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    La Loi du marché
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    3,3
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    joelle g
    joelle g

    77 abonnés 840 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 21 mai 2015
    Un film tourné comme un reportage ...donc très réaliste ...trop réaliste ..donc parfois trop long sur certaines scènes ....qui pousse un peu à l'ennui ..dommage ..car il manque des explications , des commentaires ...un peu trop brut comme analyse ...mais visiblement un choix du réalisateur ...
    Vincent Lindon dont je suis loin d'être fan est magistral dans ce rôle taillé pour lui ....tellement il est convaincant .....
    Regis D
    Regis D

    25 abonnés 167 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 22 juin 2015
    Vincent Lindon est toujours efficace. Ce film est un peu soporifique mais cela nourrit la lourdeur du système qu'il dénonce.
    Il nous met face à un dilemne. Peut-on s'en sortir sans nuire à autrui ?
    Vous avez 2h, bon visionnage !
    BILBO75
    BILBO75

    12 abonnés 49 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 23 mai 2015
    Dans la bonne tradition des films sociaux manichéens à la française, où tout, forme et fond, est forcément noir.

    Bon, Vincent Lindon est et restera un excellent acteur, certes.

    Ceci dit...

    "Pendant la Quinzaine spéciale du Misérabilisme, on vous propose une sélection de scènes de la misère quotidienne, sans nuances ni recul, avec :

    - un chômeur sans espoir,
    - des problèmes de crédits bancaires,
    - des licenciements,
    - un pot-pourri de la vie à Pôle Emploi,
    - un DRH de grande surface,
    - un suicide de salarié,
    - un enterrement,
    - des états d'âme à la douzaine...

    Quoi, ça vous suffit pas?! Bon, ok, alors pour le même prix, on rajoute :

    - un enfant lourdement handicapé,
    - une caméra filmant uniquement en plans serrés, au cas où on n'aurait pas compris qu'il n'y pas d'horizon au-delà du grain de peau blafard du travailleur exploité.
    - un premier plan net (le visage terne des comédiens) pour mieux flouter toute tentative d'arrière-plan,
    - un film caméra à l'épaule, en mouvement constant, histoire de faire genre "docu-vérité" et de vous donner un peu la migraine.
    - des espaces confinés, pas d'espace, pas d'espoir...
    - une lumière terne et blafarde, marque de fabrique du drama-social à la française.

    C'est pas assez? Bon, alors on demande aussi à V. Lindon de faire une tête de chien battu pendant tout le film et on le maquille même pas, ok?

    Petite faute de scénario ou note d'espoir ?: Notre héros est heureusement quasi-propriétaire de son appartement. Or, à n'en pas douter, eût-il été simple locataire que le réalisateur nous aurait volontiers rajouté une scène d'expulsion avec huissier !

    Alors, si vous voulez voir un vrai beau film sur les problèmes sociaux, eh bien préférez "Ressources Humaines", de 2000, qui nous avait fait découvrir l'excellent Jalil Lespert, plutôt que ce simili-documentaire unidimensionnel.
    Cédric A.
    Cédric A.

    6 abonnés 15 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 7 juin 2015
    Effectivement bien joué, triste. On sent l'homme qui n'a pas eu de chance c'est vrai mais il y a de l'amour dans sa famille. Finalement c'est surtout au niveau professionnel que c'est l'impasse. Le film est un peu lent, les scènes sont longues comme si on y était. C'est très réel peut-être trop.
    Marceau G.
    Marceau G.

    357 abonnés 365 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 27 mai 2015
    Filmé de façon quasi documentaire et privilégiant les plan-séquences, "La Loi du Marché" est un film brutal. Sec, fort, et sans enjolivures. Vincent Lindon campe un quinquagénaire au chômage qui après moult entretiens d'embauches finit par trouver un poste de vigile de supermarché. Mais très vite, il sera soumis à un dilemme moral... Réputé autant pour son charisme que pour son style "caméléon", cet acteur peut se glisser dans n'importe quel rôle. Il en fait une nouvelle fois la démonstration dans le nouveau film de Stéphane Brizé, avec qui il signe sa troisième collaboration. Il n'interprète pas Thierry, 51 ans, marié et père d'un enfant handicapé ; il est Thierry, 51 ans, marié et père d'un enfant handicapé ! "La Loi du Marché" est un film social frappant de vérité. Le tout est d'autant plus réaliste que le chef op' vient du documentaire, que Lindon ne semble point réciter de texte et que les scènes sont tournées en plan-séquences, c'est-à-dire sans "cut". Bon après, ça a ses faiblesses, notamment quand une discussion sans but précis s'éternise, mais cela fait partie du challenge et du parti pris du réalisateur. Il gagnerait peut-être à montrer un peu plus explicitement le fameux dilemme du personnage de Lindon, mais bon... "La Loi du Marché" est un film sur les gens autour de nous, ceux qu'on ne voit pas forcément, ceux qu'on snobe et qu'on dénigre, un film sur les oubliés et les laissés pour compte du système. Un film avec des gens de tous les jours, sur les longues heures passées chez Pôle Emploi, les stages inutiles, les entretiens d'embauches sur Skype, ou les cours de danse du mardi… Un film sur la vraie vie quoi.
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 10 juin 2015
    Encore un sujet de société fort que Stéphane Brizé décide de traiter et, une nouvelle fois, il ne s’échappe pas à l’affronte complètement. Même si le scénario charge parfois un peu la barque et que la réalisation est par moments un peu trop aride, La loi du marché reste un film important, marqué par la performance exceptionnelle de Vincent Lindon.
     Kurosawa
    Kurosawa

    512 abonnés 1 509 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 24 mai 2015
    "La Loi du Marché" est le nouveau film de Stéphane Brizé, en compétition officielle cette année à Cannes. Il raconte la vie de Thierry, au chômage depuis quinze mois et qui cherche désespérément un nouveau travail. Et c'est sur cet aspect, ce qui touche à la vie professionnelle du personnage principal, que le film est prenant. En effet, son réalisme est pour le moins percutant, notamment grâce à l'excellente interprétation de Vincent Lindon (en lice pour un prix sur la Croisette) et à la dureté de scènes d'humiliation que subit son personnage. Rares sont les films ces dernières années à avoir donné à ce point la voix à la classe moyenne et surtout aux chômeurs. Il est certain que des milliers de français se reconnaîtront à travers Thierry et verront que leur combat est reconnu et partagé. Pourtant, Il faut aussi admettre que le film est beaucoup moins intéressant quand il montre la vie privée du protagoniste, notamment dans ces scènes très gênantes avec le fils handicapé qui sont une réelle prise d'otage du spectateur: ce dernier est alors forcé d'être pris de pitié pour un homme qui, non seulement est au chômage, mais en plus ne s'en sort pas dans l'intimité. Enfin, le film rencontre quelques problèmes d'écriture au moment de rendre compte des conditions du nouveau travail de Thierry, étroitement liées à la dénonciation. Sans être répétitif, le film ne parvient toutefois pas à éviter une série d'exemples qui devient quelque peu lassante à la longue, comme une façon d'influer lourdement sur la décision finale du personnage. Un film à voir, intelligent dans certains choix d'ellipses et courageux dans son choix de faire durer des scènes a priori anodines, mais qui tombe dans des pièges pourtant facilement évitables.
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 4 juin 2015
    Vincent Lindon livre comme d'habitude une excellente performance, le film est très réaliste , il est filmé comme un quasi documentaire , rien n est romancé , on est vraiment plongé dans le quotidien de ce chômeur qui se bat pour sa famille .

    A conseiller donc à ceux qui souhaitent voir un film social , complètement ancré dans l'époque actuelle
    virnoni
    virnoni

    93 abonnés 578 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 24 mai 2015
    Film quasi documentaire à montrer dans toutes les écoles et...les entreprises! Un exemple de film engagé en longs plan séquences (mais sans lourdeur et démonstration) qui reflète parfaitement la société actuelle, avec ses humiliations dans un système qui broie au quotidien les plus "faibles", qui doivent d'ailleurs se bouffer entre eux (scène du stage entre chômeurs qui se jugent sans aucun filtre, scènes des caissières rabrouées par la patron pour des soit-disant fautes impardonnables...). Vincent Lindon est juste magistral, impérial, engagé aussi. Il reste debout malgré tout, droit dans ses bottes. Quasi mutique et fermé presque, comme hermétique aux humiliations et duretés qu'il doit subir, mais il suffit d'un frémissement de l'oeil, du coin de la lèvre pour entrevoir et comprendre toutes les émotions qui doivent le traverser, tout ce qu'il abandonne pour pouvoir rester digne et payer les études de son fils handicapé. Vincent Lindon est le personnage. Le spectateur ne peut qu'être sidéré devant le jeu de tous ces non-professionnels qui osent et livrent leurs émotions à l'état brut. On sent que Lindon donne la réplique de manière naturelle aussi, que le ping pong des dialogues s'est fait ainsi, sans fard et direct. Il faut de tel film, qui secoue et réveille les consciences car tout le monde ne percute pas ce monde presque irréel dans lequel nous sommes. J'aime beaucoup cette manière de filmer de Brizé, en 3/4 pour Lindon, spectateur autant que nous dans le supermarché par exemple. Témoin aussi. On sent qu'il ne juge pas mais ne pardonne pas et laisse à montrer, au spectateur de constater et de décider de lutter avec les personnages. La scène finale est tout aussi brutale et sèche, à la fois d'une dignité folle (sursaut de vie de Lindon qui nous réconforte avec la nature humaine) mais échec aussi par le système reste pour autant le même et on sait bien que le pire l'attend derrière. Bémol néanmoins : ces plans séquences alourdissent aussi les scènes qui s'étirent (scène du rock, vente du mobil-home etc.). On comprend leur nécessité mais des ajustement ici et là auraient rendus l'ensemble plus percutants encore et n'aurait pas donné une sensation d'ennui parfois.
    Film nécessaire, à voir. Cannes redore son blason avec une telle sélection!
    dimah
    dimah

    8 abonnés 75 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 20 mai 2015
    Documentaire peu valorisant, le monde du cinéma découvre la réalité du monde des français, ce doit être pour cela qu'il est dithyrambique
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 25 mai 2015
    Loin des critiques dithyrambiques de la presse, j'ai trouvé ce film avec des scènes trop longues et sans grand intérêt. Aucun rythme et une atmosphère très confinée. ..Un Vincent Lindon sans grande colère ou trop dissimulée.... Un sujet qui aurait mérité un panel d'émotions plus larges ...telles sont mes impressions à la sortie de ce film...
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 7 juin 2015
    Très bon film sur une réalité sociale quotidienne et superbement interprété par Vincent LINDON (comme toujours !).
    ffred
    ffred

    1 490 abonnés 3 966 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 26 mai 2015
    La loi du marché était l'un des films français très attendu de l'année. Parce qu'en compétition à Cannes, parce que Stéphane Brizé n'a jamais déçu, parce Vincent Lindon était annoncé comme formidable. Il l'est, et le jury du festival ne s'est sans doute pas trompé en lui attribuant le prix d’interprétation masculine. J'ai trouvé le film parfaitement maitrisé niveau mis en scène. Un côté documentaire accentué par l'utilisation d'acteurs non-professionnels dans leurs propres rôles. A côté de cela, c'est d'un pessimiste et d'une tristesse très déprimants (mais Quelques heures de printemps était déjà bien plombant). Limite misérabiliste. Et pour couronner le tout, le personnage a un fils handicapé. Soit lui, soit un des autres protagonistes, sont constamment humiliés, rabaissés. Le film se veut très réaliste et dénoncer, mais là ça fait vraiment beaucoup. Pour moi, effet inverse de celui escompté. Je n'ai pas accroché, ressenti aucune empathie pour aucun des personnages et au final me suis ennuyé, même si la fin est très réussie. La vie est dure, on le sait. Brizé enfonce trop le clou, il m'a assommé et je me suis perdu en route...
    Laurent C.
    Laurent C.

    237 abonnés 1 133 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 23 mai 2015
    Thierry Taugourdeau est un homme qui ne sourit plus. Il a peut-être ri, avant dans l'entreprise dont il a été licencié, il s'est sans doute amusé dans son bungalow même éloigné de la plage, mais aujourd'hui, il ne sourit plus. Le visage est dur, figé, comme celui d'un résistant qui ne lâche pas prise, un visage qui a peur de ses propres émotions. Le seul moment du film où on le voit qui rit, est celui où il danse avec sa femme, dans la maison, au côté de leur fils handicapé. Thierry ne peut plus sourire car c'est un homme qui lutte. Il est englué dans une lutte inégale, inconstante, une lutte pourtant où il est prêt à succomber aux pires compromis pour restaurer l'estime de soi que le licenciement, le manque d'argent, le chômage de longue durée lui ont fait perdre. Il a abandonné le combat contre l'entreprise qui l'a mis à la porte car il veut tourner la page. Il a abandonné le combat contre l'absurdité de Pôle Emploi et la cruauté des chômeurs comme lui, tellement habitués au dénigrement, qu'ils s'assènent eux-mêmes d'invectives, à coups de propos discriminants et négatifs. Par contre, il ne lâchera pas sur ce qu'il a construit de plus profond, de plus fort : sa famille. A plusieurs reprises, on voit ce père habiller ou laver son fils adolescent, infirme moteur cérébral, qui, à l'image du père, lutte pour regagner la place qu'il mérite à l'école, voire dans la société. Il ne lâchera pas sur le prix du Bungalow où il a passé ses vacances, il ne vendra pas le bien familial. Il ne lâchera pas sur son couple, filmé avec pudeur, mais où l'on pressent beaucoup d'amour, de la lassitude certes, de l'épuisement certes, mais beaucoup d'affection. Pour le reste, il s'abandonne à un métier de vigile dans un supermarché où il doit pourchasser les petits voleurs du quotidien, pire, ses propres collègues aux caisses, qui s'octroient des tickets de réduction ou des points supplémentaires sur leur carte de magasin. "La loi du marché ne cède à aucune démagogie, ni aucun misérabilisme social. Les rapports humains sont filmés avec dureté, avec sécheresse même. La caméra scrute les visages au plus près des yeux, comme pour y capter les émotions enfouies, les larmes qui ne coulent plus. Stéphane Brizé va jusqu'à filmer le visage d'une collègue qui s'est suicidée sur son lieu de travail, un visage figé dans une photo posée sur le caveau ; c'est un visage qui sourit bien sûr, mais dont sait immédiatement la détresse et l'impuissance qui l'ont conduite au geste final. La musique est totalement absente. Cette absence a un effet presque d'étouffoir, et il faut attendre la toute fin du film pour que la musique reprenne sa place sur l'écran, signe que le héros a de nouveau engagé la lutte contre le renoncement. Le réalisateur connaît très bien Vincent Lindon. Il s'agit peut-être d'un des plus grands rôles de sa carrière. Le scénario est taillé à la hauteur de cet acteur, beau, prudent, et expressif, qui donne au film l'épaisseur indispensable pour repenser le monde. D'ailleurs la marque de fabrique des films de Brizé, c'est la pudeur. On se souvient du tendre "Mademoiselle Chambon" ou du subtil "Quelques heures de printemps". Le réalisateur revendique la pudeur non pas comme un effet de style, mais comme un respect incroyable pour le spectateur à qui il confie l'émotion, le ressentiment, sans jamais les provoquer. Les lumières, la photo, les cadrages sont autant de manifestations du parti-pris esthétique et philosophique du réalisateur. Et vraiment, il fallait un homme comme V. Lindon pour incarner avec autant de dignité, les malheurs invisibles et quotidiens qui traversent les gens de peu.
    mazou31
    mazou31

    80 abonnés 1 262 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 26 mai 2015
    Comme disait le grand Pierre Desproges : “ Mais quelle époque ! En voici des manières ! Mais à quelles extrémités faut-il que l’on m’accule ? “ Oui, les gourous du cinéma m’ont bien roulé ! Je croyais voir un grand film. Raté ! J’ai vu un reality-show bien plombant, mais heureusement dans une autre catégorie que les débilités télévisuelles. Un film sans intérêt, du moins pour ceux qui ont suffisamment d’attention et de compassion pour leur propre société. À part quelques bobos bien protégés, je préfère dire bopasbo (pour BOurgeois PAS BOhêmes, avec jeu de mot intégré), pour qui le film peut paraître exotique et révélateur, qui n’a pas connu pour lui-même ou dans son entourage au moins une de ces situations difficiles ? Qui n’a pas montré une même dignité, une même lucidité que Thierry ? S’il y a manque de dignité, s’il y a cynisme, ce n’est pas du côté de ces gens qui souffrent mais plutôt du côté de ceux qui font souffrir ! Revenons au film-qui-n’en-est-pas-un, à ce faux-documentaire qui ne ferait pas jeu avec ceux d”’Investigation”. Donc un “film” ennuyeux à l’excès, sans message fort et original, sans montage, sans mise en scène attractive. Stéphane Brizé a appris que la caméra subjective et le gros plan donnent de l’intimité… alors, allons-y, tournons exclusivement comme cela ! Chapeau, l’artiste ! Quelle maestria ! C’est pénible, ça fait mal aux yeux et ça enlève tout souffle au “film”. Heureusement un point positif incontestable : l’interprétation remarquable de Vincent Lindon – qui méritait plus un prix cependant dans un film comme Welcome ou Quelques heures au printemps – ainsi que les prestations admirables de tous les amateurs. Bref un film à éviter, mieux vaut regarder autour de soi, du moins si vous n’êtes pas dans les zélites ! En conclusion notre oligarchie devrait plutôt s’inquiéter de ces succès français, mérités ou immérités, qui tous décrivent les souffrances d’une société qui implose.
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