Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
11 critiques presse
Critikat.com
par Julien Marsa
En véritable cinéaste du paysage, des espaces – en un mot du territoire – Marchais se pose en authentique arpenteur, délimitant tout à tour les contours d’une politique de réforme locale, d’implantation de l’habitat ou d’une zone industrielle en les traduisant en termes concrets sur le terrain.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
Absence de visée polémique. Désir de comprendre. Pari sur l'intelligence du spectateur. Préparation au long cours. Richesse synthétique des approches, des sources, des personnages. Souci de raccorder l'enjeu du film à une conception globale de l'homme dans son environnement.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Fiches du Cinéma
par Ghislaine Tabareau
Politique et géographique, ce documentaire laisse les paroles se croiser, amorçant une réflexion profonde sur la notion d'espace partagé.
Les Inrockuptibles
par Serge Kaganski
"La Ligne de partage" des eaux ne devient pas un puzzle achevé (si ce n’est dans la beauté simple de ses plans) mais un tableau d’ensemble imparfait, plein de réussites, d’échecs, de questions en suspens, à l’image de la vie collective.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Positif
par Pascal Binétruy
Tout un imaginaire bachelardien jaillit des plans superbes qui donnent à voir le chevelu d'un fouillis de rus, une averse de pluie sur une rivière ou le cours allègre d'un ruisseau. Chaque séquence fait sens en elle-même, bien que des motifs directeurs organisent le récit.
Transfuge
par François Bégaudeau
Le second film de Dominique Marchais foisonne à partir de questions enfantines, primitives : où habiter ? quoi bâtir ? Comment cultiver ? Quoi manger (...) ? Ces soucis élémentaires s'avançant sous le blason d'un élément, l'eau, métonymique de la vie.
Cahiers du Cinéma
par Florence Maillard
Ici, nul vertige, mais l’intérêt est de même nature : l’action se déploie dans les deux sens, empruntant le tracé rectiligne d’une pensée engagée dans la fuite en avant, ou celui plus sinueux d’un pari écologique exaltant et inquiet.
La Croix
par Arnaud Schwartz
Cette ambitieuse démarche pourrait sembler quelque peu austère (...) Le cinéaste parvient pourtant à la rendre vivante, concrète, grâce à la qualité de ses interlocuteurs et à l’intelligence de la parole qui se déploie.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Libération
par Didier Péron
Le film parfois bouleverse en ce qu’il déplie l’ample nuancier des problématiques, mais dans un mouvement sinueux qui a la douceur de l’eau et l’invisibilité du vent.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Première
par Damien Leblanc
Réflexion sur l'aménagement du territoire, ce documentaire situé dans le bassin de la Loire décrypte les limites de l'idéologie du progrès à tout prix.
Télérama
par Mathilde Blottière
Convaincant quand il inscrit son film au coeur du territoire (les belles scènes sur l'eau), le réalisateur se fourvoie lorsqu'il nous laisse seuls (et démunis) face au jargon administratif des élus et des militants (longues, très longues séquences de réunions publiques...)
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Critikat.com
En véritable cinéaste du paysage, des espaces – en un mot du territoire – Marchais se pose en authentique arpenteur, délimitant tout à tour les contours d’une politique de réforme locale, d’implantation de l’habitat ou d’une zone industrielle en les traduisant en termes concrets sur le terrain.
Le Monde
Absence de visée polémique. Désir de comprendre. Pari sur l'intelligence du spectateur. Préparation au long cours. Richesse synthétique des approches, des sources, des personnages. Souci de raccorder l'enjeu du film à une conception globale de l'homme dans son environnement.
Les Fiches du Cinéma
Politique et géographique, ce documentaire laisse les paroles se croiser, amorçant une réflexion profonde sur la notion d'espace partagé.
Les Inrockuptibles
"La Ligne de partage" des eaux ne devient pas un puzzle achevé (si ce n’est dans la beauté simple de ses plans) mais un tableau d’ensemble imparfait, plein de réussites, d’échecs, de questions en suspens, à l’image de la vie collective.
Positif
Tout un imaginaire bachelardien jaillit des plans superbes qui donnent à voir le chevelu d'un fouillis de rus, une averse de pluie sur une rivière ou le cours allègre d'un ruisseau. Chaque séquence fait sens en elle-même, bien que des motifs directeurs organisent le récit.
Transfuge
Le second film de Dominique Marchais foisonne à partir de questions enfantines, primitives : où habiter ? quoi bâtir ? Comment cultiver ? Quoi manger (...) ? Ces soucis élémentaires s'avançant sous le blason d'un élément, l'eau, métonymique de la vie.
Cahiers du Cinéma
Ici, nul vertige, mais l’intérêt est de même nature : l’action se déploie dans les deux sens, empruntant le tracé rectiligne d’une pensée engagée dans la fuite en avant, ou celui plus sinueux d’un pari écologique exaltant et inquiet.
La Croix
Cette ambitieuse démarche pourrait sembler quelque peu austère (...) Le cinéaste parvient pourtant à la rendre vivante, concrète, grâce à la qualité de ses interlocuteurs et à l’intelligence de la parole qui se déploie.
Libération
Le film parfois bouleverse en ce qu’il déplie l’ample nuancier des problématiques, mais dans un mouvement sinueux qui a la douceur de l’eau et l’invisibilité du vent.
Première
Réflexion sur l'aménagement du territoire, ce documentaire situé dans le bassin de la Loire décrypte les limites de l'idéologie du progrès à tout prix.
Télérama
Convaincant quand il inscrit son film au coeur du territoire (les belles scènes sur l'eau), le réalisateur se fourvoie lorsqu'il nous laisse seuls (et démunis) face au jargon administratif des élus et des militants (longues, très longues séquences de réunions publiques...)