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    Fatima
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    630 abonnés 1 970 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 29 février 2016
    Fatima avait un mari - elle en a divorcé. Ce dernier a refait sa vie, pas elle. Elle, elle élève ses deux filles, Souad, 15 ans, qui se la joue "rebelle", avec parler racaille (en glandant en 3e), et Nesrine, 18 ans, s'essayant à une 1ère année de fac de médecine, appliquée et conformiste. La dame est "technicienne de surface" pour une société de nettoyage de bureaux et autres locaux collectifs (plus quelques heures de ménage, majoritairement payées "au noir", pour une bourgeoise largement imbuvable, évidemment - alias Isabelle Candelier). Des signes de la constance de son implication ? Elle apporte des petits plats à Nesrine, qui a pris une chambre en ville, et l'aide pour son loyer en engageant ses bijoux au Crédit Municipal. En quoi cette vie honnête et laborieuse diffère-t-elle de celle de Mme Martin (autochtone) ou de celle de Mme Dos Santos (immigrée européenne), ses voisines à même existence terne et obérée - à supposer qu'il y ait encore quelques Mmes Martin ou Dos Santos dans la cité de Fatima, ces espèces-là s'y raréfiant en accéléré ?... Quelle mère digne de ce nom ne fait pas tout pour le bonheur et l'avenir (espéré radieux) de sa progéniture ? Où que ce soit, dans le monde entier ?.... Avec un "pitch" aussi peu engageant, on attend au moins quelque traitement original, ou au moins attachant/empathisant (etc. du même tonneau). Mais on n'aura donc ni scénario, ni effort pour faire montre d'un style cinématographique intéressant, et des "actrices" vivant simplement à l'écran ce qui ressemble à leur propre quotidien. Hum... voilà qui ressemble à un de ces reportages-"tranches de vie", dont la propagande télévisuelle nous régale fort libéralement.... Seule "complication" : Fatima, qui vit pourtant depuis plus de 15 ans en France, mais s'habille comme au bled et vit en vase clos, ne lit pas notre langue, ne l'écrit a fortiori pas, la parle très mal, et même ne la comprend pas toujours – bonjour les efforts d'intégration.... Deuxième (et dernière..) "complication" : Fatima s'essaie à truander la sécu, après une chute malencontreuse dans l'escalier de son immeuble (lors de ses activités de ménagère - donc, ni accident du travail, ni accident au moins de "trajet"), dont son médecin traitant ne voit, même avec beaucoup de bienveillance, plus aucune séquelle, au bout de 5 mois de repos pris en charge. Je laisse à ceux qui se risqueraient à visionner l'opus, l'"émerveillement" de la découverte finale : un "épilogue" d'une grande fraîcheur. On se pince.... ce pauvre prêchi-prêcha lourdement xénophile, qui ne nous apprend rien (ce qu'aurait pu, éventuellement, faire un vrai documentaire), qui ne nous émeut jamais (ce qu'une prétendue fiction si "édifiante" devrait savoir faire !), réalisée de la façon la plus plate qui soit, interprétée par des amateurs au "jeu" mécanique et répétitif (Fatima a UNE expression à disposition) est le "meilleur film français" de l'année 2015 (César 2016). Et remporte 2 autres statuettes ce 26/02/16 (après d'ailleurs le Prix Louis-Delluc, fin 2015).... La boboïsation du cinéma hexagonal dans toute sa "splendeur" a encore sévi ! Le palmarès des Césars est corseté dans une thématique annuelle bien-pensante, sans l'ombre d'un doute, depuis pas mal de temps. Après 2014 et le triomphe de l'idéologie LGBT (en écho à la loi du 17/05/13, et à l'introduction du "genre" à l'école) - "Les Garçons et Guillaume, à table", 2015 et l'exotisme de "Timbuktu" (l'islam en Afrique noire), voici en 2016, année d'expansion de l'immigration africaine de masse en Europe, un très convenu "Fatima".... Une surprise ? Pas vraiment - quand on remarque que le film, sorti début octobre dernier, est toujours à l'affiche 5 mois plus tard, en dépit d'une audience globale plutôt étriquée (environ 161.000 entrées). Même pas besoin de le ressortir, son sacre était dans les tuyaux dès le départ... Ne reste plus qu'à y envoyer les scolaires, pour en gonfler les chiffres de fréquentation. Le nom du réalisateur (Philippe Faucon) ne me disait rien. Faisant quelques rapides recherches, je vois que la thématique de sa filmo est singulièrement orientée autour de l'immigration maghrébine - très monocolore donc. Et me souviens d'un film visionné en 2007, "Dans la vie". Je notais alors : "... il y a plus à entendre (texte ânonné par des "comédiens" fort peu convaincants) qu'à voir, dans ce film dépourvu de scénario, de cadre et de montage. Au mieux, c'est une sorte de documentaire, très partisan d'ailleurs .." Ce Faucon-là n'a rien d'un phénix, décidément.... Mais il est dans le sens du vent - et cela suffit pour faire son beurre dans la France du cinéma subventionné...
    labellejardinière
    labellejardinière

    71 abonnés 274 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 27 février 2016
    Voilà donc le "Meilleur film français" pour 2015 - récompensé par le César idoine (plus 2 autres, de moindre prestige) le 26 février 2016..... Pas de concurrence ? Même à se limiter aux films nommés, "Marguerite", avec un sujet original, un vrai metteur en scène, d'excellents acteurs, plein d'autres qualités techniques d'évidence, était un César suprême tout à fait cohérent ! En fait, le seul possible, eu égard aux 7 qualifiés. Mais il fallait du "social", et de préférence du social "signifiant" - cela restreignait donc le "choix" des votants de l'Académie à "Dheepan" et "Fatima". Comme l'immigration tamoule n'est pas quantitativement significative en France, il ne restait que la Maghrébine "Fatima". CQFD. C'est quoi ce film (de Faucon) ? Un faux docu, avec une non-actrice en montre (rôle-titre), une histoire d'une banalité confondante, tenant sur un confetti, pas de mise en scène, beaucoup de dialogues surréalistes (arabe dialectal pour la mère/français - plus ou moins châtié suivant la fille - pour Nesrine et Souad, ses rejetonnes ados), mais aucun fond..... Rien à quoi se raccrocher, pour le spectateur normalement constitué. Rien pouvant, même de très loin, rivaliser avec du vrai "cinéma social", comme les Britanniques savent, eux, en faire. Juste un produit communautariste de série - comme il en pleut à la télé française.....
    brunetol
    brunetol

    172 abonnés 179 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 25 mai 2016
    Rattrapage : je ne l'ai pas vu à sa sortie, je n'avais pas envie d'y aller, j'avais l'impression de tout savoir avant même d'entrer dans la salle. Et je ne me trompais pas. Essayons d'analyser l'objet : vraie fiction, faux documentaire, interprété par des non-professionnels, qui "jouent" chacun à la hauteur de ses possibilités, ce qui introduit déjà un problème. Selon que l'on suit Nesrine, la fille ainée, ou sa cadette, ou leur mère Fatima, on n'est pas dans le même registre de comédie (au sens de l'interprétation). On oscille entre le "jeu" assez crédible de Zita Henrot, le théâtre de lycée de Kenza Noah Aïche et le non-jeu de Soria Zeroual, femme de ménage philosophe au visage de madone. Toutes trois sont posées comme des trains électriques sur les rails du scénario et des dialogues raides de Philippe Faucon, et les saynètes s'enchainent, tantôt robotiques tantôt un peu émouvantes, mais sans que l'ensemble ne décolle jamais de son propos théorique, sans échappatoire. A qui s'adresse ce film ? Pas à moi, c'est clair. Sans doute suis-je sans cœur, ou sans conscience politique, mais c'est d'abord l'absence de cinéma qui me frappe, ou plutôt, de ce que j'attends du cinéma : de l'étonnement, de la curiosité, de la découverte, du style, de la surprise, du souffle, de la vie... ici tout parait mort par préméditation. J'ai déjà vu ce film cent fois. On me parle de douceur et de délicatesse. Je parlerais plutôt de stérilité, d'asepsie, à l'image de ces séquences où l'on voit Fatima nettoyer des vitres propres ou essuyer des éviers déjà étincelants. Un prototype de ce cinéma social, compassionnel, appliqué à outrance, dont le succès critique (et public) sent la bonne conscience consensuelle tant il évite habilement toute transgression. Fatima, figure édifiante de mère-courage, ressemble aux saints et aux saintes dont les curés de mon enfance adoraient nous dresser le portrait avec des trémolos dans la voix. Une image pieuse, lisse et au bout du compte antipathique, tant le réel ne semble pas avoir de prise sur son parcours immaculé. Ce que j'aurais voulu voir, c'est un vrai documentaire sur la vraie vie de Soria Zeroual, voire le making of détaillé de ce film, qui en l'état, ne me semble avoir aucun intérêt.
    Maryane75
    Maryane75

    17 abonnés 435 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 16 mars 2016
    Que ce navet ait pu être primé montre à quel point la France va mal et que son cinéma est à l'agonie.
    Ayant touché le fond du fond, on peut s'attendre à tout et même à voir "les feux de l'amour" obtenir le prix du meilleur téléfilm international de ces 10 dernières années.
    Fatima est une véritable imposture intellectuelle.
    Il n'y a aucun scénario, c'est anormalement mal joué et surtout le film est à 80% en arabe sans traduction.
    Les jurés parleraient-ils tous l'arabe pour avoir pu savourer l'ampleur de la finesse des dialogues ?
    Philippe Faucon ne doit pas en revenir lui-même tant son film est mauvais !!!
    Tout cela est quand même très pathétique.
    Bernard D.
    Bernard D.

    100 abonnés 604 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 27 mars 2016
    J’avoue ne pas comprendre pourquoi ce film a reçu 3 Césars dont celui du meilleur film … alors qu’il n’est qu’un bon téléfilm pour TF1 !
    Je m’explique : l’image est plate et la bande son également avec une mise en scène linéaire narrative et ennuyeuse … mais il est vrai que le message véhiculé est « politiquement correct » : vive cet ascenseur social – devenir Médecin – offert par la France aux enfants d’immigrés qui apprennent bien en classe et dont les mères s’usent à faire des ménages.
    Le scénario est truffé d’invraisemblances et à titre d’exemples :
    • La mère n’a pas le sou mais sa fille peut prendre une colocation pour pouvoir mieux travailler et cette mère va s’user au travail mais – Dieu soit béni (si je puis dire) – elle va tomber sur des Médecins très compréhensifs qui sauront prolonger un arrêt de travail suite à un accident « banal » au travail. Cette mère se dit elle-même "sortir du bled" et ne pas parler le français, et d’ailleurs elle suit avec difficultés des cours d’alphabétisation … mais alors qu'elle ne bute qu'une seule fois sur le mot « persuadé », elle est tout à fait capable de comprendre tout ce que disent ses filles qui parlent toujours avec un français riche et rapide avec des expressions d’ados … mais la mère comprend tout puisque elle ne les reprend jamais ?
    • La première fille qui a 15 ans a un parcours scolaire chaotique mais une fois convoquée devant le Proviseur après une absence injustifiée, le problème disparaît complètement du scénario. Cette jeune ado met des tenues provocantes mais sa mère ne s’y oppose qu’une seule fois alors qu’elle même ajuste minutieusement son foulard avant chaque sortie. Il n’y a d’ailleurs – en dehors d’une petite main de Fatima suspendue à un collier – aucune allusion religieuse, par exemple au niveau de la décoration de l’appartement qui est « européanisé ». Aucune des 2 filles ne fait le ramadan ... et ce sans reproche de leur mère ni de leur père qui pourtant juge « mal » qu’une jeune fille puisse fumer.
    • La seconde fille qui a 18 ans, est douée sur le plan scolaire mais elle a bien du mal à assimiler les premiers cours d’embryologie … qu’importe elle sera reçue sans aucun problème à sa première année de Médecine face à un système universitaire caricatural. Bien qu’elle soit consciente de l’enjeu de ses études, cette même fille a peu de temps avant de le concours, une relation plus qu’amicale avec un étudiant qui n’est manifestement qu’un glandeur !
    • Les 2 filles ne sont absolument pas typées et parlent un français impeccable sans accent y compris la cadette même lorsque elle s’éloigne du « droit chemin ».
    • Le père qui a répudié sa première femme, s'avère très sympathique. Il comprend la psychologie de sa fille cadette et aide matériellement l’aînée mais sans lui apporter apparemment d’argent alors que sa situation professionnelle semble convenable ...
    Je suis désolé mais ce scénario est bien loin de la réalité de terrain et n’est qu’une belle histoire pour plaire aux petits bourgeois de droite effrayés par les immigrés !
    On est loin des difficultés rencontrées face à une volonté d’intégration de la famille de « Dheepan » de Jacques Audiard qui certes avait eu une palme d’or à Cannes mais méritait des Césars si on voulait « récompenser » le souhait d’une bonne intégration des immigrants ! Comme déjà dit ce n’est pas un film mais une belle histoire « pour les nuls » soucieux d’une bonne intégration des étrangers !
    THE-CHECKER
    THE-CHECKER

    101 abonnés 713 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 24 février 2017
    A considérer ce "Fatima" au premier abord, on pourrait se dire qu'il s'agit là du regard chaleureux d'un réalisateur ému par le quotidien de ces femmes déchirées entre leur culture d'origine et la volonté d'offrir à leurs filles des perspectives d'avenir autres que celle d'employée de maison.

    Et puis, on réalise lentement la duplicité du propos qui induit sournoisement l'idée que ce qui délire dans l'histoire c'est justement l'incapacité de cette "indigène" à faire fi de ses traditions archaïques dans notre beau pays des droits de l'Homme, que tous, y compris ses filles, aimeraient voir renoncer.

    Ben ouais quoi! Suffit juste de retirer ton voile pour que tout aille mieux, hein Fatima?
    tarmokeuf
    tarmokeuf

    7 abonnés 106 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 28 mars 2016
    Et voilà, je me suis fait avoir une nouvelle fois par la louange unanime des critiques ! La bien-pensance et le politiquement correct ont encore frappé : Meilleur film des Césars ! Une interprétation inoubliable ! Un film touché par la grâce ! Et hop P. Faucon direct au pinacle, au panthéon des génies du cinéma !
    Tout ça pour quoi ? 1h20 (qui en paraissent le double) à aligner des clichés et à subir des dialogues mal écrits, mal joués, ânonnées d'une voie monotonale par des actrices (non professionnelles s'extasient les critiques... on aurait aimé qu'elles le soient un minimum). Une bien triste publicité pour un cinéma qui se veut humaniste. Philippe Faucon peut avoir un bon réseau, n'est pas Abdellatif Kechiche qui veut.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 28 mars 2016
    Le cinéma est-il un art ou un outil de propagande? A voir ce film, j'ai eu le sentiment de contempler un épigone de Leni Riefenstahl pour une autre cause! Dégoulinant de clichés boboïstes, de stéréotypes de la bonne gauche lang-oureuse pseudo-artistique, de cryptages "amalgamistes"... Qu'un jury ait pu voir en ce film le meilleur film français de l'année ne me donne plus du tout tout envie d'aller au cinéma voir des films... français ou définis comme tels. En terme d'analyse : rien dans la mise en scène, dans la photo, dans la musique, dans le jeu d'acteurs, dans le scénario hyper-convenu... L'isotopie générale? De la propagande pure et dure, la glorification de la fraude et de l'assistanat, l'apologie du non-effort d'intégration et du repli sur soi... J'en suis ressorti avec un violent sentiment d’écœurement et je me suis soigné en revoyant le superbe Thérèse Desqueyroux de Claude Miller ou les vestiges du jour de James Ivory, pour me convaincre que le cinéma peut réellement être magnifique et procurer des moments de transcendance pure... Ce film est dans la lignée des films de Boisset (dupont lajoie), sans le talent de Carmet et sans la maîtrise du réalisateur : une caricature simpliste, à la mode, convenue et dangereuse.
    Frédéric H
    Frédéric H

    42 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 7 mars 2018
    Merci à Arte d'avoir diffusé e film. Ce téléfilm Kosovar n'était pas .... Ah on me dit que c'est un film français, qui est sorti en salle, et à même eu le César du meilleur film... Que puis-je dire alors ?
    Je ne comprends pas l’engouement pour ce film, qui est mal interprété (peut-être à la rigueur Zita Hanrot un peu mieux que les autres), pas particulièrement bien filmé, les dialogues sont tout juste au-dessus de la banalité, et l'intrigue n'est pas extraordinaire. Reste un thème intéressant, mais mal traité. J'aurai néanmoins mis une étoile de plus si ce film n'avait pas eu le césar. Le grand prix du festival des films des Lycéens peut-être mais le César du meilleur film, il ne faut pas exagéré. Je le met dans le même sac que la graine et le mulet, mais il a un gros avantage : le calvaire ne dure que 1h15.
    rétablir l
    rétablir l

    2 abonnés 18 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 24 février 2017
    C'est d'un banal de film, mais surtout quelle honte d'avoir récompensé ce "téléfilm" de meilleur film au césar...Au moins les choses sont claires et assumées maintenant : politique et idéologie à la tête des institutions en France.Sincèrement une honte pour le cinéma français et sa société.Mais c'est surtout une honte pour les césars que je ne suivrai plus car ils se sont complètement décrédibilisés puissance 8 avec leur choix clairement politiques au lieu de rester uniquement sur le fond le vrai, le cinéma...,en gros "un peu" comme les journalistes français en somme. A la rigueur si le film était exceptionnel ou très fort émotionnellement parlant pour songer à son statut de meilleur film, je veux bien mais là...c'est plat, touchant par moment mais d'une banalité affligeante où l'on croirait regarder un téléfilm en 1er partie de soirée sur France 3....Adieu les césars.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 10 mars 2018
    L'un des pires films de l'histoire du cinéma tous pays confondus !!! Ce navet monumental est LE film à éviter : le manque de créativité du réalisateur , le scénario à chier , la bande son catastrophique . Aucun élément juste ! Le réalisateur perd la méthodologie !!!! Le pire film que j'ai jamais vu de toute ma vie

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