Avis sur La Vengeance sous la peau

Van Damme excelle dans la "série B" d'action avec un style très personnel, il insuffle sa personnalité à ce film dans la lignée des précédents. Il est bien sûr le personnage central évoluant entre tension, action violence et morbidité, souffrant et en plein mal-être mais sans état d'âme.

Jean-Claude je t'aime, tes films ont bercés mon enfance, ton parcours force le respect. Mais putain arrêtes de faire des "films" comme ça!!! Pound of Flesh, est une daube scénaristique, réalisée par un boucher avec un budget de court-métrage. C'est même plus toi qui assure les fights, le film est un festival de doublures!
En conclusion, tu resteras à jamais mon idole, mais sérieux, reprends toi ou arrêtes.

On retrouve le duo Barbarash-Van Damme qui nous avaient donné Six Bullets précédemment et on retrouve la même "glauquerie" dans Pound of Flesh. A savoir un type qui vient aux Philippines faire un don d'organe à sa nièce. Sauf qu'avec Van Damme, rien ne se passe jamais comme prévu. Profitant d'un sommeil réparateur après avoir fait la causette à une prostituée, il s'aperçoit à son réveil qu'on l'a opéré pendant la nuit et qu'il lui manque ce fameux rein. Ça ne l'empêchera pas d'aller botter des culs dans la boîte de nuit locale pour aller à la pêche aux informations. Il se frottera même à cette pure gueule de Darren Shahlavi, méchant de plusieurs Steven Seagal, et dont j'ai vu qu'il était décédé début 2015 d'une overdose de médocs ! Entre Lochlyn Munro, Raicho Vasilev et lui, ça fait partie de ces trognes que j'ai plaisir de voir dans ces DTV d'Europe de l'Est. Dommage pour lui. Même affaibli, JCVD reste un bon combattant. Mouillant infiniment plus le maillot qu'un Steven Seagal ou un Dolph Lundgren dans les scènes d'action. Le final est même assez émouvant et, là aussi, il surpasse sans peine ses petits copains d'Expendables 2. Véritable gueule cassée due à ces excès bien connus de la fin des années 90, début des années 2000, Van Damme enquille tranquillement son actioner annuel. Pas catastrophique mais pas incroyable non plus. A l'instar de ses collègues mentionnés plus haut, il ne tourne désormais plus que pour ses fans, se contentant de leur offrir ce qu'ils lui demandent. JCVD de Mabrouk El Mechri n'aura été qu'un feu de paille mais bon. Faute de grive, on mange des merles.

Mais que viens faire JCVD dans ce navet? mal filmé surtout les effets d'enchainements d'images donnant le mal de crâne avec des jeux de couleurs a éviter pour les épileptiques . Les effets spécieux sont ridicules ainsi que la mise en scène bref a oublier.

JCVD est de retour dans un film d'action peu intéressant. L'histoire n'est pas mauvaise mais un ex-agent des forces spéciales qui se fait avoir de la sorte, ça frise le ridicule. Deacon se rend en Chine et se retrouve bien malgré lui au centre d'un trafic d'organes. Il devra jouer des poings, du pistolet et de sa tête pour le récupérer. Le tout avec un rein en moins, ce qui rend ses exploits encore plus impressionnants. Heureusement, la cause est belle et en vaut la chandelle.

M'attendant à un nanar JCVD de plus, j'ai été agréablement surpris. Ce film n'a pas de grande prétention certes, la réalisation manque d'argent c'est sûr, mais il se laisse regarder avec plaisir et on retrouve JCVD dans un rôle adapté à ses moyens d'aujourd'hui. Bref, un bon divertissement.

Sans être désastreux, La Vengeance dans le corps fait quand même partie de ces petites productions peu glorieuses auxquelles est abonné JCVD depuis quelques années.
En soi l'histoire n'est pas mauvaise, spoiler: bien que cela vire presque dans le soap durant la 2nde partie du film, on apprend que les 2 frères étaient amoureux de la même femme et qu'en fait la nièce de Van Damme est en réalité sa fille car son frère est stérile...puis à la fin le frère est apparemment en couple avec une prostituée ressemblant à sa femme décédée.

Van Damme est fâché car on lui a piqué un rein (il devait le donner à sa nièce qui est très malade), s'en suit donc quelques scènes de tatanes et des passages sensés être plus intimistes et dramatiques (je vous renvoie à mon spoiler).
Si le réalisateur est à peu prés à l'aise avec l'aise avec l'action par contre les scènes plus "sérieuses" manque d'intensité et coupent le rythme du film (qui déjà en manque).
La Vengeance dans le corps n'est peut-être pas une nullité, on peut quand regretter le manque d'action et aussi des transparences très visibles (lors de la poursuite en voitures) et même si on ne s'ennuie pas devant ce film, l'ensemble n'a pas assez de punch.

Deacon c'est le nom du personnage de Van Damme. Hé bien sa déconne direct dès le début du film. Van Damme part à la recherche de son rein... et nous on se prend un bon coup de pied dans le notre. Mauvaise réalisation, mal jouer et mauvais acteurs.

Un film bien trop prévisible pour être au moins divertissant. L'histoire du rein volé est vue et revue que ça soit dans les DTV ou même les téléfilms de plus toutes les ficelles sont trop grosses, on devine toujours à l'avance ce qui va se passer hormis pour le final qui je l'avoue m'a surpris. A part l'histoire, le film manque aussi de rythme, il n'y a pas beaucoup d'action ce qui fait que le film est assez ennuyeux même s'il se laisse regarder.

Petite production d’action ordinaire pour Van Damme à une époque où il accumulait les DTV, pour la plupart sans grande saveur et même, sans le parfum un peu nanar de certains de ses films plus anciens. La Vengeance sous la peau part sur des bases hyper classiques. Le casting est composé de trognes habitués au genre, pas de grands noms, mais des gueules qui font plus ou moins bien le job. Aux côtés d’un Van Damme usé, mais pour la bonne cause (abus du maquillage violet pour faire les yeux cernés quand même !), on trouve par exemple Darren Shahlavi en méchant, habitué aux nanars mais qui s’avère plutôt convaincant ici. On s’amuse aussi de voir Van Damme avoir un professeur pour frangin en la peau de l’acteur John Ralston, plutôt convaincant lui aussi. Un sage asiatique, une femme sexy, et voilà, on boucle un casting caricatural mais honorablement campé.
Le scénario est assez faiblard. L’idée de base est plutôt loufoque pour commencer, et le déroulé qui suit est celui d’un film d’action franchement douteux. Barbarash use et abuse des ralentis jusqu’à plus soif, ce qui rend l’action fadasse, même s’il y a quelques moments plutôt violents et que Van Damme nous sert ses meilleurs tours. Reste que la mise en scène molle, les décors hyper classiques, l’ambiance Manille qui n’est pas vraiment retranscrite, parviennent difficilement à compenser une intrigue lancinante. On s’ennuie un peu, l’action peine à nous dérider, et pourtant, on ne peut pas dire que ce soit indigent non plus, et j’ai même envie de dire que la fin rattrape certaines faiblesses du métrage. En effet, je note une certaine subtilité du côté des intentions du méchant, et également dans l’utilisation du personnage de Van Damme qui nous réserve une surprise inattendue à la fin. J’avoue que j’étais parti pour mettre 2, mais cette fin, qui ose et surprend agréablement, m’amène à réviser ma note à la hausse. Après, il ne faut pas se mentir, l’action reste basique, le film reste basique, on ne retiendra rien de très notable dans ce produit de consommation pur et dur.

Ce film a pour principaux handicaps une histoire vraiment bancal et tiré par les cheveux et une réalisation vraiment mauvaise !! Même JCVD à l'air de se chercher tout le film et je l'ai trouvé globalement "mou"

Personnages toujours aussi niais et toujours aussi maladroit au tir au pistolet. Ca menace, ça tire beaucoup, mais au final rien nen sort sinon des scènes mille fois vues et revues. Combats brouillons, dialogiues itou. L'ennui vous prend d'un coup et vous endort irrémédiablement. Le scénario eût pu être intéressant, mais les moyens pour le booster restent en dessous du minimum syndical.
On peut se dire cinéphile sans avoir vu ça.

On retrouve Jean-Claude VAN DAMME dans une énième série Z. Aussitôt vu, aussitôt oublié... ce "Pound of Flesh" comporte une histoire intéressante, mais très mal exploitée ! Le film perd donc de son intérêt. En même temps, nous pouvions difficilement attendre plus d'un film avec des moyens aussi limités. A voir en dernier recours, et pour les fans absolus de JCVD... les autres, passez votre chemin !

"Ou est mon rein???" Clame JCVD à grand coups de tatane dans la tronche. Cette scène résume bien le niveau de ce direct-to-video au scénario plus aberrant que jamais. Notre belge de fer s'est donc fait subtiliser un rein après avoir été drogué et part de suite à la recherche des ces trafiquants d'organes.
"- Mais on peut vivre avec un seul rein" lui rétorque son ami. "Non car je dois en donner un à ma nièce qui va mourir dans les trois jours". Quel coup du sort! Là nous pensons tous à la même chose: et si l'organe avait déjà été greffé sur quelqu'un d'autre? "- Et bien je le tue et je redonne le rein à ma nièce!"
Nous nous arrêterons ici dans ce synopsis abracadabrantesque au possible, qui est hélas au niveau du reste du film, à savoir baclé et initéressant, avec des scènes de baston vues et revues en dix fois mieux dans d'autres péloches d'action, et des effets spéciaux dignes d'un amateur (les scènes en voiture avec un faux défilement de route en arrière plan sont encore plus ringardes que dans les films des années 40!) La carrière de Van Damme continue sa lente déliquescence...
Le niveau zéro du cinéma.

Si une chose choque dans ce film, c'est que le jeu d'acteur de JCVD est de pire en pire mais c'est surtout les combats, dont les trois quarts sont tellement mous et mal joués que j'estime pouvoir les faire (et le seul sport de combat que je connais est le patinage artistique..).
a la toute fin, on se dit presque que le script aurait pu être écrit en moins d'une heure tant les discours sont niais et clichés. "arhhhh je meurres, je vais donner mon rein pour la sauver" "oh non, ne meurres pas" "si! je dois le faire pour ma conscience" "ok. merci alors"...