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    Cézanne et moi
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    173 critiques spectateurs

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    cylon86
    cylon86

    2 255 abonnés 4 430 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 1 octobre 2016
    Après avoir réalisé plusieurs comédies, Danièle Thompson a décidé de se tourner vers une histoire qui lui trottait dans la tête depuis plusieurs années : l'amitié durable mais houleuse entre Emile Zola et Paul Cézanne. Ces deux-là, amis d'enfance dont on a retrouvé de nombreuses correspondances, ont toujours eu une relation intense faite de hauts et de bas alors que le destin les a sans cesse opposés. L'un est fils de bourgeois, l'autre est orphelin de père ; l'un admire le travail de l'autre tandis que l'autre s'en montre incapable ; l'un finit par mener une vie de bohème tandis que l'autre vit s'embourgeoise et quand l'un manque d'inspiration, l'autre trouve enfin la reconnaissance...
    Suite de la critique sur
    reymi586
    reymi586

    402 abonnés 2 444 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 15 octobre 2016
    Une belle reconstitution de la France de la fin XIXème siècle notamment au niveau artistique. L'interprétation des deux protagonistes par Guillaume Canet et Guillaume Gallienne est aussi excellente. Un très bon film mais il manque un petit quelque chose pour donner plus de force à l'ouvrage et en faire un grand film.
    SansCrierArt
    SansCrierArt

    50 abonnés 414 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 15 octobre 2016
    L'amitié qui lia Emile Zola et Paul Cézanne débuta dans la cours d'une école d'Aix en Provence. Leur relation durera plus de 40 années jalonnées des succès du premier et des échecs du second, liés tous deux par le goût de l'art et d'un certain anticonformisme.
    Les témoignages de cette étonnante amitié sont rares et Danièle Thompson ne cache pas qu'elle a dû imaginer la plupart des scènes de son film, en se basant sur leur correspondance et sur les écrits de ceux qui les côtoyèrent dont notamment le marchand d'art, Ambroise Vollard. La réalisatrice s'est attachée à dépeindre le milieu artistique de l'époque ; Emile Zola, critique d'art, est un grand défenseur des impressionnistes (Monet, Manet, Renoir, Pissarro sont ses amis). La reconstitution de l'époque est soignée tout comme la photographie plutôt remarquable. Si le film pêche un peu c'est par le développement de l'histoire qui est mené de façon assez abrupte. La première partie du film est construite de multiples scènes très courtes ayant certainement pour but d'installer la psychologie des personnages mais qui semblent parfois un peu bâclées ou avoir été bien bousculées lors du montage. Certains évènements de la vie de Cézanne mériteraient un traitement plus fin et approfondi. Mais la réalisatrice préfère s'attarder sur le conflit qui mena à leur rupture. Ici tout est question de choix et on imagine bien ceux, cornéliens, qu'a du faire la réalisatrice. Nous n'aurions sans doute pas fait les mêmes. La musique, composée par Eric Neveux, vient alourdir un peu plus le propos mais la réalisatrice ne souhaitait pas faire appel au répertoire classique. L'ensemble n'est toutefois pas désagréable. Danièle Thompson a du métier et ça se voit. Ses comédiens également et particulièrement Guillaume Canet bluffant en Emile Zola. Encore un choix surprenant qui pour le coup est un coup de maître. Le comédien est épatant dans le rôle du grand homme, fidèle, faible, humain et attachant.
    Bernard M
    Bernard M

    20 abonnés 432 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 24 septembre 2016
    Danièle Thompson nous livre un biopic sous l'éclairage particulier d'une amitié entre Zola et Cézanne .Ses comédies vêtaient faites de dialogues à travers des scènes sympathiques, mais vouloir appliquer la même recette ici ne convient pas. Pourtant tous les ingrédients y sont: costumes, décors ( des photos de Provence comme les aurait aimé Cézanne) ,un jeu d'acteur irréprochable D'où bien le fait que ça ne prend pas? Le film est intéressant mais cette amitié en dent de scie est un support trop peu captivant pour le spectateur et cette très belle toile se laisse regarder sans passion.
    lavie44
    lavie44

    44 abonnés 431 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 10 octobre 2016
    Deux Guillaume bien connu pour ce film biographique.

    La prestation de Guillaume Galienne est excellente.

    Le film quand à lui est un peu long.
    tixou0
    tixou0

    630 abonnés 1 969 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 23 septembre 2016
    Mais que voilà donc un film admirable !..... On ne sait qu'admirer le plus.... Façon antiphrase, cependant... Le scénario ? Bricolage (autour d'événements avérés, et/ou scènes "à faire" - ah, cette "rencontre avec mes lecteurs" à une terrasse de café, pour EZ à Aix, pour caser l'affaire Dreyfus... simple exemple de l'opportunité et de la fluidité du "récit"). Le dialogue ? Même quand calé sur des extraits de livres du grand homme, sonne faux - alors, pour l'"ordinaire" dudit.... Le montage, la mise en scène ? Même pas de l'honnête académique.... au mieux du poussif démonstratif, ressemblant au pire du pédagogisme cher à l'éd nat. L'interprétation, peut-être ? Partant d'un casting... étonnant, où les personnages sont, ou d'emblée vieux (vieux acteurs/trices distribués - comme Sabine Azéma), ou jeunes ad vitam (acteurs/trices jeunes, ou assez jeunes, ne bougeant pas d'un iota, 30 ans durant...voir les "jeunes premières" Alice Pol et Déborah François), on pense : "caricature" (les 2 "héros") - jeu ampoulé, voire hystérique - et l'on ne peut que pester devant tant de complaisance et de cabotinage, "0 émotion" - chacun fait son petit numéro nombriliste, sans le début du moindre naturel... et le spectateur, navré, bâille, et bâille encore.... Simple amorce de liste, évidemment. Une galerie "grévinesque" pathétique. Un beau sujet (l'écrivain Zola et le peintre Cézanne : l'un révélant l'autre, au fil d'une amitié se compliquant, de l'enfance à l'âge mûr) jamais traité autrement que superficiellement. Ni intelligence, ni esthétique, au rendez-vous. Danièle Thompson, décidément, n'avait de talent (comme coscénariste) que du temps d'un certain Oury.... C'est ici particulièrement patent : à avoir tenté beaucoup trop ambitieux pour elle, la dame se prend "La Bûche" la plus magistrale de sa carrière de réalisatrice !
    Pierre Andre E
    Pierre Andre E

    12 abonnés 106 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 24 septembre 2016
    Oh la la la daube provençale ! C'est creux, il n'y a aucun point de vue, on n'est pas du tout touché par les personnages creux, surjoués par les acteurs ; Canet est mutique en Zola à qui on met un gros coussin sous sa chemise pour voir comme il profite , et Gallienne en fait des caisses en Cezanne insuppportable, jouant avec un "assent" du sud à couper au couteau. Bref, on s'ennuie .
    DarkAkuma02
    DarkAkuma02

    55 abonnés 506 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 27 septembre 2016
    Guillaume Canet et Guillaume Galienne interprètent respectivement Emile Zola et Paul Cézanne dont la vie est dévoilée principalement de 1860 à 1899.
    Ce film dresse le portrait d'Emile Zola et de Paul Cézanne, majoritairement à travers leur longue relation amicale entremêlée de disputes et d'affrontements, dévoilant ainsi leur personnalité et le contexte dans lequel ils ont vécu. Au-delà de cela, j'ai trouvé le scénario plutôt limité pour peu que l'on ne soit pas particulièrement intéressé par la vie de ces artistes.
    Serge V
    Serge V

    82 abonnés 446 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 29 septembre 2016
    je parlerai d'abord de l'interprétation des deux guillaume qui est souvent critiquée , guillaume canet jugé trop fade , guillaume galienne jugé trop exubérant , mais on oublie que leur rôle veut cela , pour moi je les ai trouvés excellents . pour le reste , le film est long , répétitif , on doit subir les états d'âme , les colères , les frustrations continuels de cézanne , cela devient vite lassant , heureusement les paysages somptueux , la lumière , les couleurs de la provence ,( et même quelques jolis nus féminins ) agrémentent le film .
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 27 septembre 2016
    Ce film raconte donc l'extraordinaire relation (relation plus de style "frères ennemis" que "amicale" selon moi) entre deux immenses artistes du XIXème siècle, le peintre Paul Cézanne et l'écrivain naturaliste Emile Zola. Cézanne et moi suscite plus l'admiration que l'émotion. La force du film est dans ses images, dans la beauté des paysages, des costumes, dans la superbe reconstitution de l'époque et, surtout, dans l'extraordinaire prestation de Guillaume Gallienne, tout à fait bluffant, particulièrement dans le rôle de Cézanne âgé. On y croit absolument ! La faiblesse du film réside dans son académisme et ses trop nombreux flashes-back. Un film intéressant, à voir pour l'histoire de ces deux grands artistes, pour la vision de l'époque et surtout pour Gallienne.
    bendelette
    bendelette

    16 abonnés 234 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 22 septembre 2016
    Dommage,les deux acteurs principaux,et d'autres sont parfaits,de très belles"photos" mais le propos est décousu,la réalisation mauvaise.Ce film m'a semblé long très long.
    landofshit0
    landofshit0

    248 abonnés 1 745 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 27 septembre 2016
    Quelle honte c'est sur ces mots que s'ouvre la bande annonce,est ce un pied de nez qu'a voulu faire le monteur en charge de cette B.A? En tout cas si c'est involontaire c'est une belle coïncidence. Une bande annonce dans laquelle on voit clairement la couleur du navet qu'elle annonce.

    Ah l'amitié, quelle belle chose que l'amitié.C'est vrai quoi de mieux que deux êtres qui se trouvent au hasard d'une rencontre faite par le destin. Danièle Thompson présente l'amitié comme dans une pub pour les pâtes,dans laquelle tout le monde part dans de grands éclats de rires et se tape dans le dos pour prouver qu'ils sont de vrais amis. Un éclat de rire une tape dans le dos et voilà Cézanne et Zola soudés à la vie à la mort. L’amitié c'est fait de coups de gueules d'un rapport amour haine qui forcement va s'accentuer avec la réussite de l'un et l’échec de l'autre. C'est un peu comme dans ces films coréens dans lesquels ont suit le destin de deux amis d'enfance que le sort prendre un malin plaisir à faire évoluer sur deux routes parallèles qui vont finir par se croisées. Puisque l'un d'eux va devenir policier et l'autre va passer de l'autre coté de la barrière en faisant parti du grand banditisme. Là c'est pareil il y a une barrière qui sépare les deux hommes,l'un réussi l'autre pas. Mais au fond ils sont toujours les mêmes et l'amitié est toujours là.

    L’interprétation théâtrale y a que ça de vrai,Guillaume Gallienne en fait des caisses dans ce registre,il porte d'ailleurs l'accent du sud qu'il s'efforce d'avoir,mais quand il s’énerve l'accent s'envole et l'homme de théâtre celui qui déclame son texte en faisant peser le poids des mots prend le dessus. Gallienne est certes un bon acteur(un bon lecteur radiophonique surtout), mais depuis ses 4 césars récoltés en 2014 le gars à gravement prit le melon,en tout cas il est constamment en surchauffe,même en interview l’acteur se trouve en représentation théâtrale. Il accentue absolument tout en faisant peser chacun de ses mots,ce qui est insupportable. On dirait une actrice qui minaude,Gallienne c'est Sophie Marceau au masculin. Il veut nous faire croire que tout est sérieux est grave,et notamment le métier de comédien qui est un engagement de chaque instants. Guillaume Canet lui aussi fait peser les mots,il utilise surement la méthode Gallienne,il n'y a qu'a entendre le ton qu'il prend en disant tu ne lis plus mes livres...............(longue pause qui donne du poids).................................tu les juges. Canet opte pour une voix grave histoire de gommer l'aspect juvénile qu'a sa voix au naturel.

    Et le plan de Gallienne dans les oliviers façon tableau de Cézanne,c'est du plus mauvais gout car pour faire ça il faut être capable de sublimer un paysage ce dont est incapable la pauvre Danièle Thompson. Le passage jaune pisse du diner façon Amélie Poulain est aussi un choix esthétique pitoyable,c'est l'éclairage à la bougie qui fait surement cet effet????? C'est d'autant moins crédible que la tablée est uniquement éclairée avec des chandeliers qui se trouvent derrière les personnages.

    Ce qui est drôle aussi c'est d'avoir dans les dialogues'' tout ces bourgeois que tu détestais sont devenus tes amis.'' C'est toujours amusant de voir quelqu'un comme Danièle Thompson qui symbolise à elle toute seule une tranche de la bourgeoisie parisienne de mettre en scène un personnage qui la critique.

    Pour ce métrage l'équipe du film a fait le tour des plateaux télé,ce qui est bien souvent le signe annonciateur d'une sombre merde. La stratégie pour pallier au naufrage est l'omniprésence médiatique,afin que celle-ci expose le film au plus grand nombre de potentiel spectateurs,afin que ceux-ci aillent se faire prendre dans les mailles du filet de la merde annoncée. Il faut croire que ça marche puisque il y a plusieurs années que les producteurs opèrent de la même façon,et que personne ne voit ce grossier stratagème c'est donc qu'ils doivent bien sauver un minimum les meubles.

    Voyez mesdames et messieurs l'aventures exceptionnelle de ces deux génies Made in France.

    La bande annonce crie à poumon déployée que c'est débile donc si vous y allez vous saurez à qui vous en prendre.
    Peter Franckson
    Peter Franckson

    35 abonnés 1 077 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 19 septembre 2016
    Il n’y a pas d’ambiguïté dans le titre : le sujet du film est bien la relation d’amitié entre Paul Cézanne (1839-1906) et Emile Zola (1840-1902) depuis le collège Bourbon (aujourd’hui lycée Mignet) en 1852 à Aix-en-Provence. Le peintre (Guillaume Gallienne) occupe une place prépondérante, vu son caractère égocentrique et asocial mais qui en fait un personnage peu sympathique. Guillaume Canet joue l’écrivain, tout en retenu, un peu froid même et dont l’amour pour sa lingère spoiler: (Jeanne Rozerot, 27 ans de moins que lui et qui lui donnera deux enfants alors qu’il n’a pu en avoir avec sa femme Alexandrine)
    est bien rendu. Malgré tout le talent de ces deux acteurs, on a du mal à s’intéresser à eux (le film ne démarre vraiment qu’au bout de 40 mn, sur une durée totale de 1h54), d’autant que le mystère de la création artistique est peu évoqué, surtout pour Cézanne. Heureusement, il y a quelques scènes fortes : dîner chez Zola en compagnie de ses amis spoiler: qui ont réussi et où Cézanne, aigri, est insultant à leurs égards
    , dissension entre Cézanne et son modèle, Hortense Fiquet (Déborah François) avec qui il a un enfant), rencontre entre les 2 amis à Médan (Yvelines), où Zola acheta une maison en 1878 et dispute au sujet de son roman « L’œuvre » (1886) où le peintre Claude Lantier est inspiré de Cézanne. Le film débute d’ailleurs à Médan en 1888 avant d’avoir un parcours chronologique à partir de 1852 (avec quelques « flash-backs » où la longueur capillaire des 2 artistes permet de nous repérer dans le temps !) : montée à Paris en 1860 de Zola, naturalisation française en 1862, salon des peintres refusés en 1863 (initié par Edouard Manet et accepté par Napoléon III), guerre de 1870 pendant laquelle les 2 amis ont quitté Paris pour Marseille (L’Estaque exactement pour Cézanne). Un film donc inégal où la « mayonnaise » ne prend pas malgré l’interprétation excellente de tous les acteurs, la reconstitution des rencontres avec les peintres devenus célèbres depuis (Manet, Renoir, Morisot, Pissarro, Bazille) et la splendeur des paysages de Provence. Peut-être parce que cette forte amitié (comme celle de Montaigne et La Boétie) ne se prête pas à la mise en images (on est loin d’Achille et Patrocle dans l’Iliade !) et qu’une évocation plus large (mais hors-sujet du film), à la fois, de la création littéraire de Zola et de son rôle politique et de la création artistique de Cézanne (bien rendu dans un court documentaire présenté au centre d’art Caumont à Aix-en-Provence), riche de 900 peintures et 400 aquarelles, aurait rendu, peut-être, plus attachant les personnages. .
    lionelb30
    lionelb30

    384 abonnés 2 496 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 29 septembre 2016
    Les acteurs sont pas mal du tout. Pour le reste , le montage avec les différents aller retour dans le temps devient vite irritant , la relation entre artistes pas assez approfondi et pas tres attachante.
    Fargo Boy
    Fargo Boy

    76 abonnés 162 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 26 septembre 2016
    C'est beau : les décors, les paysages et les costumes . La rencontre entre ces 2 grands hommes est superbe mais que c'est ennuyeux, que c'est long !! Et les flashs back ne sont pas maîtrisés. Il aurait mieux value laisser filer une histoire linéaire. Les acteurs sont parfaits : Guillaume entête.
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