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    Dope
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    3,8
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    98 critiques spectateurs

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    Léa A
    Léa A

    41 abonnés 64 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 5 novembre 2015
    Le film brille par son esthétique lisse et harmonieuse, qui met en valeur la passion des trois personnages pour les années 90. Salopettes, casquettes et baskets dernier cri, les trois personnages incarnent une époque et un glamour vintage sans pareil. Dans le rôle de la belle, Zoé Kravitz nous envoûte telle Méduse, avec ses longs cheveux tressés. Le film rappelle les styles de Quentin Tarantino et Quentin Dupieux, d’une part dans la manière de présenter une fresque des États-Unis par un format scope et une mise en scène millimétrée, ainsi qu’à travers un traitement second degré de la narration, qui empêche le classement générique du film (entre comédie, film de gangster et comédie romantique). La bande originale, composée par Pharrell Williams, donne un rythme et une unité aux séquences, presque à la manière d’un clip, ce qui n’est pas désagréable car cela apporte humour et légèreté. Mais la prise de drogue par certains personnages déclenche principalement l’humour et le second degré, ce qui donne lieu à une scène de cinéma mémorable… Je n’en dis pas plus. (...

    Suie sur mon blog ! :)
    shuushin
    shuushin

    21 abonnés 15 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 16 octobre 2015
    Lasse des films de ces dernières années, je démarrais depuis 2 mois une session "revisionnage" des classiques.

    Puis survint DOPE.

    Ce film vous transporte dans un univers ultra stylé, drôle et assumé.
    Tous les personnages sont attachants car AUCUN ne fait réellement cliché. Ils ont tous leur part de différence qui rend le tout très prenant ! Y'a des scènes au top, des idées à foison.
    C'est un film qu'on a du mal à catégoriser.

    J'ai adoré !!!!
    Cronenberg
    Cronenberg

    210 abonnés 1 898 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 10 février 2021
    Rien ne tourne rond depuis cette soirée hors norme ou 3 jeunes geeks se retrouvent au seine de bandes pour y faire la fête. On observe dans cette comédie très drôle étape par étape les événements qui vont réunir et séparer la bande. Je le déconseille aux moins de 13 ans. 3/5
    Shelby77
    Shelby77

    139 abonnés 1 532 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 9 juillet 2017
    Critique de "Dope".
    Film sympathique et drôle dans l'ensemble, Dope est une véritable surprise. Pourtant j'ai eu peur au début, j'ai cru que j'allais voir un énième teen movie. La musique est cool. J'ai adoré l'ambiance old school et les références au hip-hop. J'ai pris énormément plaisir à suivre de cette bande de jeunes. Le trio de tête d'affiche est au top. 4/5
    Kilian Dayer
    Kilian Dayer

    96 abonnés 838 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 31 mars 2016
    Dope, de Rick Famuyiuwa aura donc fait sensation lors de ses quelques apparitions en festivals, l’année dernière, emportant avec lui l’assentiment des critiques de tous bords. Voilà donc le Teen-Movie dans sa version ghetto, l’autre facette de l’Amérique estudiantine. Dope, le terme signifiant un mec cool dans le jargon du cru, nous raconte l’histoire peu banale de trois adolescents d’un bas-fond pour le moins mal fréquenté de Los Angeles, faisant de leurs ambitions un motif en soi pour tous les joyeux débordements qu’ils commettront. La fin justifie donc les moyens, dans la bonne humeur et s’il vous plait, agrémenté d’une bande sonore signée Pharell Williams. L’artiste et producteur, parmi les plus influent du milieu, semble d’ailleurs œuvré pour un film à son image, emplit de clin d’œil à sa vie passée, calibré tel le portrait d’une jeunesse qu’il aurait voulu vivre ou qu’il a, en partie, vécu. Rien de mal à ça, bien sûr, mais le spectre de l’autosatisfaction plane tout du long sur le film, un film qui plus est produit par quelques personnalités concernée par des causes diverses et variées. Le cinéma indépendant américain, donc, dans ce qu’il a de plus préconçu. Mais cela importe peu.

    Ce qui est important ici, c’est la vivacité du récit, des personnages, le dynamisme du metteur en scène et, en quelques occasions, l’inspiration dans les dialogues. Sans forcer, Dope se tourne donc vers le contre-courant d’une culture adolescente américaine qui se voit comme l’innocence réincarnée, une jeunesse qui s’éclate en ne faisant que des bêtises sans conséquences. Avec leurs films, Famuyiuwa, Pharrell et notamment Forest Withaker entendent bien dépoussiérer le mythe et convoquent l’illégalité, la clandestinité des pratiques des quartiers malfamés pour en arriver au même postulat. La gloire, du moins une forme de gloire. De geeks, Malcolm et ses copains sont passés au statut de Dopes. En gros, on ne sort pas du ghetto sans arrogance, sans panache et sans la débrouillardise requise. On veut bien. Pour autant, on sent poindre à chaque instant la possibilité d’un dérapage peu élégant, le film étant sur le fil du rasoir, perpétuellement, entre bonne intentions et malsaines perspectives. C’est peut-être ça qui aura si bien plu à un public qui fuit depuis des lustres l’aseptisation des productions de ce type, dans la majorité des cas.

    Coté interprétation, saluons les trois jeunes méconnus, du moins pour l’instant. A l’exception de Tony Revolori, vu chez Wes Anderson et son Grand Budapest Hôtel, le casting nous tombe du ciel et nous pourrons découvrir un certain Shameik Moore, un gaillard, il faut le dire, plutôt touchant. Fringuer à la façon du prince de Bel Air, affublé d’une coupe de cheveux à faire fuir ces dames jusqu’aux confins du déserts voisins, ce jeunot brave tout sur son chemin avec un entrain réjouissant, souvent amusant, un geek découvrant le monde et toutes les possibilités offertes de s’émanciper de sa condition.

    Dope, donc, sera finalement un hymne un peu naïf à la liberté de réussir sa vie, qu’importe les défaveurs, qu’importe notre cadre de vie. C’est engageant, c’est sympathique et cela mérite d’être vu. De là à propulser le film au rang des grandes œuvres contemporaines, je n’irai pas jusque-là. 11/20
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 21 février 2019
    Ce film est juste généralissime ! Drôle, étonnant, des rebondissements, et tellement censé. Vraiment je suis totalement fan de ce film. Les personnages sont intéressants, les acteurs sont excellents. Et la musique juste un pur kiff.

    Un très bon film, résultat de collaborations bien avisées.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 2 novembre 2015
    Super film ! Rien a dire ! Très bon scénario et un casting très bien choisi .
    Tout simplement à voir !
    Loïck G.
    Loïck G.

    281 abonnés 1 626 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 4 novembre 2015
    Trois copains se retrouvent embringués dans une course folle dont le but est d’échapper aux dealers qui souhaitent récupérer leur magot. Le cinéma nous l’a déjà fait. Mais, la culture hip hop tient bien le rythme d’une comédie sociale sans en faire des tonnes, tout en ressassant que les préjugés raciaux feraient bien de reprendre un peu de ripolin. Le trio en question est mené par un Tony Revolori survolté. C’est drôle, amusant (ils sont toujours en décalage de deux ou trois modes) avec la dégringolade d’avanies qui leur tombent dessus. C’est bien une comédie qui joue avec les clichés du genre et de la représentation des noirs à l'écran. La question de l’identité raciale est clairement posée et renvoit un peu à l’esprit du film de Justin Simien « Dear White People ». La bande originale de Dope a été réalisée par Pharrell Williams. Forest Whitaker est l’un des producteurs.
    Pour en savoir plus
    Eric C.
    Eric C.

    201 abonnés 2 273 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 26 novembre 2016
    Très agréable surprise pour ce film où on s'attend très vite à retrouver le cadre et les stéréotypes des geeks, des minorités noires, des gangs, de la prédestination à la violence et au crime, de l'implication de cette communauté noire dans le travail de bas fond du traffic de stupéfiants. Et puis, peu à peu, le film nous prend à contre pied avec un bel exemple de démantèlement des caricatures et de la prédestination en mettant en valeur l'intelligence, la méritocratie, l'ascenseur social du système scolaire et éducatif. Un beau pied de nez, un film habilement mené, très bien interprété avec entre autre Zoé Kravitz et l'apparition remarquée et sensuelle du top model Chanel Iman.
    Cine vu
    Cine vu

    123 abonnés 580 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 9 novembre 2015
    Funky

    Réalisation Rick Famuyiwa 2015

    J’ai vu dernièrement « Dear White people » un film bavard sans vrai discours.

    Dope est plus Funky mais le message passe mieux: Pourquoi doit-on se poser la question d’intégrer ou non Harvard quand on est Afro-américain, issu d’un milieu modeste et des quartiers défavorisés?

    La réponse, c’est la débrouille, l’intelligence, l’obstination et la confiance. Un joli film façon Spike Lee à ses débuts. Où la musique porte les faits et où les faits parlent d’eux même.

    Rick Famuyiwa n’a pas fait dans l’esbroufe mais dans la sobriété avec un casting étonnant de fraîcheur et de naturel et une réalisation tout en musique. C’est presque une chanson que l’on fredonne avec un refrain qui fait du bien. Chaque culture a des similitudes mais en aucun cas on ne peut identifier chaque individu en fonction de ses origines, chacun cultive sa différence et sa propre personnalité.

    Quelques passages un peu graveleux n’étaient pas forcément nécessaires mais apportés avec suffisamment de naïveté pour ne pas choquer.

    Le trio fonctionne comme sur des Rollers avec Shameik Moore (ultra 90) Kiersey Clemons (à croquer) et Tony Revolori (tout en gentillesse

    Un pure moment de légèreté avec la réflexion qui donne le ton.
    Bulles de Culture
    Bulles de Culture

    122 abonnés 634 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 23 juillet 2016
    Très divertissant, le film vaut le coup d’œil pour une simple et bonne raison : c’est à priori le premier et seul film à mettre au premier plan la culture geek afro-américaine 3.0 dont Pharrell Williams se fait ici l’ambassadeur.
    Blog Be French
    Blog Be French

    32 abonnés 263 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 9 novembre 2015
    Visionné à l'occasion du Festival du Film Américain de Deauville, nous avions déjà loué les qualités du film Dope de Rick Famuyiwa. Et puisque sa sortie française a été programmée le 4 Novembre, c'était la parfaite occasion de vous donner 3 raisons de vous rendre en salles le voir…

    1) Un film qui tord le cou aux clichés : L'histoire se déroule à Inglewood, quartier chaud de Los Angeles, dans lequel vit Malcolm, un jeune geek fan de hip-hop des années 90 qui va rapidement se retrouver confronté aux problèmes de son entourage. Le titre du film joue sur les multiples sens du mot “Dope”, qui signifie “came” en anglais, mais aussi quelque chose de “super cool”. Plutôt que d'insister sur la difficulté qu'ont les jeunes à s'élever dans les quartiers sensibles, le réalisateur préfère construire une comédie pétillante tout en éclatant les stéréotypes habituels et en abordant le débat sur la population afro-américaine de façon ludique. Dope se révèle donc être une véritable bouffée d'air frais, à la fois drôle et sensible.

    2) Que du beau monde : Une autre grande force de Dope, ce sont les personnalités qui ont collaboré à la création de son projet ! En première ligne, on retrouve Forest Whitaker en tant que producteur mais aussi en tant que narrateur. Pharrell Williams, en plus d'être producteur délégué, s'est occupé de driver une Bande-Originale variée et réellement dynamique. Niveau casting, on retrouve Zoë Kravitz ainsi que le rappeur Asap Rocky qui fait ses débuts au cinéma dans un rôle de dealer de drogue, king d'Inglewood. Et quel plaisir de retrouver Tony Revolori (découvert dans The Grand Budapest Hotel de Wes Anderson) dans le rôle du meilleur ami de Malcolm ! Bref, une équipe qui n'a pas été constituée au hasard et qui le prouve tout au long du film.

    3) Un succès mérité : Présenté au festival de Sundance, puis révélé lors de la Quinzaine des Réalisateurs à Cannes, Dope a surtout rencontré son public lors de sa participation au Festival de Deauville… En effet, le film reçut une standing ovation avant même son générique de fin et fut surtout récompensé par le Prix du Public (qui avait récompensé Whiplash lors de sa précédente édition, par exemple).

    Véritable petite perle du cinéma indépendant, Rick Fumiyiwa livre donc avec Dope un film limpide dans sa narration, très bien orchestré, au montage ciselé et plein de petites friandises visuelles.
    Ykarpathakis157
    Ykarpathakis157

    3 353 abonnés 18 103 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 15 octobre 2021
    Malcolm est un geek à The Bottoms un quartier d'Inglewood Californie qui est infesté de gangs. Il est très bon élève et vit la culture hip-hop des années 90 avec ses amis Jib et Diggy. Ils sont tous souvent malmenés à l'école. Dom un dealer de rue convainc Malcolm d'inviter Nakia à sa fête d'anniversaire et Malcolm tombe amoureux de Nakia. La police fait une descente à la fête et Dom fourre sa drogue et son arme dans le sac à dos de Malcolm. Malcolm et ses amis sont traqués par la police pour ce paquetage alors que Malcolm essaie d'entrer à Harvard. Jaleel est génial et son numéro est hilarant. Ce que j'aime chez Rick Famuyiwa c'est le détournement inattendu des clichés standards. Je suis un peu incertain quant au fait que Malcolm brise le 4e mur pour exprimer la dichotomie des deux idéaux caractéristiques car Dope fait un excellent travail sans cette scène. D'autre part ce film peut vouloir frapper a ce point particulièrement fort et ne pas vouloir que le public le manque...
    Fabien S.
    Fabien S.

    452 abonnés 4 150 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 11 janvier 2017
    Un très bon film sur trois geeks afro-américains. Ils aimaient la musique des années 90. Zoé Kravitz incarne la fille des rêves de cette bande de jeunes maltraités par ses camarades. Des personnages attachants mais certaines scènes sont bâclées.
    Anne M.
    Anne M.

    62 abonnés 626 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 19 janvier 2016
    Dans une banlieue dite « les bas-fonds » à Los Angeles, 3 lycéens, geeks et amateurs du Hip Hop des année 1990, ont pour ambition de postuler à l’université de Harvard.

    C’est sans compter une mésaventure du genre de celle de « The big Lebowski » avec le milieu de la drogue, auquel ils tentent d’échapper depuis toujours.

    C’est drôle, rythmé, parfois un peu trash, mettant l’accent sur le clivage social et communautaire de façon ironique.
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