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    Les Délices de Tokyo
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    4,0
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    162 critiques spectateurs

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    jean-paul K.
    jean-paul K.

    7 abonnés 323 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 3 janvier 2017
    Encore un film japonais dont on se régale. Les Asiatiques nous présentent depuis quelques temps des films d'une sensibilité et d'une délicatesse extraordinaires, où les sentiments sont toujours sous-jacents et suggérés. De plus, il y a des images superbes notamment celles avec cette allée de cerisiers en fleurs.
    Vanessa W
    Vanessa W

    20 abonnés 88 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 20 décembre 2016
    "Même si l on s efforce de vivre de façon irreprochable, il peut arriver que l incompréhension de la société nous ecrase. Il faut parfois faire preuve de sagesse(...) je vous en prie, suivez votre propre chemin".
    Ce film est une balade qui nous mène a la delicatesse. Une pause dans ce monde bruyant qui n a pas le temps de regarder autour de lui.
    3 parcours de vie, 3 générations où chaque personnage a subi une mise a l ecart mais qui vont apprendre a se connaitre autour de la cuisine du dorayaki. J aime ces films asiatique qui sublime la nature, la cuisine et la bienveillance discrète.
    Yetcha
    Yetcha

    739 abonnés 4 258 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 15 décembre 2016
    Une superbe histoire pleine d'humanité, de tolérance, d'écoute et d'acceptation face à l'adversité et la bêtise humaine. Seul bémol, ça donne drôlement faim de dorayaki et pas facile d'en trouver en France.
    Benito G
    Benito G

    581 abonnés 3 159 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 5 décembre 2016
    Pas fan des films Japonaise peut importe le genre même si je dénie pas la qualité de certains. Plus sa avance et plus je commence à adhérer à cette frome de cinématographie. A la fois doux, fin et plein de délicatesse... LA lenteur se fait ressentir ; mais on sent qu'elle est calculée donc ne durera pas indéterminablement. Coté histoire, il s'agit d'un très beau film dans la plus pure tradition des drames venant du pays du Soleil... Coté histoire, on part sur un synopsis ou l'on démarre sur un scack de quartier et ou l'histoire d'un cuistot (possédant un grand talent culinaire) vont être remis en cause par un vieille cuisinière familiale. tout le long du film, on explore 2 exception de la cuisine ; mais également de la vie à explorer ; le long des cycles des saisons (ici, celui du fameux cerisiers japonais) et celle de la vie. LE trio joue agréablement et montrent un réel talent grâce à un charisme fort. Allant même jusqu'à montrer / survoler l'existence sur l'ôde inter-générationnelle (enfin comme cela se passe dans ses pays là). Mais si il n' y avait que cela. Admettons. Mais c'est également un drame sur la bétise humaine, l'handicap et à contrario la visiellesse. Bref, passons cela ; le film pondérée, touchante et en même juste et sensible jusquè la fin du film. C'est sans doute pourquoi (voulant faire passer plusieurs "petites" chose) que le film arrive à nous toucher parfois sans même qu'une situation se fasse. Idem pour le coté sensible et juste qui arrive malgré tout à tenir le rythme (c'est d'ailleurs qui qui en 1er lui fait passer l'émotion ; pour le début relativement douce). LE film monte en intensité au fur et à mesure que monte la puissante. On ressort du film avec une réflexion de la vieille dame, dont une qui n'ait pas ; à oublier =) Même sans réussir sa vie nous pouvons un sens à notre existence... Et pour le clôre le, film il n'y avait pas grand chose d'autre à redire. Après plus appréciable pour les amateurs de gastronomie ou les fils Asiatique, mais commençant à apprécier ce genre ; quelques soient le style (horreur, drame, animation...). Les Japonais ont évolués par rapport à il y une bonne decennie (ou alors les étaient encore plus tabou). Mais pour cette oeuvre, sa s'apprécie.
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 27 octobre 2016
    L'histoire d'un rêve particulier, celui d'une vieille dame voulant s'accomplir dans une modeste échoppe à sandwichs, dits dorayakis au pays du Soleil Levant. Simplicité de l'intrigue, lenteur assumée, humanité transpirant à tous les plans, ce conte intime touche droit au but. À travers ce bout de la lorgnette, c'est l'opposition de deux mondes qui est esquissée à travers les interventions rugueuses de la patronne de Sentaro, les différentes conceptions du commerce, la bataille entre le fond (l'excellente recette de Tokue) et la forme (son apparence physique déclinante à cause d'une maladie de peau). La prévisible fin ne gâche rien de l'émotion, l'essentiel était ailleurs, dans la poésie gastronomique.
    Dom Domi
    Dom Domi

    34 abonnés 303 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 28 septembre 2016
    Ce film est d'une rare délicatesse et intelligence.
    Le cinéma japonais à décidément de beaux jours devant lui.
    L'idée simple de se poser dans une petite boutique ou le gérant n'est pas vraiment à sa place ouvre en fait un univers immense dans lequel on s'engoufre avec les acteurs pour profiter de toute la beauté de ces rencontres humaines.
    Une sorte de rêve.
    Un conte ?
    Non, plus que ça.
    Un grand moment de bonheur qui prend tout son sens dans la vraie vie.
    Celle qui est parfois un combat.
    Une lutte contre soi-même et ses " handicaps " et contre les discriminations collectives.
    Et la difficulté rencontrée pour savoir regarder la lune avec des yeux d'enfant ou de sage...

    Domi
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 17 septembre 2016
    Je me suis laissé happer par cette histoire simple en apparence, parfaitement bien filmée, parfaitement bien interprétée... Un très beau film.
    petkovic
    petkovic

    23 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 9 septembre 2016
    Ce fut une révélation pour moi. Comment un film sur une pâtisserie japonaise, dont le personnage principal était une vieille dame, allait pouvoir capter mon attention? La réponse dans Les délices de Tokyo. La réalisation donne une grande place à la beauté de la nature, façon Terrence Malick. Et l'amour est partout, dans sa version la moins souvent traitée au cinéma.
    L'amour d'une jeune fille pour une vieille dame inconnue. L'amour d'un homme mature pour cette même vieille dame. L'amour de cette mamie pour son enfant perdu.
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 9 septembre 2016
    Naomi Kawase signe avec Les délices de Tokyo un film qui paraît au premier abord extrêmement simple, notamment dans sa structure narrative, et assez neutre, même s’il est traversé de quelques passages magnifiques cinématographiquement. Mais, avec son approche presque documentaire sur la fin, elle s’intéresse à sa manière à une question relativement taboue dans son pays, ce qui donne bien plus de poids à l’ensemble.
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 16 août 2016
    Un de ces films dont seuls les Japonais ont le secret : on ne sera plus jamais le même après l'avoir vu. J'ai une tendresse particulière pour le "patron" qui porte bien des défauts mais est vraiment un type bien. Et la grand mère ... quelle chance de rencontrer une personne comme elle !
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 28 juillet 2016
    Un délice en effet! Comme un haïku lu sous les cerisiers en fleur en sirotant du saké.. Très mélo par moment, comme souvent dans les films japonais dans les films ou la tradition du Bunraku, mais toujours délicat . Grand moment de fraîcheur et de dépaysement
    alineung
    alineung

    2 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 4 juillet 2016
    Ce film et touchant. Il parle plus d'humanité que de cuisine. Film cependant délicieux que je recommande
    Cinéphiles 44
    Cinéphiles 44

    1 161 abonnés 3 967 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 1 juillet 2016
    Les délices de Tokyo est la rencontre entre un homme mélancolique, presque triste de vendre ses dorayakis sans ambition, et Tokue, une très vieille dame aux mains déformées qui souhaite se faire embaucher pour préparer avec lui ces gâteaux fourrés aux haricots rouges confis. Alors que le duo fait recette, une rumeur commence à circuler au sujet de la lèpre de Tokue. Mais le commerçant voit en cette dernière, l’opportunité d’un succès qui va au-delà de la vente de pâtisseries. La vieille dame lui redonne le sourire, lui redonne goût à la vie. Dans la délicatesse digne d’un conte, les échanges entre les deux protagonistes ainsi qu’avec la jeune collégienne sont bouleversants. La pudeur et la retenue font de cette œuvre une réflexion particulière sur l’acceptation de la différence et la médisance des autres. Malgré la difficulté de faire face à ce poids, la vieille dame reste toujours optimiste et c’est ce qui rend le film intensément touchant.
    D'autres critiques sur ma page Facebook : Cinéphiles 44
    velocio
    velocio

    1 158 abonnés 3 020 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 18 juin 2016
    Agée de 47 ans, la réalisatrice japonaise Naomi Kawase écume les festivals avec des films de très grande qualité et, année après année, elle accumule les nominations et les récompenses. Rien qu’à Cannes, où ses films ont très régulièrement droit de cité, elle a obtenu la Caméra d’Or en 1997 avec "Suzaku" et le grand Prix du Jury en 2007 avec "La Forêt de Mogari". Par contre, force est de reconnaître que, concernant le public, elle n’est suivie que par une frange assez réduite de cinéphiles qui apprécient son cinéma exigeant, son style contemplatif et sa façon de combiner les forces de l’esprit à l’amour de la nature. "Les Délices de Tokyo", son dernier long métrage, film d’ouverture de la section Un Certain Regard du Festival de Cannes 2015, est, de toute évidence, beaucoup plus accessible que ses œuvres précédentes : cette adaptation du roman homonyme de son ami Durian Sukegawa lui permet de greffer l’émotion que procure un mélodrame à ses thèmes de prédilection. Sans avoir l’air d’y toucher et en faisant saliver les spectateurs, Naomi Kawase aborde de nombreux sujets dans "Les Délices de Tokyo" : les phénomènes de rejet et d’exclusion, la regrettable main-mise des préparations industrielles dans la restauration, la richesse que peuvent apporter les rencontres entre différentes générations, en particulier pour la transmission du savoir, l’amour de la vie et de l’action qu’on peut rencontrer chez des personnes âgées malgré les souffrances générées par une maladie. Elle profite aussi de ce film pour affirmer qu’il y a une vie après la mort : le souvenir qu’on laisse à toutes celles et à tous ceux qu’on a aimés et qui vous ont aimé. Bien que ce film délicat et très poétique ait été tourné en pleine ville, à Tokyo, Kawase n’oublie pas, également, de montrer l’importance que revêt pour elle la nature, au travers de la passion que montre le personnage principal pour les sakuras, ces magnifiques cerisiers japonais dont on suit l’évolution de la floraison.
    Pascal B.
    Pascal B.

    4 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 11 juin 2016
    Les délices de Tokyo a reçu globalement un accueil positif de la critique.
    Parmis l'ensemble des critiques, y compris les quelques critiques négatives on trouve les termes de "conte", "bluette", ou autre terme qui viennent minorer l'appréciation, d'une certaine manière.
    Pourtant, le film évoque des sujets d'une profonde gravité : la maladie, la discrimination, l'isolement, des faits sociaux avérés dans l'histoire du Japon qui trouvent leur équivalence dans tous les pays sous d'autres prétextes.
    Si vous avez trouvé ce film léger, êtes vous certain d'avoir bien compris le sujet? Connaissez vous un tout petit peu la culture nippone et la sensibilité dans ses modes d'expression? Avez vous honte d'avoir pleuré en voyant le film? Faut-il du sang, du voyeurisme, et des effets spéciaux pour considérer qu'un film à une réelle densité? N'est on pas conditionné par les dérives formelles du cinéma de masse?
    Ce film est beau et puissant mais il ne touche que la profondeur vécue en conscience et assumée
    Sinon c'est normal de passer à côté
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