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    El Club
    Note moyenne
    3,6
    21 titres de presse
    • Paris Match
    • CinemaTeaser
    • Critikat.com
    • Ecran Large
    • L'Humanité
    • La Voix du Nord
    • Le Dauphiné Libéré
    • Le Monde
    • Le Point
    • Libération
    • Première
    • Transfuge
    • Télérama
    • aVoir-aLire.com
    • L'Obs
    • La Croix
    • Les Inrockuptibles
    • TF1 News
    • Cahiers du Cinéma
    • Le Journal du Dimanche
    • Studio Ciné Live

    Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.

    21 critiques presse

    Paris Match

    par Yannick Vely

    Le propos du film serait insupportable si le réalisateur de «Tony Manero» regardait ses personnages de haut : il n’en est rien et les rires que le film convoque parfois sont si grinçants qu’ils provoquent immédiatement le malaise

    La critique complète est disponible sur le site Paris Match

    CinemaTeaser

    par Emmanuelle Spadacenta

    Ce serait dommage de s'arrêter à sa forme roide et à son image bleue-grise, parée d'un voile laiteux. Il y a une grande puissance derrière.

    La critique complète est disponible sur le site CinemaTeaser

    Critikat.com

    par Benoît Smith

    D’une drôlerie presque paradoxale, le film semble régulièrement rebondir pour éviter de sombrer dans la gaudriole comme dans le sérieux.

    La critique complète est disponible sur le site Critikat.com

    Ecran Large

    par Simon Riaux

    Dur, austère et vénéneux, El Club est un remarquable réquisitoire.

    La critique complète est disponible sur le site Ecran Large

    L'Humanité

    par Vincent Ostria

    Évitant une approche spectaculaire ou édifiante, Larrain insiste surtout sur la trivialité du contexte et des événements. Décapant jeu de massacre en demi-teintes grisâtres.

    La critique complète est disponible sur le site L'Humanité

    La Voix du Nord

    par Philippe Lagouche

    Faisant confiance au pouvoir évocateur de la photo comme décolorée ou voilée de brume – parfait contrepoint à l’image numérique honnie. Empruntant à Bach et à Arvo Pärt de fièvreuses musiques sacrées. S’appuyant sur le jeu intérieur des acteurs. Tout ce qui concourt à nimber de cinéma et d’universalité cette impitoyable peinture de la mauvaise conscience collective.

    La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord

    Le Dauphiné Libéré

    par Jean Serroy

    Un film d’une force explosive, qui mêle l’animalité au spirituel et l’ombre à la lumière.

    Le Monde

    par Jacques Mandelbaum

    Comme toujours chez Larrain, de la tenue dans le malaise, une atmosphère nimbée d'étrangeté, de la misère percluse d'humanité, une descente aveuglante dans la ouate affective de ceux qui se sont rendus coupables des pires forfaitures.

    Le Point

    par Phalène de La Valette

    Un huis clos angoissant et brillant sur la conscience autour d'un club de retraités...

    La critique complète est disponible sur le site Le Point

    Libération

    par Clémentine Gallot

    Scandé par la musique glaçante du compositeur estonien Arvo Pärt, le récit préfère, au procès sans appel des prêtres pédophiles, l’ambiguïté distillée dans toute son opacité.

    La critique complète est disponible sur le site Libération

    Première

    par Vanina Arrighi de Casanova

    Ici, tout est sombre, malade, corrompu. Le cinéaste chilien voile d’ailleurs l’image de filtres, tourne à l’aube ou au crépuscule et baigne l’ensemble dans un flou dans lequel le scénario maintient longtemps le spectateur.

    La critique complète est disponible sur le site Première

    Transfuge

    par Sidy Sakho

    La force du cinéma de Pablo Larraín n'est jamais aussi évidente que lorsqu'il s'en tient à une direction : les actes d'un serial killer, les stratégies de séduction des masses par des publicitaires.

    Télérama

    par Cécile Mury

    A l'instar de la lumière sourde et crépusculaire, couleur d'algues, de béton et de pluie, qui baigne chaque image, tous les antihéros de ce conte implacable sont gris, ignobles et poignants, pathétiques et infiniment seuls, si dérisoires qu'ils en sont parfois comiques.

    La critique complète est disponible sur le site Télérama

    aVoir-aLire.com

    par Aida Amasuno Martin

    (...) si "El club" se refuse à chercher la polémique, ce savoureux brûlot met le doigt là où cela fait mal...

    La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com

    L'Obs

    par La Rédaction

    Jamais ce thème n'avait été abordé au cinéma : c'est une idée superbe. Mais pourquoi avoir choisi de filmer ce drame avec d'anciens objectifs soviétiques ? (...) étonnant contraste entre le contenu, formidable, et la mise en forme, laide.

    La critique complète est disponible sur le site L'Obs

    La Croix

    par Arnaud Schwartz

    Avec ce film à la forme appuyée mais cohérente, dérangeant, cru et violent dans son propos, Pablo Larrain porte le fer dans la plaie d’une humanité terrible de cynisme, de mensonge, de chantage et d’hypocrisie.

    La critique complète est disponible sur le site La Croix

    Les Inrockuptibles

    par Vincent Ostria

    Larraín a le don de faire monter insidieusement la tension et l’horreur ordinaire. Il finira par mettre les points sur les “i” et par pousser le malaise à son comble. (...) Ici, malgré quelques actes explicites, l’essentiel passe par la parole, crue et théâtralisée.

    La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles

    TF1 News

    par Romain Le Vern

    Film fou aux caractères très ambigus, "El Club" doit beaucoup à son envoûtante atmosphère de limbes et à ses prises de risque narratives. Quelques bémols toutefois, notamment la grandiloquence et la composition sursignifiantes d'Arvo Part.

    La critique complète est disponible sur le site TF1 News

    Cahiers du Cinéma

    par Gaspard Nectoux

    Alors que "No" avait à Pablo Larrain permis de se défaire du fond de veulerie de son précédent film, "Santiago 73 post mortem", son nouveau long revient à l’esbroufe basse, et masque mal le peu de choses qu’il a à dire.

    Le Journal du Dimanche

    par Alexis Campion

    S’il a le mérite de révéler comment l’Église déporte ses religieux trop gênants, ce débat en quasi huis clos apparaît bien lourd sinon indigeste, trop insistant sur le côté rance de son univers à part.

    Studio Ciné Live

    par Thierry Cheze

    Trop glauque. Pas assez dérangeant.

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