Avis : Le goût des merveilles - Page 5

Grandiose. Quelle belle surprise. Tout est charmant et chargé d'émotions. Les paysages sont splendides. Un film tout en finesse, plein de poésie. Virginie Efira est magnifique dans ce rôle, Benjamin Lavernhe est juste et touchant. Tout le casting est excellent. Pour moi, 2016 commence un film excellent, la barre va être très haute pour les films à venir !

Le gout des merveilles est un film léger, poétique rempli d’émotions. Le duo Virginie Efira / Benjamin Lavernhe marche très bien. Un film que je qualifie de "Rain man à la française"

Comédie romantique fort réussie, le goût des merveilles est une œuvre émouvante qui placera le spectateur dans une zone de confort dont il ne voudra pas sortir ♥♥♥♥

Louise élève seule ses deux enfants et tente de préserver l’exploitation familiale. Un soir, elle manque d’écraser un inconnu au comportement singulier. Cet homme se révèle vite différent de la plupart des gens. En fait, il apparait évident qu’il souffre d’autisme léger…mais sa capacité d’émerveillement pourrait bien changer la vie de Louise et de sa famille.

Quelle belle réussite que cette douceur de film ! Réussir à rendre un handicap beau et charmant n’est sans doute pas une prouesse mais avec Benjamin Lavernhe atteint du syndrome d’Asperger, c’est véritablement un long moment de douceur ! Il va sans dire que le scénario et les dialogues sont extrêmement bien écrit pour habilement balancer humour et romance douce. Eric Besnard ajoute à sa légère romance des transitions florales très à propos tout comme ces paysages de la Drôme où le film semble avoir été tourné. « Je voulais rester dans les couleurs de la nature et garder une palette simple, en bannissant les effets de publicité ou de saturation. Très vite, j’ai décidé que le protagoniste allait voir le monde comme à travers des lunettes de soleil polarisées qui densifient les contrastes de couleurs sans les dénaturer », explique Eric Besnard dans le dossier de presse.

Il réussit à placer le spectateur dans un cocon et à arrêter le temps laissant ses acteurs dans le plaisir du jeu : Virginie Efira qui semble prendre la succession d’Audrey Tautoux dans les comédies romantiques et surtout Benjamin Lavernhe, véritable révélation du film et dont beaucoup tomberont en amour avec.

Extrêmement positif et mêlant humour et romantisme, Le goût des merveilles est une réussite sur toute la ligne.

Le Goût des merveilles est un conte moderne où la différence n'est pas synonyme de handicap, elle est même érigée comme un atout, il suffit juste de la percevoir comme telle. Un vent de fraîcheur qui pousse les autres à voir le monde différemment, à s'arrêter sur les détails et à appréhender la vie comme la nature sait si bien nous l'offrir tous les jours....

Ce film ne cesse de nous faire passer du rire aux larmes.
Extrêmement touchant. Le jeu des acteurs est juste excellent.

Un film lumineux et poétique. Comment intégrer, accepter et vivre avec quelqu'un de différent... Un comédien magistral, tout en justesse et émotion. Virginie Efira confirme encore une fois qu'elle est une très bonne actrice. Un beau film à aller voir durant ces fêtes de Noêl.

Un beau film : le plaisir de s'émerveiller, le gout de la simplicité, le respect des douleurs de des chagrins...

Louise rencontre accidentellement, au sens propre comme au sens figuré, dans un paysage magnifique de la Haute-Provence, Pierre, qui va vite se révélé différent. Le film traite de la différence, du regard sur "l'autre", avec beaucoup de pudeur et de sensibilité. On retrouve dans le personnage de Pierre des éléments de personnages célèbres autistes, notamment chez les scientifiques comme Einstein, Turing ou Von Neumann, qui comprenaient tout plus vite que les autres, mais avaient du mal à exprimer leurs explications.
Louise va essayer de résister à la logique qui voudrait que Pierre suive le chemin tracé par l'administration, (qui pour une fois est présentée avec une certaine humanité, prenant conscience que la meilleure solution pour Pierre n'est ni un institut spécialisé, ni un internement), mais comme souvent, ce sont les enfants, qui ont compris avant elle, qui vont lui faire découvrir la vraie personnalité, au plus profond de lui-même, de cet homme, hors du commun, mais finalement vrai, sincère, entier, direct.
Les décors sont magnifiques, éveillant tous nos sens, notamment, la vue, l'ouïe et l'odorat, à travers ces merveilleux vergers et champs de lavandes.
La fin du film est vraiment merveilleuse, résumant à elle seule tout le film. On ne la révèlera pas car elle conclue magnifiquement ce merveilleux conte aux accents de vérité.
Les acteurs, Benjamin Lavernhe en tête sont tous parfaits, y compris les enfants et les seconds rôles.

Comédie romantique fort réussie, le goût des merveilles est une œuvre émouvante qui placera le spectateur dans une zone de confort dont il ne voudra pas sortir ♥♥♥♥

Louise élève seule ses deux enfants et tente de préserver l’exploitation familiale. Un soir, elle manque d’écraser un inconnu au comportement singulier. Cet homme se révèle vite différent de la plupart des gens. En fait, il apparait évident qu’il souffre d’autisme léger…mais sa capacité d’émerveillement pourrait bien changer la vie de Louise et de sa famille.

Quelle belle réussite que cette douceur de film ! Réussir à rendre un handicap beau et charmant n’est sans doute pas une prouesse mais avec Benjamin Lavernhe atteint du syndrome d’Asperger, c’est véritablement un long moment de douceur ! Il va sans dire que le scénario et les dialogues sont extrêmement bien écrit pour habilement balancer humour et romance douce. Eric Besnard ajoute à sa légère romance des transitions florales très à propos tout comme ces paysages de la Drôme où le film semble avoir été tourné. « Je voulais rester dans les couleurs de la nature et garder une palette simple, en bannissant les effets de publicité ou de saturation. Très vite, j’ai décidé que le protagoniste allait voir le monde comme à travers des lunettes de soleil polarisées qui densifient les contrastes de couleurs sans les dénaturer », explique Eric Besnard dans le dossier de presse.

Il réussit à placer le spectateur dans un cocon et à arrêter le temps laissant ses acteurs dans le plaisir du jeu : Virginie Efira qui semble prendre la succession d’Audrey Tautoux dans les comédies romantiques et surtout Benjamin Lavernhe, véritable révélation du film et dont beaucoup tomberont en amour avec.

Extrêmement positif et mêlant humour et romantisme, Le goût des merveilles est une réussite sur toute la ligne.

Du très grand art. Une ode à la vie et à la différence. Des acteurs formidables nous accompagnent et transcendent leurs personnages. Une réconfortante bouffée d'oxygène.

Le goût des merveilles, n'est pas un titre très évocateur du thème du film, de sa profondeur et du serieux du sujet, ni de la densité des émotions qu'il provoque. Le titre est presque accessoire au regard du coeur du film. Les merveilles, sont des petits gâteaux qui dans certains endroits s'appellent les bugnes et en Provence les merveilles. Ce sont les petits gâteaux dont Pierre raffolle. Pierre est un jeune homme, victime du syndrome d'Asperger. Je vous rassure, ce n'est pas un film documentaire bien qu'il nous fasse connaître la personnalité riche de ces êtres qui autrefois étaient internés. Ce jeune homme arrive par accident dans une famille, dont il va bouleverser le cours des jours. On ne peut rester insensible à la prodigieuse intelligence de Pierre, à sa mémoire phénoménale, à son aptitude à jouer aux échecs, à sa maîtrise des ordinateurs, et aussi à son hypersensibilité notamment en relation à la beauté de la nature. Cette hypersensibilité est en fait un atout et surtout la source de crises de panique et donc avec la difficulté à communiquer, le véritable handicap. Ce film nous montre aussi que nous les adultes, à priori sains, nous sommes tous quelque peu des autistes pour communiquer avec des êtres très différents. En revanche, les enfants perçoivent rapidement la personnalité riche si bien que le handicap est vite dépassé. Il n'est pas nécessaire d'être atteint du syndrome pour éprouver d'intenses émotions par la beauté des paysages qui seraient de la Drôme provençale: des vergers en fleurs, des champs de lavandes, des montagnes toutes proches, et un bien joli mas provençal. On ne peut pas davantage échapper, tout comme Pierre, au charme de Virginie Efira dans le rôle de Louise. Enfin j'ai apprécié l'authenticité du personnage de Benjamin Lavernhe dans le rôle de Pierre, une prouesse. Pour toutes ces raisons je recommande chaudement ce film, vous en sortirez regonflé après votre journée de travail, et sans hésitation je lui donne 4,5/5.

Jolis paysages. Excellente interpretation.
un film sur les bonheurs simples et la vie sans mensonge et sans faux-semblant.

Beau poétique tout en douceur un film qui fait du bien et une magnifique interprétation d'un comédien inconnu au cinema bravo Benjamin! Et les autres comédiens aussi !

parler d'autisme est un sujet périlleux mais le talent de tous fait de ce film un bijou d'humanité et d'amour
le réalisateur a su donner de la force dans sa mise en scène les comédiens fabuleux sont d'une justesse éblouissante et le cadreur a fait des photos admirables pas de mièvrerie mais des sentiments forts ce film est beau comme un verger en fleur , un miracle du cinéma français

Un beau film, des personnages touchants, des acteurs qui jouent juste, une histoire simple, un moment de pur plaisir servi par une photographie exemplaire.