Avis : American Nightmare 3 : Elections - Page 7

Un cran au dessus des 2 premiers volets que je trouvais plutôt mauvais et très poussif !! Bon, l'histoire est improbable avec cette idée de tuer impunément un jour par an mais l'ensemble reste efficace avec des bonnes scènes d'action !!

Commencée avec un huis clos à petit budget, la saga « American Nightmare », grâce à un succès inattendu a accouché de deux suites, au financement bien plus conséquent, mais (revers de la médaille) au dispositif scénaristique plus commun, à savoir un action-movie sanglant et sadique où une bande de héros essaie de survivre dans les rues d’une cité américaine la nuit de la « Purge » où tout le monde peut en toute impunité briser toutes les règles, y compris les plus immorales. Le concept est connu maintenant et il est donc dur de fournir quelque chose d’un tant soit peu inédit. Le film n’y parvient tout simplement pas en recyclant à peu près tout ce qui a fait le succès de la série : la nuit remplie de terreur et de violence, le personnage du « sergent », le sous-texte politique sur le complot des élites contre les pauvres, etc.. Il ne reste qu’un film d’action en mode survival où les personnages ne sont là que pour se battre et survivre à cette nuit de démence nationale avec pour mission de sauver une candidate à la présidentielle qui a fait de l’arrêt de la purge son combat majeur. C’est distrayant, mais franchement pas plus incontournable que cela et si vous manquiez cet opus, vous ne manqueriez pas grand-chose. Le succès de ce troisième opus étant acté, le quatrième ne saurait tarder, peut-être fournira-t-il quelque chose de plus original que cette troisième mouture bien fadasse.

Le troisième volet de la saga Amercian Nightmare réemploi touts ces manquées précédemment recensés et parvient à faire encore pire ! Il m'a rappelé aux bons souvenirs de Batman et Robin, que dire de plus ... Si, je vais m'éviter la vue du quatrième opus !

Avec "American Nightmare 3 : Elections", le réalisateur James DeMonaco prouve qu'il sait se réinventer à chaque nouvel épisode. Ce troisième volet ne déroge pas à la règle, et apparaît peut-être comme le meilleur de la saga. Bien sûr, le ton du film a légèrement changé : celui-ci est beaucoup moins accès sur le côté survival horror de la purge. Mais il n'en demeure pas moins un excellent film d'action, avec du rythme et des rebondissements. Les personnages de l'intrigue sont attachants et bien incarnés par les différents acteurs du casting. On s'identifie aisément à leur lutte et on ne voit pas le temps passer.

Nouveau volet de la série American Nightmare : après un deuxième épisode déjà pas bien folichon, les scénaristes continuent de presser le citron pour livrer un script assez indigent et sans aucune tenue. En conséquence difficile d'accrocher à ce film d'action quasi Z et filmé sans génie... Se raccrocher au charisme de Franck Grillo ne suffit plus...

le troisième épisode de cette trilogie ne va pas décevoir ceux qui ont appréciés les deux premiers.
réaliser toujours par le même réalisateur,american nightmare 3 rend cette suite cohérente et se renouvelle de part son scénario.

Une sénatrice américaine se lance dans la course à l'élection présidentielle en proposant l'abrogation de la Purge annuelle, prétexte à l'élimination physique des pauvres et des laissez pour compte. Ses opposants de la NFFA profitent alors de la nouvelle journée annuelle de la purge où tous les crimes sont permis pour la traquer et l'éliminer.

"American nightmare 3" est le troisième volet de la trilogie réalisé comme précédemment par James de Monaco. Le réalisateur dénonce dans cette fiction le coté violent, raciste et chroniquement inégalitaire de la société américaine qui ostracise souvent les pauvres et les gens de couleur.

Cependant comme dans les 2 premiers volets, le tableau est beaucoup plus décevant coté réalisation et action, les images violentes et décoiffantes étant quasiment toutes dévoilées dans la bande annonce (gang de nanas barrées, bande de hooligans russes costumés, nymphes en robes blanches dansant autour d'un arbre aux pendus...). En revanche, le réalisateur est beaucoup moins avare d'images de fraternité, cadrant dans des plans qu'il pense émouvants, l'épicier de couleur et son aide hispanique ou la sénatrice "archi bécasse" qui est contre la loi du talion...

Peut être aurait fallu que la réalisation soit assurée par des auteurs moins idéalistes comme Rob Zombie, John Carpenter ou William Friedkin?

Par conséquent, je suis assez partagé sur ce film qui constitue à mes yeux un semi échec.

On pourra en revanche saluer une bonne bande originale basée sur des compositions électro angoissantes ainsi que le générique final (David Bowie interprétant "I'm afraid of americans").

Ma note: 2,5/5

Le moins bon à ce jour. J'ai adoré l'histoire avec Kimmy, cette adolescente folle qui se prends pour une gangsta avec ses copines. Je l'ai trouvée à la fois interessante et insupportable, les costumes avec ses copines sont géniaux, et le tout créé une ambiance terrifiante. Malheureusement, cette histoire prends vite fin, et on se concentre à 100% sur la sénatrice pendant 1h, et ça m'a ennuyé.

Le premier opus posait l'idée mais n'évitait pas certains clichés et facilités, le second volet se montrait plus subversif, cette troisième partie est l'addition des épisodes précédents, des personnages "clichés", des situations subversives et politiquement incorrectes... Une trilogie qui fait réfléchir...

Ce troisième opus s'inscrit pleinement dans la droite lignée de ses deux prédécesseurs, la surprise en moins. Si le scénario semble être plus travaillé, il n'en reste pas moins bien trop tarabiscoté pour être franchement crédible.
La mise en scène est travaillée, ce qui, au final, rend l'exercice de sa vision agréable à défaut d'être transcendante.

Dans ce troisième opus, on s’affranchit même des quelques règles politiques qui existaient encore, tout le mond eest susceptible d’être buté. Le final bien que prévisible seçble mettre un terme à la série. Meilleur que le second mais loin du premier, ce troisième ne touche pas les cieux et oscille entre facilités et boucheries chevalines.

En général, quand les deux premiers opus sont mauvais, le troisième fait encore pire. Dans le cas d’American Nightmare, la règle s’applique partiellement puisque le troisième fait aussi bien (ou aussi mal…). Encore une fois, le concept dont s’inspire cette suite reste intéressant, mais à nouveau, son exploitation s’avère être un fiasco total. Car en travers de quelques bribes de qualité (le concept, toujours, les costumes de certains assaillants, la photographie de nuit, bien sombre), se cachent de multiples défauts : tout est prévisible et, en sus, la faiblesse du montage plonge le film dans un dédale d’ennui mortel rarement atteint. Frank Grillo et Elizabeth Mitchell (Lost, Revolution) ont beau y mettre du leur, cette nouvelle nuit de purge peine à se renouveler…

Troisième purge à sortir sur grand écran, cet American Nightmare 3 prend place quelques mois seulement avant l'élection présidentielle américaine entre Hilary Clinton et Donald Trump, le décor du film est alors tout trouvé. Très manichéen et manquant encore une fois de conviction, cet American Nightmare se suite comme une passable série B et reste très loin des possibilités qu'offrait son postulat de départ. Trop sage et assez peu terrifiant, ce thème de l'élection n'est qu'un prétexte pour montrer la survie d'un nouveau personnage. Heureusement, la fin reste assez maline pour conclure la trilogie et pour que chacun comprenne ce qu'il veut bien entendre à cette conclusion.

J'en attendais beaucoup, mais le film est resté sagement dans les clous et s'est contenté de rester dans la veine du deuxième, sans aller plus loin dans le contexte de la purge. Un bon film d'action, un film d'anticipation moyen...

Le 3 ième opus toujours réalisé par James DeMonaco est encore plus violent . Sans pour autant être aussi déjanté et moins politiquement correct . Si le premier, voire le second trouvaient leur intérêt dans l'idée même originale . Dans le troisième opus , on a droit à un déferlement de violence Gore . Servie par des images plus tôt laides , des effets de ralentit utilisés à l'excès. La morale n'est que le prétexte à une suite certes violente mais sans surprise (ou presque ) en ce qui concerne la fin .