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    10 Cloverfield Lane
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    weezlesanguinaire
    weezlesanguinaire

    55 abonnés 456 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 6 juin 2016
    Je dois avouer que la bande annonce de ce film M avait laissé sceptique . Et bien j'ai eut tort car ce film est très abouti . Le scénario plein de suspense et d interrogation est vraiment très intéressant et bien écrit . Les acteurs sont solides et cela fait plaisir de retrouver un John Goodman en très grande forme . La fin sans spoiler est à la hauteur des attentes qu elle suscite tous le long du film . Un très bon thriller qui mérite d être plus connu .
    AMANO JAKU
    AMANO JAKU

    296 abonnés 797 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 2 avril 2016
    Oh la jolie surprise que voilà : projet resté très discret jusqu’à l'arrivée de sa bande-annonce mystérieuse et prenante, "10 Cloverfield Lane" est la nouvelle production de J.J. Abrams qui, selon les propres dires du monsieur, aurait un rapport avec "Cloverfield", le très bon found-footage estampillé kaiju-eiga signé par Matt Reeves il y a huit ans. Cependant, tout à l'encontre de ce dernier, "10 Cloverfield Lane" nous surprend en jouant la carte du huis clos claustro en comité restreint, un peu comme l'avait fait il n'y a pas si longtemps l'excellent "The Divide" de Xavier Gens : nous faisons la connaissance de Michelle, une jeune femme qui décide de tout plaquer pour changer de vie. Après avoir parcouru quelques kilomètres, elle est victime d'un accident et fait une terrible sortie de route. Quand elle se réveille, elle se retrouve seule dans une pièce à l'aspect plus qu’inhospitalier puisqu'elle découvre que sa jambe est enchaînée au mur. Soudain, la porte s'ouvre et laisse apparaître la silhouette d’un homme assez imposant. Ce dernier dit s'appeler Howard et lui dit que c'est lui qui l'a trouvée accidentée et qui l'a soignée. Il lui révèle aussi qu'elle sera en sécurité tant qu'elle restera ici avec lui et un autre homme dans son abri antiatomique car le monde extérieur a subi une attaque de grande envergure mais d’origine indéterminée qui aurait contaminé tout l'air ambiant...Voilà le postulat de départ du métrage qui implique immédiatement le spectateur puisqu'il se retrouve tout aussi désorienté que l'héroïne : on s’interroge avec elle sur les mystères entourant cette situation aussi étrange qu’angoissante. Le film est habile, rythmé et haletant (pour nous garder toujours sous pression, on multiplie avec délectation les fausses pistes pour quasiment les contredire cinq minutes plus tard : un bon travail de remue-méninges !) et utilise parfaitement son budget réduit puisque finalement l’intérêt principal du film réside dans l’ignorance de ce qui se trame à l’extérieur et à l'impact psychologique que cela a sur les personnages. Mieux, la véritable force de "10 Cloverfield Lane", c’est de réussir à nous faire oublier la seule et unique raison pour laquelle on est venu le voir, à savoir découvrir la suite/connexion de "Cloverfield" ! Donc un récit et une ambiance parfaitement maîtrisée notamment grâce à la bande sonore qui accentue la sensation de malaise et le très bon travail sur les sons et les bruits qu'on peut entendre à l’intérieur du bunker comme à l’extérieur ; mais surtout par la prestation ultra convaincante des acteurs : John Goodman est parfait (certainement l'un de ses meilleurs rôles si ce n'est LE meilleur !) dans la peau de l'ambigüe Howard en imposant autant de méfiance qu’il fascine (ce type est-il un illuminé adepte de la théorie du complot ultra-paranoïaque et dangereux ou alors bien n'est-il qu' un réel anticipateur de génie et bienveillant ?), la charmante (oui je sais : j'ai craqué sur elle dans "Scott Pilgrim VS The World" alors je ne suis pas objectif à 100% !! ^^) Mary Elizabeth Winstead qui nous prouve ici, en incarnant une sorte de digne héritière des femmes fortes du cinéma façon Ripley, qu'elle mériterait d'être plus souvent sollicité en matière de tête d'affiche (elle aussi, il s'agit assurément de son meilleur rôle depuis le début de sa carrière), et quand à John Gallagher il assure avec son personnage qui apparaît au début comme une source de baise de tension. Ce trio fonctionne à merveille et on ne peut que dire bravo à celui qui a eu la remarquable idée de les avoir réunis tous les trois. Dernière chose sur les personnages (et c'est tellement rare dans ce genre de film qu'il faut ABSOLUMENT le dire !!) : je dis bravo à celui qui a été chargé de leur développement car, pour une fois dans ce genre de film, ils ont tous des comportements censés et n'accumulent pas les choix et actions stupides...que ça fait du bien !! Voilà, "10 Cloverfield Lane" est vraiment une joli réussite à laquelle on s’attendait pas du tout, surtout pour un tout premier long métrage : Dan Trachtenberg passe l’examen haut la main malgré un faible budget (oui : 5 millions de dollars, pour un film américain, c’est peu !!). Concentré de tension psychologique saupoudré de parano et de claustro, le métrage nous tient en haleine jusqu’à son dernier acte qui vous réserve un twist inattendu le reliant enfin au "Cloverfield" de Matt Reeves…mais pas aussi surprenant que son tout dernier plan final…vivement "Cloverfield 2" qu’on nous révèle enfin toutes les connexions avec ce spin-off car, souvenez-vous : la vérité est ailleurs…
    Citrouilleman
    Citrouilleman

    61 abonnés 584 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 29 mars 2016
    Un bon film à suspens, bien mené, terriblement angoissant et totalement parano. John Goodman est excellent.
    iceman7582
    iceman7582

    40 abonnés 1 154 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 10 avril 2016
    Quelle bonne surprise ! Avec ce genre de film, le grand danger c'est d'avoir vu l'essentiel dans la bande annonce... Ou alors d'avoir été induit en erreur par la bande annonce... Ici ce n'est pas le cas, on tient un huis clos habilement ficelé. La tension monte minute après minute sans que l'on puisse déterminer en quoi il faut croire. Vrai-fausse suite du Cloverfield de 2005, ce film vaut le détour a coup sur. Les amateurs de suspens seront servis.
    Erik P
    Erik P

    15 abonnés 12 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 14 juin 2016
    Huis clos très prenant tant il joue sur des questions, des non dits, des personnages difficiles à cerner... Gentils ? Méchants ? Beaucoup de mystère et une ambiance particulièrement lourde. On reste devant pour y trouver enfin nos réponses. John Goodman y trouve un rôle enfin génial. Seul petit hic : le lien avec Cloverfield n'était pas nécessaire.
    1008cent99
    1008cent99

    40 abonnés 180 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 5 mai 2016
    Un très bon huit clos bien mené. Le fait d'avoir déjà vue cloverfield auparavant m'a un peu gâche l'effet de surprise du nouveau spectateur. Le scénario est très bien mené, du suspens, pas mal de rebondissement très bien réalisé ! Les acteurs sont impeccable et sa joue beaucoup dans ce genre de film. Une suite ..?
    x-worley
    x-worley

    132 abonnés 350 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 17 mars 2016
    C'est juste génial! Alors certes ce n'est pas la suite direct du formidable Cloverfield, mais ce film est liée de sang. Et franchement c'est hyper efficace, la mise en scène est très bonne, y'a énormément de suspense car la tenson est permanente(y a beaucoup de choses mystérieuses) et le casting et juste génial. C'est vraiment un très bon huit clos, mais un huit clos fantastique pour le coup et on en ressort en ayant envie de voir la suite. Et rapidement!
    Rainfall_Shadow
    Rainfall_Shadow

    36 abonnés 393 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 27 mars 2016
    un huis-clos haletant qui tient plus du thriller psychologique que de la SF pure et dure. le doute est partout et la tension omniprésente, la guerre psychologique prenante. un john goodman au sommet de son art vient concrétiser un film de haute volée. a voir vraiment
    Le cinéphile
    Le cinéphile

    589 abonnés 2 705 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 20 mars 2016
    Cette suite surpasse son prédécesseur par son originalité. Inattendu, 10 Cloverfield Lane joue avec les clichés Hollywoodiens, mélange les genres et surprend constamment son spectateur. Très psychologique et angoissant, 10 Cloverfield Lane est bien dosé, suffisamment calme et lent pour apprécier l'ampleur de la situation, des décors et des personnages et suffisamment rapide pour passionner à chaque instant. Les protagonistes sont ambigus, incrédules, et la réalisation soignée. 10 Cloverfield Lane ballade son public jusqu'à un final qui répond aux attentes.

    http://www.critique-film.fr/critique-10-cloverfield-lane/

    https://www.facebook.com/La-7eme-critique-393816544123997/
    MediaShow
    MediaShow

    125 abonnés 513 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 19 mars 2016
    N’ayant aucune liaison avec Cloverfield, ce long-métrage, dont le scénario à huit-clos est assez sobre, reste un thriller de science-fiction plutôt bien ficelé, bien joué, angoissant, glauque et particulièrement efficace sur le suspens qu’il renferme. Une réalisation bien menée et très bien mise en scène, autour d’un sujet énigmatique qui captivera notre attention jusqu’à la dernière seconde.

    La critique entière sur notre site MediaShowByDK !
    trineor
    trineor

    172 abonnés 33 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 18 mars 2016
    T'as sous la main un acteur de génie ? Un huis-clos pas trop mal écrit ? Et si tu gâchais le tout avec une fin moisie ! Voilà, voilà... Je crois avoir pas trop mal résumé ce que j'ai à en dire. Ceci étant, il faut concéder que ça tient plutôt bien ses promesses sur, disons... les trois premiers quarts du film, allez, et que de ce point de vue le visionnage reste globalement agréable, voire conseillable à un amateur du genre. Pour ce qui est du genre, d'ailleurs, on dira "thriller à huis-clos" pour faire simple puisque, précisément, ce que le film a d'attrayant vient de sa façon de jouer tout du long avec ce que l'on croit savoir (y compris – et ça c'est intelligemment joué – avec ce que la promo ou le titre du film ont pu suggérer ou laisser croire), si bien que rien ne se décide aussi facilement en fin de compte, de savoir si l'on a bien affaire à de la séquestration, à de la science-fiction ou à du post-apo. Partant de là, le plaisir, pour autant que la chose a à en offrir, tient dans son petit art de ménager le suspense et, par conséquent, je ne saurais assez recommander à l'œil encore vierge de tout révélation qui se retrouverait devant cette critique de fermer instamment l'onglet et de ne plus rien lire avant d'être allé se caler dans un fauteuil rouge.

    Encore là ? J'aurai prévenu, hein : gâchée la surprise, il ne reste pas énormément à se mettre sous la dent. Enfin si, tout de même : il y a John Goodman ; et s'il n'y a rien de très surprenant à ce qu'il soit parfait dans son rôle – je ne me souviens pas qu'il ait jamais été autrement que parfait dans un rôle, le bougre – là, il faut dire ce qui est : il est carrément, prodigieusement flippant ! Le centre de gravité du film, ça n'est clairement pas la fille mais lui, et sans doute que c'est un peu pour ça aussi que la fin part en vrille : parce qu'elle n'a plus son centre de gravité. Il faut voir que tout l'intérêt de l'intrigue réside dans ce que, rapidement, quoique sans arrêter de semer le doute, l'alternative présente au départ – à savoir : "le mec dit-il la vérité sur ce qui se passe à l'extérieur, ou bien est-il un dangereux psychopathe ?" – va céder la place à un plus intéressant car plus paranoïaque : "est-ce qu'il ne dit pas la vérité tout en étant un psychopathe ?" Or, c'est là que Goodman fait des merveilles : à souffler le chaud et le froid, à ménager dans chacune de ses apparitions le rassurant et l'inquiétant, à promener ce corps trois fois trop massif dont on sent en permanence la présence quelque part, à raidir sa face de molosse dans un air féroce qui t'annonce sans ambiguïté un homme dérangé, sans pour autant que tu puisses bien distinguer si dans cet homme dérangé tu as affaire à un pervers ou à un père traumatisé, autoritaire à l'excès sans être pour autant foncièrement malveillant... et Goodman de prendre un malin plaisir à jouer sur les deux tableaux et, ce faisant, d'épaissir son rôle d'une dose d'ambiguïté bien plus intéressante que ce que le film aurait eu à proposer s'il avait fallu s'en tenir à la façon dont il est écrit et filmé.

    Parce que de ce côté-là, on a beau avoir quelque chose de pas trop mal fichu – le petit jeu des retournements de situation qui est bien mené, le rythme dans l'ensemble qui fonctionne – on ne peut pas dire non plus que ce soit d'une subtilité à retourner la tête : rien de mémorable à mentionner à la réalisation, assez nerveuse et soignée pour ne pas faire tache mais loin d'exploiter le décor du bunker aussi bien qu'elle l'aurait pu pour mettre en scène la promiscuité, la paranoïa ; rien de bien fou non plus – ni rien de honteux d'ailleurs... disons que ça suffit à rentrer dans le film, sans être exempt d'effets outranciers ou usés – rayon musique, ambiance ou écriture des personnages. Mais s'ils voulaient que le truc devienne vraiment suffocant, à la limite intolérable (toute proportion gardée bien sûr, on le sait que J.J. Abrams n'est pas Haneke, et de toute façon personne n'a envie en allant voir ça de se faire broyer le crâne façon Funny Games, il aurait fallu à tout le moins semer plus d'indices discordants, entretenir plus patiemment la peur, jouer des sous-entendus sans en faire des caisses – la scène du : "je vois tout, je suis partout" pendant la partie de jeu de société aurait pu être une vraie réussite, mais à trop forcer le trait elle finit par se désamorcer toute seule.

    Puis surtout, il aurait fallu essayer de pas péter une durite sur le dénouement.
    Et là, garez vos miches, parce que je passe en mode fontaine à spoilers.

    spoiler: On a donc la fin du huis-clos qui se précipite de façon totalement prématurée par rapport au rythme instauré jusque là, tout ça parce que ça veut se ménager vingt minutes de scènes spectaculaires bidon hors du bunker sans pour autant s'aventurer au-delà de la prudente heure quarante de film. Et faut bien le dire : en termes de connerie, c'est le festival ! On commence donc par clore l'épisode souterrain sur un Goodman tronche ravagée à l'acide qui, poignardant quinze fois le conduit d'aération dans lequel se trouve l'héroïne, réussit à passer quinze fois deux centimètres à côté de sa cible. Après quoi la fille, découvrant rien de moins qu'une invasion extraterrestre, donne pour toute réaction dans le : « sans déconner ?! » – où l'on sent l'intérêt qu'il y avait à passer tout le film avant ça à développer des comportements à peu près crédibles. Puis passé ce point, c'est fini... il n'y a plus de limite, plus de décence : va comme je te pousse qu'elle tatane de l'alien en cgi hideux – cruel moment de vérité, toujours, que celui où un film de SF se sent obligé de te balancer ses aliens face caméra –, qu'elle se protège d'un nuage de simili gaz moutarde avec une combinaison à base de rideau de douche, de gros scotch et de bouteille d'eau, et qu'elle t'improvise en cinq secondes chrono avant de le balancer quinze mètres plus haut à la seule force de son petit avant-bras un cocktail Molotov ayant à peu de chose près la puissance explosive d'une palette de C4... non, mais non... mais sérieusement ?...


    Le dernier quart d'heure saccage le film de façon consternante.
    Limite, il y a comme une rupture schizophrène qui s'est opérée dans ma tête entre le petit thriller à huis-clos sympa que j'ai vu hier soir et la copule grotesque dont il était affublé. Un truc pareil ne peut pas être autre chose qu'un ajout foireux sorti de la tête d'un producteur ; ça jure trop avec le reste, c'est pas possible. Puis c'est tout bête, mais tant qu'à surprendre, ç'aurait été classe que le film ose réellement aller où on ne l'attendait pas, qu'il coupe carrément les liens avec Cloverfield et s'arrête à la sortie de la trappe : que la fille se retrouve d'un coup complètement seule, et qu'on sache que quelque chose ne va pas, sans même savoir quoi. Ç'aurait fait râler, c'est certain, mais ç'aurait été tellement mieux... et ç'aurait épargné le déferlement d'effets cheap.
    Anthony S.
    Anthony S.

    11 abonnés 7 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 28 mars 2016
    La suite (ou plutôt) prequel du très bon cloverfield de 2008 que dire de ce film tout en est un mystère ! Le film se développe au fur et à mesure tout en nous giflant d'une intrigue rondement ficelée avec des acteurs plus que convaincant (on s'attache à eux énormément) et goodman !!!!!! A voir
    Requiemovies
    Requiemovies

    185 abonnés 1 153 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 4 avril 2016
    (...) En résumé « 10 Cloverfield Lane » s’avère un très bon huis clos, passionnant et habile, du moins jusque dans son dernier quart d’heure, souvent le plus important, puisque validation de l’ossature d’un projet. Difficile, comme souvent dans ses productions de tenir l’effet majeur de chacun de ses films jusqu’au bout. Ici, la proposition finale affaiblit un peu l’ensemble par le changement de route opéré. On ne révèlera bien sûr rien du final mais il s’avère surprenant.
    Cette considération prise en compte le film tient cependant en haleine du début à la fin et le côté paranoïaque, important pour le genre huis clos, est parfaitement maîtrisé, avec rebondissements et un rythme soigné. On peut d’ailleurs noter que la plupart du développement fait preuve d’une sympathique crédibilité qui nous fait rarement lâcher prise.
    Joli divertissement où on a le plaisir de retrouver encore une fois un très grand John Goodman qui par son jeu et sa posture impose parfaitement l’ambivalence que son personnage demandait, bon ? méchant ? le tout est tenu jusqu’au bout.
    Sans être exceptionnel « 10 CLoverfield Lane » est donc très efficace et à au moins le mérite d’être original, et non basé sur une franchise, un reboot ou remake. Ce thriller prend facilement l’ADN d’une série B à l’ancienne, louée au dernier moment un samedi soir au vidéoclub du coin…d’un autre temps finalement, avec la saveur du « fait à l’ancienne ». Comme quoi parfois, avec peu de moyens et une belle générosité, le résultat est là.
    Terreurvision
    Terreurvision

    185 abonnés 505 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 28 mars 2016
    10 CLOVERFIELD LANE n'est au final qu'un parent très éloigné de CLOVERFIELD premier du nom. Une fois ce constat digéré, reste un huis clos efficace dans son interprétation, soigné dans sa réalisation mais trop avare en termes de science-fiction... La critique complète est en ligne sur le site Terreurivision.
    Gentilbordelais
    Gentilbordelais

    264 abonnés 2 793 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 30 mars 2016
    sur un scénario astucieux, tout comme l'héroïne, le spectateur est pris en otage dans ce huit clos angoissant et mystérieux. les effets sont minutieusement distillés jusqu'au final surprenant et spectaculaire. ce 10 cloverfiel lane, produit par J.J. Abrahams et servi par un inquiétant J. Goodman est un bon cru.
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