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    For This Is My Body
    Note moyenne
    2,3
    12 titres de presse
    • Paris Match
    • Positif
    • aVoir-aLire.com
    • L'Obs
    • Télérama
    • Les Inrockuptibles
    • Première
    • Studio Ciné Live
    • L'Humanité
    • Le Monde
    • Les Fiches du Cinéma
    • Libération

    Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.

    12 critiques presse

    Paris Match

    par Catherine Schwaab

    On l'a compris, c'est un film de climats. D'alchimie entre deux acteurs. D'amour (sans sexe!). Dirigée par le célèbre Renato Berta, l'image est magnifique. C'est une belle, esthétique démonstration de cette emprise et de ce don de soi.

    La critique complète est disponible sur le site Paris Match

    Positif

    par Ariane Allard

    (...) l'ensemble s'annonce chargé (...) ! Reste que Paule Muret, réalisatrice et auteure, est fine. Choisissant d'épurer au maximum ce récit multiréférencé, aussi bien du côté des dialogues que celui des décors, elle l'agrémente d'un filmage fluide, discret, élégant. Très maîtrisé.

    aVoir-aLire.com

    par Claudine Levanneur

    Entre douleur et gloire, grandeur et décadence d’une Rock n’Roll star. Déroutant et fascinant !

    La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com

    L'Obs

    par François Forestier

    La présence de Carl Barât (avec Audrey Bastien), musicien anglais fondateur du groupe de rock The Libertines, donne un cachet d’authenticité au film : visiblement, le personnage est puisé dans la réalité. Cerise sur le gâteau : l’image, signée Renato Berta, est particulièrement réussie. Sans le vernis religieux, il y aurait un beau film.

    La critique complète est disponible sur le site L'Obs

    Télérama

    par Jacques Morice

    Le film dépasse parfois les clichés du rock, puis fonce en plein dedans. Reste l'alchimie du couple, Carl Barât (qui a composé des titres pour le film) et Audrey Bastien, très bien.

    La critique complète est disponible sur le site Télérama

    Les Inrockuptibles

    par Vincent Ostria

    La groupie et la rock star : y a-t-il plus cliché ? Le film est conforme aux canons du genre, mais sur un mode plus sobre et chic. (...) Barât est juste une image de rock-star, à une époque où cela n'a plus de sens. Concept daté qui est traité ici sur un mode théorique, théâtral, policé.

    Première

    par Clara Nahmias

    Baignée d'une lumière blafarde, cette rencontre entre une groupie (Audrey Bastien) et un rockeur en tournée (Carl Barât des Libertines) étouffe entre dialogues plats en franglais et silences pesants.

    La critique complète est disponible sur le site Première

    Studio Ciné Live

    par Véronique Trouillet

    Malgré le charisme de Carl Barât et le talent d'Audrey Bastien, cette rencontre entre un rocker et une groupie ne transcende jamais les clichés qu'elle revisite avec maladresse.

    L'Humanité

    par Vincent Ostria

    Ce succédané de romantisme se résume à quelques signaux factices : cheveux longs dans les yeux, regards lointains, postures ridicules, caprices divers et alcoolisme. La présence de la groupie, complice consentante de ce spleen gratuit, renforce une forte impression de chiqué.

    La critique complète est disponible sur le site L'Humanité

    Le Monde

    par Thomas Sotinel

    Carl Barât a beau bouger comme une vraie rock star (et sur une bande-son qu’envieraient d’autres films), son personnage n’est pas plus réel que la silhouette d’un guitariste au mur d’une chambre d’adolescente. Quant à cette dernière, elle semble dépourvue de tout autre sentiment qu’une dévotion sulpicienne.

    Les Fiches du Cinéma

    par Marguerite Debiesse

    Empêtré dans des références culturelles et christiques, cette prétendue incarnation du désir mortifère laisse de marbre.

    Libération

    par Clémentine Gallot

    Aucune alchimie tangible n’affleure entre ces deux créatures pourtant sublimes, laissant le champ libre à Barât : il se livre avec une complaisance poseuse à un numéro de bête blessée qui aurait surtout besoin d’une baby-sitter pour le border et d’un bon Doliprane.

    La critique complète est disponible sur le site Libération
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