Bof bof non j'étais pas dedans c'est fade j'ai pas eu le palpitant contrairement au film le convoi vu il y a quelques mois dans le même goût... On ne s'attache pas à ces acteurs qui ont probablement beaucoup de talent mais le scénario ne le permet pas
“BRAQUEURS” est un excellent thriller. Beaucoup d’action, pas de temps mort, les scènes se succèdent à un rythme haletant. L’intrigue, centrée sur un “grand braqueur” et sa famille, est fort bien montée, resserrée, riche en péripéties et tout à fait réaliste ; l’arrière plan humain et familial est parfaitement crédible, sans pathos inutile. Ce film sans verbiage superflu est digne des grands classiques du genre “thriller d’action avec truands, poursuites, etc.” comme “Go fast” de R.ZEM, “Heat” de T.MANN, etc. Les acteurs jouent très juste, et les 2 ou 3 héroïnes ne sont pas en reste. Impossible de chipoter sur le 20/20 à toute l’équipe, acteurs, metteur en scène, scénariste, cascadeurs, etc.
Très court, Braqueurs dure moins d'1h20 (même en comptant le générique). Un film qui ne révolutionne rien du tout mais qui est efficace. Sa courte durée empêche d'approfondir les choses et ses personnages, cela est compensé par une mise en scène assez nerveuse et sèche enchaînant les scènes d'actions et les rebondissements. Une histoire classique mais qui fonctionne, des acteurs dans l'ensemble qui joue bien, par contre pas de personnages auxquels on s'attache mais au moins Julien Leclerq ne romantise pas le banditisme. Voilà un polar français tout à convenable, et qui nous divertit le temps qu'il dure à défaut de rester longtemps dans nos esprit après l'avoir terminé.
Après un Chrysalis prometteur, Julien Leclercq s'était définitivement installé comme l'un des meilleurs réalisateurs de film d'action français avec L'assaut, confirmé par Gibraltar. C'est donc tout naturellement qu'aujourd'hui il nous livre un Braqueurs très réussi. Une mise en scène serrée, maitrisée. Un scénario classique mais bien écrit. Une direction d'acteurs irréprochable. Un Sami Bouajila impeccable qui peut décidément tout joué, naviguant sans problème de Omar m'a tuer à Good Luck Algeria en passant par Pattaya. Il est parfaitement épaulé par un Guillaume Gouix toujours juste et tout un casting de seconds rôles très convaincant. Bref, c'est sans surprise mais c'est carré, c'est efficace, c'est bien fait, on ne s'ennuie pas une minute. Un très bon polar pour un très bon divertissement.
Le polar français, confié à des réalisateurs compétent, est capable de produire de très bons produits. J. Leclercq n'est pas un grand metteur en scène mais ça reste un technicien efficace, capable d'emballer des séquences d'action de manière correcte. Ce qui lui manque, c'est un peu plus de conscience dans les messages qu'il délivre. Ce film de braquage, se concentrant exclusivement sur des pourris qui braquent et des dealers qui commettent des horreurs, n'a jamais de contrepoint, légitimant presque les actions de ses "héros". Pour autant, tout n'est à jeter et ça reste bien fait, bien écrit, avec des personnages ayant une certaine consistance malgré une durée assez courte. Les acteurs sont à leur place et les scènes d'action dépotent pas mal en dépit d'un petit budget. Mais bon, clairement, le film ne peut se hisser à la hauteur des modèles revendiqués (l'inévitable "Heat"), qu'il se contente de copier mais qu'il ne surpasse jamais. D'autres critiques sur thisismymovies.over-blog.com
Un film de braquage inintéressant et mou du genou. Il ne propose aucun plan impactant ni aucune séquence d’action marquante et ne peut pas compter sur un scénario famélique déjà-vu des centaines de fois.
L'action est bien menée (notamment le braquage du Go Fast et sa suite). ça fait du bien d'avoir un film comme ça en France. Cependant les personnages sont peu approfondis (à l'image d'un Olivier Marshal) et l'histoire est sous exploitée avec trop de raccourci (rapport à la famille, à la police, ...). Bref un bon moment d'action sans histoire.
LA DERNIERE COURSE. Un nettoyage à sec ou quelques balles s'égarent. Ca sent la poudre, ça siffle aux oreilles mais ça ne touche qu'à l'épaule. Un scénario baclé, relevé par une mise en scène agressive et nerveuse.
un très bon film film policier français avec un très bon jeu d'acteurs un bon scénario de bonnes scènes d'actions, on est pris en haleine durant toute la projection. j'en attendais pas tant donc ce fût une bonne surprise pour moi. j'ai passé un très bon moment en salle.
Je n'avais vu que "L'assaut" de la filmographie de Julien Leclercq et je trouve que ce film est dans la même lignée puisqu'on retrouve la même maîtrise et intensité dans "Braqueurs" qui est quand même un cran au-dessus. L'histoire est bien évidemment moins forte, mais comme la situation n'est pas statique, on a quelque chose de très rythmé et haletant grâce à une réalisation nerveuse et une histoire qui va à l'essentiel. En plus, le film ne dure que 70 minutes donc il n'y a pas de fioriture, c'est vraiment tout pour l'action. L'histoire est simple, c'est sûr qu'on aurait pu avoir des "missions" plus détaillées notamment au niveau de la préparation des coups, mais ce n'était pas le souhait du réalisateur qui a voulu tout axer sur le terrible engrenage de ces personnes qui pour une petite erreur vont se retrouver dans une situation très dangereuse. J'ai vraiment été agréablement surpris par ce film, c'est captivant de bout en bout, les scènes d'action sont très bonnes, Sami Bouajila et Guillaume Gouix sont convaincants, il n'y a rien de plus à dire juste que c'est un excellent divertissement.
Après "Gibraltar", Julien Leclercq poursuit son exploration du cinéma de genre et offre avec "Braqueurs" une série B redoutablement efficace à défaut d'être subtile. D'une courte durée (1h20), le film brosse le portrait de Yanis et de son équipe, tous braqueurs professionnels qui se retrouvent dans une sale situation. Dès lors, ils vont devoir agir vite et bien s'ils veulent s'en sortir vivants et protéger leurs familles au passage. C'est donc du cinéma d'action qui ne se perd pas dans l'inutile et qui taille dans le vif. Yanis, chef d'équipe charismatique incarné par Sami Bouajila, prend des décisions rapides sans jamais revenir en arrière. C'est le genre de mec capable de décider en quelques secondes s'il va tuer quelqu'un ou non, un type qui agit rapidement à l'image du film. Évidemment et comme toutes les séries B françaises de ces dernières années, le premier degré est parfois tellement prononcé que ça frise le ridicule surtout dans les dialogues mais à gonfler son rythme et à offrir des scènes d'action sèches et brutales, Julien Leclercq parvient à immerger le spectateur sans problème au sein d'un univers impitoyable et terriblement réaliste. Malgré le soin apporté à l'action, il est cependant intéressant de remarquer qu'en quelques scènes, le film parvient également à faire exister ses personnages et à leur donner une certaine dimension tragique, pas loin de la mélancolie et du sens du sacrifice.