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    Une Femme douce
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    Tumtumtree
    Tumtumtree

    151 abonnés 508 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 12 novembre 2013
    Un très beau film de Robert Bresson ! Dès lors qu'on est prêt à entrer dans cet univers singulier, ce film, longtemps invisible, apporte beaucoup. On y retrouve l'ambiance des années 1950-1960 à Paris et dans le cinéma français, la mise en scène d'une totale maîtrise chère au cinéaste et les thèmes de prédilection de celui-ci. La photographie est particulièrement réussie ; on voudrait garder chaque plan en mémoire. La faiblesse principale du film est son scénario (certes issu de Dostoievski... mais bon) qui n'a pas la force d'"Au hasard Balthazar" ou du "Journal d'un curé de campagne". Reste le cas des spectateurs qui ne savent pas ce qu'est le cinéma de Bresson (lenteur, phrasé particulier, etc.) ; on ne peut que leur conseiller de se renseigner avant de payer leur place, ça évitera les mauvaises surprises...!
    Teresa L.
    Teresa L.

    14 abonnés 148 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 10 mars 2013
    Il y a Elle, et Il. Il y a également La Servante, ainsi qu'un hypothétique Amant. C'est à peu près tout en fait de personnages. On y croisera également une troupe jouant (fort mal) Shakespeare, des gueux, des anonymes, l'incommensurable foule parisienne. C'est amplement suffisant pour faire le plus anxiogène des cinémas, le plus sensuel, le plus libre.
    Du moment que l'on adhère à son principe narratif, Une femme douce ne pose aucun problème. C'est le début de la période érotisante de Bresson, qui ne compte que deux films au total. Mais quel film que celui-ci, ode au chatoiement, au rayonnement, d'un genre totalement inédit dans l'oeuvre du cinéaste. Quelle libération apportée par le corps de Sanda, bloc d'opacité étrangère à l'atmosphère d'opulence qui l'entoure, elle aussi "part de ce qui tantôt fait le mal, tantôt fait le bien", obsédée autant qu'inattentive. C'est l'un des plus entiers films de Bresson, sans aucun compromis.
    LB_66
    LB_66

    5 abonnés 161 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 24 décembre 2013
    C'est un grand plaisir que de (re)découvrir ce film de Robert Bresson resté longtemps dans les tiroirs.
    Le découpage, l'interprétation et le son bressonniens sont au rendez-vous, même si Dominique Sanda a évidemment quelques intonations plus poussées que les habituels modèles du réalisateur. Mais le plus savoureux réside dans la photographie très élégante qui donne à l'oeuvre une place à part dans la filmographie de Bresson.
    loulou451
    loulou451

    105 abonnés 1 503 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 19 novembre 2016
    Une oeuvre à part dans la filmographie de Bresson. Plus complexe, moins linéaire que ses précédentes oeuvres... et du coup moins forte. A voir pour la belle prestation de Dominique Sanda.
    gimliamideselfes
    gimliamideselfes

    2 804 abonnés 3 956 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 29 juillet 2013
    J'attendais énormément de ce film, sans doute parce que j'avais juste adoré 4 nuits d'un rêveur et ce film là est adapté du même auteur. Forcément, je ne pouvais que faire le lien entre les deux films.
    Cependant j'ai trouvé Bresson en très petite forme dans cette femme douce. D'habitude Bresson c'est le réalisateur qui peut m'émouvoir en quelques secondes, je pense aux premières minutes d'au hasard Balthazar pour ne citer que ce film. Là je suis resté en dehors, le film m'a semblé très hermétique.

    Alors certes il y a de beaux moments, j'adore cette scène au théâtre qui dure, qui dure et finalement on suit la pièce, on est dedans, même si comme moi on ne la connaît pas, et elle nous intrigue. Il y a cette capacité à nous immerger dans ce qui est proposé. Cette scène, il fallait l'oser. Effectivement peu de réalisateurs s'offriraient un interlude théâtral d'une dizaine de minutes au début du film, juste comme ça. J'aime beaucoup. D'autant que ça m'a donné envie de lire la pièce. J'aime également quelques bribes, quelques fragments comme cette scène où la fille après le mariage court dans les escaliers en prenant son mari par la main... On avait ce doute sur son envie de se marier et puis là, au travers d'un plan, c'est bon on a compris. Ou bien ce repas où ils mangent de la soupe sans se dire un mot, champ contre champ, petit regard, ils continuent de manger. On sent l'intensité de la scène. C'est vraiment pas mal.

    Mais j'ai eu du mal à m'attacher aux personnages, à m'identifier, à m'intéresser. Cette fille a beau être très belle, mignonne, je trouve que Bresson n'a pas réussi à filmer l'invisible en elle, elle me semblait plate, sans intérêt contrairement à 4 nuits d'un rêveur justement. Même ce mec, il ne m'intéresse pas forcément, je ne me reconnais pas en lui. Je trouve que le film manque d'enjeux. Ok, on connaît la fin dès le début on veut savoir comment on en arrive là. Mais je ne trouve pas ça forcément palpitant, contrairement à un condamné à mort s'est échappé, où là justement, le titre annonce la fin, mais putain, il y a cette tension, on veut savoir comment on s'échappe de prison et c'est un réel régal de suivre ce plan d'évasion, ça a quelque chose de jubilatoire.

    Du coup je suis très partagé, je retrouve des choses que je peux aimer chez Bresson, mais en même temps je ne peux pas cacher ma déception, j'en attendais trop sans doute, néanmoins, je pense qu'il manque malgré tout quelque chose à ce film, un souffle, un peu de magie, d'invisible, de beauté brute. Là c'est austère certes, j'aime l'austérité, mais elle m'a semblé artificielle et je n'aime pas l'artificialité, ça me sort du film.

    Je suis donc un peu mitigé en tant que très grand amateur du travail de Bresson. Mais je suis loin de penser que c'est un mauvais film, au contraire, même si ça reste une bonne déception.
    chrischambers86
    chrischambers86

    11 958 abonnés 12 157 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 26 février 2014
    Un Robert Bresson en demie-teinte et limite dècevant dans une filmographie qui est dècidèment bien plus dense et complexe que pleins d'autres cinèastes qui ont fait beaucoup plus de longs-mètrages que lui! Pour interprèter cette « femme douce » , le jansèniste du cinèma français a choisi une jeune fille blonde et d'une grande beautè de dix-sept ans qui est alors mannequin! Son nom: Dominique Sanda qui, pour un premier rôle, n'a pas choisi la facilitè pour son entrèe dans le 7ème art! Dans sa neuvième rèalisation, Bresson filme sobre, plus que sobre même, avec un dialogue rèduit au strict minimum! Des gestes insignifiants et un refus de toute èmotion visible dans une ambiance à se foutre par la fenêtre! Pourtant c'est bien un geste non moins radical de la fille en question qui justifie tout le film dès le dèbut: elle vient de se suicider! De son suicide, on verra surtout une écharpe blanche qui tombe doucement dans les airs, jusqu'à son corps face contre le sol! Et puis ça sera toute le revision du passè par le mari, son mariage dèsastreux et de cette ètudiante pauvre! On peut èvidemment adhèrer ou pas à la chose et se dire que Bresson fera un peu mieux par la suite! Même si ces chefs d'oeuvre ("Journal d'un curè de campagne", "Au hasard Balthazar") paraissent dèjà loin derrière...
    gemini-hell
    gemini-hell

    26 abonnés 395 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 21 novembre 2013
    Reconnaissable entre tous avec son style inimitable, Robert Bresson démonte une fois de plus avec cette « Femme Douce » les mécanismes et autres figures imposées de l’expression cinématographique. Le film stupéfie par certains de ses plans, violents et beaux à la fois, par son montage limpide, par cette faculté incongrue de faire naître chez le spectateur l’émotion alors que tout semble désincarné et que tant de vérités surgissent à partir d’une vision en apparence factice, superficielle. Le film mérite également quelques interrogations ou reproches : le corps de la défunte qui gît dans l’appartement familial plutôt que d’être transporté à l’hôpital, la longueur de l’extrait de la pièce de théâtre à laquelle assiste le couple (et la pesanteur du style de mise en scène), le hasard un peu forcé quand le mari surprend son épouse accompagnée de son amant. Outre ces quelques défauts, cette décortication conjugale qui fera précipiter l’un des deux protagonistes vers le néant s’imprime durablement dans l’inconscient et demeure malgré tout une œuvre, même si pas la meilleure de son auteur, plus qu’estimable. Le bonheur suprême de ce film est tout de même l’occasion de (re)découvrir à ses débuts au cinéma l’actrice Dominique Sanda, d’une beauté stupéfiante et d’un magnétisme unique.
    arnaud1972
    arnaud1972

    24 abonnés 102 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 7 octobre 2009
    austérité bressonienne à son paroxysme entre difficulté d'être, de vivre en couple et incapacité d'échapper à qui l'on est...
    QuelquesFilms.fr
    QuelquesFilms.fr

    224 abonnés 1 597 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 2 janvier 2014
    Heureusement que le fond de l'histoire est touchant. L'histoire d'une jeune femme étouffée par le matérialisme, le conformisme, la jalousie, l'amour-prison de son mari, elle dont la pauvreté lui a fait faire le choix du confort et de la sécurité, elle qui aspirait pourtant à quelque chose de "plus large", elle qui s'est figée entre rébellion et soumission, elle qui est passée du tutoiement au vouvoiement de son mari... Heureusement aussi qu'il y a Dominique Sanda dont la présence et le regard ont quelque chose de déchirant. C'était son premier rôle au cinéma. Sans être encore très sûre d'elle et dirigée trop strictement par Bresson, l'actrice parvient à exprimer la douceur et la douleur de son personnage avec une lumière certes pâle, mais qui suffit à percer le dispositif volontairement atone du cinéaste. En revanche, point de salut lorsque que Guy Frangin (le mari) apparaît à l'écran.
    Le dispositif stylistique de Bresson dans la seconde partie de sa carrière (après une première partie reniée, comprenant des films comme Les Anges du péché, Les Dames du bois de Boulogne, Journal d'un curé de campagne...), c'est une recherche rigoureuse d'images "aplaties", "insignifiantes", et de "voix blanches" que font entendre des acteurs non professionnels. Bref, une austérité monolithique devant constituer un "mur" qui protège des "vulgarités du cinéma" et sauve en quelque sorte la pureté du "cinématographe". Bresson a bien disserté sur sa philosophie dans ses Notes sur le cinématographe (1975). On a le droit de trouver cette posture d'ascète, perché dans les hauteurs de sa pensée théorique, à la fois prétentieuse et paradoxalement anticinématographique. Dans Une Femme douce, la mise en scène, les dialogues et l'interprétation sont d'une raideur terrible et manquent cruellement de naturel. Ce qui dessert la force émotionnelle de l'histoire. L'utilisation de la voix-off, omniprésente, semble aussi difficilement compatible avec l'expression et l'appréhension du silence qui s'abat progressivement sur le mal-être du couple... Enfin, les problèmes techniques (postsynchronisation approximative, mauvais raccords d'images) n'arrangent rien à la tenue de l'ensemble. Compte tenu de la sensibilité du scénario, toute cette mise en forme est d'autant plus frustrante.
    ronny1
    ronny1

    29 abonnés 911 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 11 juin 2020
    Dostoïevski se penchait sur la dérive psychologique d’un homme culpabilisant par la faute d’une jalousie oppressante qui mena sans doute sa femme au suicide. Bresson pense que la psychologie n’a rien à faire au cinéma et tente de nous faire entrevoir la réflexion des doutes d’un homme sur la mort de l’être cher et la vie qu’elle mena avec lui. Soporifique, raté et peu intéressant « Une femme douce » est une trahison de la nouvelle du grand écrivain russe. L’absence de réflexion et d’analyse au profit d’une soit disant spiritualité envoie vers un catholicisme mal compris. Le respect de la vie doit être absolu car elle est un don de Dieu. Après « Mouchette » réalisé deux ans plus tôt, « Une femme douce » fait à nouveau état d’un suicide. Si quelqu’un a expliqué au cinéaste catho que c’est un péché mortel qui envoie tout droit en enfer, il n’avait pas tout compris. Le fond évacué, reste la forme peu convaincante. Le passage à la couleur semble avoir effacé les qualités de Ghislain Cloquet, ramenant la pellicule au niveau d’un roman photo platement mis en image. Même la bande son est grossière et sans finesse, se limitant au martellement répétitifs des talons de l’homme. De plus je n’aime ni Purcell, ni le médiocre jazz commercial écouté sur le pick-up. Enfin, cerise sur ce gâteau indigeste : la réalisation de la scène d’ « Hamlet » est à peine supérieure à Guignol. La critique encense ce film pour plusieurs raisons. Premièrement le snobisme élitiste lié à la rareté des projections du film. Deuxièmement, les élites parisiennes (et souvent New Yorkaises) pensent que cela doit être ennuyeux pour être correct. On les rassure, c’est très très correct. Enfin, si c’est un peu compliqué c’est mieux et si cette complexité est masquée par une simplicité ascétique dans la forme, alors c’est tout à fait bien. Toutes les cases des critères des intellectuels de la gauche caviar étant cochées, alors l’œuvre peut prétendre au génie. Encore faudrait il que ce soit du cinéma, ce qui n’est pas le cas ici, mais la nième mouture d’une écriture si systématique que toute création semble perdue. Que « Le journal d’un curé de campagne » et « Mouchette » paraissent loin et tendent à prouver qu’avec Bernanos il se comprend mieux (entre catholiques…). Mais adapter des russes n’est pas évident, l’immense Kurosawa s’est planté deux fois dans cet exercice : « L’idiot » en 1951 et « Les Bas fonds » en 1957. Tout le monde n’est pas Renoir.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 21 février 2014
    On ne peut être que surpris par ce travail du réalisateur de Mouchette. Ce film trahit une mécompréhension flagrante de la nouvelle de Dostoievski, Douce, chef d'oeuvre de psychologie.
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    On a donné à la voix off du narrateur pervers un ton curieusement balourd et immature. la jeune femme qui devrait avoir l'air d'avoir 16 ans semble en avoir le double.
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    Pire encore, il y a l'introduction crapuleuse de nouveaux éléments cassant le rythme original: le travail normal du pervers est de faire rentrer petit à petit sa victime dans la spirale dépressive de son activité intellectuelle or ici, on sort dans la rue, on s'évade à loisir de ce huit-clos possessif et auto-destructeur que seul un réalisateur comme Polanski aurait eut l'art de mettre en scène.
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    Paradoxe absolu: on garde en définitive un aimable souvenir de ce petit couple de bourgeois qui accepte encore de se regarder dans les yeux en toute simplicité et de partager sans gêne des instants de silence.
    Plume231
    Plume231

    3 472 abonnés 4 639 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 22 janvier 2014
    Avec le style très très particulier de Robert Bresson, avec moi soit ça passe totalement et on peut crier avec enthousiasme au grand film voir même au chef d'oeuvre ("Un Condamné à mort s'est échappé", admirable, un des plus grands films français !!!) ou ça ne passe pas du tout et je m'ennuie...
    "Une femme douce" fait partie malheureusement de la seconde catégorie. Le ton monocorde de l'interprétation et la lenteur d'ensemble m'ont fait passer à côté d'un sujet fort, la perte d'un être aimé et qu'on a pas su aimer, et si il y a émotion sous-jacente derrière la froideur de la mise en scène elle m'a pas touché.
    Reste la première apparition d'une actrice dont le charme est très loin de me laisser insensible, Dominique Sanda dont il ne faudra pas attendre longtemps avant qu'un metteur en scène, Bernardo Bertolucci, la sublime comme peu de réalisateurs ont su sublimer leur actrice.
    A part ça, je dois avouer que je suis autant resté de marbre devant ce film qu'un acteur bressonien face à n'importe quel rebondissement...
    Eowyn Cwper
    Eowyn Cwper

    88 abonnés 2 038 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 22 novembre 2020
    Une maison isolée, une femme seule. Le bus la conduit en ville à travers une foule distante, inexpressive, dont l'existence vaut moins à ses yeux que celle de son chien. Cette femme sans nom fait partie d'un pays immense mais adolescent, et sa vie sans passé ni avenir est un dégât collatéral, comme tant d'autres, qui a fait suite à la génération soviétique. "Vous avez niqué le pays", leur dit-on avec une amerture qui traduit toute la frustration de vivre dans une nation en circuit fermé, xénophobe, ne pouvant être rassurée sur son sort que par la propagande.

    Voici le paysage que Loznitsa dépeint sans espoir, flirtant avec un absurde rendu volontairement inefficace afin d'éprouver les limites du système. Son art ne s'en libère pas, il se les impose : voilà comment il croque une Russie anxiogène dans un opus beaucoup plus abouti que certaines de ses créations précédentes, où son choix de lenteur avait des airs de jérémiade. Ici, elle a toute sa place, car c'est un pays qui s'ennuie, où l'on peut passer cinq ans en prison "sans savoir pourquoi" et où l'administration est un cauchemar - non par imperfection mais parce qu'on a rarement mieux à faire que de contraindre les autres ou de se surpasser pour arriver à ses fins.

    Après avoir visionné Krotkaya, on ne peut qu'espérer que le film n'est pas littéral, et se battre avec la conviction horrible que chaque scène prise seule l'était bel et bien. Impossible de sortir du film avec le moindre espoir de changement pour le pays - impossible aussi, dès lors, de ne pas s'émouvoir devant les bribes de compassion spartiates qu'il contient, ou de ne pas voir de la douceur dans la passivité de son personnage, dont la logique nous dit qu'elle devrait être horripilante. Or non : Loznitsa nous manipule magnifiquement dans sa propre idée de la propagande artistique, ce grâce à un scénario sans pédagogie qui sera souvent incompris même par ceux qui ne le rejetteront pas. C'est une superbe ode absurde à un pays qui s'asphyxie.

    → https://septiemeartetdemi.com/
    Thierry M
    Thierry M

    131 abonnés 2 435 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 11 novembre 2013
    Des acteurs nulles , une histoire a dormir debout , c'est a chier.
    weihnachtsmann
    weihnachtsmann

    916 abonnés 4 837 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 18 décembre 2023
    On peut dire que le noir et blanc est joli et que le rythme lent est le style de Bresson, mais on ne parle pas du contenu, qui est véritablement ennuyeux au possible. une histoire d'amour assez convenue voire sans intérêt
    Les meilleurs films de tous les temps
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