Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
14 critiques presse
Les Inrockuptibles
par Serge Kaganski
Un film libre, qui oscille entre réalité et onirisme, dans un Paris poétique et secret. Une échappée très belle.
Critikat.com
par Benoît Smith
Après "Adieu Gary", "Des Apaches" rappelle à notre bon souvenir la petite musique sensible de Nassim Amaouche.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Un film sensible, qui, derrière un portrait finement tracé, fait connaître de l’intérieur une communauté singulière.
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
En dépit de quelques scories (longueurs, pistes narratives en friche…) sans effet dommageable sur le plaisir que dispense l’œuvre, "Des Apaches" parvient à instaurer une atmosphère fascinante à partir de simples esquisses.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Première
par Hendy Bicaise
À la mort de sa mère, Samir revoit son père, qui l’initie à la culture kabyle. Nassim Amaouche en décrit les us et coutumes avec une rigueur admirable. Quand les sentiments passent au premier plan, le récit, toujours délicat et maîtrisé, gagne en liberté.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télérama
par Pierre Murat
(...) On est constamment dans l'inquiétude, à la lisière du rêve éveillé. Ces Kabyles, installés à Barbès, qui organisent des transactions immobilières selon leurs lois ancestrales semblent à la fois issus d'un documentaire et d'une fiction de Martin Scorsese.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
L'Humanité
par Vincent Ostria
Le cinéaste semble surtout s’attacher à créer des atmosphères romantiques, de préférence nocturnes. Cela rend ce méli-mélo attachant, sans plus.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Les Fiches du Cinéma
par Aude Jouanne
Nassim Amaouche interroge la place de l'individu au sein du groupe, et nous emmène dans un récit multiple aux limites du fantastique.
Ouest France
par Pierre Fornerod
Un scénario qui manque de rigueur, mélangeant plusieurs intrigues. Mais un regard ethnologique intéressant.
aVoir-aLire.com
par Judith Godinot
Après "Adieu Gary", Nassim Amaouche semble vouloir poursuivre sa quête de la construction d’une figure paternelle avec Des apaches. Un film fuyant mais beau.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Cahiers du Cinéma
par Laura Tuillier
Malgré ce manque d’aspérités, le film parvient à ne pas ennuyer grâce au risque que prend Nassim Amaouche de se mettre lui-même en scène dans ce rôle de trentenaire timoré.
Libération
par Clémentine Gallot
Le film navigue à vue, la mise en scène maîtrisée se voyant adossée à une écriture trop insondable ne permettant pas de démêler ce qui, chez ce petit-fils d’ouvrier algérien, relève de sa propre genèse ou d’une autofiction sublimée.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Positif
par Philippe Rouyer
Le meilleur du film tient à l'approche documentaire du milieu des bars parisiens gérés par des Kabyles qui s'appuient sur les décisions de leurs actionnaires, des représentants des grandes familles de leurs villages réunis en conseil. (...) Mais le film pêche par excès d'ambition lorqu'il entreprend de bouleverser la logique dramatique pour évoquer les affres de son héros.
Studio Ciné Live
par Thomas Baurez
Après un début laborieux, où le cinéaste tente d’embrasser le poids du deuil, des traditions et du déracinement, le film vire à la bluette à la lisière du fantastique avec une Laëtitia Casta qui peine à poser son jeu. Un film trop brouillon pour convaincre.
Les Inrockuptibles
Un film libre, qui oscille entre réalité et onirisme, dans un Paris poétique et secret. Une échappée très belle.
Critikat.com
Après "Adieu Gary", "Des Apaches" rappelle à notre bon souvenir la petite musique sensible de Nassim Amaouche.
Le Dauphiné Libéré
Un film sensible, qui, derrière un portrait finement tracé, fait connaître de l’intérieur une communauté singulière.
Le Monde
En dépit de quelques scories (longueurs, pistes narratives en friche…) sans effet dommageable sur le plaisir que dispense l’œuvre, "Des Apaches" parvient à instaurer une atmosphère fascinante à partir de simples esquisses.
Première
À la mort de sa mère, Samir revoit son père, qui l’initie à la culture kabyle. Nassim Amaouche en décrit les us et coutumes avec une rigueur admirable. Quand les sentiments passent au premier plan, le récit, toujours délicat et maîtrisé, gagne en liberté.
Télérama
(...) On est constamment dans l'inquiétude, à la lisière du rêve éveillé. Ces Kabyles, installés à Barbès, qui organisent des transactions immobilières selon leurs lois ancestrales semblent à la fois issus d'un documentaire et d'une fiction de Martin Scorsese.
L'Humanité
Le cinéaste semble surtout s’attacher à créer des atmosphères romantiques, de préférence nocturnes. Cela rend ce méli-mélo attachant, sans plus.
Les Fiches du Cinéma
Nassim Amaouche interroge la place de l'individu au sein du groupe, et nous emmène dans un récit multiple aux limites du fantastique.
Ouest France
Un scénario qui manque de rigueur, mélangeant plusieurs intrigues. Mais un regard ethnologique intéressant.
aVoir-aLire.com
Après "Adieu Gary", Nassim Amaouche semble vouloir poursuivre sa quête de la construction d’une figure paternelle avec Des apaches. Un film fuyant mais beau.
Cahiers du Cinéma
Malgré ce manque d’aspérités, le film parvient à ne pas ennuyer grâce au risque que prend Nassim Amaouche de se mettre lui-même en scène dans ce rôle de trentenaire timoré.
Libération
Le film navigue à vue, la mise en scène maîtrisée se voyant adossée à une écriture trop insondable ne permettant pas de démêler ce qui, chez ce petit-fils d’ouvrier algérien, relève de sa propre genèse ou d’une autofiction sublimée.
Positif
Le meilleur du film tient à l'approche documentaire du milieu des bars parisiens gérés par des Kabyles qui s'appuient sur les décisions de leurs actionnaires, des représentants des grandes familles de leurs villages réunis en conseil. (...) Mais le film pêche par excès d'ambition lorqu'il entreprend de bouleverser la logique dramatique pour évoquer les affres de son héros.
Studio Ciné Live
Après un début laborieux, où le cinéaste tente d’embrasser le poids du deuil, des traditions et du déracinement, le film vire à la bluette à la lisière du fantastique avec une Laëtitia Casta qui peine à poser son jeu. Un film trop brouillon pour convaincre.