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    Belle et Sébastien : L'aventure continue
    Anecdotes, potins, actus, voire secrets inavouables autour de "Belle et Sébastien : L'aventure continue" et de son tournage !

    Une bonne affaire...

    Le premier film Belle et Sébastien avait réalisé plus de 2,8 millions d'entrées rien qu'en France, et il est resté en tête des films en langue française d'Italie, de Belgique, de la Suisse et du Canada du premier semestre 2014. D'où cette suite...

    Un nouveau réalisateur

    Le Canadien Christian Duguay succède à Nicolas Vanier à la mise en scène de ce second opus. A noter que Duguay est habitué à tourner avec des animaux puisqu'on lui doit le récent Jappeloup porté par Guillaume Canet. C'est d'ailleurs pour son travail de mise en scène sur ce film (notamment les scènes d'équitation) qui a poussé les producteurs à le choisir.

    Retrouvailles

    Le metteur en scène Christian Duguay retrouve le comédien Tchéky Karyo dans ce nouveau film puisqu'il l'avait dirigé dans Jappeloup.

    Un nouveau venu

    Si le casting original est inchangé, une nouvelle recrue en la personne de Thierry Neuvic l'a rejoint. Le charismatique acteur incarne ici Pierre, seul espoir de Belle, Sébastien et de son grand-père César lorsqu'il s'agit de retrouver Angelina (Margaux Chatelier), disparue dans un accident d'avion au coeur des montagnes transalpines, alors que le pays sort à peine de la Seconde Guerre mondiale.

    Papa pendant le tournage

    Une des raisons qui a poussé Thierry Neuvic à accepter de jouer dans Belle et Sébastien : l'aventure continue provient du thème du rapport à la paternité qui est très présent dans le film (via son personnage et celui de Félix Bossuet). En effet, ce thème a d'autant plus touché le comédien qu'il est devenu père pendant le tournage du long métrage.

    Raisons

    Christian Duguay explique qu'il ne savait pas qu'un premier volet avait été tourné quand son agent lui a dit que les producteurs du film voulaient le rencontrer. En revanche, il connaissait très bien la série. C'est le côté ode à la nature et la révélation sensible de la psychologie du petit garçon incarné par Félix Bossuet qui ont poussé la cinéaste à se lancer dans l'aventure de cette suite.

    S'attaquer à une suite

    Pour mieux entrer dans cet univers et ainsi lui rester fidèle, Christian Duguay a commencé par visionner tous les rushes du premier opus. Il explique : "Cela m'a permis de découvrir Félix et d'apercevoir l'acteur mais aussi l'enfant qu'il est pour mieux tisser un lien avec lui sur le tournage. J'ai été attentif aux directives d'Andrew Simpson, le coordinateur animalier, qui savait toujours comment obtenir la bonne réaction des chiens sans entraver le jeu de Félix. Je crois que pour diriger un deuxième épisode, il faut connaître et étudier tout ce qui s'est passé avant. C'est grâce à ce travail de préparation que j'ai réussi à emmener les personnages ailleurs et à poursuivre l'aventure."

    Plans aériens

    Pour les plans aériens, l'équipe a tourné avec un avion suspendu. Christian Duguay a ensuite collaboré avec un réalisateur 2ème équipe qui a une grande expérience des plans aériens. En ce qui concerne les vols où l'on voit des avions d'époque, il y avait un hélicoptère qui suivait l'appareil en toute sécurité.

    Tourner avec des chiens

    L'équipe a utilisé plusieurs chiens des "Montagnes des Pyrénées" pour les besoins du film. Ces animaux ayant gardé leur instinct naturel et leur lenteur innée, il fallait les motiver pendant les scènes avec des morceaux de viande... Christian Duguay se rappelle : "Il y avait d'abord Bear, qui était le plus petit, mais qui avait une tête magnifique pour les plans serrés, dégageant une grande douceur communicative. Le deuxième, nommé Fort, était plus grand et arborait une présence physique incroyable. C'était aussi le plus calme pour jouer les scènes de feu ou d'autres cascades. Fripon, comme son nom l'indique, avait la figure un peu fripée mais il était capable de vraies prouesses comme par exemple la scène où il doit rattraper la médaille de Sébastien. Enfin, Garfield réunissait les qualités des trois autres mais était aussi le plus imprévisible. C'est lui qui a incarné Belle dans le premier volet."

    Occupé

    Nicolas Vanier n'a pas pu assurer la mise en scène de cette suite parce qu'il voulait se consacrer à son projet Sologne, qui raconte l'histoire d'un jeune citadin orphelin de sa mère et envoyé par son père vivre à la campagne. En Sologne, il fera la connaissance de Totoche, un pêcheur un peu rustre qui va lui enseigner la nature, la solidarité, l'amitié.

    Un dresseur et d'autres animaux

    Pour les nombreuses scènes où l'on voit d'autres animaux que les chiens, comme par exemple un ours ou des loups, la production a fait appel au dresseur Andrew Simpson qui a collaboré sur de nombreux films internationaux et qui a fait venir des femmes dresseurs des États-Unis. "Sous la tutelle d'Andrew Simpson, toute une équipe française a coordonné une petite ménagerie comprenant des loups, des sangliers, des biches et des renards mais aussi un ours et des rapaces ! Inutile de dire à quel point ces scènes ont été complexes à mettre en place mais la contribution des animaux a été essentielle pour donner un souffle naturel et véridique au film", se rappelle Christian Duguay.

    Lieux de tournage

    Le film a été tourné dans des décors naturels, dans la Haute Maurienne Vanoise (qui était également le lieu de tournage du premier film), la Vallée de l’Ain pour les scènes en forêt et dans la région d’Oyonnax, où "les habitants de la région se souvenaient avec bonheur et fierté que Nicolas avait sublimé leur montagne, rendant hommage à leur région et à la nature", selon les producteurs.

    Dans la neige et la chaleur

    Félix Bossuet a confié que si le tournage du premier volet qui comportait beaucoup de scènes dans la neige était difficile compte tenu du froid, le tournage de cette suite était différent mais non moins délicat de par deux choses : il y a plus d'action et il faisait très chaud.

    Passer du temps avec les chiens

    Félix Bossuet a passé beaucoup de temps en amont du tournage avec les chiens (dont certains avaient été utilisés pour le premier film) : "On m’a demandé de faire un certain parcours : le chien devait me suivre, ensuite je devais lui donner à manger, puis le caresser et accomplir toutes sortes de choses de façon à me rapprocher de lui", se souvient-t-il.

    Des barrières et des chamallows

    La scène avec l’ours a nécessité des barrières de protection au cas où l'animal décidait de charger l’équipe. Pour l'anecdote, les dresseurs lui donnaient à manger des chamallows...

    Thierry Neuvic et l'aviation

    Pour les scènes en avion, Thierry Neuvic n'a pas piloté l'appareil mais a tout de même appris certaines choses : les cascadeurs lui ont ainsi appris à freiner, virer, mettre en position et l'ont laissé effectuer des manœuvres au sol.

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