Avis : The Lady In The Van - Page 3

L’histoire vraie d’une vieille dame indigne qui vécu 15 ans durant dans sa camionnette dans le quartier londonien de Camden. Tout l’intérêt de « Lady in the Van » réside dans ses rapports avec le voisinage et plus particulièrement avec l’écrivain Alan Bennett, auteur du livre puis de la pièce inspirée de cette relation particulière. Un film un peu plat qui mise essentiellement sur la géniale interprétation de Maggie Smith - que j’adore - ainsi sur la drôlerie de ces petites piques ironiques, mesquines, impolies et parfois méchantes qui n’épargnent personne.

film anglais sur une vieille femme sdf qui va squatter la cour d un ecrivain en mal d inspiration .

Une histoire tres humaine plein de bon sentiment avec des moment de joie de bonheur maos aussi de tristesse sa vie n a pas ete facile tt les jours .

Un beau film avec une maggie smith du tonnerre qui se lache completement dans certaon moment de grace !

Un film qui passe comme une sucrerie on en redemanderait presque a la fin

Une jolie histoire vraie dans un film pour le coup très anglais . Comédiens et situations décalées. Une bonne dose d humour à l anglaise pour un bon moment même si au niveau du timing ça devient un peu répétitif.

Tirée en quasi totalité d'une partie de la vie d'Alan Bennett, une partie de sa vie qu'il partagea avec Miss Shepard, une femme sdf vivant dans son van, en la laissant se garer dans l'allée de sa maison pendant les 15 dernières années de sa vie.
Une douce mélancolie d'1h45, avec 2 personnages bien loufoques, chacun dans son genre...
Un film touchant, avec de dialogues bien écrit à l'humour acerbes, globalement triste mais parsemé de sourires et de musiques de temps à autre, une critique de notre société bien individualiste...

Mon premier ressenti en repensant à The lady in The van, c est celui de l ennui, parce que franchement les histoires de vieilles religieuses ce n est pas mon délire. En plein nord ouest de Londres, une histoire d amitié entre une vieille femme seule et une jeune auteur de pièce de théâtre. Relation tordue et décalée qui me rappelle celle de Mary et Max, mais celui ci est sans charme et sans émotions fortes. La reconstitution du quartier de Camden est bien faite, néanmoins il n y a pas d images à couper le souffle. A éviter. Je le déconseille aux moins de 10 ans. 2/5

En 1974, Alan Bennett, écrivain de théâtre emménage dans le quartier de Camden Town à Londres. Il vit seul même s’il dialogue souvent avec lui-même, reçoit de temps en temps des hommes et rend de temps en temps visite à sa vieille mère.

Une clocharde arrive dans le quartier au volant de son minibus et stationne près de sa maison. Petit à petit une amitié atypique, pudique et rude va se tisser entre Alan et Mary, pendant près de 15 ans.

Je recommande de regarder ce film en Anglais, sans cela le ton « So British » et le bagout relevé de Mary ne seraient pas perceptibles. J’ai bien aimé les rôles secondaires joués par les voisins.

Cette histoire vraie et insolite, remarquablement interprétée surtout par Maggie Smith, décline l’idée de l’amitié sur un mode peu banal.

La bande annonce de « The lady in the van » reflète une bonne humeur et un univers british que l’on aime découvrir au cinéma. C’est donc confiants que nous avons poussé la porte de notre salle. A raison ? Plutôt oui car malgré quelques longueurs, le film est excessivement touchant et magistralement interprété !

Le film est inspiré d'une histoire vraie écrite par l’auteur de pièce de théâtre Alan Bennett. Rédigée à la mort de Miss Shepherd sous forme de livre, l’adaptation a ensuite été jouée pour la première fois en 1999 sur les planches et a donné naissance au scénario du film de Nicholas Hytner. Le réalisateur n’a pas hésité une seule seconde à choisir Maggie Smith pour le rôle de son héroïne. En effet, la comédienne anglaise a interprété ce personnage à de nombreuses reprises au théâtre. Maggie Smith, c’est bien évidemment Minerva McGonagall dans la saga d’« Harry Potter », Miss Donnelly dans « Indian Palace » ou encore la comtesse Violet Grantham dans « Dowton Abbey ». Vue récemment dans le décevant « My old lady », elle redore le blason de sa carrière par cette interprétation touchante et très réaliste. On se prend de pitié pour la vieille dame ou au jeu de savoir qui est vraiment cette étrange vieille fille débarquée de nulle part, on s’amuse de ses réflexions saumâtres et on évolue dans sa vie avec une amitié certaine… Ce personnage haut en couleurs n’en finit par de nous étonner, tout comme son interprète le fait année après année.

Pour incarner Alan Bennett, le réalisateur a fait appel à Alex Jennings, le prince Charles dans « The Queen » de Stephen Frears. Lui aussi est issu du monde du théâtre et maîtrise à la perfection le rôle qu’on lui confie. Attentif, intrigué, l’auteur qui vit seul depuis de nombreuses années, a peut-être enfin trouvé quelqu’un a qui accordé une attention particulière. Lui qui n’avait personne à qui parler (sans que cela ne soit un regret puisque son personnage dira même « qu’écrire, c’est se parler à soi-même ») et qui ne se consacre qu’à l’écriture, trouvera une nouvelle source d’inspiration en la personne de Margareth. Le metteur en scène a pris le pas de nous présenter l’Alan Bennett écrivain (reclus chez lui) et l’Alan Bennett de la vie active (qui sort et va à la rencontre des gens de son quartier). Perturbant dans un premier temps, on se fait vite à l’idée que l’acteur interprète en quelques sortes deux personnalités.

Pour compléter ce tandem de choix, on trouve : Roger Allam, Cecilia Noble, Jim Broadbent (professeur Slughorn dans « Harry Potter »), Deborah Finley ou encore Frances de la Tour (Madame Maxime, toujours dans la saga « Potter »).

Et aux commandes, nous découvrons donc Nicholas Hytner. Réalisateur dont le travail nous était inconnu jusqu’ici, il a pourtant quelques belles adaptations derrière lui semble-t-il. « The country Wife », « Edouard II », « Orpheus Descending » (de Tennessee Williams) ou encore « The History Boys » (du même Alan Bennett), nombreux sont les grands classiques auxquels ils s’intéressent.

Avec « The lady in the van », il nous livre une adaptation réussie d’une nouvelle extraordinaire : il reconstitue les années 1970 avec beaucoup d’authenticité et l’histoire d’Alan Bennett et Margareth Sheperd est présentée avec beaucoup de subtilité et d’humanité. Sa tragi-comédie vaut la peine d’être vue par tous les adeptes du flegme anglais ou d’histoire attendrissante sans prise de tête. A tous ceux qui aiment voir la vie telle qu’elle est sur grand écran, nous dirions que le film est une valeur sûre

Maggie Smith est merveilleuse ! Elle interprète ce rôle décalé avec brio !
Alex Jennings est lui aussi incroyable.
J'ai vraiment adorée ce film, ça donne envie de relire le livre...

Petit bijou de cinéma et très beau témoignage d'une histoire touchante. L'actrice principale crève l'écran.

L'histoire d'une vieille femme légèrement acariâtre qui parasite un quartier mais dont certains s'accommodent, non sans mal. Une belle histoire, de bonnes touches d'humour qui vienne un peu à manquer vers la fin du film.
Et Maggie Smith parlant un très bon français !

Un délicieux petit film, dès le départ on est prévenu: "cette histoire est majoritairement (mostly) inspirée de fait réels". tout est très bien écrit, la langue est précise, le monde du théâtre est très proche, on ne s'en cache pas, mais ça n'est pas pesant ni pédant. une histoire particulière, personnelle qui nous parlent de nous de notre rapport au monde, les aventures d'un auteur branché dans un univers de bobos quand il rencontre une infecte clocharde lettrée dans un univers so british... Délicieux et intelligent

comedie dramatique typiquement anglaise qui fait parallèle à "harold et maude" ; une amitié entre une vieille dame burlesque avec un homme d'une tristesse innée............

Un très bon film basé sur une histoire vraie. Des personnages attachants et des acteurs remarquables. Un film comme seuls nos amis britanniques savent les faire.

Une bonne surprise que cette comédie So British sans prétention avec une actrice exceptionnelle jouant avec justesse et précision le rôle d'une pauvresse ingrate mais touchante. Cela me rappelle ce célèbre proverbe : "Faites du bien à un humain… il vous chie dans la main".