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    L'Avenir
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    168 critiques spectateurs

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    dagrey1
    dagrey1

    86 abonnés 655 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 9 avril 2016
    "L'avenir", signé Mia Hansen Love est un bon film dans le registre de la comédie de moeurs. Prenant comme personnage Nathalie (Isabelle Huppert) professeur agrégée de philo dont la vie connait un certain nombre de changements majeurs après la cinquantaine: maladie de sa mère, séparation d'avec son mari qui a une maîtresse, enfants quittant le nid pour d'autres horizons...

    Un film vérité dans lequel tout le monde pourra un peu se reconnaître comme le cinéma français sait bien en faire. On est ému, on sourit, on s'interroge....comme dans la vie...

    L'interprétation des acteurs est très juste tant Isabelle Huppert, toujours très authentique qu'André Marcon ou Edith Scob, le tout filmé le plus souvent dans le Paris des Buttes Chaumont ensoleillé.
    Maxence!
    Maxence!

    13 abonnés 107 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 7 avril 2016
    L'histoire banale d'un couple de professeurs qui se séparent peut-elle faire un film? Oui car cette femme qui passe d'un temps de sa vie à un autre peut rappeler à chacun son histoire, que le bonheur est fait d'espoir, que la vie n'est ni misérable ni exaltante mais tout simplement la vie et qu'il appartient à chacun d'y trouver son chemin.
    weihnachtsmann
    weihnachtsmann

    916 abonnés 4 837 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 13 avril 2016
    Le portrait flatteur d'une femme libre et philosophe (la comparaison est facile...)
    Un film sur la séparation et sur la vie en général. Doit-elle forcément s'arrêter quand l'un des deux s'en va? J'ai retenu une phrase intéressante: "Quand on a le désir, on n'a pas besoin du bonheur". Elle, c'est le désir de vivre tout simplement, car l'espoir ouvre le champ des possibles. Ici pas de larmes, pas de cris: l'acceptation de son sort et la page qui se tourne. C'est assez simple comme portrait mais c'est joliment fait et naturel comme son jeu d'actrice.
    Jorik V
    Jorik V

    1 195 abonnés 1 952 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 16 avril 2016
    Mia Hansen-Love nous revient en jolie forme après le raté dommageable de son film générationnel sur l’avènement de la techno et les clubs en France, « Eden ». Et c’est tant mieux car elle livre ici sans doute son meilleur film. Le plus apaisé, le plus contemplatif mais aussi le plus beau. On reste toujours dans les mêmes eaux, c’est-à-dire celles du film d’auteur très parisien tendance bourgeois. Cependant, dans ce genre balisé et à priori vieillot, « L’Avenir » excelle et donne envie de l’aimer à nouveau. On y suit la tranche de vie d’une professeur de philosophie qui arrive à un moment charnière de sa vie lorsque son mari la quitte et que sa mère part exubérante part en maison de retraite.
    Il ne se passe pas grand-chose dans le film, c’est davantage une chronique qu’un film avec une réelle trame narrative. Mais la jeune réalisatrice sait faire passer des ressentis tels que la nostalgie et la mélancolie ou encore la sensation du temps qui passe à merveille. De plus, la précision des dialogues et des situations vécues par le personnage principal est admirable. Isabelle Huppert est pour beaucoup dans la réussite du film. C’est l’une de nos meilleures actrices françaises qui, si elle semble souvent jouer dans le même genre de film, apporte une quantité de nuances à ses rôles qui force le respect. Elle est véritablement chaque personnage qu’elle incarne à l’écran. Elle est dans un jeu d’actrice qui se situe toujours dans le vrai, de ses pleurs à ses rires, de ses pensées à ses errements psychologiques.
    Il est vrai que le contexte du couple professeur de philosophie parisien avec maison de campagne parait daté et qu’un tel contexte frôle le cliché à l’heure actuelle dans le cinéma français qui se revitalise d’années en années. D’ailleurs, une scène où de jeunes adultes vivant dans une maison perdue dans le Vercors débattent du sens de la vie dans toutes les langues frôle carrément la mauvaise caricature. Mais c’est le style Hansen-Love et peut-être qu’au fond elle essaye de rendre ses lettres de noblesse à ce type de cinéma français tant diabolisé et moqué. « L’Avenir » dégage une énergie solaire et se suit néanmoins avec intérêt. Par la grâce de petits riens qui font beaucoup.
    Daniel C.
    Daniel C.

    131 abonnés 715 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 9 avril 2016
    Si l'on aime Isabelle Huppert, et c'est mon cas, alors on peut savourer sa prestation. Elle est la figure centrale de cette comédie dramatique. Comment se débrouille-t-on d'une séparation ? Qu'est-ce qui précipite la mise à jour d'une liaison ? Si ce n'est pas dans les cris et la fureur, se séparer est-il moins déchirant ? Le personnage de Nathalie, qu'incarne Isabelle Huppert, est celui d'une femme déterminée, qui affronte les épreuves sans s'économiser la tristesse qu'elle éprouve. Liberté rime-t-elle avec solitude ? La philosophie offre-t-elle des billes pour comprendre comment affronter l'existence ?
    Tchi Tcha
    Tchi Tcha

    11 abonnés 246 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 9 avril 2016
    Cinquième long métrage, écrit et réalisé par la grande et sensible Mia Hansen-Løve, la cinéaste âgée de 35 ans, filme Isabelle Huppert avec délicatesse et sensibilité. Inspirée de ses parents, professeurs de philosophie, l'histoire nous promène à travers une palette de sentiments et de réflexions avec une modestie enivrante.
    Un ours d'argent à Berlin et le prix de la presse à Valenciennes valident le talent et la grâce de ce film.
    PLR
    PLR

    406 abonnés 1 474 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 11 avril 2016
    Un film qui se regarde comme on lit une oeuvre littéraire, philosophique bien sûr. Que les spectateurs qui seraient un peu rebutés par ce genre de thème sachent que l'image, la mise en scène, l'intérêt et l'affection même pour les personnages aident énormément à s'approprier le message. Rien de pédant. Certes l'action se déroule dans un milieu intellectuel - citations des grands philosophes à l'appui pour jalonner le récit - mais rien de rebutant pour le spectateur lambda pour peu qu'il veuille bien venir au cinéma pour autre chose que les grands succès populaires pas toujours si réussis que ça. Ici tout est finesse, délicatesse, dialogues et situations savamment construits. Les lycéens en terminale littéraire (quelques scènes de cours avec eux) aimeront. Un plus large public aussi. C'est à souhaiter.
     Kurosawa
    Kurosawa

    512 abonnés 1 509 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 16 avril 2016
    Cinquième long-métrage de Mia Hansen-Løve, "L'Avenir" raconte avec simplicité et sans dramatisation forcée un moment particulier dans la vie d'une femme, quittée par son mari et devant faire face à la mort de sa mère. Sans véritables enjeux, si ce n'est de filmer cette chronique d'une femme face à la liberté en même temps qu'elle se retrouve face à la solitude, le film est caractérisé par une forme de légèreté qui évite un ton nonchalant mais qui exprime une justesse de ton qui permet de trouver une vraie profondeur au niveau des sentiments des personnages. Capable d'exprimer l'angoisse, l'amour d'un proche ou même le désir de transmettre un savoir via la philosophie, le film est impressionnant de calme et de lucidité quand il reste à Paris; en revanche, il est plus artificiel car moins bien écrit quand il part dans le Vercors, un passage qui explicite lourdement une opposition peu intéressante entre Nathalie (Isabelle Huppert immense) et Fabien (Romain Kolinka, qui manque de nuances) sur leurs différences d'engagement politique, et teinté de discussions philosophiques pompeuses à souhait. C'est en revenant dans la capitale que le film reprend son souffle, en se recentrant sur l'aspect familial et tout ce qu'il implique de joie et de douleur, des sentiments contrastés mais pourtant réunis comme lors d'une scène magnifique à l'hôpital où la fille de Nathalie éclate en sanglots sans que sa mère comprenne pourquoi (alors que le spectateur le sait). Travaillé par des non-dits qui témoignent de l'acuité du regard de la cinéaste sur l'évolution d'un quotidien, "L'Avenir" est tout sauf anecdotique et convainc par son humour et sa vitalité mais aurait pu être plus percutant avec un montage plus resserré, qui aurait mis davantage en évidence les qualités d'une mise en scène notamment précise et délicate.
    cyclo86
    cyclo86

    14 abonnés 129 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 20 avril 2016
    Encore un film très sensible de Mia Hansen-Love...
    "Mes enfants sont partis, mon mari m'a quitté, ma mère est morte, je n'ai jamais été aussi libre de ma vie ", proclame l'héroïne. Voire. Le film, heureusement n'en fait pas la démonstration. Bien que les personnages soient des professeurs de philosophie, il évite d'être un film à thèse.
    Comment continuer à vivre ("Après quarante ans, une femme est bonne à être jetée") ? Et même, qu'est-ce que la vie ? Le films n'apporte pas de réponse, mais ouvre des pistes. Les jeunes qui vont s'installer en communauté dans le Vercors montrent en tout cas qu'on peut changer de vie...
    On passe de la Bretagne au début à Paris puis dans le Vercors. Très belle utilisation du décor (maritime, urbain, montagnard), et acteurs parfaits.
    Pas pour amateurs de films d'action toutefois.
    poet75
    poet75

    256 abonnés 703 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 9 avril 2016
    Il est des cinéastes dont on pressent, dès leur premier film, qu'ils ne nous décevront jamais et qu'on demeurera toujours curieux de découvrir les nouveaux jalons de leur art. Ce fut le cas, en ce qui me concerne, lorsque je vis, en 2007, le premier long-métrage d'une réalisatrice au nom suggérant des origines nordiques (danoises en l'occurrence), Mia Hansen-Løve. Son film ne se contentait pas d'être muni d'un beau titre évocateur (« Tout est pardonné »), mais il était d'ores et déjà réalisé avec beaucoup de finesse. Il touchait juste. Depuis lors, d'oeuvre en œuvre, le talent de la cinéaste qui, comme certains de ses illustres prédécesseurs, avait collaboré en tant que critique aux Cahiers du Cinéma, s'est, en effet, confirmé.
    Voici à présent que paraît son cinquième film et, autant le dire d'emblée, il me semble que c'est son meilleur à ce jour. Pour chacun de ses films, Mia Hansen-Løve a puisé son inspiration dans sa propre histoire ou dans celle de ses proches et c'est encore le cas pour ce film. Ce sont, en l'occurrence, ses propres parents qui lui ont servi de modèles. Ils étaient tous deux enseignants en philosophie, mais le père plutôt kantien et passionné de philosophie allemande (Schopenhauer, Nietzsche) et la mère plutôt rousseauiste et aimant également Descartes, Platon et Socrate, ce qui donnait lieu, explique la réalisatrice, à des débats passionnés et à « des scènes cocasses à la maison ».
    Cette ambiance studieuse, ces discussions et ces disputes philosophiques, on les retrouve tout au long de « L'Avenir », film tout entier habité, possédé même, par les débats d'idées. Nathalie, la professeure de philosophie incarnée admirablement par Isabelle Huppert, comme son mari Heinz (André Marcon) sont des passionnés chez qui les livres tiennent une place privilégiée. Les étagères de leur domicile en sont remplies. Et on disserte, et on expose, et on s'affronte volontiers, en effet, sur le plan des idées philosophiques.
    Mais comment faire un film avec de la philosophie ?, se demandera-t-on à juste titre. Ne risque-t-on pas de se morfondre d'ennui ? Non, pas de crainte à avoir, au contraire ! Le film n'a rien d'austère et les débats d'idées dont il se fait l'écho n'ont jamais rien d'aride. Mia Hansen-Løve a pris grand soin de lier étroitement les idées philosophiques à la vie des personnages et, en particulier, à celle de Nathalie. Le film ne se complaît pas dans les ratiocinations de philosophes, il leur donne du poids et de la valeur en les incarnant. Ce n'est pas un film uniquement conceptuel qu'a conçu la réalisatrice, fort heureusement, c'est aussi un film charnel.
    L'une des premières scènes du film donne le ton : on y voit Nathalie corrigeant des copies d'élèves qui ont dû disserter sur la question suivante : « peut-on se mettre à la place de l'autre ? ». La question bascule presque aussitôt sur le terrain pratique quand l'on découvre que Nathalie est en charge d'une mère (jouée par Edith Scob) âgée, dépressive et fantasque.
    Quand on enseigne la philosophie, quand on se passionne pour les grands penseurs de l'humanité, est-on mieux armé pour affronter les turbulences de l'existence ? Telle est la question sous-jacente à tout le film. Pour Nathalie, il s'agit non seulement de prendre des décisions concernant le bien-être de sa mère (la mettre ou non dans une résidence pour personnes âgées), mais il s'agit aussi de se confronter aux nouvelles orientations de la maison d'éditions avec qui elle collabore et il s'agit surtout de supporter la souffrance infligée par un mari qui lui déclare soudain qu'il fréquente une autre femme et qu'il a décidé de la quitter.
    Les apparences, une fois de plus, sont trompeuses : elles laissent supposer que Nathalie supporte stoïquement et sereinement toutes ces vicissitudes. Elle semble n'en être que peu affectée. Tout l'art de la réalisatrice, Mia Hansen-Løve, c'est de suggérer, à l'aide de signes discrets, qu'au fond il n'en est rien. Un lied de Schubert vient à point nommé pour le révéler tout comme la citation d'une des « Pensées » de Blaise Pascal lue pendant des obsèques ou, plus simplement, les larmes versées, la nuit, dans une chambre d'une maison du Vercors où elle est accueillie par un de ses anciens élèves : il ne faut pas se fier à l'impassibilité apparente de Nathalie. Si, en digne philosophe, elle sait se comporter avec retenue, les petits signes égrenés par la réalisatrice suffisent à révéler que son for interne n'est pas pour autant dénué d'émotions, bien au contraire. Et cette émotion, quelques scènes la rendent parfaitement perceptible et la communiquent aux spectateurs.
    Si, comme l'écrivait Montaigne, « philosopher, c'est apprendre à mourir », mais pour mieux apprécier le cadeau de la vie, alors le film tout entier de Mia Hansen-Løve est irrigué de philosophie en acte, et c'est passionnant. La mort est signifiée dès l'entrée en matière du film qui montre certains de ses protagonistes en visite à la tombe de Chateaubriand (au Grand Bé près de Saint-Malo), elle l'est aussi spoiler: par la mort effective de la mère de Nathalie en cours de récit
    et même, lors d'une des dernières scènes, par la vision d'un personnage lisant un livre ayant pour titre « La Mort » (un ouvrage de Vladimir Jankélévitch). Mais si le film prend en compte la réalité de la mort, c'est manifestement pour mieux souligner, par contraste, le bouillonnement indéfectible de la vie. La philosophie n'a que faire de l'immobilisme, elle est par esssence mouvement, ce qu'indiquent parfaitement de nombreuses scènes du film : on y voyage et on y bouge beaucoup, on y circule en bateau, en train, en voiture, on y marche, on s'y baigne, etc. Et l'on y est constamment interpellé par des désirs de vivre (et de vivre à l'excès) : si Nathalie a déjà bien des années de philosophie derrière elle, son métier d'enseignante et ses relations privilégiées avec un de ses anciens élèves l'obligent à réviser et à reformuler sans cesse sa pensée et à la préserver de la stagnation. Ses élèves en sont bien conscients, ils savent qu'ils ont affaire à quelqu'un sur qui compter et l'une des belles scènes du film nous montre quatre d'entre eux demandant à Nathalie sa participation au site internet qu'ils veulent créer (un site dédié à la philosophie bien sûr). Mais la vie ne se signifie pas uniquement par des jeunes gens pleins de vitalité, elle se signifie aussi, très simplement, par une naissance, celle d'un petit-enfant pour Nathalie. La philosophe est mère, et la voilà grand-mère !
    Si c'est une gageure que de faire un film qui se fonde ou, plus exactement, qui est irrigué d'un bout à l'autre par la passion de la philosophie, alors cette gageure a été pleinement tenue par la réalisatrice Mia Hansen-Løve. Cinéphiliquement, son film offre un bonheur de tous les instants. Il est intelligemment construit, habilement mis en scène, et il est servi non seulement par l'immense talent d'Isabelle Huppert mais également par les convictions sans failles des autres acteurs. Le talent de la cinéaste ne s'est jamais autant épanoui que dans cette œuvre tout en finesse qui fait la part belle non seulement aux débats d'idées dont elle est pétrie, mais aux cœurs et aux corps ainsi qu'aux sentiments. On ne peut qu'admirer, par exemple, la science et la subtilité qui président à l'introduction, au cours du film, de quelques plages musicales : outre le lied de Schubert (magnifiquement chanté par le grand Dietrich Fischer-Diskau) que j'ai déjà signalé, une chanson du chanteur américain engagé Woody Guthrie (un précurseur de Bob Dylan). Ces moments musicaux s'intègrent à merveille dans le film, ils sont porteurs de sens, ils révèlent, d'une certaine façon, quelque chose de l'intimité des personnages.
    Couronné de l'Ours d'argent de la meilleure réalisatrice à Berlin, il ne reste qu'à souhaiter que ce superbe film puisse à présent trouver son public. C'est mon vœu le plus ardent. 9/10
    jaja77
    jaja77

    57 abonnés 1 326 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 11 avril 2016
    un bon drame à la fois mélancolique et émotionnelle avec des bons acteurs, et plus particulièrement" isabelle huppert" qui joue merveilleusement bien son rôle de femme un peu froide mais très perspicace qui en peu de temps perd tous ses proches ( son mari, sa mère, sa maison). alors elle décide de reprendre sa liberté et sa vie comme elle le veut tranquillement et sereinement. certes, il y a quelques longueurs dans les dernières minutes mais j'ai passé un agréable moment durant 1h40.
    tixou0
    tixou0

    630 abonnés 1 969 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 1 octobre 2016
    Après "Un Amour de jeunesse" (2010), voici "Plus d'Amour en vieillesse", en fait "L'Avenir" - pour une bobo senior (prof de philo, comme la mère de la réalisatrice..), à qui l'abandon par son mari (prof aussi) pour une plus fraîche, tout autant que la disparition concomitante d'une génitrice insupportable, donnent l'occasion de se "reconstruire" (en grand-mère "zen", apparemment, à la veille de la retraite). Sans grande surprise, on retrouve Isabelle Huppert distribuée. Pour une prestation sans saveur. Dans un film nombriliste, et ultra fade (propos, comme style cinématographique).
    Guiciné
    Guiciné

    127 abonnés 1 205 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 11 avril 2016
    Un film superbement mis en dialogue, très accessible et dont la mise en scène plutôt vive, fait qu'on ne s'ennuie pas un instant. Interprétation impeccable grâce à laquelle nous avons droit à de belles émotions. Du beau travail !
    eliacam
    eliacam

    17 abonnés 201 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 11 avril 2016
    Bon ... Isabelle Huppert est, comme d'habitude, juste et parfaite. Comme les autres acteurs d'ailleurs. Je veux bien aussi reconnaître que la mise en scène ne se voit pas ce qui est un compliment. Mais où est l'histoire ? En quoi cette histoire de femme laissée par son mari a t elle le moindre intérêt ? On s'ennuie, on se demande quand ça va se terminer. Au moins le scénariste nous a évité le pire ... Le pire eût été un moment d'égarement entre Nathalie et son protégé ... Alors pourquoi 3.5 me direz vous ... Pour Isabelle Huppert !
    nicolas t.
    nicolas t.

    54 abonnés 239 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 7 avril 2016
    Joli film. Mélancolique et ténu.
    Scénario qui dédramatise toutes les situations.
    Parfois c'est un peu gênant comme si la réalisatrice esquivait tous
    les enjeux mais une dose d'humour parvient à rendre attachant
    ces personnages d'intellos, clivés entre leur discours et leurs actions.
    Huppert parfaite comme d'hab.
    Les meilleurs films de tous les temps
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