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    Baby Boss
    Anecdotes, potins, actus, voire secrets inavouables autour de "Baby Boss" et de son tournage !

    Naissance...

    Le réalisateur Tom McGrath, à l’origine de la saga Madagascar, s'est beaucoup amusé à animer des humains dans Megamind et avait envie de recommencer. Il s'est donc mis en quête d'une histoire à porter sur grand écran. Après avoir lu de nombreux livres, il est tombé sur le conte pour enfants de Marla Frazee The Boss Baby, auquel il s'est beaucoup identifié grâce, notamment, à sa relation avec son grand frère pendant son enfance. "J’ai pu en faire quelque chose de très personnel. (…) J’étais le plus jeune, j’étais le Baby Boss." Ainsi, le cinéaste s'est emparé du sujet pour adresser une lettre d’amour à son grand frère.

    Drôle de mélange

    Après avoir collaboré avec lui pour Madagascar 2, Tom McGrath tenait à réaliser un film dans lequel Alec Baldwin tiendrait le premier rôle. Il a alors fait faire une animation avec l'un des bébés de son film Megamind, qu'il a doublé avec des répliques de Baldwin dans 30 Rock ; les réactions hilares ont ainsi lancé le concept du film.

    Clin d'oeil

    Le premier trailer de Baby Boss a été dévoilé le jour du National Boss's Day ; une journée observée aux États-Unis pour renforcer les relations entre les patrons et leurs employés.

    Autre choix

    C'est Kevin Spacey qui devait prêter sa voix au personnage de Francis E. Francis avant d'être finalement remplacé par Steve Buscemi.

    Alec Baldwin au casting

    Baby Boss marque la cinquième incursion d'Alec Baldwin dans l'animation, et la troisième chez Dreamworks après Madagascar 2 et Les cinq légendes. Le film permet également les retrouvailles de l'acteur avec Lisa Kudrow, dont il avait joué le petit ami dans Friends le temps de deux épisodes.

    Adaptation

    Baby Boss est l'adaptation d'une bande dessinée publiée en 2010 intitulée The Boss Baby, écrite par l'Américaine Marla Frazee.

    Thème rare au cinéma

    Dans son livre, Marla Frazee se concentre davantage sur le Baby Boss, véritable personnage principal de son histoire. Pour son film, Tom McGrath voulait donner plus de place au grand frère, afin d'en enrichir l'intrigue. Le thème de la rivalité fraternelle est ainsi beaucoup plus développé, grâce au scénariste Michael McCullers. "On s’est rendu compte que très peu de films pour enfants abordaient le sujet de l’inquiétude liée à l’arrivée d’un petit frère ou d’une petite sœur, et pourtant c’est l’un des éléments constitutifs de l’équilibre familial : partager l’amour des parents, surmonter l’inévitable sentiment de jalousie", analyse ce dernier. "D’une certaine façon, les pa-rents vont se sentir tout aussi concernés par le film que les enfants, parce que chacun en a fait l’expérience au sein de sa propre famille d’une manière ou d’une autre".

    Rendre hommage

    Baby Boss a été l'occasion pour les équipes du film de rendre hommage à des figures légendaires de l'animation, telles que Chuck Jones, Bob Clampett ou encore Maurice Noble. L'enjeu était donc de concevoir un univers visuel à la fois nostalgique et rétro, tout en y ajoutant une touche de modernité, pour faire vibrer les parents et épater les enfants. Ennio Torresan, chef story-boardeur sur le film, s'est quant à lui inspiré  des dessins animés de Fritz Freleng et Tex Avery.

    Légende de l'animation

    De son propre aveu, Alec Baldwin a tout appris du doublage en regardant les dessins animés de la Warner doublés par Mel Blanc, surnommé "l'homme aux mille voix". "C’est (lui) qui m’a appris à interpréter ces personnages avec l’assurance et la grandiloquence nécessaires", confie l'acteur. "Quand j’incarne ces personnages un peu loufoques, je donne le meilleur de moi-même parce que c’est ce qu’exige le rôle".

    Jimmy Kimmel doubleur

    Le présentateur Jimmy Kimmel, qui donne sa voix au père de Tim dans Baby Boss, avait déjà fait du doublage à deux reprises : il était le chien Spanky dans Garfield en 2003, et plus récemment le Schtroumpf arrogant dans Les Schtroumpfs 2. Lui-même s'est retrouvé dans la situation de Tim lorsqu'il était enfant : "J’ai convaincu mon frère que j’étais Superman quand j’étais gamin. De temps en temps, j’organisais une chasse au trésor pour ma sœur et je semais des indices partout dans la maison. Et puis, à la fin de la chasse au trésor, elle se retrouvait avec un sac rempli de mes ongles de pied ou d’un truc du genre", déclare-t-il.

    Doublage en amont

    Contrairement aux voix locales qui doublent le film une fois terminé, les voix originales sont généralement enregistrées alors que le film est encore en phase de production. "On dépend donc du réalisateur pour avoir des indications précises sur le style visuel", déclare Steve Buscemi, qui prête sa voix au glaçant Francis E. Francis, fondateur de Toutou Corp et grand méchant de Baby Boss. "Grâce à Tom, j’ai vraiment réussi à garder le cap et à me faire une idée du résultat final du film. On a également joué avec le personnage et on a exploré plusieurs pistes d’interprétation si bien que les animateurs disposaient d’une matière très riche pour travailler".

    Star en herbe

    C'est Timothé Vom Dorp, 10 ans, qui double Tim. Malgré son jeune âge, l'acteur a déjà une certaine expérience des plateaux de tournage (il tient le premier rôle de Dans la forêt de Gilles Marchand) et du doublage (il est Bao dans Kung Fu Panda 3 et Nemo dans Le Monde de Dory).

    Vraies anecdotes

    Le réalisateur Tom McGrath et le chef story-boardeur Ennio Torresan se sont inspirés d'anecdotes de leur propre quotidien pour certaines scènes de Baby Boss. "Tous les lundis, je racontais à Tom des anecdotes sur ce qui se passait chez moi – comme la fois où mes enfants ont failli me tuer pendant le week-end ! – et ainsi on a pu nourrir l’intrigue de nos propres souvenir", s'amuse Torresan.

    Montage à la Spielberg

    Pour les scènes dans lequelles Tim rêve de courir dans la jungle, se bagarrer avec un gorille, piloter un vaisseau spatial et plonger dans la mer pour sauver ses parents attaqués par des requins, le chef monteur Jim Ryan a tenu à rendre hommage aux classiques de Steven Spielberg.

    Travail titanesque

    Si l'univers visuel de Baby Boss a été conçu dans un style 2D, les effets visuels ont demandé tout autant de travail que pour les autres films d'animation. Les lignes devaient être épurées, mais les textures toujours aussi travaillées. Une scène en particulier était plus technique à réaliser selon le superviseur des effets visuels Ken Bielenberg : "Cette scène où le personnage crache son vomi comme un projectile a dû être méticuleusement préparée. Le liquide atteint les cheveux et les vêtements des personnages et cela a mobilisé tout un travail de mise au point des textures. Il fallait qu’on sache à l’avance quelles ‘cibles’ le vomi allait atteindre et comment il allait se répandre sur les objets et le décor". Une autre scène a nécessité que 400 bébés soient créés. Un travail de titan pour la superviseuse des effets visuels Vanitha Rangaraj : "On avait déjà conçu des foules pour plu-sieurs films mais jamais dans des proportions comparables à celle-ci".

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