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    Green Room
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    Yetcha
    Yetcha

    743 abonnés 4 281 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 11 juillet 2016
    Tendu comme film. Il monte en puissance doucement mais sûrement. On peut lui reprocher quelques longueurs malgré tout, mais quand ça part, c'est brutal, gore et sans appel ! Pfiou, ça fait un peu penser dans le rythme à des films asiatiques de Takeshi Kitano, Kim Jee-woon ou encore Na Hong Jin. Très sympa pour les amateurs du genre thriller gore / slash movie. À découvrir...
    moket
    moket

    434 abonnés 4 201 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 21 mai 2017
    Un survival sauvage et sanglant dans une ambiance glauque, pesante et anxiogène. La mise en scène est brillante, l'interprétation très intense et le film à déconseiller aux âmes sensibles. La tension monte progressivement pour finir en apothéose avec un jeu de massacre particulièrement jouissif.
    Hotinhere
    Hotinhere

    416 abonnés 4 736 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 16 décembre 2022
    Un jeu de massacre en huit-clos tendu et efficace, à défaut d'être transcendant, entre un groupe de punk-rock et une bande de skinheads enragés.
    kibruk
    kibruk

    110 abonnés 2 394 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 19 février 2023
    Entre le survival et le film de siège, "Green room" propose un scénario qui sort des sentiers battus, nerveux et violent. Le tout est très qualitatif et sait tenir en haleine jusqu'à son terme, d'autant plus que la montée en tension est très bien gérée. Mais j'ai quand même été déçu par l'écriture tant les choix des assaillants sont souvent discutables, et ce sentiment devient de plus en plus dominant plus on approche de la fin.
    brianpatrick
    brianpatrick

    68 abonnés 1 536 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 7 juin 2020
    C'est un film avec un budget modéré. Mais il reste prenant et intéressant. On y a voit l'univers du nord ouest des Etats-Unis. Des punks, un groupe de Punks qui joue à Seattle puis qui doit rejouer dans une salle située en campagne, même dans une forêt située au milieu de nul part. Après oui, ce n'est pas nouveau, les Punks et les Skins ne font pas bon ménages; d'ailleurs il est préférable qu'ils s'évitent. Après s'ils se rencontrent, cela tourne à la bagarre. C'est un très bon film, il y a dedans Imogen Poots, une actrice anglaise qui reste méconnaissable, pour sa coupe de cheveux terrible, mais aussi pour son accent anglais qui a disparu. Anton Yelchin reste lui aussi méconnaissable, très imprégné par son jeu. Patrick Stewart, son anglais reste très difficile à saisir. Le film a gagné le prix du public au Festival international du film fantastique de Neuchâtel 2015; mérité. C'est un très bon film de minuit, surtout de minuit, car effectivement il faut le visionner la nuit.
    novemberromeo
    novemberromeo

    27 abonnés 648 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 30 mai 2023
    Ce thriller est à la limite du navet... non par son idée de départ plutôt intéressante ou encore ses prises de vues et photographie soignées...mais car il n'assume pas la violence qu'il est sensé mettre en exergue. On a un groupe de punk-rock (à la violence figurée, musicale) constitué d'andouilles disposant chacun de deux mains gauches de Playmobil opposé à des néo-nazis (à la violence supposée réelle) en mousse, incapables et mollassons. Ajoutons un scénario peu lisible pendant toute la "rétention", des incohérences énormes et des scènes d'action ratées pour consacrer ce bide. La distribution n'a rien sauvé. Dommage.
    mistermyster
    mistermyster

    34 abonnés 1 165 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 18 mai 2022
    Il n'y a pas grand chose à retenir de ce film, les jeunes punks ne sont pas attachants, on se fiche de leur sort dès le départ, et ceux qui devraient survivre car plus charismatique sont effacés très rapidement, on garde donc, le plus cul cul et on en fait un survivor. Courageux quand même de se laisser scotcher le bras qui vient d'être lacéré de coup de cutter, on imagine les dégâts lorsqu'il va essayer de l'enlever.
    Le film est très sombre, je ne parle pas du propos mais de la couleur en générale, et certaines scènes sont donc inappréciables tant c'est saturé de noir.
    Le film plaira peut-être à une frange de spectateurs qui s'identifiera soit aux uns soit aux autres, mais sinon, passé votre chemin.
    FaRem
    FaRem

    7 394 abonnés 8 816 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 29 juin 2016
    C'est le troisième film de Jeremy Saulnier et je ne suis toujours pas déçu. J'avais beaucoup aimé "Blue Ruin" et j'ai adoré "Green Room" qui allie parfaitement la simplicité et l'efficacité. On assiste à un affrontement déséquilibré, sans pitié et très violent. Même si on nous explique pourquoi, j'ai trouvé bizarre la façon dont est orchestrée la préparation des skinheads, on les sent capable de pouvoir en finir rapidement, mais c'est comme s'ils se mettaient des bâtons dans les roues notamment au niveau du choix des armes ou au nombre de personnes qui rentrent pour en découdre. Le film est marquant et puissant avec des scènes violentes, jouissives et parfois gores sans que ça aille dans la surenchère ce qui est une bonne chose. Ce mélange de sobriété et de violence est d'une efficacité redoutable. La tension ne nous lâche jamais au contraire, elle ne cesse de s'accroître au fil des minutes ce qui rend l'atmosphère très pesante. Bref, c'est un excellent film très réussi, divertissant et captivant.
    soniadidierkmurgia
    soniadidierkmurgia

    1 006 abonnés 4 090 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 6 février 2017
    En 2013, Jeremy Saulnier, jeune réalisateur venu du métier de chef opérateur s'impose dans le monde des cinéastes indépendants avec "Blue Ruin" qui remettait au goût du jour le revenge movie en le délivrant de la connotation fascisante qui pesait sur le genre depuis la longue série initiée par Michael Winner et Charles Bronson en 1974 avec "Un justicier dans la ville" et prolongée ad nauseam par le laborieux Jack Lee Thompson qui avait pris le relai. "Blue Ruin" comme l'indique le bleu délavé de la voiture épave du héros suggèrait le prisme à travers lequel Saulnier entend regarder les personnages de ses films. Celui de l'Amérique des déclassés qui ont été abandonnés depuis des décennies par les politiques de tous bords. Son nouveau film aux tons cette fois vert bouteille, emprunte les mêmes chemins de traverse en proposant le huis clos sanglant vécu par un groupe punk embarqué dans la galère des contrats foireux qui a eu la mauvaise idée d'accepter un concert dans le repaire d'une bande de skinheads situé dans une forêt perdue de l'Oregon . Comprenant très vite dans quelle atmosphère viciée ils se sont imprudemment infiltrés, les membres du groupe ne pensent qu'à filer à la fin de leur set qui n'a pas eu l'air de plaire à tous les crânes rasés avinés présents, filmés au ralenti par Saulnier lors d'un pogo endiablé, présage inquiétant de la tension qui monte. Malheureusement, un des membres est témoin d'un meurtre se déroulant dans les coulisses crasseuses de ce hangar qui va devenir rapidement le théâtre de leur malheur. On pense bien sûr à des films comme "Assaut" de John Carpenter (1977) pour le huis clos ou encore "Les chiens de paille de Sam Peckinpah" (1971) pour le déchainement de violence d'un homme ordinaire, mais aussi à "Délivrance " de John Boorman (1972) ou "Sans retour" de Walter Hill (1981) pour la dimension rurale. Saulnier ne mise pas sur le registre de l'innovation à tout prix mais plutôt sur celui de la synthèse astucieuse alliée à une parfaite maitrise des effets propres à maintenir le spectateur en état de tension. Ayant lui-même appartenu à un groupe punk dans sa jeunesse, Jeremy Saulnier dresse le constat que ce mouvement nihiliste éphémère, né dans les années 70 et devenu vintage pour quelques adolescents en quête de modèles musicaux, a été récupéré par les mouvements néo-nazis qui n'en n'ont conservé que la violence sonore. On notera la présence de Patrick Stewart glaçant en gourou de la bande de nazillons aux ordres, du regretté Anton Yelchin trop tôt disparu peu après la sortie du film et de la très convaincante Imogen Poots. Une nouvelle réussite donc pour Jeremy Saulnier qui trace sa route, guidé par les grandes références du cinéma de genre américain. Pour le moment ses pas sont plutôt assurés et sa boussole semble devoir le mener vers l'affirmation d'un style propre. A suivre de très près.
    Redzing
    Redzing

    918 abonnés 4 294 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 6 novembre 2016
    Un groupe de punk rock à la ramasse donne un concert dans un club néo-nazi, au fin fond de l'Oregon. Ils deviennent alors malgré eux les témoins d'un meurtre, et ainsi la cible des propriétaires des lieux. "Green Room" est un thriller en huis-clos très maîtrisé de la part de Jeremy Saulnier. L'intrigue est d'abord bien menée, entre des rebondissements inattendus, et surtout des personnages crédibles, qui tentent de se sortir d'une situation difficile, sauf que l'adrénaline et la peur gouvernent leur raison et leurs actes. Parmi les musiciens, on repère Anton Yelchin, assez convaincant, et dont ce sera malheureusement le dernier rôle (le jeune acteur est décédé d'un accident en 2016). Face à lui, Patrick Stewart s'avère étonnant en incarnant un néo-nazi glacial, méthodique, et sans scrupule. Personnage dont le côté froid est renforcé par le décalage avec le décor : un bar glauque, aux couleurs néons flashy. Ces visuels aident également à développer une ambiance ultra-tendue, où deux camps s'affrontent frénétiquement, et où la violence est viscérale (âmes sensibles s'abstenir !). Une bonne surprise.
    Acidus
    Acidus

    617 abonnés 3 647 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 4 février 2017
    "Green Room" est un survival tout ce qu'il y a de plus basique et dont l'intrigue pourrait être résumée en une ligne. S'il est classique, il n'en demeure pas moins efficace notamment grâce à une mise en scène solide (plutôt rare pour ce genre de série B) et cette petite tension qui s'installe rapidement... avant de s'essouffler dans le dernier quart. Violent comme il faut, "Green Room" est, à l'image de "Blue Ruin", le précédent long métrage de Jeremy Saladier, simple mais divertissant.
    JimBo Lebowski
    JimBo Lebowski

    361 abonnés 1 080 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 5 juillet 2016
    La première partie m’a intéressé car elle nous fait entrer dans un milieu plus ou moins hostile avec des personnages dont on comprend qu’ils sont un peu comme nous, rebelles mais pas dans l’excès (avec les redites de l’album à emmener sur une île), contrairement à ces types qui n’inspirent absolument pas confiance, on sait qu’il va arriver quelque chose et lorsque ça explose ça ne fait pas semblant, le piège se referme et on est cloitré avec eux et leurs craintes/angoisses, c’est prenant. Par contre la violence est parfois un poil sur-appuyée pour satisfaire des effets choc, Saulnier la filme de manière sans doute trop "brutasse" pour rendre une ambiance totalement oppressante par rapport à sa mise en scène jusque là, prisonnier de ce qu’il veut montrer plutôt que de faire ressentir, et toute la deuxième partie plonge là dedans, l’empreinte visuelle nous enfonce dans une sorte de léthargie inconfortable, d’un sens ça souligne un parti pris tout à fait respectable et défendable mais personnellement j’y ai perdu en qualité de visionnage, j’ai fini par sortir petit à petit du contexte survival pour voir quelque chose d’assez prévisible, et ça l’est. De même les morts s’enchainent dans une certaine indifférence, en plus d’alliance tombée du chapeau, le personnage de Patrick Stewart qui est là sans vraiment être là (pourtant ce n’est pas un acteur qui manque de charisme), ça devient même long, le film ne dure qu’1h30 mais semble en faire deux bien tassées, pas que ça soit réellement ennuyeux mais disons que ça fait du sur-place, surtout pour dévoiler un final sans trop d’audace.
    Pas désagréable mais sans grand d’intérêt malgré des idées assumées et des qualités en terme de réalisation et d’identification esthétique, à l’image de son précédent film, estimable mais oubliable.
    landofshit0
    landofshit0

    248 abonnés 1 745 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 22 novembre 2016
    L'affiche de green room est franchement hideuse,enfin elle fait vraiment cheap et avec une telle affiche si peux travaillée on s'attend à voir un truc au rabais à la qualité médiocre,que l'on pourrait trouver dans les rayons dvd à 5€ du carrefour du coin. Je dois bien avouer que ce visuel peu vendeur ne m'a pas donné une seconde l'envie de voir ce film,et pourtant à force d'en entendre parler positivement j'ai fini par y aller,non sans une certaine réticence.

    Je n'attendais absolument rien de green room d'autant que je n'avais pas vu blue ruin(que j'ai vu depuis) et la surprise n'en fut que plus bonne. Placer une intrigue à l’intérieur de l'univers punk est plutôt original,on voit que le réalisateur connait cet univers, d'ailleurs il a certainement du y traîner ses basques pour en décrire aussi bien l'ambiance que dégage ces endroits ainsi que celui des groupes qui vont y jouer. D'ailleurs on sent pleinement qu'il connait l'ambiance qui règne dans ces groupes,peut être en a t'il fait parti,mais s'il n'en n'a jamais fait parti c'est très bien observé et retranscrit.On reconnait pleinement l'esprit de fouteurs de merde que l'on peu trouver dans ce genre de groupes,quand ils vont chanter fuck the nazis à un public de skins c'est plutôt gonflé et amusant.

    Et le ton du métrage est d'ailleurs très différent en ce début de film,on suit la galère d'un petit groupe qui va de petite salle en petite salle,jusqu’à ce qu'ils jouent dans un endroit dans lequel tout va lentement déraper. Le réalisateur sait enchaîner les scènes dans une succession de choses qui arrivent comme elles pourraient arriver dans la vie,elles ne sont pas amenées au forceps,mais elles s’enchaînent avec une grande ingéniosité et surtout sans chercher à en mettre plein la vue au spectateur. C'est là que réside la grande force de son cinéma.

    Cette petite bande de punks jeunes et sympathiques qui siphonnent les voitures sur les parkings pour se rendre à leur prochain concert vivent pour la musique. Ils vont être plongés dans un vrai univers de violence,bien plus violent que la musique qu'ils jouent. Jeremy Saulnier arrive à créer une vraie tension,on se sent oppressé spoiler: dans cette petite pièce dans laquelle le groupe se retrouve contre son grès enfermé.
    La tension monte jusqu'à l'explosion de violence,qui va éclater à la face du groupe et à celle du spectateur. Cette première attaque est tendue, on ne voit rien mais on ressent la violence et on observe son résultat. La façon de mettre en scène est réellement brillante,il y a longtemps que je n'avais pas ressenti l'impact d'un coup de feu ou l'effet de la violence qui dérange,c'est loin d’être cool et fun ici.

    Saulnier raconte une histoire qui est dans la même lignée que Blue ruin,il utilise d’ailleurs certaines choses qui sont similaires aux deux films,le couteau dans la tête,les tirs inattendues. On pourrait presque dire que le réalisateur possède déjà des travers et qu'il fonce dedans. Ce n'est que sont troisième film et le deuxième de ce genre,donc il peut se le permettre,mais il est certain qu'il ne pourra pas utiliser les mêmes choses indéfiniment. Par rapport à blue ruin green room me semble être bien haut dessus notamment dans les gestions de rythmes,qui sont bien mieux utilisés et maîtrisés. Le film est aussi plus violent et plus gore,mais ça n'a rien de gratuit. C'est la violence à l'état brut qui vient frapper le visage du spectateur à coups de rangers et c'est réussi.

    Visuellement le film est efficace il y a de beaux moments,mais ça n'a rien de plus que d'autres prod du genre. C'est sur ce point que le film reste réellement une série b et c'est dommage. Enfin peut être qu'à l'avenir le réalisateur se verra allouer des budgets plus importants et que l'image y gagnera,en tout cas c'est un cinéaste fort intéressant. Comme quoi parfois l'affiche et son visuel cheap peuvent nous faire rater quelque chose.
    Félix F
    Félix F

    204 abonnés 2 423 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 19 octobre 2016
    Un petit survival bien sympa, dérangeant et plutôt efficace. Même si la fin est un peu prévisible, l'ensemble du film ce veut assez stressant et prenant, avec quelques scènes plutôt trash. Un bon petit 8 clos qui sort du lot.
    Hastur64
    Hastur64

    190 abonnés 2 289 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 2 août 2017
    « Green Room » est un petit thriller en huis clos qui sans être extraordinairement prenant offre un suspens convaincant. C’est une sorte de punks rockers versus néonazis où un rock-bande témoin d’un meurtre se retrouve à la merci d’une bande de skinhead d’extrême droite bien décidés à faire disparaître ces témoins gênants barricadés dans l’arrière de leur bar/salle de concert. Le film joue un jeu d’équilibriste entre thriller survival un brin sanglant et un humour distillé par cette bande de rockeurs complètement dépassés par les événements. L’interprétation est elle aussi solide avec en tête : le regretté Anton Yelshin en guitariste propulsé leader de groupe dans cette course à la survie, Imogen Poots finalement le personnage le plus badass du film, bien que malgré elle, et enfin Patrick Stewart dans un rôle à contre-emplois en chef au sang-froid de cette milice néonazie. Un petit film sans prétention qui réussit un mélange sanglant et comique rare au cinéma et qui mérite vraiment un petit coup d’œil. Faites vous plaisir.
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