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    Orpheline
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    elbandito
    elbandito

    315 abonnés 945 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 25 octobre 2017
    Si "Orpheline" est une œuvre résolument originale de par sa structure en forme de puzzle, on peut être déçu que ce portrait d’une jeune femme moderne, de condition somme toute modeste, se résume à montrer une femme qui joue de ses charmes auprès des hommes, tous des prédateurs en puissance. Pourtant, les quatre actrices sont toutes fabuleuses dans leur interprétation du personnage.
    Kilian C.
    Kilian C.

    40 abonnés 47 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 5 avril 2017
    Récit de quatre étapes de la vie d'une femme à différents moments de sa vie, Orpheline va nous montrer le parcours de cette jeune femme, directrice d'école et qui semble, au premier abord, bien sous tout rapport. Une vie qui semble bien rangée jusqu'à son arrestation. Entre sa vie de directrice d'école (tableau 1), celle de jeune femme un peu perdue qui vient d'arriver à Paris (tableau 2), sa vie d'adolescente fuyant l'autorité paternelle (tableau 3) et son enfance (tableau 4), chaque tableau va permettre de faire le lien avec le précédent et de nous donner l'opportunité d'essayer de comprendre les différentes situations et traumatismes qui l'ont amenée là où elle est aujourd'hui. Et ce avant l'ultime conclusion que constitue ce qui semble être un épilogue traumatique.

    Film attendu (du moins pour ma part) avec un casting prometteur et un traitement qui semblait audacieux, Orpheline ne parvient finalement pas à obtenir notre adhésion. Dans ce film, deux éléments perturbent notre expérience et déconstruisent petit à petit les éléments que l'on pouvait trouver plaisant dans le film : l'utilisation abusive d'ellipses et la vision négative et très sexuelle de chaque tableau.

    Les films à ellipse semblent être à la mode en ce moment. Après Moonlight et Brimstone, Orpheline nous offre là aussi un regard ponctuel sur 4 étapes de la vie de cette femme. Cependant, en plus de couper les différents chapitres par des sauts dans le temps, on se rend rapidement compte que de nombreuses ellipses sont placées à l'intérieur même de ces chapitres, et ce au détriment de notre compréhension. On finit ainsi par rattacher difficilement chacun des éléments dans une lecture qui semble finalement complexifiée sans avoir de véritable apport.

    Enfin, le contenu même des chapitres (notamment les deuxième et troisième parties) finissent également par déranger. Progressivement, on finit par rejeter ce que le réalisateur nous propose. Seul la partie sur cette petite jeune fille de campagne nous donne l'occasion de retrouver notre adhésion..Avant cet ultime coup que constitue l'épilogue final. Par la vision négative et fortement sexuelle de chaque tableau, le visage offert manque finalement d'alternative. Une seule lecture nous est proposée, celle d'une femme qui n'avait finalement pas d'autres possibilités que de se servir de son corps comme objet et de de mal finir...

    Cependant, il n'y a pas que du négatif à retenir dans ce film. En effet, le casting est le gros point positif et permet de nous raccrocher à quelque chose. En plus des excellentes Adèle Haenel et Adèle Exarchopoulos (qui ont elles aussi été des révélations quelques années auparavant), Nicolas Duvauchelle joue son rôle à merveille. Mais c'est finalement les deux plus jeunes actrices (Solène Rigot et Vega Cuzytek) qui surprennent le plus par leur justesse (et ce malgré la complexité du rôle, notamment pour la première) et qui crèvent l'écran. Le film semble donc être une sorte de passation entre deux espoirs qui sont maintenant établies vers deux jeunes actrices qu'on n'avait encore peu ou jamais vu. De belles révélations donc ! Malheureusement, cela ne suffit pas pour dire que l'on parvienne à dire que l'on passe un bon moment.
    traversay1
    traversay1

    3 088 abonnés 4 622 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 2 avril 2017
    "Je fais des films en kit. C'est le spectateur, avec sa sensibilité propre, qui remplit les trous et construit." D'accord, M. des Pallières, on l'avait bien compris dans l'énigmatique Michael Kohlhaas, ennuyeux à périr (avis personnel) et c'est encore le cas dans Orpheline, portrait de femme en 4 fragments temporels. On a beaucoup glosé sur le changement d'actrice, selon les différentes époques, mais cet artifice déplace un peu l'intérêt quant au propos du film et le grand écart que l'on constate entre ceux qui évoquent une oeuvre féministe et d'autres qui dénoncent une vision caricaturale et masculine. Sur les quatre périodes qui composent Orpheline, deux posent effectivement problème, par une évocation rapide, crue et sordide (complaisante ?) de la sexualité d'une jeune fille. Ceci dit, d'une part, des Pallières ne parle pas de toutes les femmes, d'autre part, cette partie-là est semble t-il liée à des réminiscences autobiographiques de sa coscénariste. Admettons qu'il reste un doute, tout de même, et un certain malaise, mais cela ne devrait pas influer outre mesure sur l'impression globale que produit Orpheline. Histoire à rebours d'une femme en construction, le film rappelle l'Irréversible de Noé, la provocation en moins. C'est le corps, et non la psychologie, qui sert de fil de rouge, de l'âge adulte à l'enfance, puisque la dramaturgie est inversée. Ce procédé n'est pas qu'un gadget, dans le sens où il éclaire a posteriori les scènes de début et surtout celles de fin, les plus intenses, en même temps que plus apaisées, en quelque sorte. Adèle Haenel, la dernière des représentations de cette femme, en est la figure la plus pleine et la plus palpable, si l'on ose dire, et celle qui est mise en relation avec l'enfant qu'elle a été. On ne s'attardera pas sur des explications psychanalytiques qui resteraient de toutes manières lacunaires. On retiendra plutôt que cette singulière entreprise s'accompagne d'une absence de jugement et, il faut le répéter, de psychologie. Il en résulte un long-métrage incandescent et charnel, qui n'a absolument pas vocation à plaire à tout le monde. Reconnaissons-lui l'excellence de son casting féminin et de quelques seconds rôles remarquables (Jalil Lespert) et laissons les exégètes s'échauffer les sangs. Dans un paysage cinématographique où l'ambition n'est pas si épandue, Orpheline, même inconfortable et dérangeant, a le mérite de ne pas chercher la démagogie consensuelle.
    Seydas
    Seydas

    1 abonné 1 critique Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 19 novembre 2016
    Entre masturbation excessive et aberration complète.

    Dans une intervention après son film devant des lycéens (dont je faisais partie) le 08 novembre 2016, Arnaud des Pallières disait vouloir résoudre le mystère féminin et libérer les jeunes femmes par son film. Étant moi-même une jeune femme, la libération n'est pas au rendez-vous. Le personnage est dépendant des autres, de leur regard, cherche une présence tout le long du film, sans jamais s'affirmer. Elle est ballonée, utilisée, cherche sans trouver un père pour remplacer celui qu'elle a raté.

    C'est sans compter la figure masculine, qui, à travers tous les personnages rencontrés, se résume au prédateur et au cliché de la bête sexuelle de base.

    Si Arnaud des Pallières veut résoudre le mystère féminin, qu'il aille rencontrer de vraies femmes.

    0,5/5, au moins, pour le jeu d'acteur qui a le mérite d'être impressionnant.
    Daniel C.
    Daniel C.

    131 abonnés 715 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 11 avril 2017
    Sur le pourquoi de ses fugues, elle répond aux gendarmes "j'suis pas heureuse". Nous allons circuler dans l'histoire de cette femme, d'abord petite fille, puis préadolescente, puis adolescente et enfin femme. Le plus éprouvant pour moi dans ce film, c'est l'érotisation précocissime, la sexualisation trop tôt, trop crue de la jeune fille. Comme s'il fallait faire de l'homme, de tout homme, un salaud ; de son père, un homme qui bat sa fille, faute de pouvoir la comprendre. La provocation de la trop jeune fille nous éclaire sur ce que peut être la modalité de lien pédophile. Elle ne rencontre pas que de sales bonshommes, elle les cherche, mais ne les trouve pas toujours et de surcroît, si l'un d'entre eux vient à la considérer en prenant en compte son jeune âge, elle le jette, humiliée de ne pas être désirée sexuellement comme le rouge à lèvres, qu'elle s'applique à déposer sensuellement sur ses lèvres.

    Comment se remettre du départ maternel, comment supporter la prison, l'exil, la fuite, les coups ? Toutes ces déclinaisons de maltraitance reçues, parfois induites, sont examinées dans cette histoire, mais avec cette particularité que c'est toujours du point de vue de l'héroïne, que la caméra filme. "Orpheline" démontre admirablement combien même lorsque les parents sont présents physiquement, l'enfant peut se sentir orphelin, abandonné à des éprouvés, à des émotions, face auxquelles il se retrouve bien seul pour en effectuer le décodage. L'"orphelinage" (si l'on m'accorde ce néologisme créé à dessein pour traduire ce que le cinéaste déplie et déploie dans son film), c'est ici l'abandon parental à soutenir l'enfant dans la compréhension de ses éprouvés.
    Fêtons le cinéma
    Fêtons le cinéma

    579 abonnés 2 748 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 30 août 2019
    Cette idée de rassembler différentes héroïnes dans une même femme-somme qui porterait, par son corps, les difficultés inhérentes à quatre moments de l’existence – à savoir l’enfance, l’adolescence, le temps du jeune adulte et celui de l’adulte enfin – n’est pas sans rappeler l’ambition d’une artiste comme Marguerite Duras qui entendait peindre à partir de figures diverses un même personnage les conjuguant toutes, Anne-Marie Stretter. Arnaud des Pallières évite pourtant la trop grande confusion en choisissant des actrices d’un âge non pas équivalent mais proche, ce qui facilite (quoique) le rapprochement et justifie le choix d’un singulier au titre du métrage. Pourtant, au-delà de cette idée directrice, assez audacieuse au demeurant, jaillit une image de la femme curieusement déformée, mutilée par les coups qu’on lui porte et les comportements bestiaux qu’elle adopte. Nous avons l’impression que le réalisateur considère le corps de la femme comme le faire-valoir d’une société masculine qui ne recule devant aucune violence pour l’exploiter et en tirer son éternelle reproduction. Dès lors, il ne s’agit plus d’affranchir un sexe en condamnant l’autre, mais de se repaître de son malheur en scrutant sa peau, en violant son intimité. Un paradoxe sous-tend l’entièreté de l’édifice : prétendre libérer la femme en la saisissant dans une série de postures figées. Passive, la figure féminine se soumet aux volontés du masculin, a dans son regard une étincelle vicieuse qui légitime sa perte. Alternant scènes de sexe et dialogues agressifs, Orpheline souffre d’artificialité : sa structure est inutilement alambiquée, sa conception de la femme ne constitue que le reflet d’un masculin fort face à un féminin faible. La complaisance affichée dans les sévices qu’endurent les quatre actrices achève de transformer ce film en boursouflure originale mais dégradante. Émanciper par une série de postures figées…
    Cinephille
    Cinephille

    135 abonnés 627 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 3 avril 2017
    Arnaud Des Pallières subjugué par l'histoire de Christelle Berthevas lui a proposé d'un faire un film. Ca tombait bien elle écrivait sur son histoire depuis des années. Pour certains le scénario est trop complexe, pour moi c'est plutôt un des atouts du film que cette forme de narration. Certes il faut être un peu attentif mais il n'y a pas de difficulté particulière à suivre l'histoire diffractée en 4 actrices. Il y a ceci dit, pas mal de faiblesses, d'incohérences de temporalité. Mais là où le bât blesse c'est que, racontant l'histoire d'une femme soumise aux désirs, à la violence des hommes mais aussi à ceux d'une femme plus forte qu'elle, Des Pallières clame qu'il a fait un film de femmes. Oh que non ! il a fait un film malsain, voyeur, humiliant, où son regard d'homme vieillissant occupe tout l'espace. Il n'était nul besoin d'employer deux comédiennes pour jouer Karine et Renée, mais manifestement mater la plastique de l'une ne suffisait pas à Des Pallières il en a donc ajouté une et une réputée pas farouche. Il prétend avoir filmé la sexualité d'une femme, c'est parfaitement faux, il a filmé ses fantasmes, ses envies sur les rapports sexuels de ses comédiennes. Par ailleurs, aucun personnage masculin n'est à la hauteur, ils sont tous plus minables les uns que les autres à vouloir imposer leurs désirs. On sort sali de cette projection et attristé pour Christelle Berthevas de voir qu'elle a encore laissé un homme souillé son histoire.
    Barnabé Jarrot
    Barnabé Jarrot

    16 abonnés 62 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 29 mars 2017
    Quel film! Des actrices magnifiques et excellentes (Adèle Haenel, Adèle Exarchopoulos, Gemma Arterton...) nous emportent et nous font vibrer dans ce parcours d'une femme à travers quatre périodes de sa vie. Un grand film audacieux, qui m'a beaucoup questionné, et bouleversé. A ne pas manquer!
    pierre72
    pierre72

    126 abonnés 367 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 30 mars 2017
    Si par hasard vous deviez vous rendre voir "Orpheline"( il doit bien exister des personnes qui ont envie de voir ce film), ce ne sera pas spolier que de donner deux éléments pour que l'oeuvre soit un peu plus accessible. C'est l'histoire de Renée qui s'appelle aussi Sandra une autre fois Karine et même Kiki, bref malgré différents prénoms, c'est le même personnage, joué par quatre actrices différentes à quatre âges de sa vie ( 27 ans, 20 ans, 13 ans et 6 ans) et à rebours... Le mal de tête vous gagne ? Vous pouvez car le film peine un peu à nous éclairer et il faut vraiment être attentif ou alors fort doué en cinéma expérimental pour saisir du premier coup d'oeil. Le film nous balade dans des histoires d'enfant délaissé, de grossesses, de relations vénéneuses entre femmes ou plus violentes quand il s'agit d'hommes, le tout dans des décors d'hippodrome, d'école ou de casse de voitures. De drôles d'univers, entre polar et étude psychologique, qu'accompagne un regard assez crade sur le(s )personnage(s) présenté(s) ( sauf sur celui d'Adèle Haenel, sans doute la mieux lotie des comédiennes).
    Il a beau filmer à la mode cubiste et intello, Arnaud de Pallières n'arrive pas à cacher, hélas, une image pour le moins dérangeante de la femme.
    La suite sur le blog
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 22 août 2019
    Arte proposait ce film: une erreur, ils ne sont pas habitués à autant de nullité. Le film de fin d'année qu'on avait fait en 3ème était plus réussi que cette daube monumentale, qui n'aura servi, je pense, qu'à réaliser les fantasmes du réal.
    jeff21
    jeff21

    52 abonnés 296 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 1 avril 2017
    Arnaud des Palières nous emmène dans le monde insensé d'une génération perdue, errante sans codes sans valeurs sans parents. Orphelines de tout. Il s'appuie sur la nouvelle génération de jeunes actrices, épatantes et belles. Si le film peut toutefois donner une impression de décousu, l'ensemble s'avère percutant et accroche le spectateur. Film à soutenir.
    Yves G.
    Yves G.

    1 278 abonnés 3 288 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 1 avril 2017
    Je me plaignais hier des mises en scène un peu pauvres du cinéma français. Me voici aujourd’hui servi avec cette "Orpheline" d’une rare complexité et d’une belle sensibilité.

    Comme l’annonce l’affiche, Arnaud des Pallières va raconter la vie d’une orpheline à quatre âges de sa vie. Au lieu d’en confier le soin à la même actrice, grimée et vieillie pour l’occasion, il en choisit quatre qui n’ont pas grand chose en commun sinon leurs lèvres purpurines. La même recette vient d’être employée avec le succès que l’on sait dans "Moonlight" outre-Atlantique.

    Complexité supplémentaire : la vie de Karine/Sandra/Renée n’est pas narrée dans l’ordre chronologique, mais, comme dans Irréversible de Gaspar Noé, en commençant par la fin. On découvre une institutrice rangée (Adèle Haenel) sur le point d’être rattrapée par son passé sous les traits de Gemma Arterton (ah ! Gemma …). Pour comprendre sa situation, il faut remonter sept ans en arrière et rencontrer Sandra (Adèle Exarchopoulos) qui vient d’arriver à Paris et se retrouve plongée dans le milieu du jeu et de l’arnaque. À treize ans, la jeune Karine (Solène Rigot) cherche à toute force à fuir la violence d’un père dont on comprendra, après un quatrième saut dans le temps, les ressorts dramatiques.

    La concaténation des temps est d’une parfaite fluidité et évite les défauts du film à sketches toujours inégal. Arnaud des Pallières peint un splendide tableau de femme diffractée. Le parti pris de confier ce rôle unique à quatre actrices ne remet pas en cause sa profonde unité. Karine est une enfant en mal de (re)pères qui cherche maladroitement l’amour.

    Dans un ultime chapitre, le film revient à son point de départ et retrouve Adèle Haenel obligée de faire taire la soif d’amour qui lui a tant fait tort. Ce dénouement n’est pas l’épisode le moins émouvant d’un film dont on retiendra l’éblouissante prestation d’Adèle Exarchopoulos, plus sensuelle que jamais.
    jmjbest2
    jmjbest2

    14 abonnés 90 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 4 avril 2017
    Quand avant d'entrer dans la salle t'as qu'une brève info de 4 actrices jouant un seul personnage..que tu vois apparaitre la Gemma , tu crois bien sûr qu'elle en fait partie..à partir de là total potlach t'es dans le cirage, jusqu'à voir la gamine où tu essayes de reconstituer le truc, t'as mal à la tête pendant 2 jours. Mais aucune des autres actions n'est explicitée. Gemma sort de prison ? Haenel à tué quelqu'un ? qui ? pourquoi ? etc etc
    Je ne dis pas merci.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 30 mars 2017
    Orpheline, une expérience intense, aussi brutale que dérangeante, portée par un quatuor d'actrices exceptionnel et des acteurs qui servent habilement de transitions entre le présent de la narration et les nombreux flashbacks qui l'entrecoupent.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 29 mars 2017
    Arnaud Des Pallières, après son MICHAEL KOHLHAAS âpre et puissant, revient en force avec un bouleversant portrait de femme(s). La vie d'une jeune femme va être racontée à travers les 4 moments les plus forts de sa vie, par 4 actrices différentes, à des âges différents. Au-delà de ce postulat pour le moins original, ce destin nous emporte et nous terrasse. Toutes les actrices sont éblouissantes (mention spéciale à Solène Rigot et Adèle Haenel, toujours parfaite).
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