Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
22 critiques presse
Studio Ciné Live
par Sophie Benamon
POUR : Richard Linklater maîtrise cette approche quasi-documentaire qui rend ses films de moins en moins artificiels. Mais derrière l'apparente simplicité du discours, on retrouve surtout un énorme travail de direction d'acteurs, avec un grand sens du casting de comédiens.
aVoir-aLire.com
par Niels Euler
Le réalisateur de"Boyhood" filme un teen-movie radical, nostalgique et bienveillant. Et signe une comédie jubilatoire habitée par des personnages inoubliables. Déjà culte !
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Critikat.com
par Adrien Dénouette
Le rythme du film, intense dès l’entame, s’accorde (...) aux points d’exclamation de son titre.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Culturopoing.com
par Miriem Meghaizerou
L’humeur potache se refuse ici à verser du côté de la conventionnelle comédie estudiantine.(...) Linklater brosse les traits d’une génération joyeuse et inquiète, toujours à l’affut de railleries, tout en dessinant des trajectoires individuelles à l’aune de rivalités viriles et de bizutages de convention.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
L'Express
par Thierry Cheze
La beauté apaisante des images contraste subtilement avec le regard mordant que Linklater porte sur lui-même à travers ces athlètes à la tête bien mieux faite que pleine. (...) Du pur vintage.
Le Figaroscope
par Etienne Sorin
Linklater fait encore mieux que de nous raconter une histoire. Il excelle à capter l’essence et l’esprit d’une époque. Son rythme, son look, sa musique ("Heart of Glass" de Blondie, "Good Times Roll" de The Cars…). La nostalgie n’a jamais si bien groové.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaroscope
Le Monde
par Isabelle Regnier
Le regard à la fois ironique et tendrement mélancolique qu'il pose sur eux leur confère une aura étrange, à la fois mythique et totalement kitsch, qui donne envie de prolonger indéfiniement ce moment hors du temps qu'ils nous offrent en partage.
Les Fiches du Cinéma
par Michael Ghennam
Après l'ovni “Boyhood”, Richard Linklater revient à ses premières amours : la chronique adolescente en guise de portrait subtil, patient et enlevé, d'une génération.
Les Inrockuptibles
par Jacky Goldberg
La beauté du film, toute hawaiienne et au fond assez inhabituelle aujourd’hui, tient à son refus catégorique de l’épanchement, de l’appesantissement, et même de la sacro-sainte mélancolie - ce qui n’empêche pas le spectateur de plaquer la sienne, bien au contraire.
Libération
par Clémentine Gallot
Selon le même principe et un casting toujours composé d’inconnus charismatiques, le film cumule récit désinvolte et détournement des canons du «campus movie» sans déroger aux traditionnelles scènes de fêtes arrosées, de drague pesante et de rituels orgiaques.
La critique complète est disponible sur le site Libération
VSD
par Olivier Bousquet
Un film priapique où on manie frénétiquement la batte comme la queue… de billard. On porte des shorts très moulants et on se peigne la moustache. On rit des autres et parfois avec eux. Des weekends comme ça ne devraient jamais se terminer.
Cahiers du Cinéma
par Stéphane Delorme
Modestie, je-m’en-foutisme, et toujours bon esprit.
L'Humanité
par Vincent Ostria
Construction très linéaire pour une comédie au final un peu neutre – structurée autour d’une impeccable BO de tubes pop –, dont l’enjeu reste avant tout sociologique.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
L'Obs
par Alain Grasset
Sympa mais foutraque.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Entraînements, amitiés entre potes, soirées arrosées, chasse aux filles : le programme est connu. Il fait la matière d’un film qui, dans la continuité des deux opus précédents du cinéaste, joue des recettes éprouvées de la comédie de copains et de la nostalgie d’une époque désinhibée.
Metro
par Marilyne Letertre
Reposant sur son ambiance plus que sur une intrigue ou la psychologie de ses personnages, Everybody wants some!! souffre de quelques longueurs. Mais la tendresse du réalisateur envers sa troupe et surtout l’énergie du jeune casting compensent ces petites baisses de régime.
La critique complète est disponible sur le site Metro
Ouest France
par Pierre Fornerod
Une comédie de moeurs astucieuse et alerte.
Télé 7 Jours
par Philippe Ross
Captant à merveille la vie de cette joyeuse bande, voilà un film à la bonne humeur contagieuse.
Télérama
par Cécile Mury
Dans cet emballage d'époque, volontairement léger et désinvolte, le cinéaste livre un portrait de groupe plus touchant qu'il n'y paraît d'abord, dans les derniers feux de l'insouciance seventies, avant les années fric et sida. Un récit initiatique à l'américaine, qui capte un moment fugace de liberté.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
(...) dépourvu d’enjeu dramatique, le film se borne à décrire l’oisiveté des fraternités américaines, s’appuyant sur une BO rétro.
Studio Ciné Live
par Véronique Trouillet
CONTRE : (...) le manque d'originalité du propos rend le film ennuyeux.
Studio Ciné Live
POUR : Richard Linklater maîtrise cette approche quasi-documentaire qui rend ses films de moins en moins artificiels. Mais derrière l'apparente simplicité du discours, on retrouve surtout un énorme travail de direction d'acteurs, avec un grand sens du casting de comédiens.
aVoir-aLire.com
Le réalisateur de"Boyhood" filme un teen-movie radical, nostalgique et bienveillant. Et signe une comédie jubilatoire habitée par des personnages inoubliables. Déjà culte !
Critikat.com
Le rythme du film, intense dès l’entame, s’accorde (...) aux points d’exclamation de son titre.
Culturopoing.com
L’humeur potache se refuse ici à verser du côté de la conventionnelle comédie estudiantine.(...) Linklater brosse les traits d’une génération joyeuse et inquiète, toujours à l’affut de railleries, tout en dessinant des trajectoires individuelles à l’aune de rivalités viriles et de bizutages de convention.
L'Express
La beauté apaisante des images contraste subtilement avec le regard mordant que Linklater porte sur lui-même à travers ces athlètes à la tête bien mieux faite que pleine. (...) Du pur vintage.
Le Figaroscope
Linklater fait encore mieux que de nous raconter une histoire. Il excelle à capter l’essence et l’esprit d’une époque. Son rythme, son look, sa musique ("Heart of Glass" de Blondie, "Good Times Roll" de The Cars…). La nostalgie n’a jamais si bien groové.
Le Monde
Le regard à la fois ironique et tendrement mélancolique qu'il pose sur eux leur confère une aura étrange, à la fois mythique et totalement kitsch, qui donne envie de prolonger indéfiniement ce moment hors du temps qu'ils nous offrent en partage.
Les Fiches du Cinéma
Après l'ovni “Boyhood”, Richard Linklater revient à ses premières amours : la chronique adolescente en guise de portrait subtil, patient et enlevé, d'une génération.
Les Inrockuptibles
La beauté du film, toute hawaiienne et au fond assez inhabituelle aujourd’hui, tient à son refus catégorique de l’épanchement, de l’appesantissement, et même de la sacro-sainte mélancolie - ce qui n’empêche pas le spectateur de plaquer la sienne, bien au contraire.
Libération
Selon le même principe et un casting toujours composé d’inconnus charismatiques, le film cumule récit désinvolte et détournement des canons du «campus movie» sans déroger aux traditionnelles scènes de fêtes arrosées, de drague pesante et de rituels orgiaques.
VSD
Un film priapique où on manie frénétiquement la batte comme la queue… de billard. On porte des shorts très moulants et on se peigne la moustache. On rit des autres et parfois avec eux. Des weekends comme ça ne devraient jamais se terminer.
Cahiers du Cinéma
Modestie, je-m’en-foutisme, et toujours bon esprit.
L'Humanité
Construction très linéaire pour une comédie au final un peu neutre – structurée autour d’une impeccable BO de tubes pop –, dont l’enjeu reste avant tout sociologique.
L'Obs
Sympa mais foutraque.
Le Dauphiné Libéré
Entraînements, amitiés entre potes, soirées arrosées, chasse aux filles : le programme est connu. Il fait la matière d’un film qui, dans la continuité des deux opus précédents du cinéaste, joue des recettes éprouvées de la comédie de copains et de la nostalgie d’une époque désinhibée.
Metro
Reposant sur son ambiance plus que sur une intrigue ou la psychologie de ses personnages, Everybody wants some!! souffre de quelques longueurs. Mais la tendresse du réalisateur envers sa troupe et surtout l’énergie du jeune casting compensent ces petites baisses de régime.
Ouest France
Une comédie de moeurs astucieuse et alerte.
Télé 7 Jours
Captant à merveille la vie de cette joyeuse bande, voilà un film à la bonne humeur contagieuse.
Télérama
Dans cet emballage d'époque, volontairement léger et désinvolte, le cinéaste livre un portrait de groupe plus touchant qu'il n'y paraît d'abord, dans les derniers feux de l'insouciance seventies, avant les années fric et sida. Un récit initiatique à l'américaine, qui capte un moment fugace de liberté.
Le Journal du Dimanche
(...) dépourvu d’enjeu dramatique, le film se borne à décrire l’oisiveté des fraternités américaines, s’appuyant sur une BO rétro.
Studio Ciné Live
CONTRE : (...) le manque d'originalité du propos rend le film ennuyeux.
Positif
(...) le brouet reste bien indigeste.