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    Le Chardonneret
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    jonathan b.
    jonathan b.

    18 abonnés 37 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 18 septembre 2019
    Bouleversant.
    Je suis sorti de la séance dubitatif. Je me suis posé un tas de questions et en effet malgré quelques scènes un peu trop étirées je me suis laissé emporté.

    ANSEL est incroyable comme toujours mais surtout dans ce rôle, Nicole kidman, je dois l'avouer, et encore une fois remarquable quoiqu'un peu effacé.

    La seule faille de cette histoire bouleversante, c'est l'émotion. Elle n'y est que très peu. Et ce manque de profondeur. Il y a ce je ne sais quoi qui me force à mettre seulement 3/5 !
    Danny N.
    Danny N.

    92 abonnés 290 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 18 septembre 2019
    Énervement ce mercredi : pas de film m’intéressant depuis 'Once upon a time in Hollywood' en aout et ce 18 septembre 2 films passionnants sortent en même temps ; Le Chardonneret et le nouveau film de Brad Pitt !!! j’ai choisi Le Chardonneret car aucun reportage-TV, seulement 3 personnes dans la salle où j’étais, il va être retiré de l’affiche au bout de sa première semaine…

    Je suis toute la filmo de Nicole Kidman depuis 'Eyes wide shut' en 1999 il y a 20ans déjà,

    bien qu’en rôle secondaire, elle est présente du début à la fin du film, avec un de ses plus beaux rôles : une maman poule maternelle distinguée et bouleversante qui ne vit que pour ses enfants !

    Je connaissais Ansel Elgort qui est remarquable là et joue toutes les nuances et contraste de son rôle… L’histoire est terrible car un garçon perd sa maman dans l’explosion terroriste d’un musée et il cache / emporte un tableau très connu mondialement et va vivre 1 000 aventures avec sans jamais se remettre de la perte de sa maman, sauf que….

    On a vraiment envie de savoir s’il va réussir à s’en sortir, les 2h30 ne m’ont pas paru si longues que ça tellement le film est une expérience fantastique de cinéma.
    axelle J.
    axelle J.

    106 abonnés 501 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 21 septembre 2019
    Le réalisateur adapte ce roman avec beaucoup de sobriété et d'élégance pour raconter ce drame romanesque.
    Par ailleurs, c'est très riche et foisonnant j'ai trouvé.
    Aussi, la narration enchâsse différentes temporalités pour ménager le suspense.
    Un joli bijou dramatique je trouve.
    traversay1
    traversay1

    3 096 abonnés 4 624 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 19 septembre 2019
    En 1992, Dona Tartt a subjugué le monde littéraire avec son premier roman, Le maître des illusions. 20 ans et deux livres plus tard, Le chardonneret confirmait le talent de cette auteure aussi rare que capable de nous plonger dans des fictions virtuoses et érudites, remplies d'émotion. L'adaptation de ce drôle d'oiseau relevait a priori de la mission impossible (le roman compte plus de 1000 pages) et si l'on retrouve dans le film la trame générale, elle est devenue une sorte de bouillie narrative, pour cause de raccourcis elliptiques et d'enchevêtrements de temporalités guère probants. Pour être honnête, on s'ennuie un peu dans cette histoire entre enfance et âge adulte et entre Amérique et Europe. Tout simplement parce que les enjeux autour de l'hypothèse d'un tableau volé ne sont que maladroitement définis avec parmi les sujets traités le deuil, la culpabilité, les traumatismes d'enfance, le monde de l'art, etc. Il fallait sans doute être plus courageux dans l'écriture du scénario et s'en tenir à l'essentiel à savoir la perte d'une mère adorée dès le plus jeune âge et les conséquences qui en résultent à mesure que le temps passe. Le cinéaste irlandais John Crowley, qui avait pourtant signé le très romanesque Brooklyn, a cette fois perdu son fluide ou plus exactement a surchargé la barque en oubliant de mettre des ingrédients susceptibles de nous passionner et de nous toucher. L'interprétation générale, tout juste correcte, n'arrive pas à rehausser le niveau avec notamment un Ansel Elgort qui manque singulièrement de charisme. Quant au dénouement du film, quand celui-ci se met à revêtit les habits du thriller, il n'est pas seulement peu crédible, il se révèle presque grotesque.
    Fêtons le cinéma
    Fêtons le cinéma

    579 abonnés 2 749 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 13 septembre 2019
    La très grande force du Chardonneret est de parvenir à croiser les deux trajectoires pourtant opposées de l’art : d’une part sa dimension transitoire, tout entière incarnée par les tribulations d’un apatride dans une Amérique curieusement vidée de sa substance, une Amérique aux cellules éclatées et à la solitude constante ; d’autre part son caractère éternel que la peinture de Carel Fabritius incarne ici, c’est-à-dire une captation de la nature humaine – les êtres vivants sont périssables – dont la figuration, mais surtout l’âme, traversent les âges, résistent aux aléas de l’Histoire. Voilà ce qu’est, en fin de compte, le film de John Crowley : un long et tortueux apprentissage de l’art. Nous commençons par partager la nécessité que découvre un petit garçon à nourrir de sa matière sensible une toile déjà peinte, au point de la dérober malgré lui et de s’en octroyer la possession, au point de la perdre puis de la retrouver, enfin. Ce chemin, c’est le processus de création artistique. C’est la conviction que le bonheur terrestre ne saurait jaillir du matériel, mais qu’il réside dans la somme d’une expérience particulière du monde transformée par l’esprit en composition artistique. Le malheur, la drogue et l’alcool sont les principaux compagnons de route du génie. Theo Decker, un génie ? Quel génie y-a-t-il à voler un tableau ? Notre héros n’est pas le peintre, certes. Mais il est le transmetteur du Chardonneret, en ce sens où en commençant par l’ôter à une société qui ne le voyait que trop, en se l’appropriant par un transfert de propriétés affectives souvenir de la mère/détention du tableau, puis en le restituant après moult remous, il lui offre une visibilité nouvelle, il augmente sa force symbolique. Ce qui est absent a toujours plus d’impact sur l’esprit que ce qui s’agite sous nos yeux. La preuve en est que Theo surmonte les épreuves de son existence sous le regard bienveillant du tableau resté emballé, et qui s’avère en réalité un leurre. L’œuvre d’art est une mémoire humaine qui extrait de la solitude d’un seul une puissance sensible aux retombées collectives. En dépit d’une première demi-heure assez balourde dans laquelle l’on peine à s’attacher aux personnages, en dépit d’une composition musicale à la fois simpliste et trop présente (elle vient écraser l’image et corrompre l’émotion qui coulait naturellement d’elle), en dépit d’un recours abusif aux chansons à des instants mal choisis, Le Chardonneret est un grand film de l’exil – comme l’était Brooklyn, il y a de ça quatre ans – qui croise de manière pertinente solitude et communauté par le prisme d’une réflexion sur l’art.
    Yves G.
    Yves G.

    1 281 abonnés 3 289 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 24 septembre 2019
    Le jeune Theo vient de rencontrer Pipa et son oncle dans la salle 32 du Metropolitan Museum lorsqu’une explosion (dont on ne saura jamais la cause) renverse son monde. La mère de Theo est tuée et l’oncle de Pipa, au moment de mourir, lui confie la garde du Chardonneret, une petite toile peinte en 1654 par un peintre néerlandais.
    Theo est confié aux bons soins des riches parents d’un camarade de classe. Il part à la recherche de Pipa qui a été grièvement blessée dans l’explosion. C’est le moment que choisit le père de Theo pour réapparaître et emmener son fils au Nevada.

    "Le Chardonneret" est l’adaptation fidèle du roman de Donna Tartt, prix Pulitzer 2014. Le livre est un chef-d’œuvre salué comme tel par la critique et par le public. Il brasse des thèmes universels : le deuil, la culpabilité, la filiation, l’amitié, l’art…

    L’adaptation qu’en fait John Crowley a beau durer 2h30, elle est trop courte pour retranscrire la richesse de ses huit cents pages bien tassées. L’admiration révérencieuse qu’il suscite a interdit au realisateur d’en simplifier l’intrigue foisonnante ou d’en abréger certains développements. Du coup, le résultat manque de nerf et de rhythme : ainsi du dénouement, particulièrement mou, de l’intrigue à Amsterdam.

    Mais dans le vieux match du livre contre le film (« Avez vous préféré le livre ou son adaptation ? ») que la plupart des gens tranchent en faveur du livre (« parce qu’il est plus riche » « parce qu’il laisse plus de place à l’imagination »), "Le Chardonneret" a constitué pour moi une expérience troublante.
    Je n’avais pas adoré le livre dont on m’avait fait si grand cas que j’en attendais monts et merveilles. Sa construction trop riche m’avait ennuyé – avec ce long ventre mou au Nevada à son mitan. Je n’avais pas compris le personnage de son héros,orphelin traumatisé ou affairiste cynique. J’avais étiré sa lecture sur plusieurs semaines au risque d’en perdre le fil.

    Malgré tous ses défauts, l’adaptation à l’écran du "Chardonneret" m’a permis d’en retrouver le sens, l’unité. Je me souviens d’avoir eu un sentiment similaire devant "Docteur Jivago" – dont j’ai de loin préféré le film au livre, trop long, trop touffu, en un mot trop slave. C’est un avantage paradoxal du cinéma sur la littérature : son format l’oblige à sabrer dans un texte foisonnant au risque de l’appauvrir mais il lui offre du début jusqu’à la fin l’attention exclusive du spectateur que la lecture de plusieurs centaines de pages égare parfois avec le temps.
    ffred
    ffred

    1 499 abonnés 3 967 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 21 septembre 2019
    Je n'ai pas lu le livre dont le film est tiré, il parait qu'il est formidable. Le bouche à oreille disait que c'était très mal adapté. Je veux bien le croire, j'ai trouvé cela raté. L’histoire aurait pu être attachante, voir captivante, mais elle est particulièrement mal traitée. Très vite on perd tout intérêt et on se fiche peu à peu de ce qui va bien pouvoir advenir du héros. Le tout est assez froid et sans émotion, le récit éclaté sur plusieurs époques. Peut être aussi la faute à l'acteur Ansel Elgort qui manque un peu d’épaisseur et de charisme pour le rôle. Il ne nous fait pas vraiment passer les sentiments de douleur et de culpabilité que ressent le personnage. Nicole Kidman est comme toujours impeccable, Jeffrey Wright très bien, et le jeune Oakes Fegley très prometteur. Quelques jolies scènes, notamment toutes celles à Las Vegas, mais aussi beaucoup de longueurs, le film dure 2h30. De plus, la mise en scène n'a rien de mirobolante. John Crowley (Boy A, Brooklyn) nous avait habitué à mieux. Par contre, la photo est sublime. Bref, on s'ennuie un peu devant ce film un peu trop lisse. Dans d'autres mains peut être...
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 29 septembre 2020
    Après une certaine hésitation, notamment due aux nombreuses critiques négatives, je suis allée voir Le Chardonneret de John Crowley.
    J'ai passé un très bon moment ! Pour moi tout est parfait, que cela soit les images, la musique ou encore le jeu des acteurs.
    Le film m'a laissée un drôle de sentiment. J'ai eu l'impression de ne pas en avoir eu assez. C'est pourquoi j'ai immédiatement acheté le livre dont il est adapté en sortant de salle, à voir si il change mon avis sur ce film que j'ai adoré.
    Frederic S
    Frederic S

    36 abonnés 150 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 18 septembre 2019
    Film sous forme de puzzle avec comme intrigue un tableau dérobé par un petit garçon au début du film .
    Malgré sa longueur on se laisse facilement emporter dans l atmosphère du film .
    PLR
    PLR

    407 abonnés 1 475 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 21 septembre 2019
    Le roman dont ce film est une adaptation fait un millier de pages ! On se doute bien du défi que constitue une transposition à l’écran, même au prix d’une longueur inhabituelle (2h30). Les lecteurs de l’œuvre littéraire, surtout s’ils l’ont appréciée (comme ce fut un best-seller il est probable que le public est là), s’attarderont sans doute sur les réussites, manques, insuffisances voire trahison de l’écrit. Terrain sur lequel, je ne saurais personnellement venir n’ayant aucune connaissance du roman ni de son auteur et, peut-être à tort mais assurément à cause du film, n’ayant pas spécialement envie de cette découverte ! Cette critique se limitera donc à apprécier ce film pour ce qu’il est. Long ! Ce qui est de nature à mener à de l’ennui même si quelques moments raccrochent l’attention. D’autant que le procédé narratif est complexe : aucune chronologie stricte mais une superposition de deux périodes. Pendant le drame : une explosion dans un musée. Et la souffrance de l’enfant rescapé au fil des ans ensuite. Avec une petite intrigue sur ce qui s’est passé et s’est dit dans les décombres du musée, scène survolée au début et appelée à être développée ensuite pour les besoins du scénario. Un fil conducteur nous menant au monde de l’art, aux trafics, à la criminalité. Ça fait beaucoup de choses pour ce qui est classé dans le registre du drame (psychologique essentiellement) et non pas du thriller (qui aurait pu être psychologique aussi mais se situe davantage ici dans d’autres registres). Et puis le tableau, Le Chardonneret, qui dans la vraie vie a sa propre place dans l’Histoire de l’art avec un H majuscule, circonstances auquel le récit fait écho. Bref, beaucoup de thèmes mais traités (limite maltraités) de manière assez fouillis.
    Hubert Guillaud
    Hubert Guillaud

    117 abonnés 126 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 30 novembre 2019
    Ce chardonneret là a perdu toute épaisseur, toute profondeur pour devenir une compilation de clichés, de situations paresseuses et de personnages caricaturaux. A quoi sert-il d'adapter une oeuvre pour la vider de son sens ?
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 5 octobre 2019
    Difficile de me positionner face à ce film. Autant il est long et il met l'arc scénaristique du tableau en arrière plan, je ne me suis pas pour autant ennuyé. De ce fait, le film est plutôt réussi dans son domaine, mais si vous n'aimez pas les films long sans action, passez votre chemin.
    dominique P.
    dominique P.

    785 abonnés 2 027 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 21 septembre 2019
    Ce film est adapté d'un roman.
    J"ai trouvé cette histoire un peu trop longue et confuse mais c'est vraiment très beau et très émouvant.
    Il faut être très attentif, bien suivre tout le film pour bien tout comprendre, notamment cette histoire de tableau.
    Bref, c'est un film de qualité, très intéressant et bouleversant.
    colombe P.
    colombe P.

    124 abonnés 695 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 22 septembre 2019
    Film remarquable et d'une grande puissance émotionnelle.
    Voilà du cinéma excellent que ce soit du point de vue psychologique que du point de vue de pur divertissement.
    Je suis sortie de la séance émue et bouleversée.
    Pour moi c'est le meilleur film dans les salles pour ce mois de septembre.
    FlecheDeFer ..
    FlecheDeFer ..

    38 abonnés 375 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 24 novembre 2019
    Je n'ai pas lu le livre mais aucune chance que je le lise. Certes, un film peut ne pas rendre justice à un bouquin, mais là on touche à de tels sommets d'ennui et de psychologie de comptoir que je ne peux pas croire que le livre puisse avoir le moindre intérêt. Ce que l'on devine ici est un vrai roman best-seller à l'américaine, très lisse et superficiel, faussement cultivé (les références aux antiquités et à leur évaluation sont purement gratuites par exemple), avec une vision du monde extrêmement caricaturale hors US, trahissant l'auteur qui met dans ses livres les rares endroits qu'il/elle a déjà visité pour "faire genre", mais sans que ça n'amène rien au récit. C'est particulièrement visible ici avec Amsterdam, inutile. C'est aussi un film qui parle à mon avis plus à la gente féminine de par ses thèmes (le genre de l'auteur ayant quoi qu'on en dise un impact sur le type de public visé). Ce film est en tous cas d'un ennui terrible, et en rajoute dans les effets de style inutiles, à tel point qu'il en devient même pompeux.
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