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    Trois souvenirs de ma jeunesse
    Note moyenne
    4,1
    22 titres de presse
    • Chronic'art.com
    • Le Dauphiné Libéré
    • Le Dauphiné Libéré
    • Les Inrockuptibles
    • Libération
    • Marianne
    • Positif
    • Transfuge
    • Télé 7 Jours
    • CNews
    • Critikat.com
    • Ecran Large
    • L'Express
    • L'Obs
    • La Croix
    • Studio Ciné Live
    • Cahiers du Cinéma
    • Le Journal du Dimanche
    • Première
    • Télé 2 semaines
    • Voici
    • L'Humanité

    Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.

    22 critiques presse

    Chronic'art.com

    par Murielle Joudet

    Voilà donc l'Arcadie de Depleschin: des adolescents abandonnés à eux-mêmes, occupés à leurs histoires d'amour et d'amitié, faisant leurs humanités, bien loin des adultes décevants.

    La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com

    Le Dauphiné Libéré

    par La Rédaction

    Une plongée très proustienne dans le moi profond, dans un film brillamment construit comme un puzzle mémoriel et sentimental.

    Le Dauphiné Libéré

    par La Rédaction

    Une plongée très proustienne dans le moi profond, dans un film brillamment construit comme un puzzle mémoriel et sentimental.

    Les Inrockuptibles

    par Luc Chessel

    Les films de Desplechin ont l’art d’emporter dialogues et mise en scène, parler et voir, en un même mouvement qui les rend violemment synchrones, indémêlables et entrechoqués.

    La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles

    Libération

    par Clément Ghys

    Le cinéaste n’est jamais aussi juste que dans son traitement de l’adolescence. Plutôt que de la décrire, façon documentariste, il la réinvente, offre à ses héros un romanesque que l’on aurait adoré vivre.

    La critique complète est disponible sur le site Libération

    Marianne

    par Danièle Heymann

    Le charme de Mathieu Amalric agit toujours, sa complicité avec Arnaud Desplechin est à son zénith.

    Positif

    par Marc Cerisuelo

    Paul Dédalus, exfiltré de "Comment je me suis disputé... (ma vie sexuelle)", n'est ni tout à fait le même ni tout à fait un autre. Enrichi au contact de personnages et de lieux en provenance de "Rois et Reine" ou "Un conte de Noël", l'alter ego du cinéaste offre à ce dernier la matière d'un film à tiroirs mélancolique et enjoué, tragique et solaire.

    Transfuge

    par François Bégaudeau

    Loin de le circonscrire aux périmètres supposés étriqués du cinéma verbeux, la littérature fait de "Trois souvenirs" un voyage immobile qui le porte loin et le fait voler haut.

    Télé 7 Jours

    par Julien Barcilon

    Desplechin aime les mots et les acteurs auxquels il offre des partitions ciselées. Portée par des comédiens lumineux, son évocation du temps perdu recèle des trésors de sincérité et d'émotions au goût de madeleine.

    CNews

    par La Rédaction

    Brillant dans ses dialogues – bien souvent désopilants – ou lorsqu’il s’agit de composer des portraits de groupe, le réalisateur d’Un conte de Noël excelle à montrer une certaine jeunesse des années 1980 portée par une bande de jeunes acteurs étincelants.

    Critikat.com

    par Adrien Dénouette

    C’est ainsi que le conte fantastique et la mission initiatique s’insèrent parfaitement dans la mythologie du personnage, dont l’éducation intellectuelle que l’on redoutait, est heureusement balayée au profit de genres et d’intrigues sans impuretés.

    La critique complète est disponible sur le site Critikat.com

    Ecran Large

    par Simon Riaux

    Un film énervé et énervant, romanesque et romantique, plein de panache et cocardier, fier et sincère.

    La critique complète est disponible sur le site Ecran Large

    L'Express

    par Christophe Carrière

    N'étaient quelques afféteries de mise en scène et une emprise truffaldienne surlignée, ce serait parfait. Sauf que ça ne l'est pas. C'est juste très bien.

    L'Obs

    par Pascal Mérigeau

    Le cinéaste a éliminé certaines coquetteries pour livrer avec ces "Trois souvenirs..." son meilleur film, dont la profondeur touche par moments une forme de grandeur.

    La Croix

    par Arnaud Schwartz

    Narrés avec une certaine distance, un ton décalé, souvent beaucoup de drôlerie, mais aussi un certain sens du lyrique et du tragique, ces "Souvenirs"... sont portés avec brio par Quentin Dolmaire, répéré au Cours Simon, et Lou Roy-Lecollinet, tout droit venue - ou presque - de sa classe de terminale option théâtre.

    La critique complète est disponible sur le site La Croix

    Studio Ciné Live

    par Thomas Baurez

    La mise en scène de Desplechin est au diapason. Le cinéaste est un virtuose discret (...) "Trois souvenirs de jeunesse" (lesquels précisément, d'ailleurs ?) à jamais perdu dans les méandres de la mémoire et, pourtant, fixé dans le temps du cinéma. Une merveille.

    Cahiers du Cinéma

    par Florence Maillard

    Une composition du récit très ouvragée, mais son articulation est assez floue, et donne au film un déséquilibre certain, un caractère hésitant, à la recherche de son lieu. 

    Le Journal du Dimanche

    par Alexis Campion

    Arnaud Desplechin réussit une plongée aussi maîtrisée que revigorante dans son propre univers. (...). Ici, sous forme de fiction très écrite, cet insaisissable récit fricote aussi bien avec l'espionnage qu'avec la chronique adolescente.

    Première

    par Gaël Golhen

    Ce que dit Desplechin, c’est que son alter ego est "Personne" ; et qu’il doit entendre sa propre histoire de la bouche d’un autre pour reconquérir son identité, comme le cinéaste doit emprunter à des genres (...) pour créer son film. C’est ce doute existentiel, cette idée moderne de la reconquête qui, dans un geste d’amour-haine, lui fait réécrire l’histoire de sa famille et de la civilisation.

    La critique complète est disponible sur le site Première

    Télé 2 semaines

    par La Rédaction

    Présenté à Cannes à la Quinzaine des réalisateurs, ce prequel de "Comment je me suis disputé...(ma vie sexuelle)", sorti en 1996, a de l'ambition.

    Voici

    par La Rédaction

    Le réalisateur de "Comment je me suis disputé (ma vie sexuelle)" retrouve son Antoine Doisnel à lui, Paul Dedalus, pour une épopée existentielle, intellectuelle et (un peu trop) foisonnante dans sa jeunesse.

    L'Humanité

    par Vincent Ostria

    Finalement, on aurait tendance à préférer l’aspect espionnite aiguë à la romance adolescente entre Paul et Esther qui envahit l’essentiel du film. En soi, elle est belle et lancinante, mais extrêmement littéraire. Le jeune héros se regarde aimer. On préfère le Desplechin feuilletoniste au Desplechin romancier. Question de goût.

    La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
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