisser le second degré dans les plus hautes sphères de l'humour. Incontournable.
En 1958, un jury de l'exposition universelle de Bruxelles déclara La Ruée vers l'or deuxième meilleur film de tous les temps, derrière Le Cuirassé Potemkine. Chaplin était perfectionniste et reprenait cent fois la même scène, la faisant évoluer jusqu'à satisfaction. 63 prises furent nécessaires pour finaliser la scène où Big Jim et lui mangent une chaussure... et à chaque fois les acteurs devaient avaler la semelle fabriquée en réglisse, entraînant de terribles problèmes de transit intestinal.
Un film de Charles Chaplin est toujours un excellent moment a passer, "La Ruée Vers l'Or" ne fait pas exception a la règle. Un film plein de légèreté, qui émeut, fait rire, divertis, fascine... Le jeu d'acteur de Chaplin est toujours aussi génial, vraiment bluffant, les décors sont simples, ainsi que le scenario, et pourtant il s'agit d'une œuvre virtuose, bercée par une bande-originale charmante et entrainante. Un tres beau film, tres poétique, tres réussi...
Une œuvre dans la même lignée des précédents films de Chaplin, et pour cause c’est encore la même histoire avec Charlot et ses difficultés face à un amour improbable. Et pourtant, en dépit de ce schéma répétitif et de la fin que l’on peut aisément deviner, on ne s’ennuie pas une seule seconde. Un film un peu plus noir que les autres, où la mort est plus présente que dans les autres films, mais l’humour reste dominant.
Sûrement l’un des plus grands films de Charlie Chaplin, parfois imité (la scène de l’ascension de la montagne par tous ces hommes est également présente dans Croc-Blanc), mais rarement égalé.
Certains passages de ce film de Charlot valent vraiment le détour, je pense notamment à la danse des petits pains ou encore au poulet géant issue de l’esprit de Big Jim. Malheureusement, d’autres passages sont bien moroses et peu, voire vraiment pas drôles. Ces gags tombant régulièrement à l’eau plombent complètement un film qui par ailleurs peut se montrer enlevé et comique. Il faut également dire que j’ai regardé la version « parlante » , qui à mon sens n’apporte rien au film, et le gâche même surement un peu. En tous les cas, on est loin du meilleur de Charlie Chaplin (Les temps modernes ou le dictateur sont réellement un cran au-dessus), cependant on passe tout de même un bon moment.
Encore un chef d'oeuvre de Chaplin, ou on le voit échanger un baiser chose qui s'est rarement faite dans ses films je pense. Rien à dire, rire, émotions, joie et classe.