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    The Frame
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    20 critiques spectateurs

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    Gustave Aurèle
    Gustave Aurèle

    105 abonnés 2 330 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 7 février 2023
    Un bon scénario qui tire en longueur et c'est dommage car l'idée est originale et bien mise en scène.
    Spider cineman
    Spider cineman

    112 abonnés 1 806 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 16 avril 2022
    On commence en se disant "pourquoi pas ?" On est emmené dans une expérience... c est un scénario atypique, mais on finit par une déception... tout ça pour ça ? Il y a un manque de moyens certes, l intrigue ne compense pas.
    Amory Lense
    Amory Lense

    42 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 14 mars 2021
    Un film surprenant et envoûtant..Le manque de moyens se révèle ici source d'inventivité voire de poésie. Entre le thriller, le sentimental, le fantastique, la science fiction, le film ne lâche jamais le fil d'un récit original et singulier.
    Ykarpathakis157
    Ykarpathakis157

    3 382 abonnés 18 103 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 19 novembre 2020
    The Frame commence comme les autres films de Winans très déroutant et il faut un peu de temps pour comprendre que l'on regarde la réalité mais plutôt des réalités alternatives que les personnages principaux (Sam & Alex) croient réelles. Sam et Alex ont tous deux un passé tragique auquel ils essaient d'échapper sans affronter leurs problèmes mais les événements ont conspiré contre cela. Tout au long de l'histoire le public et les personnages se rendent lentement compte qu'il y a quelque chose ou quelqu'un qui contrôle les événements et que ceux-ci semblent prédéterminés. Ils nient tous deux des parties de leur passé qui sont télégraphiées tout au long de l'histoire comme quelque chose qu'ils ne devraient pas faire. C'est là que les deux personnages principaux diffèrent l'un choisit de croire qu'il pourrait s'agir d'un miracle alors que l'autre n'y croit pas. L'intrigue devient de plus en plus étrange lorsque Sam dans un effort pour aider l'histoire d'Alex à avoir une bonne fin retrouve la source de l'histoire d'Alex (une machine à écrire) et découvre que les événements peuvent être changés/réécrits en modifiant la page sur laquelle ils sont écrits (cela me rappelle Spin 2005). À la fin du film j'ai eu le sentiment que Jamin Winans aurait mieux fait de continuer l'univers d'INK d'une manière ou d'une autre. Il y avait trop de parallèles qui me faisaient penser que Winans n'en avait pas fini avec cette histoire (par exemple, l'encre flottant au-dessus du monde, les personnages se transformant en encre, les mondes parallèles qui se heurtent, etc.). Tout au long du film la musique s'interpose et dans la plupart des cas fait de l'ombre aux dialogues et à l'histoire. Le cadre est généralement divertissant et la qualité du jeu des acteurs est suffisamment bonne pour que l'on s'investisse dans les personnages. Ses défauts sont son intrigue répétitive vous l'aurez compris si vous avez déjà vu des films et des courts métrages de J.Winans son utilisation excessive de la musique et son approche de la narration...
    Obligeance française
    Obligeance française

    3 abonnés 200 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 25 avril 2020
    Un film d'une grande originalité avec deux acteurs impeccables et très touchants. Cette œuvre dégage une mélancolie et en même temps une fureur de vivre. Une parabole sur la vie : qu'est ce qui est vrai, sommes-nous maîtres de notre destin. Un bijou.
    JulienJ86
    JulienJ86

    3 abonnés 56 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 16 avril 2020
    En faite ce film soit on l'adore soit on le déteste ...
    Les 20 dernières minutes sont juste poétiques à souhait un film qui rentre dans aucune case ...
    Nicolas B.
    Nicolas B.

    25 abonnés 9 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 20 janvier 2019
    Tombé complètement par hasard au détour du catalogue de Outbuster et encensé de toute part pour son originalité, il faut reconnaître que The Frame, malgré son minuscule budget, a de nombreux atouts à faire valoir. Dans cet univers, on suit donc le parcours de deux personnages bien distincts : l’un est un trafiquant, cambriolant des camions pour le compte d’un cartel, l’autre est une ambulancière quelque peu torturée par un passé mystérieux ; mais surtout l’un est le héros principal d’une série TV que l’autre regarde, et vice-versa. Déjà, le contexte de base est vraiment surprenant, mais le traitement l’est encore davantage. Communiquant par le biais de leur poste de télévision sans savoir ce qui est réel ou non, mais dans l’impossibilité d’établir le moindre contact physique, comme vivant dans deux mondes parallèles, la jeune femme va semble-t-elle développer un attachement certain pour son héros et essayer de le protéger envers et contre tout du sombre Season Final de sa série qui arrivera dans les prochains jours. Hallucinant dans sa mise en scène et dans son propos, ce film se compose avant tout d’un certain mysticisme rendant complètement flou le message global. Mais loin d’être un point négatif, le parti pris de ne pas tout expliquer tout en laissant suffisamment de marge pour que le spectateur puisse se bâtir sa propre vision de ce monde abstrait est extrêmement judicieux. Les moments suspendus sont légion, essentiellement dans la solitude de ses personnages principaux, usant du champ de la caméra comme d’un personnage à part entière pour les empêcher de se libérer de leur prison numérique. Vraiment très difficile à décrire, mais excellemment intelligent et bien réalisé, la somptueuse musique (essentiellement Post-Rock électro) soutient le découragement des personnages qui comprennent que leur avenir est joué d’avance, livrant une lutte désespérée pour se sauver. Bien trop de choses à dire pour un film aussi nébuleux qu’humainement touchant qui, malgré son manque de moyens, soutiens sa poésie avec talent sans jamais faiblir.

    D’autres articles sur mon Instagram : just_an_ellipsis
    JR Les Iffs
    JR Les Iffs

    61 abonnés 1 151 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 10 décembre 2018
    Première moitié du film : on comprend à peu près ce dont il s'agit, bien que ce soit un peu "surnaturel". C'est bien réalisé, certes, (rapidité, ellipse, accompagnement musical), mais les décors et les ambiances (villes, appartement) sont ni originaux ni poétiques. On attendait quelque chose de plus bluffant...
    Seconde moitié du film, cela ne s'arrange pas et devient de plus en plus incompréhensible même s'il s'agit ici de fantastique, ne pas chercher de sens à ce qu'on voit, le scénariste écrit ce qu'il veut, le cinéaste fait de même. Une musique souvent trop prégnante n'arrange pas les choses, un certain mélo s'en mêle, cela devient ennuyeux. Un film à clé sans doute... Très déçu vu que INK était très bon.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 12 août 2018
    Chaque plan est une photographie, on aime ce style un peu "clip" ou pas, ici je trouve que c'est réussi. C'est parfois très nerveux; mais il y a une langueur, le film est un peu long, c'est pour moi son seul défaut. Le jeu des acteurs est bon, le casting aussi, la musique, la mise en scène, les dialogues, les situations sont bonnes, c'est rare que je regarde des films de plus de 90 mns et cette fois j'ai été happé. Mais il n'en reste pas grand chose, évidemment on peut y trouver des profondeurs, le film rend bien ces éléments, encore une fois il est maîtrisé de A à Z, je ne connais pas du tout le réal', ça me donne envie d'en apprendre, mais sur le plan de l'investissement émotionnel, il a manqué quelque chose pour moi. Malgré tout je lui donne 4 étoiles, car c'est un petit bijou, on sent que le réal est ambitieux et il parvient à éviter les fautes de goût du genre, ce qui est vraiment fort et appréciable. Là où on aurait une longueur dans un film classique, ici les éléments intéressants arrivent vite et régulièrement; il n'y a pas de longueur, mais il est trop long. Y avait-il vraiment matière à faire un film de ce format ? Perso je pense que c'est limite.

    Le scénario et la qualité de réalisation auraient fait quelque chose de possiblement culte pour une série, ici on a une oeuvre qui s'amuse franchement avec le Cinéma, qui le fait bien, et qui pour autant ne révolutionne rien. Clairement je ne vais pas y penser avant de m'endormir, le film ne m'a pas remué. Il m'a captivé, fait plaisir, réjoui, mais le côté super planant ne me fait pas super planer. Encore une fois, à mon avis, à cause d'un scénario qui n'a pas la matière pour créer la vision du réal, et qui le pousse à étirer les composantes (excellentes) de la réalisation : Photo, scènes, musique...

    C'est le genre que je préfère, et c'est extrêmement difficile de réussir cet effet persistant. pour ma part j'ai déjà ré-attéri.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 16 août 2017
    Voilà un film qui sort des sentiers battus.
    les 2 personnages principaux se voient au travers d'une télé, chacun héro du film que regarde l'autre.
    le film est complètement planant du début à la fin, avec une sorte d'intensité et des moments de pures émotions qui m'ont fait vibrer.
    qu'est ce qui nous crée ? Quelqu'un écrit il le scénario pour nous ou sommes nous en mesure de créer chaque morceau de notre vie, a quoi sert ce monde de souffrance dans le quel on vit ?
    Voila ce que j'ai compris de la thématique de ce film, qui laisse au final le spectateur choisir sa propre réponse.
    lhomme-grenouille
    lhomme-grenouille

    3 142 abonnés 3 170 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 13 janvier 2017
    Au risque de me répéter d’une critique à l’autre : moi j’adore les films qui savent m’emmener vers l’inconnu, surtout quand cet inconnu est tracé par un film qui, très rapidement, démontre une maitrise formelle à toute épreuve. Pour moi c’est clairement le cas de ce « The Frame » qui se risque quand même à un postulat de départ hallucinant d’audace. Deux héros de séries télévisées se suivent mutuellement à la télé, ignorant que l’un est un personnage de fiction pour l’autre. Rien que ça, mais pour moi c’est juste : OUAH ! Essayer de construire des personnages empathiques pour les spectateurs que nous sommes, tout en rappelant en permanence qu’ils ne sont que des artifices narratifs visant à susciter de l’empathie pour nous, je trouve ça juste incroyablement culotté. C’est culotté parce que le dispositif pourrait s’écrouler à chaque moment : il pourrait alors ne devenir qu’un simple trip « méta » sans âme et bien rêche. Mais le pire, c’est que même si ce « The Frame » s’était réduit à ce genre de métafilm, je pense qu’il m’aurait quand même intéressé, un peu à la façon d’un « Adaptation » de Spike Jonze. Et pourtant, j’avoue être assez scotché de constater comment Jamin Winans a préféré porter notre attention sur ses stéréotypes plutôt que de les fuir afin que l’empathie marche plus. Parce que pour le coup, je trouve que le mélange démarche intellectuelle / démarche émotionnelle s’amalgame beaucoup mieux et produit du coup un objet filmique bien plus singulier. Et ça marche d’autant mieux que le film n’est jamais à l’arrêt. Les idées s’enchainent de plus en plus vite afin de plonger dans une sorte de trip intellectuel qui, dans le film, se transforme en véritable expérience métaphysique, voire ésotérique. Pour le coup je reconnais bien le Jamin Winans de « Ink », à la différence près qu’en cinq ans, le gars a clairement muri son cinéma. Alors après, certes, ce « The Frame » fait le choix de se conclure sur une forme de flou artistique, ne se risquant pas à une intellectualisation trop poussée et didactique de sa démarche. Mais au fond je ne lui en veux pas. Loin de là. Je trouve même avec le recul que c’était finalement le meilleur choix à adopter, surtout pour un Jaime Winans qui semble bien plus être un rêveur et un formaliste plutôt qu’un vrai philosophe dans l’âme. Ainsi, en concluant de cette manière, il laisse au spectateur une marge d’interprétation dans laquelle celui-ci est susceptible de s’y retrouver comme il l’entend. Et quand bien même le spectateur ne voudrait pas interpréter, au moins est-il livré à une certaine liberté de ressenti qui est loin d’être impertinente au regard de l’ensemble proposé. Parce qu’à bien y réfléchir, il y a quand même une véritable cohérence dans cette démarche, entre discours méta et parcours émotionnel en compagnie des personnages. A la fin, spoiler: tout se synthétise en une sorte de métaphore qui questionne à la fois notre rapport d’humain aux rigidités systémiques de la société, tout comme elle questionne la réalité du pouvoir d’un auteur sur son œuvre. Après tout, une œuvre parvient-elle à vivre vraiment si l’auteur n’accepte pas de se laisser surprendre lui-même par ses personnages ? Il y a toujours des choses qui nous échappent dans la création ; des éléments de l’œuvre qu’on n’a pas conscientisé mais qui sont malgré tout présents, et qui nous trahissent la plupart du temps sur ce que nous sommes, ce que nous percevons, ce que nous ressentons… Se laisser surprendre par ses personnages, c’est aussi laisser une œuvre prendre vie. C’est la laisser sortir du cadre et s’animer d’elle-même par une forme d’aléatoire et d’inconscient qui nous dépassent. A la fin de « The Frame », le monde ne s’écroule-t-il pas parce que, justement, le cadre fixé par l’auteur est trop rigide ? Les personnages ne se réduisent-ils pas justement à des stéréotypes parce que la raideur du script les contraint en permanence à des actions et des finalités simplistes ? Au final, l’œuvre reprend vie à partir du moment où la volonté des personnages échappent à la volonté du créateur. Ils existent en dehors du cadre fixé par le créateur. L’œuvre vit parce que l’auteur les abandonne, de gré ou de force. Le simple fait qu’un spectateur investisse l’œuvre et l’interprète à sa manière est en soit une dépossession de l’œuvre pour son auteur. Bon, bref, vous l’aurez compris, mais pour moi, ce final, il a clairement fonctionné
    . Au bout du compte, j’ai beau faire des dizaines d’interprétations différentes du film, de sa démarche et de sa conclusion, tout ce que je retiens au final, c’est que j’ai été en apesanteur du début jusqu’à la fin. J’ai été transporté. J’étais à fleur de peau, littéralement. J’AIME ces films-là. J’aime ce « The Frame »… Et j’espère que, vous aussi, si vous lui donnez sa chance, vous saurez l’aimer à votre tour…
    Dogrem
    Dogrem

    9 abonnés 14 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 26 novembre 2016
    Que de potentiel !

    L'ambiance est très bonne, la réalisation également, la musique et les acteurs ? Pareil.
    Tout est bien... sauf la fin.

    Ce film n'est pas sans rappeler le superbe Donnie Darko.
    On ne comprend pas tout et l'on s'attend à une révélation à la fin, même complètement loufoque.
    Les effets spéciaux d'encre liquide sont certes magnifiques, mais justement, le scénariste (s'il y en avait un) n'avait peut-être plus d'encre pour écrire une fin convenable (où l'on comprend quelque-chose).
    Bref, 95% du film est bon, mais on restera sur sa fin avec un arrière gout au fond de la bouche... un gout de "tout ça pour ça ?".

    A voir quand-même une fois.
    halou
    halou

    100 abonnés 1 532 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 19 septembre 2016
    Deuxième film d'un réalisateur peu connu et résultat assez bluffant. Evidemment difficile d'en comprendre le sens, chacun pourra interpréter comme il le ressent ce film onirique, captivant du début à la fin et assez hypnotique. Les acteurs sont bons, la musique colle parfaitement à l'ambiance. Un petite pépite à découvrir.
    DavY Croquette
    DavY Croquette

    42 abonnés 1 075 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 15 décembre 2015
    Un début sublime, un peu magique, mais déçu par la lenteurs de la dernière heure ou le scénariste ne sait pas trop ou nous amener. le film reste bon dans l'ensemble. J'ai cru y voir un grand film, j'y ai cru jusqu'à la fin mais non ... dommage.
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 11 mai 2015
    synopsis : Alex (David Carranza) est un voleur travaillant pour un dangereux cartel. Sam (Tiffany Mualem) est une ambulancière déterminée à sauver le monde tout en essayant de fuir son passé. Soudainement la vie Alex et la vie de Sam rentrent mystérieusement en collision l’une avec l'autre et peu à peu le tissu de la réalité semble se déchirer sous leurs pieds.---------------------------------------------------------------------------------
    commentaire : Au début film d’action, puis très vite film chelou au scénario intriguant et vers la fin l’histoire déploie tout son potentiel fantastique. De ce mélange naît un sentiment atypique nourris par l’onirisme ou les étranges visions de la peur manifestée par l’encre noire. On sent bien la métaphore filée sur le destin et son créateur qui s’amuse à tirer les ficelles, mais on a de la peine à en saisir la morale… pas grave, l’ensemble prouve encore une fois qu’un scénario solide et une mise en scène adaptée sont préférables au budget démesuré des blockbuster. On appréciera les effets de réalisions peu fréquents comme la caméra sur une balançoire créant une dilatation de l’image ou quand le protagoniste pousse un bord de l’image pour briser le quatrième mur et que des raies blanches apparaissent sur le côté opposé pour signifier un décalage de bobine…
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