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    Le Grand jeu
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    124 critiques spectateurs

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    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 25 avril 2016
    C'est le grand ennui! Film inutile, aberrant, absurde à mourir! Nicolas Pariser est-il au courant que l'on craint plus les djihadistes que les gauchistes aujourd'hui! Comment imaginer concurrencer un thriller américain en étant aussi mauvais. J'espère que Dussolier a touche un bon cachet pour accepter de jouer un tel navet avec autant de conviction!
    Nul de chez nul. A fuir
    Pauline_R
    Pauline_R

    172 abonnés 398 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 22 décembre 2015
    Un thriller politique avec un scénario un peu alambiqué et trop peu crédible pour être véritablement captivant. C'est dommage car les dialogues sont souvent très bons et bien vus, en particulier lors des échanges entre Melvil Poupaud et André Dussolier. Les interprètes sont tous remarquables, Poupaud, de quasi tous les plans, en tête. Mention spéciale à Sophie Cattani, toujours très juste et intense lors de ses (trop rares) apparitions à l'écran.
    Christoblog
    Christoblog

    741 abonnés 1 613 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 26 décembre 2015
    Pas grand-chose à reprocher à ce film, qui est pourtant tout à fait raté.

    Scénario intéressant sur le papier, acteurs plutôt en forme, réalisation classique mais sérieuse : on nage dans un nouveau type de qualité française.

    Le problème est que le réalisateur, Nicolas Pariser, semble viser beaucoup trop haut pour son premier film. Le grand jeu entend mêler un thriller hitchcockien de haute volée sur la manipulation politique à une histoire d'amour sur fond de groupe gauchiste et rural. On songe évidemment à l'épicerie de Tarnac.

    C'est très ambitieux. On trouve dans le film une réflexion sur le passé révolutionnaire des personnages qui fait penser à Assayas, une sécheresse narrative qui peut rappeler celle de Nicolas Saada dans Espion(s), mais tout cela ne fonctionne au final simplement pas. La plupart des scènes n'échappent pas à la caricature et certaines même à un certain ridicule, comme le repas entre la journaliste et le politique, ou la course poursuite dans les rues du village anglais.

    C'est comme si un peintre dessinait les grandes lignes d'un tableau en pensant au Tintoret ou au Caravage, pour finir son oeuvre au stylo Bic.

    Les seuls éléments positifs du film sont pour moi le jeu des acteurs masculins. Melvil Poupaud confirme l'incroyable plasticité de son jeu, et André Dussolier est toujours capable d'exprimer les pires menaces dans un simple plissement de ride.

    Un coup d'essai non transformé.
    Laurent C.
    Laurent C.

    237 abonnés 1 133 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 1 janvier 2016
    Nicolas Pariser dont c'est la première œuvre sort un film qu'on pourrait qualifier de brillant, au sens littéraire du terme. "Le grand jeu" qui mêle thriller psychologique, intrigue politique, fait penser à un monstrueux ouvrage d'un Malraux par exemple, de part son aspect ambitieux, dense, et intelligent. C'est une histoire difficile à résumer, sinon celle d'un écrivain au succès derrière lui, qui se fait entraîner par un sorte d'avocat de l'ombre, déterminé à faire disparaître le Ministre de l'intérieur. Dit comme cela, le récit peut paraître invraisemblable ou creux. Au contraire, la fiction résonne comme une sorte de récit politique hantés par les amours, les groupes d'influence, et le passif des personnages. La photographie est souvent rouge et noire, à l'instar du fameux roman, voire automnale, dégageant ainsi une grande austérité. Pour autant, le film est souvent trop dialogué. Faire du cinéma, certes, c'est écrire un scénario au service d'une histoire, mais c'est aussi dérouler des images au service de la fiction. Ici, l'écriture prend le pas sur l'imagerie, au point que le film en devient peu lisible, voire incompréhensible. Les références sont nombreuses et on saluera le clin d'œil ironique à l'actualité contemporaine, comme les questions écologiques ou celles relatives au mariage gay. Voilà donc un film très bien écrit, trop bien écrit, qui le détourne de la fonction principale du cinéma : provoquer chez le spectateur une émotion.
    pierre72
    pierre72

    126 abonnés 367 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 26 décembre 2015
    Oui c'est un film qui ressemble à certains longs métrages des années 70, où la politique et les enjeux du pouvoir étaient le lieu des pires turpitudes, complots et autres affaires d'état édifiantes qui nous faisaient, au pire, naître des doutes sur notre légendaire démocratie, au mieux, intégrer derechef un partie d'extrême gauche (ou le contraire). Dans notre 21 ème siècle, les thrillers politico-édifiants ne sont pas légion et c'est sans doute pour cela que la presse tressaute de joie derrière son Mac en écrivant des papiers élogieux.
    Derrière le mien (de Mac), c'est moins la joie, même si le genre est de celui qui m'attire en salle. Je sais bien que pour un premier film s'emparer d'un sujet mixant l'affaire Boulin et celle de Tarnac est gonflé et signe que le jeune cinéma français bouillonne de projets moins convenus. Si en plus, comme ici, on soigne l'écriture des dialogues, on est en droit d'espérer un film qui tienne la route et l'haleine. Sauf, que le résultat est moins convaincant que prévu, la faute principalement à un scénario bancal et un peu obscur parfois.
    Ca démarre sur les chapeaux de roue, de nuit pour le côté mystérieux, un homme se fait expulser (?) par ce qui semble être des policiers. Puis nous nous retrouvons dans une soirée chic, sur une terrasse où André Dussolier, une sorte d'éminence grise de la république, aborde Melvil Poupaud en le questionnant de façon insistante et finit par lui extorquer son numéro de téléphone. On ne sait pas trop où ça va et c'est bien, notre intérêt est décuplé. Puis nous retrouvons Melvil, dans sa chambre de bonne minable. Depuis qu'il a été un romancier prometteur, sa vie n'a fait que lorgner vers le déclin. Il n'a plus rien écrit depuis 10 ans, sa femme l'a quitté et il n'a aucun boulot. Après avoir enfilé une chemise pas trop crasseuse et un beau manteau en poil de chameau, le voilà traînant dans une librairie où l'on aperçoit un livre de mec menotté du début. Mais l'essentiel est dans l'abordage d'une jeune étudiante par un Melvil assez dragueur, occasion un peu lourde et tirée par les cheveux pour nous donner quelques indications sur son personnage. Puis le film s'emballe. Dussolier prend contact avec Melvil et lui propose d'écrire un brûlot pour faire tomber le ministre de l'intérieur. Le livre sort et fait trembler le sommet de l'état. Des tractations commencent. Un groupuscule d'intellos maniant des idées d'extrême-gauche va sûrement être arrêté.
    Cela a du s'emballer trop vite, j'ai peiné à saisir le pourquoi de la chose mais ce n'est pas grave, Melvil risque sa vie et là, ça ne rigole pas. Dussolier aussi est proche du cercueil, mais le scénar s'en fout, on l'abandonne au profit d'une historiette d'amour bavarde entre Melvil et une membre du groupe extrêmiste. Ils bavardent beaucoup (trop pour certains), déployant des idées sur l'engagement avec des termes choisis. Normal, ce sont des intellos, littéraires et artistes de surcroît
    La fin sur le blog
    colombe P.
    colombe P.

    124 abonnés 695 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 26 décembre 2015
    J'adore ce genre de films : lents, palpitants, avec des dialogues aux petits oignons.
    Très bonne intrigue et très bonne atmosphère.
    Je ressors enchantée de ce film.
    axelle J.
    axelle J.

    106 abonnés 501 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 26 décembre 2015
    J'ai beaucoup apprécié ce film intense et vraiment passionnant.
    De très bons dialogues, beaucoup de suspens.
    A ne pas manquer en cette fin d'année.
    PaulGe G
    PaulGe G

    101 abonnés 607 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 9 janvier 2016
    suspens politique de haut vol magnifique interprétation des deux comédiens, seul reproche le réalisateur reste trop longtemps dans la ferme avec un dialogue fastidieux mais cela reste du grand cinéma de genre
    Fritz L
    Fritz L

    162 abonnés 767 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 14 janvier 2016
    A un moment, dans le film, André Dussollier prononce « On vit et on meurt à l’intersection de deux mondes », Nicolas Pariser lui à construit « Le grand jeu » à l’intersection de deux récits. Tout commence avec une sombre machination politique dont Melvil Poupaud va devenir un peu et à son insu le fomentateur. Librement inspiré de l’affaire Tarnac, cette partie est plutôt bien amenée, exacerbée, nébuleuse, on se délecte d’assister à une espèce de thriller politique, déployant avec un certain brio les rouages politiques. Très crédible, on attend la suite… Notre pauvre héros contraint à fuir, va alors être confronté à une communauté d’extrême gauche chez qui il décide de s’installer. Là à l’image de la ferme solidaire dans laquelle il se réfugie, le film s’enfonce dans le bourbier. La dimension politique n’est plus qu’anecdotique, on se tourne alors vers une espèce de grande discussion de zinc, où l’on refait le monde… C’est intellectuellement pauvre et très ennuyeux. C’est tout à fait dommageable. D’autant plus que Poupaud et Dussollier y sont excellents, mais même le plus grand des talents ne parvient jamais à redresser un scénario qui pêche par le vide. Globalement cela se laisse regarder sans déplaisir, mais la frustration de ne pas avoir su conserver l’intensité de la première demi-heure est tout de même très pesante.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 24 décembre 2015
    Le film commençait bien: mystère, suspense, personnages sombres, monde politique inquiétant...
    Et puis, patatrac! Dussolier disparait de façon surprenante de la circulation pour un bon moment. Pour réapparaître de façon tout aussi surprenante sans qu'on comprenne ce qui s'est passé.
    Et puis cette virée dans cette ferme de gauchistes fait basculer le film dans un ennui mortel. Il ne se passe pratiquement plus rien. On perd le fil et l'intérêt de cette histoire. Des scènes bavardes, trop longues, insipides, voire inutiles Dialogues politico-nostalgiques qui détournent le spectateur de l'intrigue de départ.
    On est perdu. On espère cependant que l'histoire va reprendre et qu'on va enfin comprendre ce qui se passe. Pas vraiment. Le film ne reprend pas son souffle après cette interminable séquence campagnarde.
    Et cette fin en Angleterre, peu lisible. Tout ça finit en queue de poisson.
    On a une impression de gâchis; qu'on a raté quelque chose.
    Bref, un film à oublier bien vite.
    Kinopoivre
    Kinopoivre

    29 abonnés 200 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 25 décembre 2015
    Porter le titre d’un film qui existait déjà ne serait qu’un inconvénient mineur, car la chose arrive fréquemment : celui-ci a été utilisé sept fois auparavant ! Mais ennuyer à ce point le public, c’est impardonnable ! Hitchcock aurait détesté ce film, lui qui disait qu’on ne pouvait pas se borner à filmer des gens qui parlent ; or les trois-quarts du film sont occupés par des conversations insipides, et il ne comporte aucun action, aucun suspense, rien.

    Melville Poupaud joue un écrivain quadragénaire et improductif, auteur d’un seul roman publié dix ans auparavant, et qui n’écrit plus rien et n’a plus d’argent. Or un sexagénaire mystérieux et apparemment riche, joué par André Dussollier, qui se présente comme un prestataire de « services », lui offre une forte somme pour écrire un livre dézinguant... le ministre de l’Intérieur, car, prétend-il, un coup d’État est imminent. L’écrivain s’exécute, mais il est mis au ban de ses anciens amis gauchistes, réfugiés à la campagne, sur le modèle de la communauté de Tarnac, celle-là même qu’un ministre impulsif avait accusée de sabotage sur un train.

    Si cette affaire précisément avait été traitée, par exemple sous la forme d’un documentaire sérieux, on aurait pu s’y intéresser, mais le réalisateur s’emberlificote dans une histoire romanesque qui perd en route son sujet : le rapport entre le pouvoir politique et les mouvements gauchistes et libertaires. C’est probablement le plus gros ratage de l’année dans le cinéma français, et l’on s’étonne que les deux acteurs principaux, qui ont la réputation d’être intelligents, n’aient pas vu la faille à la seule lecture du scénario.
    norman06
    norman06

    296 abonnés 1 598 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 2 janvier 2016
    Vendu comme un thriller politique, ce premier long métrage souffre d'un style trop distancié et d'un scénario confus. Mais cet authentique film d'auteur à le mérite de sortir des sentiers battus.
    WutheringHeights
    WutheringHeights

    99 abonnés 930 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 25 décembre 2015
    Le film, passionnant dans sa première partie, met en place les pièces d’un puzzle intéressant mais convainc moins quand spoiler: il prend le maquis dans une communauté d’extrême gauche en pleine campagne
    . La mise en scène de Nicolas Pariser, toute en retenue, souligne des dialogues assez littéraires, formidablement bien écrits. Mais à mesure que l’intrigue avance, le rythme se perd et l’intérêt s’émousse.

    LA SUITE :
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 23 décembre 2015
    Très belle mise en scène, belle photo et surtout des dialogues bien écrits qui donnent envie de les écouter, et ça, c'est plutôt rare par les temps qui courent !
    Dussolier est superbe.
    Jonathan M
    Jonathan M

    111 abonnés 1 528 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 18 décembre 2015
    Le film se veut être un jeu politico-diplomatique. Le sujet de départ est excitant, on peut à près tout et rien faire avec. J'attendais l'étau qui se ressert sur l'écrivain perdu joué par Melvil Poupaud, c'est presque évident. Mais c'est plutôt une curiosité sur la manière de procédé. Ce genre de film est souvent fourre-tout. Et, malgré l'excuse du premier film, Nicolas Pariser tombe un peu trop dans l'écueil. Une intrigue qui s'échappe, une histoire d'amour vide. La fuite en avant n'a rien de passionnant et le scénario écrit avec une couche épaisse de prétention.
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