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    Les Premiers, les Derniers
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    papalou
    papalou

    14 abonnés 225 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 13 février 2016
    Photographie à la werner clair obscur , et avec des gueule à la Jérôme bosch... Des hommes fatigués bouli lanner et Michael Lonsdal très très fatiqué.... Et aussi un couple à l'amour totalement irraisonnée ...et des méchants arme jusqu'au dents....et un décor fantastique....excellent décor des ligne de l'aerotrain orleans paris monorail mythique....
    Un western, des armes des hommes, une vrai ambiance!
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 13 février 2016
    Film extraordinaire. Les paysages irréels de Beauce sont sublimés grâce au fameux aérotrain, aux nuances de gris des champs, et aux lumières crépusculaires. Les acteurs sont vrais et attachants, et la symbolique des événements en font bien plus qu'un simple road movie initiatique. A voir et.. à méditer!
    Jorik V
    Jorik V

    1 194 abonnés 1 952 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 27 janvier 2016
    Bouli Lanners a su se créer un univers cinématographique bien reconnaissable avec ses premiers films, le prometteur « Eldorado » et le très beau « Les Géants », on met de côté le quasiment vu par personne « Ultranova ». Des paysages français ou belges magnifiquement filmés qui ressemblent à l’Amérique, un sens du cadre notable et travaillé et des paumés de la vie en guise de héros. Un certain sens du contemplatif également… « Les Premiers les Derniers » ne déroge pas à la règle mais convainc pourtant beaucoup moins que ses ainés.
    Peut-être que de se payer des stars venues de tous horizons au casting et de se mettre à nouveau en scène dans un rôle principal l’a distrait de ses préoccupations premières, car son nouveau film ne raconte pas grand-chose et tourne en rond. Les belles images et le côté lent mais hypnotique qui faisait le charme de ses précédents long-métrages s’est ici envolé pour laisser place à un film triste, au rythme complètement atone et neurasthénique. Que de longueurs pour pas grand-chose et quand on pense que le film va enfin démarrer, c’est pour mieux de nouveau s’essouffler.
    De plus l’émotion n’est jamais au rendez-vous et le côté décalé ne fonctionne qu’à moitié. Cependant il faut encore une fois louer la qualité de Bouli Lanners pour créer une atmosphère. Ici la campagne du Loiret est transformée par la caméra du comédien/réalisateur et ses friches industrielles ont de la gueule. Le temps gris, les routes désertes et les usines désaffectées de « Les Premiers les Derniers » sont sublimés par des plans qui donnent à cet univers, une forte impression de noman’s land réussie.
    On est en plein dans un néo-western contemporain avec des écorchés de la vie et des filous en lieu et place des cowboys. Les apparitions de Max von Sydow et Michael Lonsdale ont tout du gimmick mais charment tout comme Suzanne Clément parachutée ici, mais leurs personnages sont trop peu esquissés. Bouli Lanners réalise ici son moins bon film mais on ne peut lui enlever une patte qui lui est propre. Beau à regarder mais un peu trop vide pour emporter l’adhésion.
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 1 février 2016
    Personnages émouvants, attachants et drôles, paysages magnifiques. Le jeune couple fugitif, particulièrement la jeune femme, m'a beaucoup ému.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 16 février 2016
    Perso, j'ai adoré ce film. Je suis une inconditionnelle de Bouli Lanners et Albert Dupontel qui forment, dans cette fiction, un duo improbable et attachant. Ce road-movie est assez cocasse et le casting est épatant. Ce paysage de "nulle part" - dont on se demande si c'est réellement en France - rajoute de la noirceur Au-delà d'une certaine violence, il y a de la poésie et de l'humanité. Des sentiments parfaitement représentés par nos deux acteurs. Je conseille vivement ce film.
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 28 mars 2016
    Belles prises de vue. La grisaille devient esthétique. Acteurs valides. Quel plaisir de revoir Michael Lonsdale, sa sobriété et ses rares apparitions marquent les esprits. Son rôle me fait penser à celui dans Ronin. Il influence les autres personnages et nous rend perplexe. Dupontel est sobre et crédible.
    Thierry M.
    Thierry M.

    1 critique Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 8 février 2016
    Un film âpre au départ, qui se transforme et s'avère formidablement beau. Un voyage initiatique plein d espoir.
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 29 février 2016
    Humour, poésie et belgitude! Beaucoup d'émotions. Merci!
    Je n'ai pas besoin d'en dire plus, mais on me demande d'écrire une critique de minimum 100 caractères, j'espère que je suis à 100.
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 16 février 2016
    A tout le moins un excellent film, par le scenario, les acteurs et surtout le cadrage dans des paysages sortis d'outre tombe
    SamuelOTook
    SamuelOTook

    2 abonnés 48 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 8 février 2016
    Un peu lent peut-être, mais si le rythme était différent, pas sûr que toutes les qualités de ce film ressortirait : une ambiance d'une belle mélancolie, et des personnages caractérisés comme il faut.
    Un vrai coup de coeur que ce film de Bouli Lanners, avec beaucoup de scènes marquantes. Notamment ces images de plaines de la Beauce, avec des routes, des champs, le béton de l'autorail, ça et là quelques habitations, le tout sous un ciel gris. Et puis, aussi, ces personnages qui se trimballent, comme errant dans ce paysage, des deux personnages principaux, joués par Albert Dupontel, classique, et Bouli Lanners, touchant, aux deux jeunes marginaux qu'on apprend à nous faire apprécier, en passant par de très bon seconds rôles, des gueules du cinéma francophone, Michael Lonsdale, Max Von Sidow, Suzanne Clément, Serge Riaboukine et Lionel Abelanski...Et, last but not least, dans ce monde près de l'apocalypse, le personnage joué par Philippe Rebbot, dont on apprécie toutes les apparitions. Une musique fort agréable de western, et nous voilà embarqués. Curieux des rebondissements, et apprenant à apprécier l'humanité des deux compères, des deux amoureux, de la femme et des deux vieux. Le film porte un regard aussi sur la mort, et, un peu l'amour. On sent une oeuvre sincère.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 4 mars 2016
    Joli film qui me ferait presque aimer les paysages de la Beauce ... C'est lent et beau comme Eldorado. Les seconds rôles sont réjouissants !
    Caine78
    Caine78

    5 991 abonnés 7 396 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 24 juin 2018
    Le début inquiète grandement. Rythme bizarre, volonté d'absurde pas franchement convaincante, personnages peu intéressants... Rien ne fonctionne vraiment. Et puis, presque d'un coup, le charme opère. Les décors, l'étrangeté, les personnages : tout ce qui était jusqu'alors une faiblesse devient une force : tout est plus clair, l'univers est cohérent, séduisant, les différents récits se regroupant bien, chaque personnage ayant sa place, signifiant quelque chose. Le duo Albert Dupontel - Bouli Lanners fonctionne, le second (également réalisateur) assumant avec une certaine aisance sa dimension mystique décalée, presque « pour de rire ». Il y a de la personnalité, des moments surprenants, sans oublier quelques figures bienveillantes et inattendues : le duo Michael Lonsdale - Max von Sydow, bien que discret, apporte un vrai plus. En tout cas, voilà une œuvre originale et ne laissant clairement pas indifférent : une belle curiosité.
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 22 février 2016
    Les acteurs sont tous excellents et le scénario est très juste. Un film fort et très émouvant qui nous donne un coup de fouet malgré sa dureté.
    Chris58640
    Chris58640

    183 abonnés 725 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 31 janvier 2016
    Pour son premier long métrage, l’acteur Bouli Lanners a clairement voulu bien faire et cela se sent dans la forme de son film. J’entends par là qu’en plus d’avoir bien soigné son casting (j’y reviendrai), il a aussi soigné ses plans, son image, sa photographie. Visuellement, les paysages et les hommes qui sont filmés sont austères, brumeux, souffreteux, un peu glauques, et grâce à plein de petites choses, il parvient à créer une ambiance particulière très rapidement. Le ciel (souvent filmé) est toujours plombé, couvert et déprimant, les plans larges de la Beauce sont visuellement recherchés, avec de longs panoramiques. Mais le film a beau se dérouler dans le Loiret, on a perpétuellement une impression de « Middle West » américain grâce à plein de détails : le nom même de Cochise déjà, et puis tout le monde se déplace en pick-up dans des immenses lignes droites, il y a des salles de billard avec de la musique country, des petits hôtels un peu miteux et des entrepôts déserts. Et puis la musique du film, discrète mais agréable, fait penser à celle de « Paris Texas » ! Du coup, « Les derniers, les premiers » à un petit gout de « Red neck » (surnom peu affectueux donné aux bouseux américains qui se baladent en marcel et en pick-up) inattendu et original. Le casting est emporté au premier plan par Albert Dupontel et Bouli Lanners lui-même. Dupontel en gros dur ombrageux, un rôle qu’il connait par cœur mais dans lequel il a l’intelligence de ne pas s’enfermer, Lanners en comparse tourmenté par sa santé défaillante. Les seconds rôles, et notamment les deux paumés (handicapés mental légers, ca devient vite une évidence) incarnés par David Murgia et Aurore Broutin sont assez incroyables de force et de sensibilité. Les scènes avec eux ne mettent pas forcément très à l’aise, surtout au début car on ne comprend pas bien à qui on a à faire et quel est leur but mais l’attachement qui les lient devient vite très touchant, même si on n’est pas sur de bien les cerner ! Et puis il y a aussi Michael Lonsdale, Lionel Abelanski, Suzanne Clément, Serge Riaboukine, bref, des « gueules » comme on dit au cinéma. En réalité, si le film de Bouli Lanners a une faiblesse, et elle est de taille, c’est son scénario. Honnêtement, même en gardant l’esprit le plus ouvert possible, on ne comprend pas tout, on est parfois a deux doigts de décrocher devant certaines scènes un peu étranges, on se demande de temps en temps « Mais enfin, il veut en venir où exactement avec son film ? » et ça, ce n’est pas très bon signe. Au-delà du côté un peu « western » de son scénario (les bons, les méchants, les simples d’esprits, les règlements de comptes, les traquenards, les gros calibres) qui n’est pas innitéressant, il y a une touche religieuse (annoncée par le titre du film lui-même) un peu étrange et qui m’a laissé un peu dubitative. Tous vont croiser un personnage un peu décalé, christique, qui apporter aux deux paumés une aide inattendue et improbable et qui va, à sa manière, punir les méchants. Ce personnage appelé Jésus ( ?), stigmatisé accidentellement à la main droite, est le vrai mystère du film à mes yeux. Je sens bien que Bouli Lanners a voulu dire quelque chose, en plongeant un personnage comme celui là au milieu d’une sombre affaire de vol et de règlements de comptes, mais son propos n’est pas très lisible. C’est exactement la même chose pour l’histoire annexe de ce marginal mort depuis plusieurs années et momifié que les deux comparses trouvent par hasard dans un squat et dont le sort travaille visiblement Gilou. Ca signifie quelque chose pour son personnage (peur de la mort, de la solitude) mais là encore, c’est un peu brumeux. Et puis il y a ce cerf, qui apparait dans deux scènes un peu incongrues et qui doit surement symboliser quelque chose aussi, mais quoi ? En fait, le scénario de « Les premiers, les derniers » est à l’image de la météo du Loiret dans le film : toujours couvert, brumeux, un poil déprimant aussi. Pourtant, l’histoire d’amour entre Esther et Willy, la fin plutôt optimiste du film, l’amitié sincère entre Gilou et Cochise, la présence permanente du petit chien Gibus et même quelques touches d’humour (un peu trop rares néanmoins) auraient pu alléger le film, mais on n’a l’impression au final que rien n’y fait, l’aspect déprimant et tortueux est le plus fort, couplé à une désagréable impression de ne pas toujours tout comprendre de ce qui se passe sur l’écran. Comme moi, beaucoup auront une impression de coquille vide au sortir de la salle, l’impression d’un film étrange qui les a un peu perdus en chemin. Il est évident qu’avec un film aussi peu lisible, aussi peu accessible au grand public, Bouli Lanners ne va pas remplir les salles. Mais il aura livré un premier film très personnel et très appliqué, ce qui laisse espérer que ce premier film ne sera pas le dernier !
    Tumtumtree
    Tumtumtree

    150 abonnés 508 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 11 février 2016
    Bouli Lanners ne parvient pas à retrouver le souffle d'Eldorado. Scénario et mise en scène sont ici trop appuyés. Et ce, autant en ce qui concerne le personnage de "Jésus" que les filtres colorés rappelant poussivement les films de Jean-Pierre Jeunet. Les deux jeunes gens sont pénibles et le regard porté sur eux est un peu trop misérabiliste. Seul Albert Dupontel est très bien. On oublie ce film très vite. Sans doute idéal pour passer une bonne soirée devant la télévision. Mais pas au-delà.
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