Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
36 critiques presse
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
Elvis Presley et Baz Luhrmann se retrouvent dans une même démesure. Le premier dans celle du personnage et l’extravagance de sa panoplie, le second dans des mises en scène spectaculaires et baroques, où la musique est centrale. Le réalisateur signe peut-être du même coup son meilleur film.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
L'Humanité
par Cyprien Caddeo
Ultragénéreux, Elvis déjoue ainsi les pièges classiques du biopic. Ni gentillet ni imbibé de gloriole (Elvis, tout génie qu’il est, n’est pas un enfant de chœur), il arrive à enjamber le programme attendu de la nécrologie du chanteur.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Ouest France
par Gilles Kerdreux
Un vrai biopic captivant.
Première
par Frédéric Foubert
Pas un biopic de plus, non : le biopic des biopics.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télé Loisirs
par É. Lo.
Porté par Austin Butler, bluffant dans le rôle du rockeur, et une réalisation folle de Baz Luhrmann (Moulin Rouge !), ce biopic captivant raconte, outre la destinée du King, l'évolution des mœurs dans l'Amérique puritaine des années 1950.
Voici
par Daniel Blois
Si l'entreprise déborde d'énergie et réussit à susciter l'émotion et l'empathie, c'est aussi parce qu'à l'écran Austin Butler incarne le King comme si son esprit le possédait.
20 Minutes
par Caroline Vié
Flamboyant.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
CNews
par Chloé Ronchin
On ressort de ce film en ayant l'impression de descendre d’un manège à sensation. Un grand spectacle à ne pas manquer.
La critique complète est disponible sur le site CNews
CinemaTeaser
par Aurélien Allin
Avec son amour du kaléidoscope, Baz Luhrmann plonge Elvis Presley dans un univers baroque et circacien. Déroutant au démarrage, remarquable par la suite.
La critique complète est disponible sur le site CinemaTeaser
Ecran Large
par Chloé Chahnamian
Grâce à son montage électrique et sa caméra tourbillonnante, Baz Luhrmann fait de son Elvis un objet visuel passionnant. La performance d'Austin Butler est aussi remarquable que juste, il incarne un Elvis agité, abusé et terriblement captivant. C'est lui la vraie révélation d'Elvis.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Elle
par Françoise Delbecq
Une fresque saisissante.
Femme Actuelle
par La Rédaction
Avec un bon angle et un rythme intense, le réalisateur de Moulin rouge se tire honorablement d'une mission qui semblait impossible.
GQ
par Adam Sanchez
Le cinéaste australien réalise le premier biopic de sa carrière consacré au King, dans un style qu’on ne retrouve que dans son œuvre : un film clinquant, rugissant dans son montage et monstrueux à bien des égards.
La critique complète est disponible sur le site GQ
La Croix
par Stéphane Dreyfus
Baz Luhrmann échappe à l’extravagance en s’appliquant à restituer l’ascension du bon petit gars du Tennessee à travers les yeux de son imprésario, le Colonel Parker, interprété par Tom Hanks.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
La Voix du Nord
par Christophe Caron
Pas d’informations croustillantes finalement. L’essentiel, c’est cette fièvre rock qui fait exploser le thermomètre. À ce titre, la reconstitution des grands concerts laisse pantois.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Le Figaro
par Olivier Nuc
Mieux que les milliers de sosies et autres clones apparus depuis sa mort il y a près de 45 ans, Butler interprète magistralement le rôle, ou plutôt les rôles, tant Elvis a été multiple, de son apparition à l’âge de 19 ans à sa mort à 42 ans.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Parisien
par Renaud Baronian
Il fallait oser ce film, qui couvre toute la vie du rocker américain, en insistant sur ses rapports hors norme avec son manager, le colonel Parker, interprété par Tom Hanks.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Le Point
par Jean-Luc Wachthausen
Un tourbillon visuel, une série de montagnes russes comme à la foire dans lesquelles s'entremêlent des numéros musicaux spectaculaires, des images d'archives, des extraits de films de Presley, des comics, des scènes de vie intime ou des effets de l'écran divisé (split screen) [...].
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Les Echos
par Adrien Gombeaud
Le réalisateur de « Moulin Rouge » s'attaque à sa façon au destin du plus grand mythe de l'histoire du rock'n'roll et à son diabolique manager, le colonel Parker. Un film « barock » et barré qui, à travers la musique, raconte l'emprise dévorante d'un homme sur un autre.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Les Inrockuptibles
par Théo Ribeton
Baz Luhrmann signe un film somptuaire et intelligent sur un King presque trop divin pour les formules consacrées du genre biopic.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Paris Match
par Fabrice Leclerc
Dans ce film évidemment opératique, brillant, échevelé, fourmillant de moments de cinéma incroyables et de détails méconnus, mais à la tonalité finalement très sombre, le cinéaste de “Moulin rouge” et “Gatsby” ne raconte pas un homme mais un pays, trois décennies d’une Amérique pudibonde et raciste, confrontée à l’évolution de ses moeurs.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Positif
par Grégory Valens
Le cinéaste parvient ainsi à réunir la dimension première d’Elvis Presley, celle d’offrir un show entier de son corps, de ses yeux et de sa voix, en la liant à l’idée du spectacle (le cirque, les chapiteaux sous lesquels il se produit d’abord, les comics dont il est fan et dont il s’imagine le héros) héritée du tourbillon de son enfance ; et sa mélancolie, sa douleur, qui le minent de l’intérieur et le conduiront à sa perte. Le tourbillon de la vie.
Public
par La Rédaction
Un pur voyage dans le temps entre les années 50 et 70.
Télé 7 Jours
par Isabelle Magnier
Malgré son goût assumé pour la surenchère, le cinéaste signe un biopic séduisant, qu’il tire peu à peu vers la fable faustienne.
Cahiers du Cinéma
par Thierry Méranger
Démesure, profusion, hybridation : le film rend hommage à la bande dessinée, s’adonne au fake en reconstituant des images d’époque, transforme en clip chaque séquence musicale et n’hésite pas à remixer quelques tubes rock à la sauce metal ou rap.
Critikat.com
par Bastien Gens
La mise en scène du cirque infernal que produit le talent juvénile d’Elvis constitue la part la plus convaincante du film. Loin d’écrire l’évangile du messie du rock'n’roll, Luhrmann ramène plutôt la trajectoire du King à celle d’un monstre de foire.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
L'Obs
par Nicolas Schaller
Ayatollahs de la finesse et sensibles de la rétine, s’abstenir : c’est du Luhrmann dans toute sa splendeur et ses excès, barnum ballonné au montage frénétique, au mixage ahurissant et aux trouées d’inspiration folles (personne n’a aussi bien capté l’énergie, la puissance musicale et scénique du King). A condition de se laisser embarquer, l’expérience vaut le détour.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Croix
par Stéphane Dreyfus
Malgré un dénouement interminable, le film parvient à raviver le mythe Elvis Presley, bête de scène habitée par l’amour de son public et formidablement servie par l’interprétation tout en nuances d’Austin Butler. Un acteur qui donne l’illusion qu’Elvis est bel et bien revenu dans le bâtiment.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Journal du Dimanche
par Barbara Théate
Le réalisateur de Moulin Rouge se lâche sur les pantalons en lamé et la brillantine, mais son extravagance visuelle finit par étouffer l’émotion dans ce film trop long.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Monde
par Véronique Cauhapé
La vie d’Elvis fut courte. Elle en a cependant contenu mille auxquelles Baz Luhrmann semble, par le pouvoir de l’image, en avoir ajouté mille autres. Il en eût fallu moins pour éviter l’emphase et ses effets indigestes.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Fiches du Cinéma
par Michael Ghennam
Entre les mains de Baz Luhrmann, ce biopic sous amphétamines cherche à sortir des sentiers battus, mais reste ce qu’il est : un biopic.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Rolling Stone
par Sophie Rosemont
Tout en split screen, effets de typographie et valses de caméra, tel un clip surpuissant, la cinématographie habituel le de Luhrmann secoue la première partie du film. Puis le rythme connaît une baisse de tension (...).
La critique complète est disponible sur le site Rolling Stone
Télérama
par Samuel Douhaire
Et pourtant, aussi saturé d’infos, d’images et de sons, aussi épuisant soit-il, Elvis se révèle le plus regardable, le plus plaisant des films de Luhrmann.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Gérard Crespo
Un agréable biopic musical qui trouve une vraie dimension dans sa seconde partie, au-delà du clinquant et des conventions.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Libération
par Olivier Lamm
Elvis [...] s’intéresse à tout sauf à la musique à l’origine du phénomène Presley, et passe le plus clair de son temps – 2h39 – à nous en détourner, pour nous ensevelir sous un magma de lumière et d’effets de manche qui le place sans ambiguïté du côté des exploiteurs qui firent de la carrière d’Elvis son calvaire, puis le précipitèrent au tombeau.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Sud Ouest
par Sophie Avon
Trop de strass, trop de kitch, trop d’effets, sauf que Presley est ainsi, scintillant, enluminé, auréolé de sa propre gloire et déjà embaumé.
Franceinfo Culture
Elvis Presley et Baz Luhrmann se retrouvent dans une même démesure. Le premier dans celle du personnage et l’extravagance de sa panoplie, le second dans des mises en scène spectaculaires et baroques, où la musique est centrale. Le réalisateur signe peut-être du même coup son meilleur film.
L'Humanité
Ultragénéreux, Elvis déjoue ainsi les pièges classiques du biopic. Ni gentillet ni imbibé de gloriole (Elvis, tout génie qu’il est, n’est pas un enfant de chœur), il arrive à enjamber le programme attendu de la nécrologie du chanteur.
Ouest France
Un vrai biopic captivant.
Première
Pas un biopic de plus, non : le biopic des biopics.
Télé Loisirs
Porté par Austin Butler, bluffant dans le rôle du rockeur, et une réalisation folle de Baz Luhrmann (Moulin Rouge !), ce biopic captivant raconte, outre la destinée du King, l'évolution des mœurs dans l'Amérique puritaine des années 1950.
Voici
Si l'entreprise déborde d'énergie et réussit à susciter l'émotion et l'empathie, c'est aussi parce qu'à l'écran Austin Butler incarne le King comme si son esprit le possédait.
20 Minutes
Flamboyant.
CNews
On ressort de ce film en ayant l'impression de descendre d’un manège à sensation. Un grand spectacle à ne pas manquer.
CinemaTeaser
Avec son amour du kaléidoscope, Baz Luhrmann plonge Elvis Presley dans un univers baroque et circacien. Déroutant au démarrage, remarquable par la suite.
Ecran Large
Grâce à son montage électrique et sa caméra tourbillonnante, Baz Luhrmann fait de son Elvis un objet visuel passionnant. La performance d'Austin Butler est aussi remarquable que juste, il incarne un Elvis agité, abusé et terriblement captivant. C'est lui la vraie révélation d'Elvis.
Elle
Une fresque saisissante.
Femme Actuelle
Avec un bon angle et un rythme intense, le réalisateur de Moulin rouge se tire honorablement d'une mission qui semblait impossible.
GQ
Le cinéaste australien réalise le premier biopic de sa carrière consacré au King, dans un style qu’on ne retrouve que dans son œuvre : un film clinquant, rugissant dans son montage et monstrueux à bien des égards.
La Croix
Baz Luhrmann échappe à l’extravagance en s’appliquant à restituer l’ascension du bon petit gars du Tennessee à travers les yeux de son imprésario, le Colonel Parker, interprété par Tom Hanks.
La Voix du Nord
Pas d’informations croustillantes finalement. L’essentiel, c’est cette fièvre rock qui fait exploser le thermomètre. À ce titre, la reconstitution des grands concerts laisse pantois.
Le Figaro
Mieux que les milliers de sosies et autres clones apparus depuis sa mort il y a près de 45 ans, Butler interprète magistralement le rôle, ou plutôt les rôles, tant Elvis a été multiple, de son apparition à l’âge de 19 ans à sa mort à 42 ans.
Le Parisien
Il fallait oser ce film, qui couvre toute la vie du rocker américain, en insistant sur ses rapports hors norme avec son manager, le colonel Parker, interprété par Tom Hanks.
Le Point
Un tourbillon visuel, une série de montagnes russes comme à la foire dans lesquelles s'entremêlent des numéros musicaux spectaculaires, des images d'archives, des extraits de films de Presley, des comics, des scènes de vie intime ou des effets de l'écran divisé (split screen) [...].
Les Echos
Le réalisateur de « Moulin Rouge » s'attaque à sa façon au destin du plus grand mythe de l'histoire du rock'n'roll et à son diabolique manager, le colonel Parker. Un film « barock » et barré qui, à travers la musique, raconte l'emprise dévorante d'un homme sur un autre.
Les Inrockuptibles
Baz Luhrmann signe un film somptuaire et intelligent sur un King presque trop divin pour les formules consacrées du genre biopic.
Paris Match
Dans ce film évidemment opératique, brillant, échevelé, fourmillant de moments de cinéma incroyables et de détails méconnus, mais à la tonalité finalement très sombre, le cinéaste de “Moulin rouge” et “Gatsby” ne raconte pas un homme mais un pays, trois décennies d’une Amérique pudibonde et raciste, confrontée à l’évolution de ses moeurs.
Positif
Le cinéaste parvient ainsi à réunir la dimension première d’Elvis Presley, celle d’offrir un show entier de son corps, de ses yeux et de sa voix, en la liant à l’idée du spectacle (le cirque, les chapiteaux sous lesquels il se produit d’abord, les comics dont il est fan et dont il s’imagine le héros) héritée du tourbillon de son enfance ; et sa mélancolie, sa douleur, qui le minent de l’intérieur et le conduiront à sa perte. Le tourbillon de la vie.
Public
Un pur voyage dans le temps entre les années 50 et 70.
Télé 7 Jours
Malgré son goût assumé pour la surenchère, le cinéaste signe un biopic séduisant, qu’il tire peu à peu vers la fable faustienne.
Cahiers du Cinéma
Démesure, profusion, hybridation : le film rend hommage à la bande dessinée, s’adonne au fake en reconstituant des images d’époque, transforme en clip chaque séquence musicale et n’hésite pas à remixer quelques tubes rock à la sauce metal ou rap.
Critikat.com
La mise en scène du cirque infernal que produit le talent juvénile d’Elvis constitue la part la plus convaincante du film. Loin d’écrire l’évangile du messie du rock'n’roll, Luhrmann ramène plutôt la trajectoire du King à celle d’un monstre de foire.
L'Obs
Ayatollahs de la finesse et sensibles de la rétine, s’abstenir : c’est du Luhrmann dans toute sa splendeur et ses excès, barnum ballonné au montage frénétique, au mixage ahurissant et aux trouées d’inspiration folles (personne n’a aussi bien capté l’énergie, la puissance musicale et scénique du King). A condition de se laisser embarquer, l’expérience vaut le détour.
La Croix
Malgré un dénouement interminable, le film parvient à raviver le mythe Elvis Presley, bête de scène habitée par l’amour de son public et formidablement servie par l’interprétation tout en nuances d’Austin Butler. Un acteur qui donne l’illusion qu’Elvis est bel et bien revenu dans le bâtiment.
Le Journal du Dimanche
Le réalisateur de Moulin Rouge se lâche sur les pantalons en lamé et la brillantine, mais son extravagance visuelle finit par étouffer l’émotion dans ce film trop long.
Le Monde
La vie d’Elvis fut courte. Elle en a cependant contenu mille auxquelles Baz Luhrmann semble, par le pouvoir de l’image, en avoir ajouté mille autres. Il en eût fallu moins pour éviter l’emphase et ses effets indigestes.
Les Fiches du Cinéma
Entre les mains de Baz Luhrmann, ce biopic sous amphétamines cherche à sortir des sentiers battus, mais reste ce qu’il est : un biopic.
Rolling Stone
Tout en split screen, effets de typographie et valses de caméra, tel un clip surpuissant, la cinématographie habituel le de Luhrmann secoue la première partie du film. Puis le rythme connaît une baisse de tension (...).
Télérama
Et pourtant, aussi saturé d’infos, d’images et de sons, aussi épuisant soit-il, Elvis se révèle le plus regardable, le plus plaisant des films de Luhrmann.
aVoir-aLire.com
Un agréable biopic musical qui trouve une vraie dimension dans sa seconde partie, au-delà du clinquant et des conventions.
Libération
Elvis [...] s’intéresse à tout sauf à la musique à l’origine du phénomène Presley, et passe le plus clair de son temps – 2h39 – à nous en détourner, pour nous ensevelir sous un magma de lumière et d’effets de manche qui le place sans ambiguïté du côté des exploiteurs qui firent de la carrière d’Elvis son calvaire, puis le précipitèrent au tombeau.
Sud Ouest
Trop de strass, trop de kitch, trop d’effets, sauf que Presley est ainsi, scintillant, enluminé, auréolé de sa propre gloire et déjà embaumé.