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    Hardcore Henry
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    JimBo Lebowski
    JimBo Lebowski

    361 abonnés 1 080 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 16 juillet 2016
    C’est du cinéma ça ?
    L’ultime expérience de la croisée des mondes vidéoludique et cinématographique, le truc se veut immersif alors que c’est tout simplement un procédé de FPS sensationnaliste où tout s’enchaine dans une dynamique répétitive ultra barbante, au bout de 20 minutes j’avais compris et tout le reste m’a fait chier d’une manière sans précédent. On navigue à travers le regard d’un type complètement désincarné, puis s’ajoute à la mise en scène de courses poursuite de la musique kitchouille, jamais on est dedans, même dans le peu de moments disons plus posés on nous fait gober un scénario pitoyable pour amorcer d’autres séquences de gun-fight gores virant carrément à la métaphysique, il n’y a aucun point de vue qui se tient, aucun personnage crédible, aucune logique narrative. À chaque fois j’avais l’impression qu’on allait me demander de brancher une manette pour pouvoir jouer, mais ça n’arrive jamais, c’est comme subir une cinématique interminable, ou comme quand vous avez un pote qui joue à un jeu et vous le regarder en vous faisant chier, c’est quasiment ça, aucun intérêt …
    lhomme-grenouille
    lhomme-grenouille

    3 140 abonnés 3 170 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 22 janvier 2017
    Il y a des moments où noter un film, ça n’a vraiment que peu de sens. Et, me concernant, c’est clairement le cas pour ce « Hardcore Henry ». Bah oui, parce que bon, au final, il ne va très loin ce film. Ce n’est qu’un gigantesque défouloir absurde intégralement filmé à la première personne à la façon d’un « Half-life » et c’est clair que, sur le long terme, ça montre vite ses limites… Mais bon, quand même… Moi j’avoue que les dix premières minutes, j’ai quand même carrément adhéré. Entre le générique à base moments de violence au ralenti très stylisés et cette introduction très « jeu-vidéo », à la fois dans le fond et dans la forme, j’ai trouvé l’expérience filmique vachement sympa. Ça a le mérite d’annoncer la couleur rapidement : non ça ne va pas réfléchir ; oui ça va défourailler tout du long dans une logique d’une jouissance primaire. En gros, moi je voyais une sorte de trip à la « Krank » et, franchement, ça m’allait totalement, surtout que formellement, je trouvais que le dispositif formel fonctionnait très bien. L’air de rien ça pourrait vite être fouillis ou illisible ce genre de réalisation, et là j’ai trouvé ça d’une lisibilité exemplaire. Certes, des fois ça s’agite, mais c’est toujours fait de manière très sporadique et très sensée. L’agitation du cadre est souvent la conséquence d’un choc, d’une chute, etc… Mais la désorientation est tout de suite compensée derrière par un recadrage qui repose très rapidement les repères spatiaux. Bref, tout semblait là prêt pour me faire passer un bon moment… Et puis, au bout de dix minutes est arrivé le personnage d’Akan. Ce fut mon premier petit deuil. A ce moment là, je me suis dit : « OK, ça sera bien filmé et déjanté, mais ce sera bas de plafond, mal écrit et pas très subtil… » Et c’est au fond un peu ça le souci. Autant le film parvient à renouveler son visuel assez régulièrement, offrant un vrai plaisir à admirer la performance technique ( spoiler: …jusqu’au trip final sur l’œil arraché… Quand même ! Fallait oser !
    ), autant le film manque de subtilité dans son intrigue pour que ma jouissance suive. Et attention ! Qquand je parle de subtilité je ne parle de trucs sérieux, posés, complexes… Non, je pense plutôt à un truc à la « Krank » justement. Moi ce que j’ai aimé dans ce film, c’est qu’il part progressivement dans un délire un peu débile mais bon enfant, et qui surtout sait partir dans toutes les directions. Là, « Hardcore Henry », c’est toujours plus ou moins la même ficelle. C’est toujours du « Hey vous avez vu comment il vient de mourir cradement celui-là ? » Or, ça, ça peut marcher sur moi si et seulement si y’a d’autres types d’humours régressifs autour. Et là ce n’est pas le cas. Or, je pense que c’est la grosse erreur commise par le film. On sent l’air de rien qu’Ilya Naishuller a vraiment été très vigilant quant au rendu visuel de son film ; sur la non-répétitivité de ses scènes ; sur son rythme. Et franchement, sur ces trois points, je trouve que c’est mission accomplie. Seulement, à trop vouloir suivre la trame d’un jeu-vidéo en first person shooter, il lui a échappé que ce qui passe scénaristiquement dans un jeu vidéo ne passe pas forcément au cinéma. C’est vrai, parfois, un bon FPS peut se contenter d’une atmosphère, d’un rythme et de quelques moments d’intrigue pas très élaborés. Mais à côté de ça, on est en train de jouer. On n’est pas passif. On progresse dans le jeu en progressant dans notre maitrise du gameplay. Là, face à un film, on n’est pas actif. Quand Henry perfectionne ses techniques, c’est lui qui les perfectionne, pas nous. Nous, nous ne sommes que spectateurs, et ne pas nous solliciter sur autre chose que sur la performance technique, eh bah ça fait vite léger. S’il y avait eu une entrée progressive dans un univers de plus en plus barré, il aurait été possible de s’immerger via ce procédé là. Mais là, à rester avec le pauvre Akan et son intrigue famélique, eh bah ce n’est pas foufou, c’est juste beauf. Bref, tout ça pour dire que, c’est dommage, mais ce « Hardcore Henry » ne saura pas faire le taf que « Krank » et « Krank 2 » avaient su faire par le passé… Mais bon… Ce n’est pas parce que je me suis fait chier sur la longue que pour autant je regrette ce « Hardcore Henry ». Et c’est là justement que je trouve que ma note n’a que peu de sens. Parce que oui, en fin de compte, j’ai quand même apprécié l’expérience. Certes, je ne l’ai apprécié que dix ou vingt minutes, mais je trouve qu’elle a eu le mérite d’exister. Ainsi ai-je une réelle sympathie pour ce film, malgré tous les défauts que j’ai pu lui trouver. D’ailleurs, franchement, si l’occasion vous est donnée, et si les expériences en cinéma vous intéressent, je vous invite vraiment à vous risquer au visionnage de ce film. Même s’il a les limites que je vous ai listé, c’est quand même un sacré moment à passer ! Donc à vous de voir…
    AMANO JAKU
    AMANO JAKU

    296 abonnés 797 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 3 novembre 2016
    Timur Bekmambetov ("Wanted", "Abraham Lincoln, Chasseur de Vampires", "Ben Hur"), le russe le plus connu d’Hollywood, endosse parfois la casquette de producteur, notamment pour aider certains de ses compatriotes à intégrer l’Eldorado américain du cinéma. C’est ainsi qu’il s’intéressa à Ilya Naishuller et à son projet déjanté "Hardcore Henry" : ce que propose le film au spectateur, c’est l’expérience immersive et jouissive d’un jeu vidéo FPS (First Person Shooter) sans aucune interactivité, en mode purement passif. Un peu comme l’avait fait auparavant Edgar Wright avec son "Scott Pilgrim" (utiliser les codes visuels du beat’em-all pour illustrer sa romance), Naishuller va s’approprier les codes du « Doom-like » pour mettre en image son film d’action. On se retrouve donc devant un film entièrement tourné en vue subjective, qui utilise un pitch très simpliste (un homme amnésique qui a été transformé en machine à tuer cybernétique doit sauver sa femme des vilaines griffes du gros big boss) pour nous en mettre plein la vue. Et il faut avouer que de ce côté-là on n’est pas volé : le film enchaîne des séquences de pure folie avec des gunfights explosifs, des acrobaties qui défient les lois de la physique, des cascades aériennes totalement improbables, des bastons face à des hordes d’ennemis qui n’en finissent plus…un spectacle dantesque et hyper violent (sans pour autant en faire l’apologie gratuite : le film se contente tout simplement de reprendre le schéma du FPS moderne où on progresse en dégommant par centaines des ennemis anonymes) qui, paradoxalement, semble réaliste. On retrouve bien les codes du média vidéoludique et durant tout le visionnage, on ne peut s’empêcher d’avoir plein de référence en tête (Call of Duty, Deus Ex, Mirror’s Edge, F.E.A.R., Uncharted, Assassin’s Creed, Bioshock, Rage, Soldier of Fortune…) En outre, le fait que tout le film soit en vue subjective pouvait faire très peur ; mais heureusement pour nous, le système utilisé pour filmer l’action (Naishuller a décrit dans une interview que des caméras Go Pro étaient fixées sur un harnais que portait l’acteur) nous évite mal de crâne et vomissement : sans atteindre la fluidité d’action d’un métrage de John Woo, le film reste très lisible et nous évite de nous imposer une shaky-cam parkinsonienne à la Jason Bourne. Heureusement, pour nous remettre de nos émotions, les moments forts sont ponctués de passage où le héros se voit aidés par un certain Jimmy comme le fait le « guidage virtuel » dans un jeu vidéo : il intervient donc régulièrement pour aider Henry, lui confier des missions à accomplir, des directions à suivre, lui fournir des armes. Ces moments font même office de running gag puisque Sharlto Copley (le héros de "District 9" et le méchant de "Elysium") s’éclate comme un petit fou pour interpréter ce perso totalement schyzo mais au potentiel sympathie énorme ! Avec "Hardcore Henry", Ilya Naishuller propose un concept assez ambitieux mais qui au final réussit son pari : un scénario simple, un rythme très soutenu, une structure et un visuel vidéoludiques pour une immersion la plus totale (le spectateur ne se contente pas de suivre les péripéties d’Henry, il EST Henry !!), le tout consolidé par une mise en scène viscérale : la performance est totale, comme si Tarantino avait réalisé un plan-séquence de 1h40 sous acide en utilisant la direction artistique de Nicolas Widing Refn !! (Une boucle est donc bouclée : le cinéma a souvent inspiré le jeu vidéo, aujourd’hui c’est ce denier qui inspire le cinéma). Certes, nous sommes loin d’être devant un chef d’œuvre, je dirais même au contraire que c’est très con…con mais jouissif (un peu comme "Hyper Tentsion") car oui, le film est constamment drôle par l’absurde et il serait vraiment dommage de passer à côté d’une telle petite bobine survoltée qui nous fait de l’œil en nous disant : « Viens mon ami…viens et prends ton pied ! »
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 18 avril 2016
    C'est pas seulement mauvais c'est très mauvais. On est grosso modo devant le film du dimanche soir de D17 (niveau scenario et jeu d'acteur) mais en vue Fps. On s'ennuie bout d un quart d heure, c est ultra répétitif et certaines scenes sont illisibles. Malgré cela quelques plans très bien fichus sauvent un peu l'honneur, ( je parle de plans de quelques secondes sur 1h30 de film). Donc une demie étoile pour la prise de risque et une demie pour la BO pas trop mal.
    Une daube néanmoins.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 18 avril 2016
    Ce film est génial et apporte du nouveau au cinema d'action. Avec certe un scenario pas vraiment original ( avec tout de meme un rebondissement dans les derniere minute), mais une mise en scene efficace et une bande son géniale. Pour l'instant mon film préféré de l'année (ecrit en avril)
    Elthib7
    Elthib7

    61 abonnés 1 287 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 20 juillet 2016
    Pas mal mais je m'attendais à mieux surtout au niveau du scénario. Et puis au bout d'un moment ça devient un peu vomitif à suivre cet enchainement d'action en mode FPS ! Faut reconnaitre quand même que ça n'a pas du être simple à tourner, je met un 3/5 pour la performance et l'originalité du film.
    duartelittle
    duartelittle

    32 abonnés 225 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 8 mai 2016
    Avril est vraisemblable le mois du film conceptuel. Quand "Demolition" réussi là où "High rise" échoue (lamentablement), Hardcore Henry sans tire plutôt bien lui aussi.

    Tourné intégralement en caméra subjective, le film est incroyablement immersif. On se sent à la place de ce héros à l'anatomie modifié, doté d'une puissance hors du commun, comme dans un jeu vidéo de type RPG, tout aussi violent et... hardcore. La seule frustration pourrait venir du fait qu'on a pas la manette du jeu, mais on se laisse néanmoins embarquer dans l'aventure.

    Si le concept est réussi, l'intrigue l'est tout autant. On est captivé par la mission du héros, et on vit l'aventure avec lui, découvre la machination avec lui, affronte le méchant à ses cotés, et créé des alliances improbables. Avec sa touche de fantastique, Hardcore Henry va au bout de son concept entre réalité augmentée et surréalisme crédible.

    Un pari fou, mais un pari réussi.

    Plus de critique sur mon blog au lien suivant:
    Antoine L
    Antoine L

    12 abonnés 125 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 21 avril 2016
    Dans l’absolu ça aurait pu être une idée originale et bien bourrue, mais avec un scénario à ce point exécrable, de l’overdose d’action et une caméra folle rendant les trois-quarts illisibles, ça n’est rien de plus qu’un pétard mouillé hasardeux.
    PaulGe G
    PaulGe G

    101 abonnés 607 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 20 avril 2016
    ça commence bien dans le laboratoire ou l'on crée des cybers créatures , la caméra a la place du héros est originale , mais voila au bout de dix minutes on en a fait le tour .
    c'est affreusement laid , hyper sanglant , des morts à la pelles , des personnages débiles , des situations crétines , bref le navet dans toute sa bêtise intégrale , pourvu que le cinéma d'aventure américain n'en prenne pas modele.
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 20 juillet 2016
    Zéro de chez zéro... J'ai mis une étoile pour les cascades à la première personne mais le scénario est clairement tout pourri.

    Un désastre je ne le conseil absolument pas, sauf pour une soirée navet.
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 20 avril 2016
    Alors, mettons fin aux idées reçues et clichés en tout genre comme quoi Hardcore Henry va plaire aux geeks, gamers, fans de jeux vidéos, etc. Comme peut le laisser voir mon pseudo, je suis un gamer (qui ne joue pas qu'à des jeux de plates formes). Pour avoir joué à de nombreux FPS, je me suis clairement ennuyé en regardant Hardcore Henry. Dans un premier temps, inutile de dire que le scénario est inexistant. Après dans ce genre de film le scénario passe à la trappe au profit de l'action bien sur. Mais la... Que dire? Tim Roth et ses appartions qui s'avèrent inutiles. Danila Kozlovsky dans le rôle du méchant Akan avec ses pouvoirs télékinésiques n'est pas charismatique et à la limite du pathétique. Sharlto Copley passe son temps à faire le clown aux travers de ses divers avatars. La ravissante Haley Bennet quand à elle, ne parvient pas à donner d'attrait à son personnage.
    Et cette idée de ne pas faire parler Henry... spoiler: La fameuse excuse du module vocal non opérationnel qui fait que Henry ne décroche pas un mot de tout le film.
    Désolé Mr Naishuller mais ce n'est pas parce que l'on voit l'action à travers le regard du héros que ça justifie le fait de lui enlever toute personnalité. Pour en venir au fameux point fort du film qui est le fait que le film soit tourné à la manière d'un jeu de tir en vue subjectif, j'ai trouvé les scènes d'action répétitives et ennuyeuses. ça a beau être gore, sanglant et bourré d'action, ça n'en reste pas moins brouillon et particulièrement lourd à suivre. Notamment quand Henry joue les Yamakasi, en sautant, escaladant. Nous mettre du rock, de la techno ou encore du Queen ne rends pas les scènes plus artistiques pour autant. Ajoutons à cela que le format de 90 min est beaucoup trop long pour ce genre de film qui aurait pu être réduit de moitié en terme de durée. Je suis sorti de la salle avec le sentiment d'avoir gaspillé 1h30 de mon temps libre. 1h30 qui m'aurait permis de jouer à un FPS ou de voir un bon film d'action. Au final, Hardcore Henry sous ses airs de film innovant branché destiné aux gamers et fans de FPS n'est ni plus ni moins qu'une coquille vide.
    Vous avez dit hardcore? J'ai pourtant plus eu l'impression que Ilya Naishuller s'adressait aux casuals.
    Une étoile pour la prestation clownesque de Sharlto Copley et l'idée d'avoir utilisé une caméra GoPro.
    Pascal I
    Pascal I

    661 abonnés 4 048 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 3 juin 2016
    Idée excellente, façon FPS mais trop c'est trop ! De surprenantes cascades, un rythme effréné, purement dans l'action jusqu'à plus soif ... Un scénario plus que basique avec des dialogues stupides qui ne relèvent pas l'intérêt qui s’essouffle très très vite. Purement dans du type "Half life" ou du "Crysis", un peu (beaucoup) de tension à la "Doom" et un scénario soigné aurait été salvateur.
    Film concept, certainement novateur pour beaucoup d'autres qui suivront, mais avec un autre traitement. 1/5 note dure mais là c'est vite fatiguant et sans intérêt. On peu mettre 5mn du film et les faire tourner en boucle jusqu'à la fin ...
    Juli1_93
    Juli1_93

    9 abonnés 266 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 2 mai 2016
    Note 3.5/5 => avec Hardcore Henry on passe au stade juste au dessus du found footage : ici le spectateur vit le film comme s’il était le rôle principal (une Go-Pro a été fixé sur le torse de l’acteur).
    On a donc le droit à une expérience originale, rondement menée et poussée à son maximum : les scènes d’action sont géniales et le tout s’avère souvent jouissif ! La présence de Sharlto Copley aux côté du héros est un gros plus : il s’est fait plaisir et ça se voit clairement !
    Un bon gros délire d’1h30 totalement décomplexé et fun !
    Couscous
    Couscous

    27 abonnés 432 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 15 juin 2016
    Impossible à finir. Hyper lassant et sans intérêt, l'histoire est inexistante avec des acteurs transparents.. Comment Tim Roth a pu finir là dedans?
    darkvash
    darkvash

    90 abonnés 1 491 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 9 juin 2021
    Moitié jeu vidéo, moitié film, on est sur un concept qui ne peut laisser indiffèrent. Filmé façon FPS, le scénario est digne d'un Call of Duty, c'est à dire assez mince mais ce n'est qu'un prétexte au déchainement de violence qui s'en suit.
    La mise en scène est parfois brouillonne mais est suffisamment lisible pour que l'on ne s'y perde pas.
    Quelques passages m'ont fait sourire, servis étonnamment bien par la musique (le cheval...).
    Les acteurs font le travail mais mention spéciale à Sharlto Copley, qui égaye le film de bout en bout.
    Hardcore Henry est un alien qui s'est perdu sur terre, mais un alien qui nous veut du bien. Rare mais nécessaire dans ce marasme de films aseptisés conçus pour plaire au public.
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