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    Malgré la nuit
    Note moyenne
    2,7
    11 titres de presse
    • Les Inrockuptibles
    • Transfuge
    • Critikat.com
    • L'Humanité
    • Les Fiches du Cinéma
    • Première
    • Télérama
    • Cahiers du Cinéma
    • TF1 News
    • aVoir-aLire.com
    • Le Monde

    Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.

    11 critiques presse

    Les Inrockuptibles

    par Romain Blondeau

    Grandrieux creuse sa veine expérimentale dans un film noir fantasmé, suave et morbide. Le cinéaste poursuit son idéal de cinéma comme expérience du sensible, assemblage composite de plans, de sons, d'ombres et de lumière organisant ses visions-cauchemars

    Transfuge

    par Damien Aubel

    Le nouveau Grandrieux, avec sa lumière pulvérulente, ses personnages comme des apparitions qui flottent entre deux mondes mal déterminés, devient une entreprise de connaissance par les gouffres.

    Critikat.com

    par Marie Gueden

    C’est à une monstruosité à double tranchant que nous convie Philippe Grandrieux et dont il est coutumier, bien qu’elle vire ici à une forme de caricature par la radicalisation à laquelle elle soumet le spectateur : c’est une beauté sidérante dans chaque plan, mais cette beauté a le revers d’un terrible théâtre de la cruauté.

    La critique complète est disponible sur le site Critikat.com

    L'Humanité

    par Vincent Ostria

    L’essentiel pour Grandrieux, qui recherche les sensations et les situations sulfureuses, est de filmer des corps emmêlés, leurs interactions avec l’environnement et la nature. Maestro de l’action cinéma, comme on parle d’action painting, il capte caméra au poing des détails infimes, il scrute intensément et avec lyrisme les zones d’ombre. Au propre et au figuré.

    La critique complète est disponible sur le site L'Humanité

    Les Fiches du Cinéma

    par Corentin Lê

    Grandrieux confronte idées limpides et images troubles et met en scène la notion, assez anodine, de l'amour salvateur, par le biais d'un amas d'instants sensitifs peu communs, à la fois insoutenables et sensationnels.

    Première

    par Christophe Narbonne

    Arythmique, anxiogène, décadent, nébuleux, sombre évidemment, rock et électro, "Malgré la nuit" est une expérience singulière, un pur shoot de cinoche (...) dont la durée excessive, engourdissante (...), requiert l'adhésion totale du spectateur.

    Télérama

    par Jacques Morice

    C'est d'une beauté convulsive, parfois un peu datée. Mais, dans sa manière de fragmenter les corps, de résumer l'(in)humanité à travers les mains qui caressent, se tendent, empoignent, étouffent, Grandrieux démontre qu'il est toujours un grand formaliste.

    La critique complète est disponible sur le site Télérama

    Cahiers du Cinéma

    par Florence Maillard

    Difficile de prendre au sérieux – aussi sérieusement que Philippe Grandrieux le fait lui-même – ces amours passionnelles et jalousies d’une poignée de personnages errants, qui conduisent de fragments quotidiens en trouées fantasmatiques, sans jamais convaincre qu’il se joue là quelque chose de partageable.

    TF1 News

    par Romain Le Vern

    On est content que ce cinéma-là existe. Mais si les précédents longs métrages de Grandrieux donnaient l'impression d'être en avance, "Malgré la nuit" paraît extrêmement daté dans ses codes narratifs, dans sa grandiloquence et sa volonté d'édifier une tragédie dans un Paris en proie aux forces du mal.

    La critique complète est disponible sur le site TF1 News

    aVoir-aLire.com

    par Frédéric Mignard

    Grandrieux, désormais plus arty qu’artistique , livre une "Bataille" qu’un certain George avait déjà menée en littérature. La comparaison n’est ici pas à son avantage.

    La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com

    Le Monde

    par Isabelle Regnier

    La moindre séquence de "Malgré la nuit" pourrait donner lieu à une série de photos pour une galerie parisienne. C’est là le problème de ce film qui revendique l’héritage de George Bataille, mais qu’un esprit de sérieux écrasant et une volonté acharnée de faire art font tendre vers l’esthétique « porno chic » des années 2000.

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