Avis : Equalizer 2 - Page 10

C'est indéniable : Denzel Washington bénéficie d’une belle cote de sympathie auprès du public. Nombreuses ont été les personnes de mon entourage à me demander mon avis sur cette suite et j’ai été bienveillant en l’edulcorant. Parce qu’il faut être honnête : le poids des ans se fait ressentir sur ses épaules et que le film en pâtit grandement. Bilan : peu d’action, trop de réflexion et une partie finale décevante qui nous laissent sur notre faim ...

je ne sais même plus si j’avais vu ou pas le premier.. En prenant la peine de regarder toutefois plusieurs photographies du premier �Equalizer� j’ai eu �comme l’impression� que j’avais vu ce film...
Toutefois pour ne pas m’en rappeler à ce point là, j’en conclus qu’il ne m’avait pas laissé un souvenir impérissable.
Le second m’en laissera encore moins... J’ai même remarqué, comme d’autres, qu’au niveau du montage, il y avait des loupés peu minces.
Quant à l’histoire en elle même, on ne peut pas dire qu’on ait droit à du �nouveau� dans le genre.
On a plutôt droit à tous les poncifs déjà vus et revus dans des dizaines de films. Encore un ex agent des services secrets américains qui a �décroché� (même supposé être mort). Il est devenu chauffeur de taxi VTC mais ponctuellement son côté Juge Dreed prend le dessus et il joue le défenseur de la veuve et de l’orphelin. Tout s’accélère lorsque son amie sera assassinée et qu’il décidera de �venger� la mort de celle-ci.
Quant au �méchant� du film, et je ne suis pas devin, on comprend de qui il s’agit dès qu’on le voit... Je sais, je shématise beaucoup, j’ironise surtout, c’est plus �subtil� que ça écriront certains. J’accepte volontiers le fait qu’une partie du public ait aimé ce type de spectacle, au niveau film d’action on peut dire qu’il remplit son contrat, mais je ne l’ai même pas trouvé si distrayant que ça, le comble, puisque j’ai même piqué du nez devant l’écran... C’est dire....

Mr mccall fait toujours la justice selon ses codes. J ai bien aimé le scenario du film et le début du film cependant je l ai vraiment trouvé sans plus, le film manque de réelle intrigue. J'ai l 'impression que denzel est là uniquement pour tuer ...

Un mauvais film, l'un des plus mauvais que j'ai vu cette année au cinéma. Effectivement Denzel Washington est plutôt bon, le budget est au rdv, les seconds rôles également mais le scénario... Il faut bien une heure après que le scénariste soit allé à gauche et à droite pour qu'il se décide à s’arrêter sur une intrigue qui s'avère être bien creuse et déjà vu et ce n'est pas le semblant de questionnement moral pour les débutants en philosophie qui va venir étayer un peu le tout. Le film est plat et fade mais bon en lisant les autres critiques il semble vrai tous les goûts sont dans la nature...

Sortie en 2014, The Equalizer premier du nom c'était imposé comme un vigilante movie assez sympathique. Adaptation peu fidèle d'une série des années 80, il était surtout marqué par un style visuel plaisant avec ses scènes d'actions stylisées et un Denzel Washington en grande forme. Il souffrait d'un scénario peu profond et assez prévisible ainsi qu'un rythme pas toujours à la hauteur mais l'entreprise était suffisamment convaincante pour laisser sa chance à une suite. Antoine Fuqua revient à la réalisation et signe ainsi sa quatrième collaboration avec Denzel Washington, lui qui a surtout eu une carrière peu brillante où l'éclectisme de ses films cachent surtout un profond manque d'identité.

Pourtant Antoine Fuqua reste un faiseur expérimenté et il signe une réalisation plutôt correcte qui bénéficie surtout de quelques idées de mise en scène assez audacieuses et relativement bien exécutées. Voulant pousser le concept du film un peu plus loin, il apporte de vraies idées de cinéma et permet à cette suite de bénéficier à quelques moments de séquences ludiques mais qui malheureusement reste que des améliorations de ce qui était déjà là dans le premier film. Il y a finalement peu de nouveautés, il se contente souvent de faire plus gros que dans le précédent opus mais sans jamais offrir de l'inédit comme dans un climax à l'environnement certes original mais qui reste le même principe de jeu de chat et de la souris employé dans le climax de l'épisode d'avant. Surtout que le montage s'avère bien moins maîtrisé ce qui amoindrit des scènes d'actions beaucoup trop illisibles en raison de trop nombreux cut qui viennent parfois réduire l'impact des plans les plus élaborés. Il reste quand même un savoir-faire par instant plus fulgurant que le premier film mais aussi moins efficace sur la durée car il repose sur un rythme encore une fois aux fraises et un script bordélique.

Le scénario du précédent opus n'était pas vraiment surprenant ou particulièrement mémorable mais il disposait d'une intrigue simple et claire qu'on suivait du début à la fin. Le héros voulait protéger une jeune prostitué et se retrouvait au milieu d'une histoire sordide et permettait de créer un lien émotionnel assez fin mais bien présent dans la relation entre le protagoniste et sa jeune protégée. Sauf qu'ici, le scénario est une accumulation de sous-intrigues sans vraiment de fil conducteur. L'intrigue qui veut faire office d'élément principal se voit noyer et parasiter au milieu du reste. Cette suite affiche pourtant la volonté de creuser le passé de son héros pour l'épaissir mais l'ensemble tombe à plat car cela manque de focus. Tout comme lorsque le film rejoue la carte du héros qui prend un jeune sous son aile mais qui sert ici que comme un élément pour créer un enjeu lors du climax. Le film lance tellement d'éléments d'intrigues et de pistes narratives qu'il perd le fil de son propre déroulé et finit par sonner faux lorsqu'il se replonge dans son intrigue "principale". Cette dernière se lance bien trop tard et même si elle livre quelques bons moments comme les premiers face à face entre le protagoniste et ses adversaires, le tout n'a pas le temps d'être pleinement développé. Et c'est pas forcément aidé par un casting entre le mauvais jeu, Melissa Leo catastrophique, et le sous-jeu, Bill Pullman et Pedro Pascal qui sont ici pour cachetonner, où juste Denzel Washington arrive à maintenir l'ensemble un peu debout. Même si il est clairement plus fatigué que lors du premier film.

The Equalizer 2 est une suite moyenne. Rythme faiblard, scénario diffus qui accumule des sous-intrigues stériles qui parasite l'histoire centrale et un casting peu inspiré viennent parasiter un film qui possède pourtant de sérieuses qualités. Mais ces dernières ne peuvent jamais pleinement s'exprimer et finissent par créer ici et là de vrais bons moments mais qui fonctionnent indépendamment de l'expérience globale. On aurait aussi aimé un montage moins précipité lors des scènes d'actions qui parfois entrave les idées de cinéma mais celles-ci on le mérite d'être présente et d'offrir des moments ludiques et plutôt audacieux. The Equalizer 2 apparaît donc comme un film légèrement gâché où s'affronte une écriture en pilotage automatique et des idées visuelles bienvenues. En résulte un film bâtard, jamais vraiment convaincant mais qui se montre pourtant loin d'être foncièrement déplaisant.

l'intrigue met du temps a démarré et la seconde partie c'est sans surprise, le rôle de Mc Call est plus intéressant dans la première partie , plus approfondis.,la seconde partie est un trop dans l'action et prévisible dans le déroulement.

Denzel Washington campe ici les traits d'"Un justicier dans la ville" qui effectue des contrats commandités le plus souvent par ses supérieurs pour "rétablir" les injustices. Le film est moyen, sans grand relief même si le réalisateur, Antoine Fuqua, essaie de donner de l'humanité à son personnage principal qui va prendre sous sa coupe un jeune du quartier. Une œuvre poussive et bourrée de clichés.

Nul comparativement au 1er...Intrigue superficielle, scenes d’action timides et fin bâclée.... décevant, c’est tout ce que je peux dire

Fuca nous tenait la dragée haute avec le 1, mais ne renouvelle pas ici.
Lent, peu clair, laborieux, le film se traîne, malgré quelques scènes réussies.

Je dois dire que je suis assez déçu de ce deuxième film, l'action met un temps fou à démarrer et le scénario n'est pas à la hauteur du premier... En revanche les actions sont toujours aussi réalistes et le jeu d'acteur est très bon

Excellent film avec une bonne histoire et Denzel toujours autant charismatique. Meilleur que le 1 et mieux rythmé

Le 1er était plutôt sympa mais sans prétention. Une introduction du personnage et de ses aptitudes avec un énièmes scénario basé sur la mafia Russe.
Le 2 est passé à un niveau supérieur. L’histoire très efficace le passé de McCall est plus présent sans trop en dire. Denzel toujours magistral, les antagonistes sont très bon sans compter le final plutôt inattendu. Gros coup de cœur.

Encore une suite complètement loupée !! On n'y comprend pas grand chose, il faut sans cesse deviner qui est qui et qui a fait quoi. C'est mou et plein d'invraisemblances. Grosse déception

Robert McCall continue de servir la justice au nom des opprimés. Mais jusqu’où est-il prêt à aller lorsque cela touche quelqu’un qu’il aime ?

4 ans après un premier opus très réussi, Antoine Fuqua et son scénariste Richard Wenk récidivent une seconde fois avec Denzel Washington dans le rôle du bon samaritain. Le plaisir reste intact, Denzel fait amplement le job, toujours aussi efficace, il dégage une aura comme lui seul en a le secret.

Seul regret et pas des moindres, celui de voir à quel point le film met un temps fou à démarrer (c’est loooong). Toute la première partie n’est qu’un prétexte à un placement de marque (à savoir "Lyft", une énième appli de VTC) où pendant près de 30min, le héros nous fait faire le tour de Boston en long, en large et en travers et quand il n’est pas au volant de sa voiture, on à droit à des sous-intrigues peu palpitantes (Miles, un ado qu'il prend sous son aile & Sam, un survivant de l'Holocauste). On a bien compris qu’il fallait meubler pour tenir les 120min de film et c’est bien dommage car dès que l’intrigue se focalise sur Bruxelles, le film prend enfin tout son sens et parvient à nous tenir en haleine.

Le film se disperse dans la 1ère partie, pour mieux nous séduire dans la 2ème, malgré le fait qu’il soit ultra-prévisible (on le voit venir avec ses gros sabots). Sans oublier ce petit côté (désagréable) à la fois patriote et donneur de leçon (avec le soldat qui est déployé en Irak et le jeune qui se rêve gangsta en séchant les cours). Néanmoins, il faut bien admettre que malgré ses défauts, cette suite se regarde sans déplaisir.

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Cette suite reste dans une genre et un style basique, soit une sorte de "John Wick" moins nerveux et plus "humain" ce qui est en soi une qualité. Un prologue de présentation, le plaisir coupable des 9 secondes, et surtout le charisme monolithe de Denzel Washington. L'intrigue principale repose sur la sempiternelle vengeance, où le grand méchant est deviné dès son apparition. Le réalisateur use de quelques idées comme quand le héros imagine la scène de crime, tandis que quelques passages montrent aussi le flegme et l'intelligence stratégique du héros (le départ en famille). On aime surtout le fait que McCall/Washington reste mettre de lui à chaque instant, calme et même serein avant de passer à l'action de façon aussi brutal que cruel. On aime moins le fait qu'il soit quasi invincible, encore à la façon de "John Wick", ce qui est en soit un défaut. Le film reste un action movie très efficace mais qui a doit beaucoup à sa star ; imaginez le même film avec un autre acteur, ça passerait déjà plus inaperçu.
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