Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
17 critiques presse
Femme Actuelle
par La Rédaction
Ce superbe film guatémaltèque nous emmène là où nous ne nous y attendions pas.
L'Obs
par La Rédaction
D’une beauté plastique à couper le souffle, et soudain brutalement éclairé par les lumières de la ville et les néons de l’hôpital, "Ixcanul" impose sa logique avec une maîtrise sidérante.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Journal du Dimanche
par Alexis Campion
Ixcanul est une pépite, une belle réussite qui se trouve être, aussi, celle d’un jeune cinéaste qui aboutit là son premier long métrage. Dès les premières scènes, le spectateur est plongé dans une ambiance prégnante, et impressionné par la haute tenue de longs plans-séquences très maîtrisés.
Paris Match
par Yannick Vely
"Ixcanul" de Jayro Bustamante est la nouvelle merveille du cinéma latino américaine, un premier film à la fois sensuel et poignant sur une jeune femme guatémaltèque qui tombe enceinte alors que l'exploitation familiale est infestée de serpents.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Positif
par Ariane Allard
Talent d'un scénario rythmé, qui slalome habilement entre les genres (...) Talent d'une mise en scène, surtout, qui opte avec confiance pour de nombreux plans-séquences.
20 Minutes
par Caroline Vié
Le jeune réalisateur dépasse l’aspect ethnographique de son sujet pour construire des personnages attachants et un environnement multisensoriel surprenant.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Culturopoing.com
par Benjamin Cocquenet
Si quelques scènes d’Ixcanul évoquent des rites chamaniques et mystérieux, des forces invisibles semblent néanmoins s’y agiter en permanence. Par le cadre et la lumière, Jayro Bustamante excelle à distiller une ambiance étrange qui infuse dans la totalité du film. Il révèle alors son vrai projet : un processus de déréalisation.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Un film guatémaltèque d’une étonnante maîtrise qui en dit beaucoup sur une civilisation, le tout en cakchiquel, ce qui en dit assez la rareté.
Le Monde
par Thomas Sotinel
"Ixcanul" saisit par sa beauté.
Le Parisien
par Pierre Vavasseur
Sur cette trame simple, "Ixcanul" rend le spectateur captif d'un bout à l'autre. Il vibre d'amour, de révolte et de résignation mélangés.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Télérama
par Frédéric Strauss
La tension d'un mélodrame familial s'immisce alors dans ce cinéma d'une authenticité presque documentaire. Entre sentiments poignants et échos d'une réalité implacable, Ixcanul trace superbement sa voie.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Critikat.com
par Clément Graminiès
Le réalisateur peine à faire des choix forts, probablement soucieux de ne jamais tomber dans la pure démonstration.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
La Voix du Nord
par Philippe Lagouche
Rien à redire au filmage marqué par une belle économie de moyens, un travail pointu sur la durée des plans, une attention aux contrastes de la lumière dans laquelle baignent des acteurs aussi secs que la terre brulée qui les abrite. Jusqu’à ce que dans la deuxième partie du film, le récit affirme ses véritables enjeux, le scénario prenant un tour imprévisible, imposant des problématiques politiques et humanistes insoupçonnées.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Libération
par Didier Péron
Sans doute aussi que l’écriture même du personnage de l’héroïne - tout à la fois rebelle et apathique - contribue à laisser une impression d’un film brillamment produit, mais intimement peu ressenti.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Première
par Isabelle Danel
Malgré de superbes images, ce premier long garde une distance ethnologique qui freine l’empathie.
La critique complète est disponible sur le site Première
Les Inrockuptibles
par Romain Blondeau
Un film world un peu balisé aux discrets charmes sensuels.
Studio Ciné Live
par Thomas Baurez
Le scénario distille une poésie douce et violente sans parvenir à transcender les choses. Dommage.
Femme Actuelle
Ce superbe film guatémaltèque nous emmène là où nous ne nous y attendions pas.
L'Obs
D’une beauté plastique à couper le souffle, et soudain brutalement éclairé par les lumières de la ville et les néons de l’hôpital, "Ixcanul" impose sa logique avec une maîtrise sidérante.
Le Journal du Dimanche
Ixcanul est une pépite, une belle réussite qui se trouve être, aussi, celle d’un jeune cinéaste qui aboutit là son premier long métrage. Dès les premières scènes, le spectateur est plongé dans une ambiance prégnante, et impressionné par la haute tenue de longs plans-séquences très maîtrisés.
Paris Match
"Ixcanul" de Jayro Bustamante est la nouvelle merveille du cinéma latino américaine, un premier film à la fois sensuel et poignant sur une jeune femme guatémaltèque qui tombe enceinte alors que l'exploitation familiale est infestée de serpents.
Positif
Talent d'un scénario rythmé, qui slalome habilement entre les genres (...) Talent d'une mise en scène, surtout, qui opte avec confiance pour de nombreux plans-séquences.
20 Minutes
Le jeune réalisateur dépasse l’aspect ethnographique de son sujet pour construire des personnages attachants et un environnement multisensoriel surprenant.
Culturopoing.com
Si quelques scènes d’Ixcanul évoquent des rites chamaniques et mystérieux, des forces invisibles semblent néanmoins s’y agiter en permanence. Par le cadre et la lumière, Jayro Bustamante excelle à distiller une ambiance étrange qui infuse dans la totalité du film. Il révèle alors son vrai projet : un processus de déréalisation.
Le Dauphiné Libéré
Un film guatémaltèque d’une étonnante maîtrise qui en dit beaucoup sur une civilisation, le tout en cakchiquel, ce qui en dit assez la rareté.
Le Monde
"Ixcanul" saisit par sa beauté.
Le Parisien
Sur cette trame simple, "Ixcanul" rend le spectateur captif d'un bout à l'autre. Il vibre d'amour, de révolte et de résignation mélangés.
Télérama
La tension d'un mélodrame familial s'immisce alors dans ce cinéma d'une authenticité presque documentaire. Entre sentiments poignants et échos d'une réalité implacable, Ixcanul trace superbement sa voie.
Critikat.com
Le réalisateur peine à faire des choix forts, probablement soucieux de ne jamais tomber dans la pure démonstration.
La Voix du Nord
Rien à redire au filmage marqué par une belle économie de moyens, un travail pointu sur la durée des plans, une attention aux contrastes de la lumière dans laquelle baignent des acteurs aussi secs que la terre brulée qui les abrite. Jusqu’à ce que dans la deuxième partie du film, le récit affirme ses véritables enjeux, le scénario prenant un tour imprévisible, imposant des problématiques politiques et humanistes insoupçonnées.
Libération
Sans doute aussi que l’écriture même du personnage de l’héroïne - tout à la fois rebelle et apathique - contribue à laisser une impression d’un film brillamment produit, mais intimement peu ressenti.
Première
Malgré de superbes images, ce premier long garde une distance ethnologique qui freine l’empathie.
Les Inrockuptibles
Un film world un peu balisé aux discrets charmes sensuels.
Studio Ciné Live
Le scénario distille une poésie douce et violente sans parvenir à transcender les choses. Dommage.