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    L'Homme irrationnel
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    Cinemadourg
    Cinemadourg

    690 abonnés 1 430 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 17 octobre 2015
    Magistrale interprétation de Joaquin Phoenix qui incarne à merveille un professeur de philo blasé et totalement désabusé par la vie...
    On plonge avec lui dans le néant de son âme pour finalement remonter la pente de sa triste existence par un moyen vraiment terrible et inattendu !
    Certes, cette histoire est du Woody Allen dans le texte avec beaucoup de bavardages et d'introspection des personnages, mais cela reste précis, efficace, subtil et immoral à souhait.
    1h36 plutôt jubilatoire !
    Chris58640
    Chris58640

    185 abonnés 730 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 15 octobre 2015
    Au vu des 20 premières minutes de « L’homme irrationnel », franchement j’ai envisagé le pire… J’avais bien du mal à m’attacher aux états d’âme d’un Joaquin Phoenix bedonnant et enlaidit, à le voir louvoyer entre deux jolies femmes qui s’intéressaient sans que je comprenne bien ce qu’elles pouvaient lui trouver, à le regarder trainer sa dépression de cours de philo en cours de philo. Pendant ces 20 premières minutes, on ne voit pas bien où tout çà va nous mener et même si cela va nous mener au-delà du nombril d’Abe Lucas ! Et puis, grâce à la fameuse scène du diner (vous savez, ces resto typiques ou les banquettes sont dos à dos), le film devient subitement un polar, un vrai polar avec du suspens, des rebondissements, une fuite en avant inévitable, et un personnage de Abe Lucas qui n’est plus du tout pathétique. J’avoue que la bande annonce, qui ne dévoile rien de cette trame, m’a bien eu et qu’après cette première partie un peu lénifiante, le film décolle jusqu’à la scène finale, imparable, ironique et cruelle bien comme il faut. Le casting que s’offre Woody cette fois-ci est tout à fait pertinent, on retrouve la charmante Emma Stone de « Magic in the Moonlight » dans un rôle de jeune étudiante de bonne famille, fascinée par son professeur mais, contrairement à lui, plutôt saine et bien dans sa peau. Parker Posey est un peu effacée par l’interprétation solaire de la jeune femme. Joaquin Phoenix, qui n’a pas hésité à s’enlaidir pour le rôle, campe un Abe Lucas nonchalant et dépressif, qui fait peine à voir et qu’on peut légitimement trouver pathétique au début. Mais l’acteur apporte à son personnage, au fil des minutes qui passent, un souffle vénéneux : son regard change, on devine dans son attitude tout ce qui va amener au terrible final : ses doutes existentiels deviennent des certitudes malsaines, sa nonchalance se mue en une perversité sournoise, camouflée derrière des positions philosophiques dévoyées. C’est tout le cheminement psychologique de cet homme ô combien irrationnel qui est passionnante et Joaquin Phoenix n’y est pas pour rien. Le scénario, en plus de nous surprendre, est d’une intelligence redoutable car il pose des vraies bonnes questions philosophiques, comme çà, l’air de rien. Mu par ce qu’il croit être sa notion du Bien, débarrassé de ses doutes au profit de certitudes moralement plus confortables, l’innocent Abe Lucas glisse doucement mais surement vers l’autre rive, celle du Mal. Quand on arrête de douter, se soi, de ce qui est Bien ou Mal, des Autres, de l’intérêt commun, alors la porte est ouverte pour le pire. C’est de la philo que fait Woody Allen avec « L’homme irrationnel », n’en « doutons » pas ! Ironique… Bien sur, ce film là porte sa patte : rythme assez lent et linéaire, surabondance des dialogues, musique jazzy en fond, générique de débuts et de fin minimalistes. Il ne dure qu’1h35 mais honnêtement il m’a paru durer plus, ce que je ne mets pas à son crédit. C’est surement son début poussif et son rythme sans aspérité qui donne cette mauvaise impression. C’est que Woody Allen ne sait pas faire autrement, c’est un réalisateur à part dans l’univers du cinéma américain, il sort imperturbablement un voir deux films par an, il a toujours un casting haut de gamme et des scénarii originaux mais ses films ses ressemblent terriblement sur la forme. Il y a ceux qui adorent, ceux qui détestent et ceux qui, comme moi, penchent d’un côté ou de l’autre selon que le scénario les touche ou pas. A part son début un peu difficile, je regrette aussi que l’humour soit singulièrement absent de « L’homme irrationnel ». Allen met souvent dans la bouche de ses personnages des répliques savoureuses et des réflexions bien senties, on trouve souvent une ironie un peu acide dans ses dialogues et là… rien ou presque rien. Dommage, il y aurait sans doute eu matière. Mais malgré ses petits défauts, le Woody Allen 2015 est un bon cru, doté d’un casting réussi et d’un scénario subtil et bien écrit, il mérite d’être vu en salle.
    halou
    halou

    103 abonnés 1 532 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 17 octobre 2015
    Woody Allen enchaîne sans se retourner sur ses dernières productions comme il l'affirme et ce cru 2015 est une réussite dans le milieu du cinéma mais loin d'être son plus captivant. On ressent toujours cette facilité dans la réalisation avec une histoire fluide, ces musiques qui rappellent aux spectateurs que Woody est aux commandes, ces personnages triturés. Et celui interprété avec talent par l'excellent Phoenix est intéressant dans son discours mais déjà entendu. L'histoire et la tournure qui en résulte sont assez originales et font passer un agréable moment de cinéma.
    andika
    andika

    93 abonnés 320 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 23 octobre 2015
    J'adhère totalement à ce nouveau film de Woody Allen. Il y a tous les ingrédients que j'apprécie chez ce cinéaste dans ce film. De l'humour, de l'absurde, du cynisme, un questionnement existentiel, des pensées à propos du sens de la vie, de la mort.
    Le personnage Joaquim Phoenix est fascinant. Totalement dépressif, balançant des punchlines en voix off puis retrouvant goût à la vie après un acte incroyable. Et justement, c'est la morale du film, agir et moins parler et c'est drôle que cela vienne d'un professeur de philo comme l'est le personnage principale. En outre, Emme Stone est toujours sublime et enfin, ça fait très plaisir d'entendre le clavier bien tempéré de Bach au cinéma.
    Du très bon Woody Allen qui tient un propos très subversif dans ce film.
    John Henry
    John Henry

    99 abonnés 705 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 10 septembre 2015
    Cet homme irrationnel c'est un peu Woody Allen, tiraillé entre son nihilisme, son détachement matériel et son désir charnel des femmes. Joaquin Phoenix est un très grand acteur, ce rôle il l'habite à merveille. Si j'aime toujours les réflexions philosophiques de comptoir de WA, si j'ai aimé le jeu pervers de ce prof de philosophie, si j'ai aimé le cynisme de WA, je n'ai pas été passionné par la deuxième partie du film, le thriller tout en dilettante. Ses grandes et perfides histoires d'amour me manquent un peu.
    Remy S
    Remy S

    65 abonnés 107 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 20 octobre 2015
    Un Woody Allen c'est plus qu'un film c'est une institution, une tradition même
    On regarde un Woody Allen avec passion tel on déguste un grand cru, il peut varie selon les goûts
    Parfois amer,
    Parfois Liquoreux et sucré
    Parfois Fruité
    Un mélange de saveurs...
    Woody nous plonge dans un univers philosophique à la fois drôle, intriguant, passionnel, psychologique, et voir même psychotique
    Bravo
    philhag
    philhag

    24 abonnés 361 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 19 octobre 2015
    Si ce film n'était pas un "Woody Allen", il serait original. Donc il l'est mais un peu répétitif de la recherche du crime parfait comme Match Point et évidemment de la pointe de psycho et ici de philo. Se voit agréablement.
    ferdinand75
    ferdinand75

    462 abonnés 3 655 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 19 octobre 2015
    Un cru moyen pour ce nouvel opus. L'intrigue est un peu longue à démarrer, de fait la première moitié du film est un peu longue , il ne se passe pas grand chose, beaucoup de dialogues ,on oserait presque dire beaucoup de verbiage. On aborde des thèmes philosophiques, évidemment puisque le héros est prof de philo. Et puis le fameux dilemme de la notion de bien et de mal. Qu'est-ce qui fait qu'un acte est bien ou mal, fallait -il par exemple assassiner Hitler , ou plus modestement se débarrasser d'un juge corrompu? Un crime peut-il être juste ?. Un vieux théorème intéressant et là Allen s'en tire très bien. On retrouve un peu l'esprit et la forme du livre de Dona Tart " le Maître des illusions". Des intello confrontés à des choix exsitentiels. La deuxième moitié du film s'accélère, l'intrigue se complique et là c'est Emma Stone qui tire son épingle du jeu. Elle est absolument formidable et joue vraiment très bien. C'est elle qui donne de la consistence au film, par sa prise de position atypique. On y croit , elle nous bluffe , du grand art, et le film retrouve sur ses 20 dernières minutes les hauteurs de "Match Point", avec l'intervention du hasard et de la destinée par une petite lampe de poche, pourtant donnée avec beaucoup d' amour. C'est très malin, c'est du pur Woody Allen , et on se régale.
    poet75
    poet75

    257 abonnés 703 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 15 octobre 2015
    Le moins qu'on puisse dire, c'est que l'arrivée d'Abe Lucas (Joaquin Phoenix) en tant que professeur au département de philosophie d'une université des Etats-Unis ne passe pas inaperçue. Elle est précédée de rumeurs plutôt négatives : le nouveau professeur est réputé non seulement pour ses méthodes peu conventionnelles mais pour son manque de scrupule dès qu'il trouve une occasion de vivre une aventure avec l'une ou l'autre de ses étudiantes. Pour ce qui concerne le premier reproche, cela s'avère vite exact au point qu'on a le sentiment que l'enseignant tient en piètre estime la matière même qu'il enseigne. Quant à mettre des étudiantes dans son lit, pas si simple... La vérité, c'est qu'on a affaire à un homme dépressif, peu enclin à goûter quelque plaisir que ce soit. Ce ne sont pourtant pas les occasions qui manquent, deux femmes étant irrésistiblement attirées par ce qui lui reste de charme : avec Rita Richards (Parker Posey), l'une de ses collègues, cela tourne vite au fiasco, la libido d'Abe Lucas étant à peu près au point mort ; avec Jill Polard (Emma Stone, superbe), une de ses étudiantes, éprise au point de délaisser son fade fiancé pour préférer sa compagnie, il préfère se contenter d'une fervente amitié (quitte à alimenter les ragots, prompts à se répandre dans ce microcosme qu'est un campus).
    Le hasard tenant souvent un rôle déterminant dans les films de Woody Allen, c'est à l'occasion de l'un d'eux que tout bascule. Alors que Jill et Abe sont attablés dans un café, ils surprennent une conversation mettant gravement en cause les méthodes et la probité d'un juge. Naît aussitôt dans l'esprit torturé du professeur une idée affolante qui, si elle se réalise, pourrait bien redonner du sel à sa morne existence. Commence alors la deuxième partie du film, celle qui conduit à la réalisation du projet criminel d'Abe et à ce qui ressemble à son retour à la vie. Car, dès son forfait accompli, l'homme retrouve instantanément tout ce qu'il se désolait d'avoir perdu, et son appétit de vivre et sa libido. A ses côtés se trouve une sorte de victime désignée: c'est Jill qui, d'abord consentante, devient, lorsqu'elle découvre à qui elle a affaire, comme la voix de la conscience égarée du professeur. Jusqu'à un dénouement qui doit (une fois encore) beaucoup à quelque chose de hasardeux.
    Peut-être l'a-t-on déjà compris, la source d'inspiration avérée, affirmée, de ce nouvel opus de Woody Allen se trouve dans « Crime et Châtiment », l'un des chefs d'oeuvre de Dostoïevski. Dans le film comme dans le roman, il est question de commettre le crime parfait qui débarrassera le monde d'un être abject qui, de ce fait, ne mériterait pas de vivre. Ne se porterait-on pas mieux si disparaissaient de la surface de la terre l'usurière du roman et le juge inique du film ?
    Cela étant dit, Woody Allen se garde bien de n'être qu'un copieur ou un pâle imitateur de Dostoïevski. Il s'approprie le récit du romancier russe pour en faire quelque chose de différent et de typiquement allenien. On peut même affirmer, me semble-t-il, qu'il en prend le contre-pied. Raskolnikov, le personnage de Dostoïevski, une fois son double crime perpétré, se rongeait de remords et de culpabilité. Rien de tel chez Abe Lucas qui, engoncé dans son orgueil, reste persuadé jusqu'au bout de son bon droit. Chez Dostoïevski, le chemin de la repentance et du salut était inspiré au criminel par Sonia, la lumineuse prostituée imaginée par l'auteur. Chez Woody Allen, Jill l'étudiante, qui se découvre plus conventionnelle qu'elle ne voulait le croire, a beau faire et beau dire, elle ne fait pas bouger d'un iota la conscience égarée de son professeur. Quant au châtiment, s'il était voie de rédemption dans le roman russe, il n'est plus ici que le fruit du hasard. A la déportation en Sibérie se substitue la chute dans un gouffre.
    Qu'on se rassure, il n'est nullement nécessaire d'être un fin spécialiste de Dostoïevski ni même d'avoir lu le roman susnommé pour apprécier « L'Homme irrationnel ». Il suffit de se laisser conduire par une intrigue assez limpide et par la mise en scène élégante de Woody Allen. Il faut aussi accepter de se laisser interroger par la vision de l'humanité somme toute très pessimiste de ce dernier. Les criminels ne trouvent pas tous un chemin de salut et il en est d'impénitents comme celui que le cinéaste a choisi de faire évoluer. Nous aimerions sans doute que tous acceptent de saisir la main salvatrice d'une Sonia, comme chez Dostoïevski. Mais il en est aussi qui, tout enfermés dans leur suffisance, n'entendent rien d'autre qu'eux-mêmes et rejettent tout rachat. Sous ses apparences de fluidité, voire presque de légéreté, Woody Allen sait, mieux que quiconque, nous confronter à nous-mêmes, à ce que nous sommes, à notre pauvre humanité qui s'égare si facilement. Une fois encore, il nous fait le cadeau d'un film capable d'alimenter nos réflexions et nos méditations pour de longues heures. 9/10
    ned123
    ned123

    129 abonnés 1 663 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 19 octobre 2015
    J'ai vu un film... qui m'a vraiment séduit tant l'histoire et l'intrigue sont fortes, et les comédiens tellement attachants... La réalisation et la direction d'acteurs est un petit bijou qui fonctionne à merveille et que dire du scénario et des images !... Ce film est un grand millésime de ce génie du cinéma qu'est Woody Allen.
    On pénètre dans les pensées les plus intimes des personnages en étant toujours frappé de la justesse du ton et de la qualité des dialogues. Joachim Phoenix et Emma Stone sont vraiment impeccables, dans leurs relations et la complexité de leurs échanges... J'ai vraiment particulièrement apprécié la virtuosité de la narration, et le sens du détail qui permet aux comédiens de passer d'un style à l'autre. Et en plus, on prend quelques leçons de philosophie dans cette comédiens grinçantes aux airs de thriller virevoltant et surprenant.
    Kinopoivre
    Kinopoivre

    29 abonnés 200 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 14 octobre 2015
    Pas une comédie, plutôt une histoire sarcastisque, qui ne fait jamais rire, mais ricaner lors du retournement de situation final, auquel on s’attend, car on connaît Woody Allen.

    Un très désabusé professeur de philosophie, Abe Lucas, n’a plus le goût de la vie et de l’amour, mais il retrouve tout cela quand, délaissant les cogitations permanentes, prenant conscience que l’action est supérieure, il décide d’agir en tuant un salaud. Pourtant, deux hics surviennent : un innocent est arrêté à sa place, et l’étudiante qui est tombée amoureuse de lui et qui a tout deviné menace de le dénoncer à la police. Il décide alors de spoiler: la tuer aussi
    , mais une maladresse fait que spoiler: c’est lui qui meurt
    .

    Si l’interprétation est bonne, le scénario et surtout les dialogues sont un peu faiblards. En outre, on est un peu agacé par un détail qui n’est jamais signalé par la critique : la musique de jazz qui accompagne tout le film, toujours la même, surgit dès que les personnages cessent de parler et s’arrête dès qu’ils reprennent la parole. Pas très inventif...
    Nyns
    Nyns

    190 abonnés 749 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 16 octobre 2015
    Allen fait du Allen. Ni plus, ni moins. Ça faisait bien longtemps que je n'avais pas été tenté par l'unes de ses œuvres (j'en ai d'ailleurs pas mal de retard...) mais cet Homme Irrationnel m'a irrationellement attiré... Bon j'adore ce type d'histoire qui joue la philosophie carte sur table, et ce film ne déçoit pas dans le domaine. Divisé en trois parties (état des lieux, magnificience et déclin), le récit de ce prof de philo en pleine errance existentielle est vraiment prenant. Joachim Phoenix est excellent dans ce type de rôle, je ne me faisais pas de soucis là dessus (pas mal le petit bidon du prof d'université) ! Et cette Emma Stone est vraiment irrésistible, le centre du l'histoire et d'ailleurs la nouvelle muse du réalisateur new-yorkais on dirait bien... La fin sous forme d'uppercut termine bien le récit, nous sommes rassasié du sarcastisme allenien. Le problème est que j'ai eu l'impression de visionner un mix de mes 2 films préférés du réalisateur (Vicky, Cristina, Barcelona et Match Point), c'est donc dubitative que je m'interroge sur le futur de notre Woodie. A-t-il vraiment quelque chose de nouveau à dire ? On tourne en rond en fait... Même si j'ai adoré et que mis à part ça le film est bon, je suis quand même un peu déçue.
    Léa A
    Léa A

    42 abonnés 64 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 15 octobre 2015
    Un Woody Allen traditionnel donc, qui mêle à une esthétique très classique, un récit rocambolesque, toujours à travers des thématiques phares de son oeuvre comme la mélancolie et les relations hommes/femmes. Pas de surprise, mais un bon moment de cinéma. (...

    Critique entière sur mon blog !
    crachou94
    crachou94

    22 abonnés 427 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 19 octobre 2015
    un peu déçue par ce film, malgré tout Joachim Phoenix et Emma Stone font une performance d'acteurs excellente, malgré une intrigue peu crédible.
    RedArrow
    RedArrow

    1 540 abonnés 1 496 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 15 octobre 2015
    Toujours un plaisir de retrouver un Woody Allen. Cette impression d'être avec un vieux tonton qui vous a vu grandir et qui vous raconte la sempiternelle même histoire à quelques variations près.
    Cette fois, c'est un prof de philo (avec tirades existentialistes et citations de philosophes connus à la clé) perdu aux tréfonds de son âme qui va reprendre goût à la vie en commettant le crime parfait.
    On est en terrain conquis, Woody le sait et il le fait très bien... quitte à se saborder (un peu) dans une dernière partie prévisible à souhait.
    Emma Stone domine entièrement le film, gommant, pour une fois, un Joaquin Phoenix bien pâle (et c'est rare) et on se prend même à rêver d'une autre fin où elle se serait alliée avec la géniale Parker Posey.
    Totalement anecdotique (comme 80% de la filmo de Woody ces dernières années), on ne peut pas s'empêcher de passer un bon moment devant "L'Homme Irrationnel".
    Il est fort, ce Woody, car il nous donne toujours une envie folle d'aller voir son prochain film... et on ira.
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