Voyage à travers le cinéma français : Critique presse
Voyage à travers le cinéma français
Note moyenne
3,9
22 titres de presse
Bande à part
L'Express
La Croix
Sud Ouest
Voici
20 Minutes
Critikat.com
L'Obs
Le Dauphiné Libéré
Le Figaro
Le Figaroscope
Le Journal du Dimanche
Le Monde
Les Fiches du Cinéma
Marianne
Studio Ciné Live
Cahiers du Cinéma
La Septième Obsession
Les Inrockuptibles
Télérama
Ouest France
Première
Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
22 critiques presse
Bande à part
par Emmanuel Raspiengeas
Tavernier abandonne un instant sa fébrilité d’artiste engagé pour revoir se dérouler les films de sa vie comme on regarde couler un fleuve à la tombée du jour, dans une invite lancée aux spectateurs de s’asseoir à ses côtés, et laisser les fantômes de Julien Duvivier, Jean Sacha, Claude Sautet et tant d’autres venir à leur rencontre.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
L'Express
par Christophe Carrière
Dire qu'il existe une version longue de 6 heures à venir bientôt... On a hâte !
La Croix
par Jean-Claude Raspiengeas
Cinéphile et cinéaste, l’encyclopédiste Bertrand Tavernier réalise une œuvre-somme éblouissante, autobiographique et pédagogique, sur un patrimoine délaissé.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Sud Ouest
par Sophie Avon
C'est un guide merveilleux dont la promenade tend un miroir en permanence sur les époques traversées et sur la vie qui passe.
La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest
Voici
par La Rédaction
Erudit, malicieux, généreux, le réalisateur de "L627" explore les œuvres de son panthéon personnel (de Becker à Renoir, de Melville à Sautet) entre anecdotes et confidences.
20 Minutes
par Caroline Vié
Ne vous laissez pas intimider par sa durée de plus de trois heures ! "Voyage à travers le cinéma français", documentaire de Bertrand Tavernier qui fut présenté à Cannes, est si ludique et passionnant qu’on aimerait le voir durer encore plus longtemps.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Critikat.com
par François Giraud
Ces trois heures de film s’avèrent nécessaires tant elles parviennent, au-delà de ce qui a déjà été raconté mille fois, de dessiner une histoire secrète et intime du cinéma français.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
L'Obs
par Pascal Mérigeau
Le programme, généreux en diable, se compose d'entretiens enregistrés jadis, de moments inattendus et d'extraits de films qu'éclairent des commentaires toujours précis, qui disent ce qu'est la mise en scène, cette chose dont plus personne ne parle désormais.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Avec des commentaires, forcément, d’orfèvre en la matière, dans un ensemble pléthorique et vagabond, guidé par la mémoire, et que sa matière même rend passionnant.
Le Figaro
par Xavier Giannoli
On est emporté dans ce voyage comme par un grand film d'amour, l'amour du cinéma et ce qu'il peut nous révéler du monde, de nous-mêmes et de notre histoire.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Figaroscope
par Marie-Noëlle Tranchant
Un voyage plein de surprises et de ferveur, qui donne envie de dévorer séance tenante un Sautet ou un Godard.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaroscope
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Un hommage vibrant, enthousiasmant et nécessaire.
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
Ce qu’on sent le plus sûrement dans ce film si particulier, et il faut le dire si touchant, c’est qu’à 75 ans, ce cinéphile enragé a décidé de se livrer à une sorte de bilan existentiel, et que la meilleure façon qu’il ait trouvée, parce que la plus sincère, est d’écrire cette histoire avec les images des films qu’il affectionne.
Les Fiches du Cinéma
par Gilles Tourman
Bertrand Tavernier offre une chronique amoureuse et émouvante du 7e art hexagonal sur soixante ans, partageant analyses et anecdotes avec le spectateur.
Marianne
par Alain Léauthier
Bien plus qu'une histoire du 7e art, le documentaire de Bertrand Tavernier dessine en creux un autoportrait sensible.
Studio Ciné Live
par Éric Libiot
Ce documentaire repose l'esprit, excite les yeux et rend plus intelligent.
Cahiers du Cinéma
par Joachim Lepastier
Cette traversée qui, si elle n’a rien de novatrice sur la forme, parvient à faire émerger une certaine musicalité de son impressionnant corpus d’extraits.
La Septième Obsession
par Claire Micallef
Vivier d’anecdotes croustillantes que Tavernier égrène avec malice.
Les Inrockuptibles
par Vincent Ostria
Bertrand Tavernier propose une balade subjective et personnelle dans le septième art français des années 1930 à 1970.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Télérama
par Samuel Douhaire
Ces trois heures et onze minutes d'érudition et de passion remplissent parfaitement leur mission : transmettre l'amour du cinéma. Sitôt la projection terminée, on n'a qu'une envie : revoir ou découvrir les quatre-vingt- quatorze films que Tavernier a cités...
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Ouest France
par La Rédaction
Ce film parfois écrasant aurait gagné à être plus court où à être découpé en épisodes thématiques.
Première
par Sylvestre Picard
(...) (Un) documentaire écrasant et mal équilibré.
Bande à part
Tavernier abandonne un instant sa fébrilité d’artiste engagé pour revoir se dérouler les films de sa vie comme on regarde couler un fleuve à la tombée du jour, dans une invite lancée aux spectateurs de s’asseoir à ses côtés, et laisser les fantômes de Julien Duvivier, Jean Sacha, Claude Sautet et tant d’autres venir à leur rencontre.
L'Express
Dire qu'il existe une version longue de 6 heures à venir bientôt... On a hâte !
La Croix
Cinéphile et cinéaste, l’encyclopédiste Bertrand Tavernier réalise une œuvre-somme éblouissante, autobiographique et pédagogique, sur un patrimoine délaissé.
Sud Ouest
C'est un guide merveilleux dont la promenade tend un miroir en permanence sur les époques traversées et sur la vie qui passe.
Voici
Erudit, malicieux, généreux, le réalisateur de "L627" explore les œuvres de son panthéon personnel (de Becker à Renoir, de Melville à Sautet) entre anecdotes et confidences.
20 Minutes
Ne vous laissez pas intimider par sa durée de plus de trois heures ! "Voyage à travers le cinéma français", documentaire de Bertrand Tavernier qui fut présenté à Cannes, est si ludique et passionnant qu’on aimerait le voir durer encore plus longtemps.
Critikat.com
Ces trois heures de film s’avèrent nécessaires tant elles parviennent, au-delà de ce qui a déjà été raconté mille fois, de dessiner une histoire secrète et intime du cinéma français.
L'Obs
Le programme, généreux en diable, se compose d'entretiens enregistrés jadis, de moments inattendus et d'extraits de films qu'éclairent des commentaires toujours précis, qui disent ce qu'est la mise en scène, cette chose dont plus personne ne parle désormais.
Le Dauphiné Libéré
Avec des commentaires, forcément, d’orfèvre en la matière, dans un ensemble pléthorique et vagabond, guidé par la mémoire, et que sa matière même rend passionnant.
Le Figaro
On est emporté dans ce voyage comme par un grand film d'amour, l'amour du cinéma et ce qu'il peut nous révéler du monde, de nous-mêmes et de notre histoire.
Le Figaroscope
Un voyage plein de surprises et de ferveur, qui donne envie de dévorer séance tenante un Sautet ou un Godard.
Le Journal du Dimanche
Un hommage vibrant, enthousiasmant et nécessaire.
Le Monde
Ce qu’on sent le plus sûrement dans ce film si particulier, et il faut le dire si touchant, c’est qu’à 75 ans, ce cinéphile enragé a décidé de se livrer à une sorte de bilan existentiel, et que la meilleure façon qu’il ait trouvée, parce que la plus sincère, est d’écrire cette histoire avec les images des films qu’il affectionne.
Les Fiches du Cinéma
Bertrand Tavernier offre une chronique amoureuse et émouvante du 7e art hexagonal sur soixante ans, partageant analyses et anecdotes avec le spectateur.
Marianne
Bien plus qu'une histoire du 7e art, le documentaire de Bertrand Tavernier dessine en creux un autoportrait sensible.
Studio Ciné Live
Ce documentaire repose l'esprit, excite les yeux et rend plus intelligent.
Cahiers du Cinéma
Cette traversée qui, si elle n’a rien de novatrice sur la forme, parvient à faire émerger une certaine musicalité de son impressionnant corpus d’extraits.
La Septième Obsession
Vivier d’anecdotes croustillantes que Tavernier égrène avec malice.
Les Inrockuptibles
Bertrand Tavernier propose une balade subjective et personnelle dans le septième art français des années 1930 à 1970.
Télérama
Ces trois heures et onze minutes d'érudition et de passion remplissent parfaitement leur mission : transmettre l'amour du cinéma. Sitôt la projection terminée, on n'a qu'une envie : revoir ou découvrir les quatre-vingt- quatorze films que Tavernier a cités...
Ouest France
Ce film parfois écrasant aurait gagné à être plus court où à être découpé en épisodes thématiques.
Première
(...) (Un) documentaire écrasant et mal équilibré.