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    Downsizing
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    2,1
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    742 critiques spectateurs

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    Le Guerrier
    Le Guerrier

    62 abonnés 566 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 24 janvier 2019
    J'ai un avis plutôt mitigé sur ce film. D'une part, Downsizing aborde des thèmes très actuels de nos sociétés: les inégalités, l'immigration (et les immigrants rendus "invisibles" dans nos sociétés), l'environnement... Surtout, notamment en ce qui concerne l'environnement, il montre les solutions que les gens pourraient trouver pour faire face à la catastrophe climatique qui s'annonce (ou semble s'annoncer): certains décideront d'essayer de continuer à vivre comme avant en fermant plus ou moins les yeux (c'est le cas des "nantis" de la ville par exemple); d'autres pourraient décider de s'organiser en communautés proches de la nature avec un impact environnement nul (ou prétendument nul); ou encore d'autres pourraient trouver une solution plus radicale (ex: l'arche de Noé)... En fait, aucune de ces solutions ne semble vraiment valable: le mieux n'est-il pas plutôt d'essayer de faire pour le mieux, d’être lucide et surtout solidaire avec ses voisins? Donc ce film fait réfléchir...cependant au passage il oublie de susciter l'émerveillement, hormis dans les quinze premières minutes: il n'y aura pas d'insectes ou d'animaux géants (hormis peut-être l'ombre d'une libellule, et encore), le contraste entre "grands" et "petits" est finalement peu présent (hormis dans les quinze premières minutes) etc...Tout cela est évacué au profit d'une réflexion sur la société, qui si elle est intéressante ne m'a pas suffi (et j'ai d'autant plus de regrets car le film aurait pu faire les deux)...
    📞 Appelez-moi Jo
    📞 Appelez-moi Jo

    15 abonnés 187 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 6 avril 2020
    Derrière son concept à la sauce lilliputienne, DOWNSIZING est une fable satirique à demi-réussie sur fond de cri d’alerte écologique.
    janus72
    janus72

    44 abonnés 261 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 11 janvier 2018
    C'est vrai que le final est plutôt prévisible mais ce conte acidulé met aussi le doigt là où ça fait mal, sur tout plein de maux de notre formidable civilisation, enfin c'est juste mon propre avis.
    L'Ecologie qui semble le seul salut, mais ce fameux Downsizing réglera-t-il tout : la couche d'ozone - la surpopulation - les maux d'argent - les p'tites magouilles - les castes aussi évidentes dans une société toujours à plusieurs vitesse, avec son tiers (1/4 ou 1/2...) monde et ses migrants ?
    Alors oui, A. Payne brasse large, mais avec l'arrivée aux commandes d'un Trump, peut-on vraiment lui en vouloir de secouer ainsi son Shaker pour un cocktail sans doute difficile à digérer parce qu’il a trop forcé les doses....
    Y'a peut-être aussi un peu beaucoup de TRUMAN SHOW mais comme références, y'a bien pire, n'est-ce pas Donald !
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 11 janvier 2018
    L'idée, à la base, est très alléchante... La mise en place de l'histoire est intéressante. Et puis plus rien. Le reste est complètement débile, plein de clichés qui s’enchaînent, vulgaire et mal joué. Le doublage en français n'arrange rien à l'affaire... Le film se crashe comme ça, en moins de 45 minutes. On se demande encore comment Matt Damon et Christoph Waltz ont fait pour se fourvoyer à ce point.
    Kriss Assian
    Kriss Assian

    1 abonné 1 critique Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 21 janvier 2018
    En raison des critiques négatives j'ai hésité à le voir, finalement un très bon film qui traite du devenir de la planète. je le recommande vivement.
    Christoblog
    Christoblog

    741 abonnés 1 613 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 11 janvier 2018
    Impression mitigée à la vue du dernier Alexander Payne, qui est un réalisateur (Nebraska, Sideways, The descendants) que j'aime beaucoup.

    Côté positif d'abord.

    On retrouve dans Downsizing cet art de l'understatement narratif, cette façon de ne pas y toucher qui fait souvent mouche et qui peut, sous ses aspects très policés, être particulièrement cruelle.

    Le film fourmille de petits détails qui émoustillent intellectuellement et qui font sourire à l'occasion (un exemple : l'explosion qui condamne de tunnel, sorte de manifeste anti-spectacle caractéristique du cinéma de Payne).

    A porter également au crédit du film : une dénonciation non voilée du mode de vie américain, un sens du merveilleux qui touche parfois (la découverte des différents milieux est jouissive), une interprétation hors pair (Christoph Waltz est une nouvelle fois impayable).

    Côté négatif ensuite.

    On voit assez bien ce qui sera reproché au film : une nonchalance qui peut parfois ennuyer, une incapacité à installer une vraie tension dramatique, une séquence finale qui pourra paraître un peu gnangnan et enfin une morale qui manque de subtilité. Et de cruauté.

    Au final, cette histoire d'hommes qui rapetissent pour le bien de la planète (ou pas) m'a plutôt séduit. L'art de la litote permanente au service d'histoires de ratés chroniques me touche toujours, à titre personnel.
    Jorgio69
    Jorgio69

    14 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 14 janvier 2018
    Un très bon film à voir mais qui est très dense. Peut être trop.
    spoiler: Le prétexte écologique pour rapetisser qui est en fait une fin pour gonfler son patrimoine économique, la nouvelle technologie qui bouscule l'économie et accroit la pauvreté des tailles normales, la réduction qui ne change rien au concept des riches et des pauvres, la secte qui croit en la fin de l'humanité
    et bien d'autres encore. Tellement de thèmes abordés, tellement intéressants, mais qui ne sont pas traités à fond et c'est un tantinet dommage.
    Le film a une connotation humoristique tellement géniale. Ça fait tellement du bien d'avoir de l'humour fin et pas gras. Alexander Payne êtes vous un américain raffiné ?
    Les acteurs sont très bons. Mention spéciale à Matt Damon que je n'avais jamais vu dans ce registre tragi-comique. La scène de la fête sans spoiler est à mourir de rire. Sa tête. Il est excellent.
    Un film intelligent, bien foutu et qui ne donne pas de leçon moralisatrice sur l'avenir de l'humanité. L'humain est beau et vraiment très con, rien de plus !
    Les critiques basses, contrairement à d'autres, ne m'étonnent pas trop. Ces derniers temps, dans le registre de la SF, nous bouffons du Disney à tout les râteliers avec leur Marvel, LucasFilms et consort. Le Downsizing de l'intellect.
    chris M.
    chris M.

    12 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 27 janvier 2018
    Il s'agit avant tout d'une comédie dramatique sur un léger fond de science fiction.

    Le déroulement du scénario est assez linéaire, pas d'action, pas de pif paf boum pété d'effets spéciaux dans tous les sens.

    Les sujets traités sont plutôt du domaine existentiel couplés à des personnages imparfaits, ce qui rend le tout assez crédible, plausible et intéressant.

    Je mets 4 étoiles car un peu long, quelques flottements pas moment.
    Fanny P.
    Fanny P.

    23 abonnés 3 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 12 janvier 2018
    Jolie promesse mais scénario décevant et peu d'utilisation de la différence de taille qui fait perdre définitivement tout intérêt
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 16 janvier 2018
    J'ai vu que ce film se faisait descendre par la critique, je ne rédige pas souvent d'avis et je ne pourrais pas exprimer tout ce que j'ai ressenti pendant ce film que j'ai adoré. Je pense que c'est un film très beau et intelligent et que des films de SF avec de l'originalité et du message comme celui ci il en manque !
    Je me suis tout simplement laissé porter par le film, la beauté de la mise en scène et la qualité du scénario. J'ai aimé les dialogues et l'équilibre émotion, humour. Les décors et paysages sont magnifiques. On sent constamment que les personnages soient petits grâce à des petits détails dans les textures, des objets placés dans leur environnement...
    C'est de l'excellente science fiction comme je l'aime. Le réalisme est soigné et le symbolisme parle de notre époque. Il m'a fait beaucoup réfléchir sur les biens matériels, les réactions a adopter face à la crise écologique.
    Personnellement j'y ai vu principalement une métaphore des promesses de l'immigration économique qui font tomber les gens de haut. Il y a tout d'abord la violence de la miniaturisation, le désenchantement, les dérives du système (grandes inégalités sociales scandaleuses nécéssaire pour que les très riches oisifs puissent exister...) La scène du film lorsqu'il arrive dans sa grande maison miniature m'a mis une claque, m'a interrogé sur l'importance des biens matériels.
    Le film traite aussi de la crise écologique et des différentes façons d'y faire face : individuelles ou collectives, technologiques ou humanitaires... Les mentalités occidentales et asiatiques sont également confrontées avec une acceptation différente des choses, du changement, de la mort. Il m'a fait réfléchir sur l'humanitaire, l'aide aux autres désintéressé, sans jugement.
    La passivité et la soumission du personnage principale sont très intéressantes ; peut-être représente-t-il l'humain "moyen" qui subit, suit, renonce face à l'effort, et rate souvent !
    C'est le genre de film de SF au scénario original que je voudrais voir d'avantage au cinéma (j'avoue que j'en ai marre des remakes, des marvels et des films pour ados adaptés de best sellers...).
    tyrionFL
    tyrionFL

    16 abonnés 381 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 10 janvier 2018
    Downsizing est une deception.
    1ere critique avec un film que j'attendais et que je n'ai pas aimé.
    Le pitch est super mais sérieux quel ennui .
    Commençons par les points noirs principaux au nombre de quatre :
    Le plus mineur et c est un comble pour une comédie c'est l'humour!
    Le film n'est pas drôle certaines répliques ou blagues fonctionnent mais sont plates et banales voire vulgaire.
    Les 2 personnages assez "drôles" sont ceux de christophe waltz et celle de la vietnamienne mais restent vulgaires et plats.
    Ensuite 2 défauts liés sont le scénario et le rythme si vous l'avez vu ou si vous allez le voir pas besoin de long développement, le film est lent et chiant !!!
    Le pitch du down sizing est super mais dès que paul est retreci, le film s'arrête et c'est juste un simple tour du voisinage.
    La catastrophe tant attendue arrive au bout d'1h45 et est prévisible et ne sert à rien a part provoquer l un des deux seuls choix du film( se faire rétrécir ) .
    Enfin les personnages sont vides ou banals, paul est un looser classique si je puis dire le reste du casting n'est pas dvp, rien d'intéressant, au mieux ce sont des archétypes au pire des steréotypes.mauvais
    Le film a des points positifs tel un esthétisme intéressant, un christophe waltz sympathique, un super pitch, un fin tout de même pleine de messages et des enjeux sous-dvp mais existants.
    Pour conclure le film est une déception et plus que ça un mauvais film de par son scénario futile et son humour bête et maladroit.
    Je ne vous le recommande pas je vous conseille plus l'homme qui rétrécit un classique de 1957 bien meilleur ( ce sera ma deuxième critique)
    Merci de votre lecture ^^
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 12 janvier 2018
    Les seuls passages intéressants de ce film qui dure 2h30 sont dans la bande annonce.
    L'idée était géniale et il y avait tellement de thèmes à exploiter que le résultat n'en est que plus décevant.
    On ne sait pas où le réalisateur veut en venir.
    Passée la première demi heure prometteuse on se retrouve dans un film classique, presque sans effets spéciaux avec des dialogues inutiles, des personnages pas attachants... on se perd et rien ne nous fait rire ou ne peut nous émouvoir dans ce film plat et sans intérêt. Comment un grand acteur comme Matt Damon a t il pu accepter un tel scénario?
    A fuir...
    blacktide
    blacktide

    39 abonnés 795 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 28 janvier 2018
    La vie est naine...

    Il y a toujours eu dans le cinéma d’Alexander Payne cet humanisme de l’instant. Des fragments d’absolu baignant dans un ensemble d’inconnu, d’irrésolu. Car de la frustration émergeait souvent une douce mélancolie, où les minimes fulgurances emplissaient nos cœurs de partage et d’amour. Une émotion qui souvent dépassait son propre cadre, pour nous inviter à la chercher, la trouver ou s’ennuyer. Tout n’étant au final qu’une question de réceptivité et d’observation : savoir apprécier un moment, une émotion, une vérité cachée sous l’artificialité de son histoire. Mais le Cinéma de Payne peut avant tout se voir comme une illusoire « dérive des continents ». Des films sur les cassures, les ruptures, les fissures, qui répondent tous à un besoin de retrouver cet équilibre. Des films qui, sous l’ironie et le décalage, ne sont que des invitations à la reconstruction. Des œuvres optimistes en somme. Et Downsizing se voudrait incarner pleinement la démarche fabuliste de son auteur mais s’enlise dans l’inabouti et le changement de direction soudain de son concept.

    The Descendants souffrait parfois de sa parole, de son intimité, de son impuissance à élever la comédie humaine hors de son archipel de maladresses. Des lourdeurs qui au fond n’étaient là que pour renforcer cette distance, ce décalage, ce flottement habitant ce père de famille, perdu entre les choses brutes de la vie et le dépaysement apparent de la sienne. Car Payne a un certain don pour composer des portraits d’hommes brisés. George Clonney et Jack Nicholson y ont construit des rôles où l’émotion ne versait jamais dans l’excès, avec assez de justesse pour insuffler à leurs errements un souffle de renouveau. Des personnages qui se cherchent et se réparent. Toutes ces épreuves pour aboutir à une forme de réunion, qu’elle soit autour d’un verre, autour d’un père, autour d’une glace, dans un canapé ou sous une couverture.

    Downsizing ne déroge pas à ce caractère : le personnage de Paul Safranek est d’une parfaite cohérence dans la filmographie de Payne. Un de ces pommés magnifiques qui, sous l’artifice du rétrécissement, apprendra à devenir Grand. Une quête intérieure matérialisée par la mécanique du voyage. The Descendants faisait de son exotisme un lieu de perdition où le voyage ne serait que mental, comme des îles qui s’éloignent dans une larme d’agitation et de liaison : s’en dégageait alors une véritable chaleur, comme une Taverne de l’Irlandais où le désordre ne serait qu’intérieur et insaisissable. Dans Downsizing, le voyage est d’échelle : briser l’image idéalisée de la miniature par la trahison et l’abandon pour chercher dans sa nouvelle vie un idéalisme naissant. Comme une sorte de déclic provoqué par son voisin Dusan (un fantastique Christopher Waltz) qui lui confie voir de la tristesse sous son apparente bienveillance ; une confession renvoyant directement à celle de Monsieur Schmidt. Tout cela pour jouir de la vie et faire que celle-ci ait un sens.

    Le cinéma de Payne est au fond intensément de science-fiction : comprendre le réel en le confrontant à son contraire. Et en cela, Downsizing ne pouvait être totalement axé sur son concept (tout du moins du point de vue de Payne), n’étant qu’un prétexte pour parler l’Homme, ou plutôt de l’humain. Comme pour faire du paradis ou de l’utopie/ dystopie une façade pour révéler les fissures de l’être : miniaturiser la société pour montrer la reproduction des divisions humaines, de l’égoïsme à l’individualisme, de l’inégalité aux schémas de classe… Une société brisée. Mais au bout, l’amour, l’amitié, le bonheur. Une sorte de réflexion sur la place de l’Homme dans un monde qui meurt, aussi bien sur un plan écologique qu’humain. Un subterfuge permettant à Payne d’aborder la société contemporaine, des nouveaux modes de vie à la destruction environnementale, de l’Amérique consumériste (la façon de vendre la « miniaturisation » comme une publicité ou un talk-show en est assez représentative) à la Norvège consciente des enjeux, tout en portant un regard caustique sur la multitude de sujets explorés. Une abondance qui fait de Downsizing une œuvre généreuse, mais s’embourbant dans les pistes inexplorées, les promesses non tenues et l’émerveillement à perte.

    Puisque de cette envie de construire plein de choses en une seule œuvre, ne restent que des idées mises de côté. Là où le magistral L’homme qui rétrécit de Jack Arnold abordait de manière totale son sujet et son interaction vis-à-vis de son environnement, Downsizing concentre sa ligne directrice sur l’interaction humaine avec autrui, limitant son large univers à une insuffisante parcelle de préoccupations sociales et humanitaires. Une sorte de Ken Loach à la sauce Capra, sans la virtuosité des deux dans leur domaine. Et l’enchantement ne dure qu’un instant, dans une première partie drôle, décalée et surprenante, avant que n’apparaissent les longueurs, la confusion et l’inexploité.

    Qu’en est-il de ces brillants acteurs n’apparaissant que l’espace d’une seconde ? Qu’en est-il de ce monde miniature, de ses agrandissements, de ses plurielles conséquences sur l’Homme ? Car Payne fait rapidement de l’extraordinaire un concept où les habitudes deviennent tout aussi rapidement ordinaires. Un désintérêt car pour lui, l’essentiel n’est pas là. Car le paradis n’est pas dans l’excès, le grandiose ou le démesuré mais dans ces choses simples, ces moments de réunion, ces instants de partage où les cris et les pleurs intérieurs se muent en une gaieté et simplicité somme toute « humaine ».

    Comme en passant du microcosme familial au macrocosme de la Vie, Payne voit les choses en Grand sans changer la focale, faisant de ses belles et humanistes promesses un flou sentimentaliste sans grande cohésion ni admiration. Le reproche en définitive de nous avoir vendu un monumental concept pour se retrouver avec une œuvre, sympathique certes, mais différant de son postulat initial, plus concentré sur l’humain que sur le groupe. Et de ce film à faux-concept, rien ne pourra vous sauver de la frustration/ déception, pas même la dérision, pas même la sincérité de ses émotions, pas même le charme de ses acteurs. Sous son maladroit mélange des genres, Downsizing n’en demeure pas moins un film thématiquement cohérent dans la filmographie de Payne, cherchant dans la crise masculine les failles de chacun pour les transformer progressivement en des morceaux humanistes. Des Hommes craignant que le monde ne les voie qu’à travers leur « petitesse », pour au final s’accepter en tant que tel, dans la simplicité, le sourire et l’affection. Ce que Nebraska parvenait à évoquer avec sobriété, sagesse et émotion. Avec Downsizing, Payne élargit ses horizons mais n’en réduit que plus sa bienveillante déclaration.

    Same As It Ever Was…
    Thomas D
    Thomas D

    62 abonnés 174 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 3 février 2018
    Ce film n'est pas exceptionnel.... le problème c'est qu'on a un potentiel monstre qui n'est pas exploité.... ca ne m'a pas empêché de passer un bon moment , ce film pourrait être pire et meilleur ... les acteurs sauvent la donne ......
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 12 janvier 2018
    Un mot. NUL ! Le film dévie complètement de l’idée principale. Au lieu de voir les rouages de ces nouvelles sociétés où habitent de petites personnes dans ce nouveau monde, on voit en gros un homme qui aide une vietnamienne et qui est tenté par une secte. Voilà fin du film.
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