Mon compte
    Café Society
    Note moyenne
    3,7
    6277 notes En savoir plus sur les notes spectateurs d'AlloCiné
    Votre avis sur Café Society ?

    464 critiques spectateurs

    5
    32 critiques
    4
    147 critiques
    3
    174 critiques
    2
    77 critiques
    1
    26 critiques
    0
    8 critiques
    Trier par :
    Les plus utiles Les plus récentes Membres avec le plus de critiques Membres avec le plus d'abonnés
    WutheringHeights
    WutheringHeights

    99 abonnés 930 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 12 mai 2016
    Le scénario, moins léger qu’il n’y paraît, comme souvent chez Allen, est un modèle de rigueur comique et d’intelligence, alternant bons mots et une profonde mélancolie, inhérente à l’œuvre du cinéaste. Puisqu’on est dans les années 30, on pense à Ernest Lubitsch à qui Woody Allen emprunte l’élégance et le charme.

    LA SUITE :
    velocio
    velocio

    1 160 abonnés 3 022 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 12 mai 2016
    On sait que Woody Allen est un new-yorkais pur jus et qu'il ne porte pas trop Hollywood dans son cœur, et, si on ne le savait pas, "Café Society" nous le montre sans ambiguïté. Les années 30, Bobby est un jeune juif new-yorkais qui, ne supportant plus de travailler dans la bijouterie de son père, part à Hollywood rejoindre Phil, le frère de sa mère, un très influent agent de stars. Nous voilà embarqués dans une histoire d'amours contrariés, d'hésitations sentimentales, de choix amoureux qu'on peut regretter mais il est impossible de revenir en arrière. Là dessus se greffent les modifications que l'on observe lorsqu'on vieillit, aussi bien sur les motivations de son existence que sur celles des autres. Se greffent aussi les histoires de la famille de Bobby, dont celle d'un frère qui fait partie de la pègre new-yorkaise. Dans "Café Society", Woody Allen fait beaucoup de "name dropping" tout en décrivant avec délectation les mauvais côtés d'Hollywood. Premier film de Woody Allen avec Vittorio Storaro comme Directeur de la photographie, "Café Society" a donc "bon fond", mais, franchement, on commence à se lasser de ces dialogues trop riches, trop brillants, trop artificiels, qui dégagent une impression désagréable renforcée par la fréquente présence d'une voix off. La distribution va du très bon (Kristen Stewart et Blake Lively) au pas très bon (Steve Carell) en passant par le moyen (Jesse Eisenberg). Quant à la musique, Woody Allen, dont les goûts musicaux sont souvent aux antipodes des miens, se délecte à m'imposer tout au long du film le type de jazz que je n'aime pas du tout et là, je lui en veux beaucoup ! En résumé, pour moi, un Woody Allen moyen, très moyen.
    alain-92
    alain-92

    305 abonnés 1 078 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 12 mai 2016
    Dans cette nouvelle réalisation, Woody Allen offre un film, à la fois tendre et ardent. Un certain côté belliqueux flirte avec la légèreté. La voix off du réalisateur accompagne parfaitement le récit. "J’ai fait ce choix parce que je savais exactement quelle intonation donner à chaque mot, Je me suis dit qu’à partir du moment où j’avais écrit l’histoire, c’était comme si je lisais oralement mon propre roman." Les dialogues, souvent savoureux, trouvent un point culminant avec Jeannie Berlin, dans le rôle de cette mère juive qui se lamente quand, son fils condamné à la peine capitale, a mal tourné en devenant catholique. Le réalisateur travaille pour la première fois avec le directeur de la photographie, Vittorio Storaro. De cette collaboration découle un résultat magnifique. Les costumes de Suzy Benzinger sont raffinés et remarquables jusque dans le moindre détail. La satire, parfois cruelle, accompagne avec une certaine frénésie la vie de ce jeune homme attiré par le cliquant d'Hollywood, pour revenir vers le lieu de ses racines. New York. Il faudrait citer l'ensemble du casting tant chaque acteur trouve sa juste place en offrant le meilleur. Sans être un inconditionnel de Woody Allen, j'ai aimé ce film, subtil, sensible, parfois âpre dans le propos mais réussi de bout en bout.
    nadège P.
    nadège P.

    125 abonnés 538 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 12 mai 2016
    Un vrai régal cette nouvelle mouture !
    J'ai passé un excellent moment de divertissement.
    Je l'ai vu en VF et je compte aller le revoir en VO rien que pour le plaisir.
    Ah ces histoires humaines contrariées et compliquées, comme je le disais un vrai régal cette histoire !
    colombe P.
    colombe P.

    124 abonnés 695 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 12 mai 2016
    A nouveau une excellent histoire concoctée par W. Allen.
    J'ai adoré.
    C'est harmonieux, brillant, impeccable !
    dominique P.
    dominique P.

    784 abonnés 2 027 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 12 mai 2016
    J'adore en général les films de Woody Allen.
    Ce nouveau cru est très bon.
    C'est un divertissement de très bonne facture.
    Comme note toutefois je mets 4,5 et pas 5 car l'histoire est plus dramatique que drôle.
    Philippe G.
    Philippe G.

    7 abonnés 169 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 1 juin 2016
    Ne pas aller voir la version Francaise , c'est comme pour Amadeus de Milos Forman , surtout que Woddy Allen est la voix off , on perd beaucoup avec la VF.
    En Vo , les deux acteurs principaux ont également un ton beaucoup plus juste que le doublage en Francais qui les rend assez falots .
    Dans ke film il y a plusieurs passages assez troublant sur la fin autour de la foi et de la mort et la toute fin est assez sombre , presque désespéré,
    Mais cela reste du Woody Allen et pas du Bergman .
    galau7
    galau7

    28 abonnés 719 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 12 mai 2016
    Du Woody pur jus! Un peu long à démarrer, mais tout y est. Avec la cerise sur le gâteau: Kristen Stewart, sublimée dans ce rôle. À ne pas manquer...
    Jorik V
    Jorik V

    1 194 abonnés 1 952 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 12 mai 2016
    Notre ami Woody Allen livre ses films avec une régularité de métronome sauf lorsqu’ils sont présentés en festival. A peine son dernier film sorti il y a six mois que voilà déjà son nouvel opus sur les écrans, présentation en ouverture du Festival de Cannes oblige. Mais dans sa filmographie, le cinéaste alterne souvent films mineurs ou moyens avec pépites ou chef-d’œuvres. Néanmoins depuis trois films en comptant ce « Café Society » et avec « Magic in the Moonlight » et « L’homme irrationnel » on a l’impression que l’excellent cru se fait attendre et que le metteur en scène ronronne quelque peu voire beaucoup et s’endort sur ses acquis.
    Alors bien sûr un film de Woody Allen est toujours un plaisir haut de gamme qui fait que lorsqu’on est un tantinet déçus on aura tendance à dévaloriser son appréciation plus que pour n’importe quel autre film. C’est le prix à payer lorsqu’on est un cinéaste renommé, acclamé et qu’on ne présente plus. « Café Society » brille en cela peut-être un peu trop par sa vacuité, le metteur en scène ne renouvelant pas vraiment ses thèmes habituels (le sens de la vie, les rapports de classe, …) et configurant son histoire autour d’un trivial triangle amoureux. Jamais rien qui n’est déjà été dit ou fait ne nous interpelle dans les éléments qui constituent son nouveau film
    L’intérêt ici réside surtout dans la confrontation qu’il fait entre sa ville de cœur New York et son opposé sur la carte des Etats-Unis, Los Angeles. Une première pour lui à la Cité des Anges. Il dresse un tableau réjouissant du monde du cinéma et du gotha hollywoodien des années 30 et ne lésine pas sur les moyens pour les costumes et ses choix de lieux de tournage. C’est visuellement sublime et le septuagénaire montre qu’il en a encore sous le capot en ce qui concerne la mise en scène, belle, fluide et aérienne. Si ses dialogues sont toujours aussi parfaitement écrits, on n’est jamais surpris et il manque un peu de vitriol dans ce portrait de cette période faste tout comme un zeste d’originalité à l’ensemble. Allez Woody, la perle c’est pour le prochain !
    traversay1
    traversay1

    3 082 abonnés 4 620 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 11 mai 2016
    Une fois n'est pas coutume, ce ne sont pas ses dialogues que l'on retiendra en priorité du dernier Woody Allen, ils sont même parfois d'une extrême banalité, mais la beauté presque irréelle de sa photographie due au talent du grand Vittorio Storaro, un petit jeune par rapport à Woody puisqu'il n'a que 75 ans. L'artiste de 1900 et d'Apocalypse Now, entre autres, donne une patine sublime à cette comédie romantique pessimiste qui prend place dans les années 30 entre Hollywood et New York. Au passage, Allen réitère son amour de la Grosse Pomme contre la superficialité de L.A. L'histoire ne vaut pas celle de L'homme irrationnel mais elle possède un charme mélancolique irrésistible et s'engage parfois avec bonheur dans des digressions savoureuses (mafia, communauté juive, âge d'or du cinéma). Avec Kirsten Stewart, énième muse du maître, le réalisateur a fait un très bon choix, l'actrice est superbe dans ce triangle amoureux où Steve Carell s'impose en force et Jesse Eisenberg en finesse. Quand à l'auteur, dont on regrette l'absence à l'écran, il se contente de commenter en voix off, dans un registre suave comme un Guitry moderne. Il y excelle mais ce n'est qu'un talent de plus pour notre stakhanoviste préféré.
    dagrey1
    dagrey1

    86 abonnés 655 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 17 mai 2016
    "Cafe society", le dernier film de Woddy Allen, a ouvert le dernier festival de Cannes. Le film raconte l'arrivée de Bobby Dorfmann, originaire de New York, à Los Angeles où son oncle, riche producteur l'embauche comme coursier. Il tombe alors amoureux de la secrétaire de ce dernier, Vonnie.
    D'un âge semblable, Bobby déclare très vite sa flamme à Vonnie qui le repousse étant déjà en couple avec son oncle, déjà marié.
    Après quelques voltes faces, le couple se sépare et Vonnie se console dans les bras de Bobby....mais nous se sommes pas au bout de nos surprises....

    Café society est un bon Woody Allen, assez dans le ton de ce qu'il réalise depuis quelques années. Sur un ton badin et un scénario qui fait penser à du théâtre de boulevard, le réalisateur américain a fait un film fin et intelligent qui dépasse le cadre de cette stricte histoire d'amour à 3. Le réalisateur profite de ce canevas pour dresser un portrait délicieux du milieu artistique de Los Angeles et de la famille Dorfmann en dispensant aux passages quelques généralités notamment sur la religion juive, toujours bonnes à prendre.

    Le casting est très bon avec notamment les interprétations de Jesse Eisenberg, Kristen Stewart, Blake Lively. On retrouve également Parker Posey (l'homme irrationnel).
    Les amateurs de Jazz apprécieront la bande originale 100% Jazz qui colle plutôt bien à l'époque et aux évènements.
    RedArrow
    RedArrow

    1 524 abonnés 1 489 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 12 mai 2016
    Hollywood, années 30, musique jazzy, un jeune new-yorkais débarque dans le L.A. dorée des stars pour travailler avec son oncle, un agent très célèbre. Esseulé et un peu perdu dans cet univers aux codes si particuliers, il tombe très vite sous le charme d'une jolie secrétaire. Mais ses sentiments se heurtent au fait que la belle est déjà dans une relation tumultueuse.

    Du Woody Allen pur jus ! Le cinéaste a beau nous donner l'impression d'avoir raconté des dizaines de fois (il est d'ailleurs le narrateur du film) ce type de mélodrame sur fond de satire d'un microcosme particulier, ça fonctionne de manière quasi-inébranlable.
    Aller voir un Woody Allen aujourd'hui, hormis quelques cas particuliers, c'est un peu comme rendre visite à un vieil oncle sympa en train de radoter sans cesse ses vieilles anecdotes mais toujours en les racontant de la plus belle des manières.
    Vous voulez des vannes sur le judaïsme prononcées par des personnages hauts en couleur (les parents hilarants du héros) ou un univers guindé - ici, celui des paillettes de l'âge d'or hollywoodien - vu par le regard acerbe du réalisateur , vous aurez tout ça dans "Café Society" et, bien sûr, ça fera inévitablement mouche. Encore que dans sa vision des stars de l'époque, Allen n'épargne vraiment personne et ne parvient pas à témoigner d'un réel amour pour ce monde (ce qui était la grande qualité du "Avé Cesar" des frėres Coen par exemple) qu'il décrit seulement comme superficiel et vain. En gros, si vous n'êtes pas originaire de New-York, vous êtes, au mieux, inintéressants et, au pire, vous disparaissez dans le décor.
    Seuls les personnages de Stewart et Carell arrivent à sortir du lot mais c'est surtout à cause de l'histoire d'amour contrarié au coeur du film.

    Et c'est justement du côté de cette romance qu'Allen va jouer une partition quelque peu différente de ses habitudes. Alors que les situations amoureuses du film auraient pu seulement tendre vers des quiproquos burlesques dont Allen est passé maître en la matière (et il y en a bien sûr et des très drôles), il apparaît, au milieu des sourires, une sorte de mélancolie bien plus sombre et fataliste qu'à l'accoutumée. L'idée de nous narrer les allers-retours du couple sur un fil temporel de plusieurs années creuse en profondeur les sentiments de personnages finalement jamais réellement heureux et toujours à la recherche d'un moyen pour combler un manque affectif. Grâce à cela, quelque chose d'encore plus fin que dans ses précédents films s'installe et met peut-être encore plus en exergue la faculté qu'a Allen pour traduire nos faiblesses humaines à l'écran.
    Il faut dire que Kristen Stewart illumine le film (elle sourit même quelques fois !!) avec les contradictions de son personnage et que l'on ne peut que comprendre la fascination exercée sur ce pauvre Jesse Eisenberg. On notera aussi la performance de Steve Carell, positionné parfaitement entre la drôlerie et la profondeur d'un rôle extrêmement bien traité dans la première moitié du film.

    "Café Society" est donc une bonne cuvée 2016 de la part de Woody Allen mais le film est juste trop tiraillé entre l'inévitable zone de confort du cinéaste et une volonté de s'en extirper pour aller vers de plus sombres horizons.
    gimliamideselfes
    gimliamideselfes

    2 801 abonnés 3 956 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 11 mai 2016
    Woody ne s'arrête jamais et c'est ça qui est bien avec lui. Un film est un peu décevant, il y en a déjà un autre qui est prêt à sortir. Ici on retrouve Jesse Eisenberg, qui joue à nouveau avec Kristen Stewart (le duo fonctionne vraiment bien, ça donne envie de voir American Ultra), en véritable relève de Woody Allen lui-même (bien que ce rôle soit peut-être un peu partagé avec le beau-frère intello). Alors certes, dans quasiment tous ses films Eisenberg est un peu gauche, un peu anxieux, mais là ça fonctionne d'autant mieux que le personnage évolue. Et c'est tout le sujet du film "grandir".

    On quitte alors un peu les types brillants, nihilistes et cyniques des deux films précédents pour suivre l'histoire de ce juif new yorkais qui débarque à Hollywood. Personne qui va donc grandir, évoluer, au fur et à mesure de ses rencontres, comme on le fait tous. Alors peut-être que j'ai la mémoire sélective, mais j'ai l'impression que c'est une première pour Woody Allen, du moins à ce point.

    Parce que ce qui rend le film bon, pas excellent, juste bon, c'est de réussir à nous montrer comment on se comporte en fonction d'avec qui on est et comment finalement le temps détruit beaucoup de choses, mais ne détruit peut-être pas tout non plus.

    Woody Allen a cette capacité à filmer les actrices pour les rendre magnifiques, qui n'est pas tombé amoureux d'Emma Stone dans Magic in the Moonlight ? On est ainsi immédiatement dans la tête du personnage qui rencontre une fille merveilleuse, bien trop belle pour être dans cet habit simple d'une secrétaire des années 30. On voit ce qu'il voit et on sent ce qu'il ressent. Ce qui permet l'immédiate empathie avec ce personnage gauche.

    Mais le film ne s'arrête pas là, tout comme le film précédent, la relation évolue. Et j'aime beaucoup cette scène au bar, où les mois ont passé et Stewart se met à parler comme une bourgeoise vaine et superficielle, l'éclairage me semble bien plus sobre, l'étincelle n'y est plus.

    Et c'est ça la force du film, réussir à capter ce moment où l'on se rend compte que la personne a trop changé, que ce qui était a disparu et que peut-être ce qui a été vécu ne valait rien. Triste. On se rend compte de l'influence du milieu et que, heureusement, il reste malgré tout une étincelle lorsque cette personne sort de son milieu... Mais que choisir c'est renoncer... et ce qui a été fait ne peut être défait, les engagements pris ne se laissent pas rompre si facilement, ou alors juste le temps d'un verre, au petit matin, avec un désir innocent, sachant que ça ne pourra pas aller plus loin... Juste pour se rappeler du goût des lèvres et ce que ça fait d'être avec l'être aimé.

    Dit comme ça, le film pourrait sembler être triste, il n'en est rien. Si ce n'est pas aussi jubilatoire qu'un Whatever works, ni aussi délicieux qu'un Magic in the Moonlight, ou encore aussi délirant qu'un Minuit à Paris (ses trois films récents que je préfère, voire ses trois films que je préfère tout court, notamment pour ses deux films "français") et bien ça reste un bon Woody Allen. Certes je ne pense pas qu'il marque, mais c'est un peu plus d'une heure trente de plaisir et ceci malgré des situations pas forcément inédites (le coup de la discussion entre Carell et Eisenberg qui parlent de leurs femmes aimées...

    Cependant comme souvent avec Allen, le charme, la magie opère malgré tout et arrive à animer un film qui autrement aurait été assez convenu, voire même moribond.

    Finalement pour moi il y a trois catégories de films d'Allen, les très bons (les trois films précédemment cités), les moyens-bons et ceux que tout le monde aime mais qui moi m'ennuient (je pense à Blue Jasmine et d'autres trucs comme ça). Et Cafe Society appartient je pense aux moyens-bons, c'est bien, mais on sent qu'Allen peut encore mieux faire, qu'il n'a pas tout donné, que ça aurait pu être bien plus délirant, reste que j'apprécie grandement le tragique de la situation.
    Enki Dou
    Enki Dou

    2 abonnés 43 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 12 mai 2016
    C'est un film délicieux. Léger, certes - mais on ne va pas au cinéma pour entendre lire du Kirkegaard. Mais tellement bien fait ! On pleure un peu, on rit aussi, juste ce qu'il faut, et on en sort plus joyeux. Les images sont belles, la réalisation est sans défaut, la musique est bonne, exactement celle dont le film a besoin. Les personnages sont tous vivants et attachants, même celui qui aurait pu être "le méchant", et qui ne l'est même pas. Les acteurs sont tous excellents, avec une mention spéciale pour les parents du héros, joués par Jeannie Berlin et Ken Scott. Pour le reste, c'est la vie, avec ses rêves jamais vraiment réalisés mais jamais vraiment abandonnés. Et Kristen Stewart est tellement belle !
    flaradenuc
    flaradenuc

    1 abonné 18 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 25 mai 2016
    Rien à dire sur Woody Allen, j'adore !
    Simplement déçu ici par le choix des deux jeunes acteurs. J'en attendais sans doute plus de gravité, plus de profondeur.
    Les meilleurs films de tous les temps
    • Meilleurs films
    • Meilleurs films selon la presse
    Back to Top