Avis : The Big Short : le Casse du siècle - Page 5

Alors je précise directement que c'est très personnel comme avis et c'est pour cette raison que je me permet de mettre mauvais,je sais qu'il n'est pas mauvais au fond,les acteurs jouent bien et il est bien réalisé mais ce qui m'a extrêmement dérangé et qu'il ne s'attaque strictement qu'au sujet de la finance et l'ingérence des banques qui a entrainer le crash boursier et la fameuse crise qui s'en est suivie.Mais franchement moi qui ne m'intéresse absolument pas à la finance j'avais justement peur d'un film comme ça,ben mes peurs ont été fondées!J'avais adoré le Loup de Wall Street pourtant avec sont univers décalé mais la je me suis ennuyé ferme! Même avec le casting de rêve qu'il y a,un documentaire aurait amplement suffit pour une histoire aussi pauvre.Après ceux qui sont férus de finance et tout ce qui est administration vont être comme des poissons dans l'eau mais pour les autres je déconseille.1,5/5

Tellement décevant !! Film incompréhensible du début jusqu'à la fin. Du vrai charabia même pour les personnes un minimum initiées à la finance. La bande annoncé est particulièrement trompeuse ! Dommage car le thème est très intéressant.

Excellent Film, avec de très bons acteurs, toute fois, il reste très technique, il faut avoir un minimum sur la titrisation, la crise des surprime ... sinon je le recommande !

D'après les critiques que j'ai pu lire et entendre, le film est de part son format de clip vidéo amateur une véritable critique du capitalisme aussi bien dans son propos que dans sa forme, en proposant un montage décousu et volontairement mauvais. Je pense que le problème fondamental du film vient donc de son doublage français qui fait passer le film pour un reportage MTV, et que si l'on additionne ça à un montage mauvais il en reste, malgré tout ce qu'on peut en dire, mauvais et puis c'est tout. Quand des voix qui se ressemblent toutes déblatèrent du blabla économique dans un montage vomitif quasi amateur, c'est difficile de se concentrer sur le scénario. Des gens quittaient déjà la salle au bout de quelques scènes, et peut être que j'aurais du en faire de même, car malheureusement le film n'a pas donné de réponses à mes questions en s'enfonçant dans les termes financiers les plus incompréhensibles pour moi. Car oui, préparez à deux heures de blablatage économique si incompréhensible pour monsieur tout le monde que vous passerez plus de temps à décrypter chaque phrase qu'à suivre le film, avant de laisser tomber. On notera quand même trois interventions pour vous expliquer la finance, par trois célébrités, mais le doublage français/montage son est tellement une horreur qu'au contraire elles viendront juste rajouter une couche au lieu de vous aider.
The Big Short est le genre de film qui si vous n'avez pas saisi ne serait-ce qu'une minute vous laissera pourrir sur le bas côté en tentant de vous divertir (en échouant pour moi).

Je ne m'attendais pas en allant voir "The Big Short", à me retrouver face à un film de la sorte. Les bandes annonces, mensongères, me faisaient croire à un film rythmé et relativement entrainant ; une sorte de "Loup de Wall Street" (M. Scorsese) moins cru et aussi diplomate que "Margin Call" (J.C. Chandor). Ce ne fut pas le cas ; mais cependant ce ne fut pas une séance désagréable.

Si ce que j'espérais a disparu durant le premier quart d'heure, l'ensemble que j'ai vu m'a plutôt captivé. Mais je reconnais que les jargons économiques et les faits sont difficilement compréhensibles. "The Big Short" est à la hauteur de ce qu'il offre et propose : Adam McKay ("Légendes Vivantes") livre un long-métrage très documenté, et informe donc parfaitement le spectateur sur la crise Américaine de 2008. Le sujet de cette crise financière est abordé de façon très explicite et précise, le vocabulaire et les séquences de dialogues ne manquent donc pas. Le réalisateur nous plonge en pleine Amérique sous fraude avec ces outsiders que sont Michael Burry, Mike Baum, Jared Vennett et Ben Rickert. Si les personnages ne se rencontrent pas tous dans le film, chacun développe son entourage avec les fais et gestes des autres. Sorte de film choral documenté, "The Big Short" est une œuvre compliquée portée par un casting fabuleux.

Christian Bale ("The Dark Knight") est très bon dans son rôle. Sa psychologie est suffisamment développé pour qu'on comprenne ses intentions et son passé. De même pour le personnage interprété par Steve Carell ("Foxcatcher"), très convaincant lui aussi. Ryan Gosling ("Crazy Stupid Love") et Brad Pitt ("Se7en") sont eux aussi tout à fait crédibles. Et les seconds rôles et caméos ne manquent pas ! Finn Wittrock ("American Horror Story"), Melissa Leo ("Snowden"), John Magaro ("Carol") et même spoiler: Margot Robbie ("Le Loup de Wall Street") ainsi que Selena Gomez ("Spring Breakers")
livrent de belles performances. Chacun est bien écrit et travaillé porté par une interprétation convaincante, malgré des moumoutes ridicules il faut bien l'avouer. Le metteur en scène n'hésite même pas à briser à plusieurs reprises le quatrième mur. Des monologues, narrations, explications financières par les personnages à la manière d'un Frank Underwood dans la série "House of Cards" ou même par des écrits et légendes viennent apporter au long-métrage un aspect documentaire coup de poing. Le pari fou que vont faire ses hommes contre Wall Street tout entier ne tient qu'à un fil, jusqu'à ce que la balance s'effondre dangereusement.

La mise en scène d'Adam McKay, principalement connu pour ses comédies, est bonne bien que le rythme que j'espérais trouver ne soit pas au rendez-vous. Nous sommes perdus voire largués durant les 2h de dialogues incessants. Les longueurs sont là, malgré des thématiques parfaitement exploités. Mais sa narration reste majoritairement captivante et intéressante. Les biens fondés sur le malheur des autres est critiqué de toutes parts. Le système dénoncé sans scrupules est assez fascinant à suivre, cela surtout par l'intermédiaire des personnages hauts en couleurs.

La réalisation n'est en soi pas mauvaise mais la caméra bouge, tremble sans cesse et c'est embêtant pour l'immersion total. L'histoire n'ayant pas d'actions directes, le rythme étant assez lourd, le plongeon dans les bourses de Wall Street se fait non sans difficultés. Heureusement que la BO composée par Nicholas Britell ("New York, I Love You") est énergique et en accompagnement saisissant avec l'ensemble du film. Les musiques orchestrées sont superbes et dans l'ambiance qui se dégage du récit, et les morceaux utilisés comme "When The Levee Breaks" de Led Zeppelin ou bien le jeu de batterie prenant de Christian Bale aussi également.

Entre le drame humain et la comédie réaliste, "The Big Short" dépeint une société immorale, corrompue et mise à mal par les traders. Une société américaine en déshumanisation croissante à cause de la bourse. Différent de ce que je voulais et espérais mais tout de même bon et intéressant, "The Big Short : Le Casse du Siècle" est un long-métrage qu'on ne peut recommander à tout le monde pour sa complexité financière.

Pas de quoi s'enthousiasmer.
Compliqué, forcément.
Mais je n'y ai pas réussi à atteindre l'émotion que ce film semble vouloir déclencher.
Un peu dommage.

trop long, trop confus, on comprend rien faut suivre en permanence aucune
histoire de personnage pour rompre avec la bourse et voir autre chose
finalement on ressort abruti et déprimé, c'est pas ça se faire du bien au cinéma!!!!!

Histoire très intéressante si on l'a comprend, par-ce je n'ai rien comprend...
Trop difficile à comprendre pour des personnes lambda qui n'y connais rien en finance...

Un film qui, à la manière de "Margin Call", nous immerge dans le domaine de la finance à Wall Street, dans le but ici de nous rendre compte des mécanismes et dérives à l’origine de la crise des subprimes. La réalisation, malicieuse et audacieuse, use d’un ton provocant et d’un humour noir. Cependant, le sujet reste complexe, et le film nous perd un peu au gré de ses acronymes financiers et bancaires et dans l’enchaînement effréné de ses séquences. Enfin, sur toute sa durée, le film n’arrive pas à se positionner et hésite entre fiction et documentaire. Un biopic intéressant, intelligent et utile, dont la visée pédagogique est à saluer !

Malgré les tentatives didactiques du film, force est de constater qu'à à moins d'être un lecteur acharné des informations boursières, si on comprend en gros les grandes lignes de ce qu'y s'y passe, dès qu'on veut suivre les détails on est complètement perdu. Cinématographiquement c'est nul, ça blablate, ça pérore, on ne comprend pas les rapports entre les personnages, on ne se raccroche à rien, on s'ennuie et on se demande si on ne serait pas mieux à regarder autre chose.

Effectivement ce film n'est pas facile, ça parle tout le temps de chiffres et de contrats etc... Une vraie leçon pour un banquier alors n'y allez pas avec des enfants car il n'y a ni suspens ni action. Au final si on arrive à suivre c'est quand même intéressant mais on sort de là avec un mal de crane assuré ou on s'endort durant le film

trop technique, ca va tres vite. A la fin, je comprenais pas qui faisait quoi et pourquoi. ni meme si certain avaient un sens moral... s'ils étaient contents...

[...] Face à lui, Mark Baum alias Steve Carrell, absolument brillant. Lui? C'est le genre de type qui s'est mis pleins d'argent dans les poches en espérant que les banques perdent tout. Il est contre les banques et mène une croisade face au système. C'est un torturé et c'est le mec qu'on aime [...]

Mon Avis 16/20

Film au scénario laborieux qui tente de nous expliquer le crise des subprimes. Il s'agit en fait pour dire simplement d'obligations synthétiques pourries qui ont servi à refinancer le marché immobilier américain. Je pense que le sujet était plus digne d'ARTE que d'un film grand public. Je ne suis pas certain que la compréhension de la crise de 2008 a beaucoup progressé après avoir vu ce très long film au casting prestigieux.

Une horreur. Un somnifère. On ne comprend pas le choix du casting. Si c'est pour montrer Brad Pitt 2 secondes dans le film, à quoi ça sert ? Très mauvais choix aussi pour Gosling je trouve. Seul Steve Carrel et Christian Bale sont bons dans ce qu'ils font.
On ne comprend rien du début à la fin. C'est chiant a mourir. Les personnes qui parlent au spectateur ne sont pas crédibles (sans déc j'ai eu du mal à comprendre que Gosling regardait la caméras tellement il ne la regarde pas EN FACE!). Ça fait pompé sur House of Cards, c'est nul.
Et puis la réal on en parle ? Parce que cette caméra qui ne fait que zoomer dezoomer bouger puis zoomer puis rezoomer puis rezoomer encore un petit peu, puis flou, puis net, puis reflou, puis renet. Dès le premier 1/4 d'heure j'ai eu maaaaal aux yeux, c'est infernal, qui s'est dit que ça allait passer? Personnellement je ne comprend pas ce choix. Pour moi il n'est pas justifié. Voilà rien n'est bon dans ce film. Je me suis endormi, je regardais l'heure toutes les minutes.
Donc génial l'affiche qui montre 4 acteurs connus pour faire de la promo. Cette technique est de plus en plus répondue a Hollywood, comme l'affiche de "Captain Phillips" ou on voit Tom Hanks, qui suffit aux gens à se déplacer (même sans avoir vu la bande annonce). Alors là imaginez 4 grosses têtes d'affiches, mais les gens courent pour aller le voir, tout le monde en parle de ce film ! C'est un navet. A quoi ça sert de parler d'un thème (qu'il soit tiré de faits réels ou non) si seulement 5% de la population peuvent comprendre ????
Heureusement que je paye pas mais heureusement mais heureusement !!!!
La seule chose que je retiens de bien, c'est Lithium de Nirvana. Et Gorillaz. That's all.