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    Ant-Man et la Guêpe
    Anecdotes, potins, actus, voire secrets inavouables autour de "Ant-Man et la Guêpe" et de son tournage !

    Succès au box-office pour la fourmi

    Avec le film Ant-Man, sorti en 2015, les studios Marvel ont fait découvrir un nouveau super-héros au public fidèle et toujours plus nombreux du MCU, l’Univers Cinématographique Marvel. Le Dr Hank Pym y choisissait Scott Lang, un sympathique cambrioleur, pour lui succéder dans le costume d’Ant-Man et réveiller le héros qui sommeillait en lui. Le film mettait également en scène la fille du scientifique, Hope van Dyne, qui s’apprêtait à devenir la Guêpe. Ce film de casse, déjà réalisé par Peyton Reed, s’est placé en tête du box-office dès sa sortie et a rapporté plus de 500 millions de dollars à l’international.

    Pas la suite d'Infinity War

    Kevin Feige, producteur du film, a déclaré que Ant-Man et la Guêpe était la suite directe de Ant-Man et Captain America Civil War. Il ne tient donc pas compte des événements d'Avengers Infinity War. "Je suis toujours très enthousiaste à l’idée de pouvoir raconter des histoires comme celle-ci, dans lesquelles on retrouve les personnages des films d’origine enrichis par leurs apparitions dans les autres films du MCU. Grâce à cette stratégie, la suite des aventures d’Ant-Man post Civil War est désormais attendue par un public beaucoup plus vaste."

    La Guêpe sort son dard !

    Selon Kevin Feige, la présentation du costume de la Guêpe dans la scène finale de Ant-Man constitue sans doute l’une des ses fins préférées parmi tous les films du MCU. "Je pense parler au nom de tous en disant qu’il était grand temps d’intégrer une super-héroïne au MCU. C’est la raison pour laquelle nous avons choisi d’intituler le film Ant-Man et la Guêpe." Peyton Reed considère comme un honneur d’avoir pu introduire le personnage au cinéma. La Guêpe est d'ailleurs la première super-héroïne à donner son nom au titre d’un film des studios Marvel. Le réalisateur confie : "Il y a beaucoup de choses qui me plaisent dans le film, mais ce qui m’a le plus séduit, c’est de présenter la Guêpe au public et de voir Hope van Dyne dans la peau d’une super-héroïne aux incroyables pouvoirs. J’ai pris énormément de plaisir à explorer la dynamique du duo qu’elle forme avec Ant-Man et à définir sa place dans l’Univers Cinématographique Marvel."

    Si si la famille !

    Le thème de la famille, si central dans Ant-Man, domine à nouveau dans ce film. Les cinéastes tenaient à lui donner une place encore plus importante à travers les familles élargies des Van Dyne-Pym et des Lang. Peyton Reed explique : "Pour moi, le thème de la famille est indissociable des aventures d’Ant-Man. Scott Lang est le super-héros le plus ordinaire de l’Univers Cinématographique Marvel. Ce n’est ni un brillant scientifique, ni un milliardaire, c’est un type normal qui ne possède aucun super-pouvoir et dont les aptitudes reposent uniquement sur son costume. Scott ne se considère d’ailleurs pas comme un héros. Après avoir involontairement mis sa fille en danger et passé du temps en prison en croyant ne jamais la revoir, il n’est plus certain de vouloir continuer à être Ant-Man. Et c’est cette histoire que nous racontons dans le film."

    Grandir et rapetisser

    Le clou du spectacle dans Ant-Man et la Guêpe réside dans les changements de taille des personnages. Le producteur Stephen Broussard note : "L’une des idées phares de ce film, c’est que la faculté de rapetisser ou de grandir ne se limite plus aux costumes et aux personnes. Les voitures peuvent désormais rétrécir, tout comme les immeubles. Nous avons également développé un concept que nous avons appelé « l’homme variable ». Ant-Man peut donc désormais prendre n’importe quelle taille entre 60 centimètres et 24 mètres. Mais évidemment, le plus drôle avec ce genre de pouvoirs, c’est quand la situation dérape." C’est à Stéphane Ceretti et son équipe qu’il a incombé de réaliser ces effets visuels. Il déclare : "Nous avons essayé d’aborder ces changements d’échelle et tout ce qui avait été créé pour le premier film de manière encore plus ludique.

    Ant-Man peut désormais prétendre à plein de tailles différentes, bien plus que ce qu’on a pu voir auparavant. Nous avons également filmé les acteurs en capture de mouvements devant un écran vert de manière à ce que ce soit bien Paul qui incarne le personnage. On voit en effet beaucoup plus son visage dans ce film que dans l’original car il ouvre davantage son casque, même lorsqu’il ne mesure pas plus de quelques millimètres. Pour y parvenir, nous avons eu recours à différentes techniques." Parmi celles-ci, le superviseur des effets visuels cite la capture faciale. "Nous utilisons un système appelé Medusa qui saisit toutes les expressions faciales des acteurs et nous permet de les recréer à l’identique. Nous combinons cependant constamment les techniques de manière à ne jamais dépendre d’une seule d’entre elles."

    Un film de casse style Elmore Leonard

    Le ton de Ant-Man et la Guêpe s’inscrit dans la lignée du premier film, entre comédie et film policier. Le producteur Stephen Broussard confie : "Ant-Man s’inspirait clairement du film de casse, un genre plébiscité par le public. Nous considérons d’ailleurs la franchise comme une série de films d’inspiration policière. Nous avons donc étudié différents genres et sous-genres de films policiers, et celui qui a particulièrement retenu notre attention est un sous-genre que je suis sûr que les gens connaissent sous tout un tas de noms mais que j’appelle pour ma part le « one bad night ». C’est le genre d’histoire dans laquelle un événement se prépare – généralement à la limite de la légalité – dont la réalisation semble simple, mais soudain les choses tournent mal et les personnages basculent dans une spirale infernale où la situation ne cesse d’empirer…"  Il ajoute : "Nous avons également été inspirés par les romans policiers d’Elmore Leonard, à qui l’on doit de formidables livres, dont certains ont été adaptés au cinéma, comme Get Shorty ou Hors d'atteinte. Ils racontent tous l’histoire de personnages marginaux et excentriques à leur manière. C’est pourquoi, lorsque nous avons commencé à imaginer les méchants du film et les différents ennemis auxquels Scott et compagnie sont confrontés, nous avons puisé l’inspiration dans cette littérature."

    Une super-vilaine insaisissable

    Adversaire insaisissable, Fantôme constitue la plus grande menace pour Hank et Hope dans leur quête de la vérité. Et lorsque Scott leur vient en aide, il devient à son tour une cible. Fantôme est prête à tout pour mettre la main sur la dernière création de Hank… et ce pour des raisons très personnelles. Que serait un film de l’Univers Cinématographique Marvel sans un redoutable méchant ? Ant-Man et la Guêpe sont ici confrontés à un adversaire entouré de mystère baptisé Fantôme, apparu pour la première fois dans les comics Marvel dans le numéro 219 d’Iron Man sous l’apparence d’un personnage masculin.   

    Fantôme a très vite intrigué les cinéastes. Le personnage n’ayant pas de véritable histoire, les scénaristes ont joui d’une grande liberté pour l’adapter sur grand écran. Kevin Feige raconte : "Il existe encore beaucoup de formidables personnages des comics Marvel que nous n’avons pas exploités. Pendant le développement du film, nous avons exploré la notion de dimension quantique et la manière dont la physique altère le corps, c’est pourquoi nous avons décidé d’adapter ce personnage insaisissable et capable de passer à travers les murs." Bien qu’il conserve certains aspects de son incarnation originale, Fantôme est désormais l’alter ego d’une jeune femme répondant au nom d’Ava et incarnée par l’actrice britannique Hannah John-Kamen. Elle déclare : "Il s’agit d’un personnage extrêmement complexe qui n’est ni totalement mauvais, ni totalement bon. Elle ne cherche pas à dominer le monde ni à combattre le mal. J’ai été surprise par la vulnérabilité d’Ava, dont je me sens très proche."

    Décors

    Le tournage de Ant-Man et la Guêpe a commencé à l’été 2017, près de trois ans après celui du premier film. Il a principalement été tourné à Atlanta dans l’État de Géorgie, mais l’équipe s’est également rendue dans la région de San Francisco où plusieurs scènes ont été filmées en décors naturels. Pour le producteur Kevin Feige, il était essentiel que le film mette de nouveaux univers en scène. Il explique : "Les films Marvel ont pour but de transporter les spectateurs dans des mondes inédits, et c’est ce qu’ils font tous, des Gardiens de la Galaxie à Captain America Civil War. Ant-Man, qui nous plonge dans l’infiniment petit et le monde quantique, n’est pas sans rappeler les dimensions explorées dans Doctor Strange. Et je pense que les spectateurs apprécient le caractère unique et inattendu des mondes que nous leur présentons."

    Un labo incroyable

    Si la maison victorienne abritant le laboratoire de Hank Pym avait été le décor phare du premier film, force est de constater que Shepherd Frankel, le chef-décorateur, s’est une fois encore surpassé avec ce nouveau laboratoire dont la construction, sur un plateau des Studios Pinewood de près de 1.400 mètres carrés, a nécessité plus de quatre mois de travail. Le chef décorateur savait dès le départ que la construction de ce décor lui demanderait un travail colossal car il allait devoir ériger un bâtiment de plusieurs étages capables de supporter le poids du matériel, de l’éclairage et de l’équipement de tournage ainsi que de plusieurs dizaines de personnes.

    La structure a ensuite été encerclée par un rideau vert pour que Stéphane Ceretti et son équipe puissent créer les environnements numériques de l’immeuble. Une fois la charpente en acier livrée, montée et fixée sur le sol du plateau de tournage, plusieurs autres départements sont venus compléter le décor. Le département en charge de la construction a ainsi poursuivi son travail en collaboration avec les membres de l’équipe des effets spéciaux, les machinistes et les électriciens, entre autres. Ce gigantesque décor se composait en réalité de huit mini-décors différents au sein d’une même structure. Avec l’aide d’une gigantesque imprimante 3D destinée d’ordinaire à l’industrie, l’équipe a pu créer plus de 8.000 pièces disséminées aux quatre coins du laboratoire.

    Chérie, j'ai rétréci Ant-Man

    L’un des aspects les plus ludiques du pouvoir de rétrécissement d’Ant-Man est incontestablement de découvrir les objets du quotidien du point de vue d’une fourmi. Dans le film original, le réalisateur Peyton Reed et les producteurs Kevin Feige et Stephen Broussard se sont employés à donner vie à un univers infiniment petit aussi photoréaliste que possible, et c’est avec la même volonté qu’ils ont abordé Ant-Man et la Guêpe. Ils s’en sont une fois encore remis au savoir-faire de Shepherd Frankel, dont le talent pour créer les décors ultra-réalistes des stupéfiantes séquences de combat dans lesquelles Ant-Man et la Guêpe, miniaturisés, se retrouvent soudain dans un environnement surdimensionné n’est plus à démontrer.

    Comme sur le premier film, la production a fait appel à une équipe spécialisée en macrophotographie afin de saisir les moindres détails des environnements. Pour Ant-Man, Shepherd Frankel et son équipe avaient fait énormément de recherche dans les domaines de la macrophotographie et de la miniaturisation. Ils avaient construit des « macrodécors », qui étaient en fait des décors miniatures filmés en macrocinématographie et photographiés en macrophotographie. Ils avaient également eu recours à la capture de mouvements - des acteurs comme de leurs doublures - que l’équipe en charge des effets visuels avait intégrés numériquement dans l’univers surdimensionné du film.

    Un objectif dernier cri

    Pour certaines scènes, si les performances des acteurs et de leurs doublures ont été filmées en capture de mouvements, les décors de Shepherd Frankel ont quant à eux été tournés séparément grâce à un objectif spécial, le Frazier, afin de jouer différemment sur les dimensions de l’environnement. L’objectif Frazier permet en effet de voir aussi nettement ce qui se trouve au premier plan de l’image que ce qui se situe à l’arrière-plan. En rendant possibles des prises de vues macro grand angle avec une très grande profondeur de champ, l’utilisation de cet objectif a permis à Peyton Reed de saisir tous les détails des décors rapprochés ou lointains pour créer un point de vue exagéré. Le chef décorateur observe : "Dans tous les environnements que nous utilisons, nous photographions chacun des éléments réels avec une grande précision. Même si au final ces décors sont générés par ordinateur pour pouvoir filmer avec une caméra virtuelle où l’on veut dans l’espace, lorsqu’ils sont vraiment photoréalistes, cela fait toute la différence."

    Les super-costumes

    La chef costumière Louise Frogley, qui a rejoint l’équipe de Ant-Man et la Guêpe après avoir pris part à Spider-Man Homecoming, sait à quel point il est difficile d’habiller des super-héros pour le grand écran. Avec Ivo Coveney, en charge des costumes spéciaux et membre de l’équipe d’Ant-Man, ils ont imaginé les multiples tenues des personnages de Paul Rudd, Evangeline Lilly, Michael DouglasMichelle Pfeiffer et Hannah John-Kamen.  Le concept art pour chaque costume a été réalisé par Andy Park, le superviseur du développement visuel des studios Marvel, et son équipe. Ils ont ensuite été remis à la chef costumière et au superviseur des effets visuels afin qu’ils définissent le design, les matières, la coupe et la fonction des costumes pour toutes les situations décrites dans le scénario, tout en répondant à certaines exigences esthétiques. Les studios Marvel ont à cœur de repousser leurs limites en intégrant des avancées technologiques aux costumes, aux gadgets ou aux armes de leurs super-héros. Pour Ant-Man et la Guêpe, les nouvelles tenues de Scott Lang et Hope ont ainsi été améliorés tout en conservant l’esprit de ceux du premier film.

    Le costume de la Guêpe

    Le costume de la Guêpe, dont les spectateurs ont eu un aperçu dans la scène finale de Ant-Man lorsque Hank dévoilait un prototype destiné à Hope, est sans doute celui que les fans des comics Marvel attendent de découvrir avec le plus d’impatience. Evangeline Lilly confie : "Cette tenue était un vieux prototype datant des années 1980. Mais depuis, la technologie a beaucoup évolué, et en femme d’aujourd’hui, Hope l’a amélioré avec son père afin qu’il corresponde à ses besoins et à notre époque."

    Au final, le costume se compose d’une combinaison affutée recouverte de multiples pièces moulées semi-rigides, de bottes et d’un casque. Sa couleur et sa texture ont été réalisées en saturant la couche de base avec une teinte argentée réfléchissante à laquelle sont venues s’ajouter des pièces de cuir teint en doré au motif nid d’abeille sur deux épaisseurs. Le corsage et la partie centrale du costume comptent à eux seuls plus de 90 pièces de cuir pour offrir à l’actrice une entière liberté de mouvements. Le processus de confection du reste du costume a été tout aussi complexe et a nécessité - avant assemblage - le dessin et la découpe des motifs, leur numérisation, l’ajout de points et enfin la découpe au laser de toutes les pièces. Les emblématiques ailes de la Guêpe ont été intégrées au costume pour les plans où elles sont refermées. Pour les séquences de vol en revanche, elles ont été ajoutées en postproduction par l’équipe du superviseur des effets visuels Stéphane Ceretti.

    Le costume d'Ant-Man

    Dans le rôle d’Ant-Man, Paul Rudd apparaît dans une version modernisée du costume en cuir vintage des années 1960 qu’il portait dans le premier film. Ivo Coveney déclare : "Le costume d’Ant-Man, avec sa coupe ample plus proche de la combinaison de motard, était intentionnellement démodé car il n’avait pas été porté depuis de longues années. Sa nouvelle incarnation est beaucoup plus moderne et ajustée, ce qui donne à Paul une apparence encore plus héroïque." La création du costume d’Ant-Man pour le film original a nécessité énormément de recherche et développement, mais l’expérience de Paul Rudd et ses doublures vécue lors du tournage a fourni de précieux enseignements à l’équipe de Ant-Man et la Guêpe pour cette nouvelle version. Grâce aux récentes innovations, Louise Frogley et son équipe ont pu repousser leurs limites. Elle explique : "Les techniques de fabrication ont évolué depuis Ant-Man, et nous avons pu les mettre à profit sur ce film. Nous avons notamment eu recours à la découpe au laser et à l’impression en relief. Et la différence est sensible entre le costume original d’Ant-Man et le plus récent. Je suis absolument ravie du résultat final. C’est un bonheur de voir Ant-Man et la Guêpe enfin réunis sur grand écran !"

    Le costume du Fantôme

    Le terrifiant costume porté par Fantôme dans Ant-Man et la Guêpe est très similaire à celui du personnage des comics. Il permet à la tueuse mortelle dotée du pouvoir unique d’intangibilité de devenir visible ou invisible à volonté, de stabiliser son apparence sans perdre la faculté de passer à travers n’importe quel obstacle. Dès que Hannah John-Kamen a été choisie pour interpréter le rôle, l’équipe lui a fait faire un scanner corporel complet pour réaliser un mannequin afin que le département en charge des costumes puisse commencer à fabriquer les pièces sur mesure qui composent sa tenue. Ces éléments semi-rigides ont ensuite été moulés et fixés à sa fine combinaison en néoprène, offrant ainsi une liberté de mouvement maximum à l’actrice et à sa doublure. Un casque, un masque et une capuche viennent compléter son look. Inspiré des comics, le casque de Fantôme a été conçu de manière à ce que l’emplacement des yeux diffère de celui des humains. Il était par conséquent extrêmement difficile pour l’actrice ou sa doublure de voir quoi que ce soit.  Comme d’habitude, plusieurs exemplaires ont été fabriqués pour chaque acteur et ses doublures cascades. L’équipe d’Ivo Coveney a ainsi confectionné 64 costumes spéciaux – 14 versions d’Ant-Man, 15 de la Guêpe, 12 pour Fantôme, 8 pour Hank et 15 pour Janet – ainsi que des dizaines de casques, de ceintures, de sacs à dos et de gants.

    Cascades à foison

    George Cottle, le coordinateur des cascades à qui l’on doit les impressionnantes scènes donnant l’impression que Peter Parker s’affranchit de la gravité pour parcourir New York suspendu dans le vide dans Spider-Man Homecoming, a été chargé de concevoir et de chorégraphier les cascades tout aussi époustouflantes de Ant-Man et la Guêpe

    Le coordinateur des cascades déclare : "Les acteurs se sont montrés à la hauteur du défi et l’ont relevé avec brio. Il y a peu de choses hors de leur portée sur le plan physique car tous tiennent une forme olympique. Evangeline Lilly s’est beaucoup investie pour rendre les scènes d’action de la Guêpe les plus réalistes possible ; ça a également été le cas de Paul Rudd, d’Hannah John Kamen et tous les autres. Il arrive dans ce film que les super-héros ou leurs ennemis apparaissent à visage découvert, impossible dès lors de se cacher derrière un costume : ils doivent réaliser eux-mêmes la cascade."

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